• LA  CITE DES NOIX. Le clocher passant d'un plan carré
    Au coeur de la nature verdoyante de vignes et de forets où les noyers abondent, Collonges a vécu de belles heures grace au commerce du vin et, surtout de l'huile de noix qui, du XVIe siècle au XVIII e siècle, a permis à la bourgeoisie locale de s'enrichir et de construire de belles demeures. Aujourd'hui, le village reste bien ancré dans cette tradition gastronomique et produit, outre du foie gras et des confits comme le veut la région, un délicieux vin et des gateaux à base de noix qui sont autant d'invitations gourmandes.

    DES COULEURS CONSTRASTEES
    Sculpté au XII e siècle dans un du calcaire blanc, le tympan de l'église Saint-Pierre se détache sur le grès rouge de la façade. Illustrant le scène de l'Ascencion, où le Christ apparait entouré d'anges, il est bordé d'un arc brisé décoré d'un bestiaire. Fortifiée au cours des guerres de Religion, cette église fut dotée d'un chemin de ronde et d'une salle de défense dans le donjon carré à un plan octogonal, est caractéristique du style roman limousin.

    A LA DECOUVERTE DE COLLONGES-LA-ROUGE
     Collonges se visite à pied. De l'office du tourisme, descendez la rue de la Barrière, où vous découvrirez la maison de la Sirène, l'hotel des Ramade de Friac et le relais Saint-Jacques de Compostelle. Rendez vous au chateau de Benge, puis revenez sur vos pas, dirigez vous vers la Halle dont vous admirerez la belle charpente, et rejoignez l'église. De chaque coté des rues vous voyez des Castels, celui de Maussac et celui de Vassinter, et traversez ensuite l'ancien quartier de Collonges jusqu'à la chapelle des Pénitents.    
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  • Des profondeurs je crie vers toi, Seigneur,
    Seigneur, écoute mon appel !
    que ton oreille se fasse attentive
    au cri de ma prière !
    Si tu retiens les fautes, Seigneur,
    Seigneur, qui subsistera ?
    Mais près de toi se trouve le pardon
    pour que l'homme te craigne.
    J'espère le Seigneur de toute mon ame ;
    je l'espère, et j'attends sa parole.
    Mon ame attend le Seigneur
    plus qu'un veilleur ne guette l'aurore; 
    attends le Seigneur, Isarel.
    Oui, près du Seigneur, est l'amour;
    près de lui, abonde le rachat.
    C'est lui qui rachètera Israel
    de toutes ses fautes......
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  • Collonges-la-Rouge porte bien son nom. Aux confins du Limousin et du Quercy, la petite cité hérissée de tourelles scintille comme un rubis dans un écrin de verdure. Normal : elle a été batie dans le grès rouge extrait d'une carrière voisine.

    A pied, à cheval, ou à dos de mulet, les voilà qui arrivent harrassés, les pélerins en route pour Saint-Jean-de-Compostelle. Ils vont se reposer un peu, le temps de graver leur embleme, une  coquille, sur le grès du bourg; puis se remettont en marche.

    DES CASTELS ECARTELES
    On peut encore voir une coquille taillée dans la pierre sur la prte d'entrée du castel de Maussac . Collonges, qui a grandi au VIIIe siècle autour de son église et qui a profité au XIIIe siècle des libéralités de la vicomté de Turenne dont il faisait partie, a été une étape sur le chemin  de Compostelle. Au XVe siècle, il est devenu un lieu de résidence et de repos pour les hauts fonctionnaires de l'illustre vicomté. Cest ainsi que de charmants manoirs, fiérement flanqués de tours et de tourelles y sont surgi. Construits dans le grès rouge extrait d'une carrière ouverte au nord du village, ils donnent à celui-ci tout son caractère. En contrebas du bourg, le chateau de Benge offre aux regards sa façade à fenetres Renaissance, tandis qu'à quelques pas le castel de Vassinhac révèle par ses échauguettes et ses meurtrières sa fonction défensive. L'ancienne maison de ville des Ramades de Friac est encadrée par deux tours jumelles. Quant à la maison de la Sirène, qui doit son nom à la figure sculptée sur sa façade, elle est remarquable par son toit de lauzes. Les treilles et les glycines grimpant à l'assaut des porches contribuent au charme des lieux.     

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  •                                          DEVIENS PETITE

    Deviens petite
    en te contentant de la dernière place.

    Deviens simple
    en refusant tout ce qui te fait réver.

    Deviens pauvre,
    pauvre de coeur surtout,
    en te dépouillant de toi complétement.

    Laisse-toi envahir tout entière par Jésus-Christ.
    Comme le dit Saint Paul :
    "Que ce ne soit plus moi qui vive
    mais lui en moi"........
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  • Son vol plané, en cercle, pendant des heures, au cours duquel elle pousse de temps à autre un cri miaulant, est caractéristique. Elle apparait alors la tete rentrée dans le cou, l'extrémité des larges ailes retroussée et la queue étalée, barrée de brun et noir. La couleur de son plumage est variable, ses pattes sont nues et jaunes. Elle niche sur les corniches des rochers ou dans un arbre, dans les forets de toute l'Europe.Migratrice partielle : en France, les buses venant du Nord de l'Europe séjournent en hiver. Longueur : 50 à 55 cm (la femelle est plus grande que le male)......
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  • Oiseau  de proie à la tete claire, au corps brun-roux, aux formes sveltes. Quand il vole on remarque ses ailes longues et étroites et sa queue échancrée. Ne chassant pas lui-meme en vol; il attaque les autres rapaces pour leur dérober leur proies, memes mortes, et s'introduit au besoin dans les cours de fermes pour s'emparer des poulets. Il niche dans les forets à la fourche d'un grand arbre, ou bien adopte un nid de corneille. Cri ressemblant au henissement d'un cheval. Migrateur. Longueur : 60 cm.......
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  • LA PERLE DES MONTS DE BLOND
    Adossé aux pentes des monts de Blond, à 300 m d'altitude Montemart domine une belle plaine d'étangs et de prairies. C'est d'ailleurs ce que suggère son nom qui vient de mortummare, évocateur de zones marécageuses et humides. La taille du village, plus petite commune du département (3,5 km2), n'a jamais constitué un handicap. Au contraire : il se dégage de cet ensemble une unité remarquable. Ici, la pierre blonde, partout présente se marie harmonieusement avec la couleur foncée des toits. Le bourg comprend trois parties distinctes qui évoquent les temps forts de son histoire : l'ensemble seigneurial qui groupe les mottes féodales, vestiges du chateau et des fortifications primitives, et le chateau des ducs, ceint de douves en forme de fer à cheval ; l'ensemble religieux, qui compte les différents batiments des carmes et des augustins, aujourd'hui séparés par la route ; le village proprement dit, avec ses maisons si bien conservées.

    LA CHAPELLE DE L'ANCIEN COUVENT SAINT-AUGUSTIN  L'église du meme nom (XIVe siècle) est couronnée d'un étonnant campanille d'ardoise à  trois bulbes. Soigneusement restaurée, elle abrite entre autres de superbes stalles sculptées en chene clair (XVeS.) et un retable (XVIIeS.) qui comprend des scènes figurant l'Assomption et la Resurrection. Les richesses du lieu sont particulièrement mises en valeur par la lumière qui inonde le choueur en fin d'après-midi.

    A LA DECOUVERTE DE MORTEMART
    Partez des mottes féodales, vestiges du premier chateau. A droite face à l'imposant batiment de la séné-chaussée, s'ouvre la place du Chateau-des-Ducs, au fond de laquelle s'élève l'ancienne demeure des Mortemart. A gauche, la Place Royale abrite les anciennes halles. Poursuivez dans la rue afin de découvrir le couvent des carmes auquel fait face celui des augustins dont la chapelle est devenue l'église paroissiale. N'hésitez pas à flaner au gré de vos envies : vous n'avez aucun risque de vous perdre dans ce petit village de caractère..... 
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  • Vers toi, Seigneur, j'élève mon ame,
    vers toi, mon Dieu

    Seigneur, enseigne-moi tes voies,
    fais-moi connaitre ta route.
    Dirige-moi par ta vérité, enseigne-moi,
    car tu es le Dieu qui me sauve.

    Il est droit, il est bon, le Seigneur,
    lui qui montre aux pécheurs le chemin,
    Sa justice dirige les humbles,
    il enseigne aux humbles le chemin.

    Les voies du Seigneur sont amour et vérité
    pour qui veille à son alliance et à ses lois.
    A cause de ton nom, Seigneur,
    pardonne ma faute : elle est grande........
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  • Un des rapaces les plus communs. Typique par sa façon de gueter en vol ses proies : il s'immobilise dans l'air, les ailes ouvertes, vibrantes, la queue étalée en éventail, avant de se laisser tomber sur elles. C'est un oiseau roux, de petite taille, aux ailes pointues, la queue étroite est barrée de noir, la tete, les ailes et le croupion sont gris. La femelle est entiérement rousse, tachetée de marron. Il habite les espaces découverts ou peu boisés. Il niche dans un vieux nid de corneille ou d'autre oiseau, sur un arbre ou dans les rochers. Appel court et répété. Sédentaire. Longueur : 34 cm.....
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  • Situé à la limite des pays d'oc et d'oil, Mortemart compte à peine cent cinquante habitants. L'histoire du petit bourg a débuté au Xe siècle. Il est le fief de la famille de la marquise de Montespan, célèbre maitresse de Louis XIV.

    En 995, Abon Drut, seigneur de Mortemart, est autorisé à édifier un chateau, il est ainsi remercié pour avoir assuré la défense de la cité de Bellac contre le comte de Poitiers. Un bourg se développe rapidement autour de la forteresse primitive, en direction du nord. Cependant, comme de nombreux symboles du pouvoir féodal, elle est démantelée ainsi que ses fortifications au XVIIe siècle, sur les ordres du cardinal de Richelieu.

    UNE HISTOIRE SANS HISTOIRE
    Exception faite de cet épisode, l'histoire de Mortemart n'a pas été marquée par aucun événement dramatique. Le village est le fief de la famille de Rochechouart-Mortemart, dont l'une des plus fameuses représentantes fut Françoise Athénais de Rochechouart de Mortemart (1640-1707), marquise de Montespan, favorite , pendant plus d'une décénie, du roi Soleil à qui elle donna huit enfants. Une rumeur malveillante veut qu'elle ait pris part à des messes noires organisées dans le village.... Le nom du Cardinal Pierre Gauvain (XIVes.) éveque de Viviers puis d'Auxerre, natif du bourg, est également lié au passé de Mortemart : le religieux fut en effet à l'origine de la fondation du collège des augustins, de l'hotel dieu des  charmes et du monastère des chartreux, aujourd'hui disparu.

    LE COEUR BATTANT DU VILLAGE  Construites au XVII e siècle sur la place royale, face au chateau des ducs, les halles sont coiffées d'un toit à quatre pans recouvert de tuiles courbes, que supportent douze pilliers en bois. Témoignage de la grande activité marchande du bourg, elles reprennent vie aujourd'hui tous les dimanches matin en juillet et en aout, à l'occasion d'un marché fermier et artisanal, animé et coloré.  
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