LES BEAUTES DE LA VALLEE CLOSE
Les six cent onze Vauclusiens se sont habitués à l'invasion touristique de leur village et profitent de cette nature de toute beauté qui l'environne.Ils pechent la truite en saison, organisent des descentes en canoé-kayak de la Sorgue aux eaux printanières impétueuses et se ressourcent en faisant des promenades vers le canal romain, le long de la rive gauche de la rivière. Ils ne dédaignent pas les fetes qui ponctuent l'année : chaque deuxième samedi de décembre la creche vivante qui étonne les enfants ; le rallye à pied ou à vélo du mois d'avril; la fete du NegoChin en juin, qui met en scène des bateaux traditionnels à fond plat. 

PETRARQUE, LE PREMIER DES POETES
Le poète toscan Pétrarque (Francesco  Pétrarca, 1304-1374) passa une grande partie de sa vie à voyager en Europe. A Avignon, il rencontra une certaine Laure, dont il tomba éperdument amoureux. Leur amour resta platonique, Laure étant mariée et vertueuse. Pendant quinze ans, Pétrarque vécut à Fontaine-de-Vaucluse, écrivant son fameux "Canzoniere" adressé à dame Laure et d'autres textes sur la vie provençale. Après lui, René Char et divers artistes, Georges Braque, Nicolas de Stael ou Alberto Giacometti, séjournèrent dans cette vallée qui resta longtemps silencieuse.

UN MOULIN RESSUSCITE    La région du Vaucluse était connue dès le XVIe siècle pour son papier fabriqué dans ses nombreux moulins. De vieux chiffons servaient de matière première et l'eau de la Sorgue, d'énergie. Les turbines hydrauliques et la concurrence mondiale condamnèrent cette activité. Aujourd'hui, le centre de Vallis Clausa, installé dans un moulin, rappelle cette activité en racontant les diverses étapes de la fabrication traditionnelle du papier. ..........                                             

Donne et continue de donner. N'essaie pas de retenir quoi que ce soit. Veille à ce que toute chose coule librement et sans cesse. Que ce soit talent, argent, amour ou possessions, fais-les circuler, mets-les en mouvement. Si tu le fais, tu verras que cela augmentera mille fois. La force de vie dans ton corps ne peut etre retenue; elle doit bouger sans cesse, circuler sans cesse; c'est seulement ainsi qu'une énergie vitale nouvelle, plus fraiche et meme plus grande peut te pénétrer, et seulement ainsi que tu peux devenir un etre plein de vie. Il en est de meme pour tout : garde tout en mouvement et ne retiens jamais le flot.
Regarde la vie se déployer pour toi en une totale perfection. Vois comme chacun de tes besoins est comblé juste au bon moment ! Attends-toi à cela, et ne laisse aucun doute faire irruption dans ta conscience. Sois positif pour tout, peu importent les conditions extérieures apparentes. Sens que ces pensées mesquines disparaissent et sont remplacées par plus grand et plus abondant. Aie une foi absolue que tout est très, très bien, et que tout est parfaitement mené à bien parce que tout est entre Mes mains !............

               Elle est née à Odessa en 1885. En 1890, elle quitte ses parents et s'installe à Saint-Pétesbourg chez son oncle Henri Terk (riche avocat). Elle vécut une enfance heureuse, son éducation fut faite par des gouvernantes. Elle voyage beaucoup : Finlande, Allemagne, Italie, France. Elle a des dons pour la peinture et entre à l'académie d'art de Karlsbur. En 1905, elle s'installe à Paris, elle fréquente l'académie de la Palette à Montmartre et rencontre beaucoup d'artistes. Les peinures aux couleurs vives ne l'inspirent pas. Elle fait la connaissance d'un galériste Wihelem Uhde, elle se marie en 1908, mais son mariage est un échec. La galerie de son mari lui permet de fréquenter l'élite artistique et c'est là qu'elle se trouve en contact avec Robert Delaunay. C'est le coup de foudre, elle divorce et se remarie avec Delaunay en 1910. Ils ont un fils. Pendant trente ans de vie commune, ils travaillent en étroite collaboration. En plus de la peinture, elle crée des objets : coussins, abat-jours, boites, réalise des modèles de vetements. Elle illustre les poèmes de Blaise Cendrars. En 1964 rétrospective de ses oeuvres au musée du Louvre. En 1975, elle fut nommée officier de la Légion d'Honneur. Elle est morte en 1979.........
             

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Au fond d'une vallée close des monts du Vaucluse, Fontaine-de-Vaucluse attire les amateurs d'énigmes, celle des sources de la Sorgue, qui jaillit d'une gorge verdoyante. Dans ce village vécut le grand humaniste Pétrarque auquel un musée rend hommage.

En 1878,le scaphandrier marseillais Otonelli atteint 23 mètres de profondeur en explorant le gouffre de la fontaine de Vaucluse. En 1989, le record de plongée est atteint quand une équipe parvient à la profondeur de 308 mètres. Malgré ces explorations, la source n'a toujours pas livré ses mystères : son mode de fonctionnement et l'origine de ses eaux posent aux scientifiques bon nombre de questions, et son immense réseau souterrain n'est pas encore exploré en totalité.

UNE ENIGME NATURELLE
A chaque saison, la fontaine de Vauclus, qui donna son nom non seulement au village, mais aussi au département  (vallée close ou vallis clausa), mérite la visite. Au printemps et à l'automne, ses eaux débordent, alimentées par la fonte des neiges et par les pluies; l'hiver, elles coulent réguliérement. Mais c'est en été que les touristes prennent d'assaut ce cul-de-sac naturel d'où s'élève la falaise qui domine de 230mètres la fontaine d'eau émeraude jaillissant d'un gouffre. Le lieu est impressionnant, et les amateurs du monde souterrain peuvent se rendre au musée Norbert-Casteret, tout proche de la fontaine, pour comprendre ce site spectaculaire et cette source, la première de France et la cinquième du monde par son  volume d'eau annuel  (630 millions de mètres cubes). La foule des touristes fait un peu oublier le charme du village qui s'allonge dans le creux du vallon, le long de la Sorgue. Le coeur du bourg, peuplé de belles maisons en pierre calcaire, est la place de la Colonne, qui doit son nom à la colonne monumentale dréssée pour commémorer le cinq centième anniversaire de la naissance de Pétrarque. Le célèbre humaniste, qui vécut ici une quinzaine d'années, a son musée dans une discrète maison qui borde la rivière.  

Si tu as le désir d'apporter la paix et l'harmonie dans le monde, alors commence par trouver paix et harmonie dans ton propre coeur. Parler de la paix est une perte de temps. Tu dois chercher et trouver cette conscience de paix que rien ni personne ne puisse troubler, et demeurer en elle. Dans cet état de conscience, tu pourras etre efficace et aider à apporter la paix et l'harmonie dans la vie du plus grand nombre.
Aie consciemment connaissance de la paix et de l'harmonie dans ta propre vie d'abord et, comme une pierre jetée au milieu d'un étang, les cercles s'élargiront, toucheront et changeront la vie de nombreuses personnes.
"Tu récolteras ce que tu sèmes !"  Lorsque tu sèmes la discorde et la disharmonie, tu récoltes la discorde et la disharmonie ; tandis que lorsque tu sèmes paix et harmonie, la moisson sera grande, pas seulement pour toi, mais pour toutes les ames avec lesquelles tu entres en contact.......  

               

    Ces parents divorcent quand il a neuf ans et c'est sa tante qui l'élève. A l'école il n'aime que le dessin et il  en est exclu à  cause de sa paresse. Il est apprenti 2 ans dans la conception scénique. En 1905-1906, il réalisa ses premières peintures : paysages et fleurs, de facture néo-impressionniste et fauve. En 1906, il fait son service militaire à Laon et fait de nombreux croquis de la cathédrale. Fin 1906, il rentre à Paris et présente "Le manège électrique" au salon de l'Automne qui le refuse. En 1907; il fréquente un groupe de jeunes artistes dont Faucourier et Léger. Il entreprend un travail sur les monuments de Paris, ses recherches ont pour conséquence de proposer une théorie personnelle sur la couleur. En 1910, influencépar le cubisme il réduit sa palette de couleurs  jusqu'au monochrome. Il se marie et a un fils. C'est sous l'influence de sa femme Sonia, qu'il réintroduit la couleur. Dès 1912, il ne tourne vers l'Orphisme avec sa série des "Fenetres". Avec Sonia il crée le simultanéisme (basé sur la loi des contrastes simultanés des couleurs....  

  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L'EXPLOITATION DE L'OCRE

A la fin du XVIIIe  siècle dans une des carrières autour de Roussillon, sous l'impulsion d'un habitant du village, Jean-Etienne Astier. Près de dix huit nuances d'ocre sont extraites, faisant vivre le bourg et lui apportant une renommée internationale dans le domaine de la teinture. Au début du XXe siècle, l'appartition des colorants synthétiques feront décliner cette industrie.

LA VIE DU VILLAGE
Aux couleurs du passé installé dans une ancienne usine, le Conservatoire des ocres et pigments appliqués, ouvert à tous, raconte cette belle aventure industrielle qu'est l'exploitation des carrières. Des stages d'initiation aux techniques et matériaux, aux pigments et aux colorants y sont proposés. Pour réveiller encore le souvenir chaque année fin juin, la Saint-Jean des Couleurs : marché provençal, retraite aux flambeaux et autres festivités animent le village.

LE SENTIER DES OCRES
A partir de la place principale de Roussillon, des panneaux indiquent le "sentier des ocres". Il faut compter une heure pour cette promenade à travers les anciennes carrières d'ocres, abimées par le vent et l'érosion. En chemin, des petits panneaux annoncent la flore spécifique au site (chenesblancs, génevriers yeuses...) Le matin ou le soir au coucher du soleil , cette promenade prend tout son sens quand la lumière se fait plus subtile et dévoile toutes les nuances de cette terre rousse.

A LA DECOUVERTE DE ROUSSILLON
Prenez la rue des Bourgades puis la rue des Lauriers jusqu'à la place principale. Là suivez les panneaux indiquant le beffroi, puis montez la rue de l'église. Dirigez vous vers la table d'orientation (superbe panorama). Tournez ensuite à gauche dans une ruelle qui conduit à la place de la Forge et longez l'église pour gagner un autre point de vue. Redescendez jusqu'à la place principale et prenez la direction du "sentier des ocres". Vous irez ainsi jusqu'à la chaussée des Géants.........  
 

tu peux planer a de grandes hauteurs avec un coeur rempli de louanges et de remerciements. Mais comme l'alouette minuscule, tu dois déccoller du sol, tu dois faire cet effort particulier. Ce n'est pas nécessairement une tension , cela peut etre un effort joyeux, fait d'un coeur léger. Pourquoi rester cloué au sol, alors qu'en agissant tu peux changer complétement ta vie. Que tes objectifs soient élevés ! Plus ils sont élevés, mieux c'est.
Attends-toi aux événements les plus merveilleux, pas dans l'avenir, mais tout de suite. Avance à grands pas égaux et fermes, sachant intérieurement et surement que tu atteindras chaque but que tu t'es fixé. Pourquoi ne pas faire quelque action positive aujourd'hui ? Pourquoi ne pas commencer à faire tourner les roues ? Lorsque tu auras fait ta part, tu recevras toute l'aide que tu demandes, mais pas avant. Aie confiance en ta capacité à faire toutes choses parce que tu puises ta substence en Moi. Tu peux faire toutes choses lorsque ta foi et ta confiance sont en Moi !.....