• fat-cat1

     

     

     

     

     

     

     

    Voici celui qui a été content de me retrouver.

    Demain, je remettrai mes articles comme d'habitude.

    Merci, à tous ceux qui ont laissé des coms pendant mon absence.

    Bisous.

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  • rabac
    PLUS QUE QUELQUES HEURES ET NOUS PARTIRONS POUR 15 JOURS

    DANS CE PETIT COIN DE CROATIE OU IL FAIT BON VIVRE

    JE SERAI DE RETOUR LE 1er AVRIL

    BONS BAISERS A TOUS

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  • 682                                          POURQUOI ME CONFESSER

                  Il y a deux choses qui appartiennent à Dieu seul : lhonneur de recevoir la confession des péchés, et le pouvoir de remettre les péchés. Il nous revient, et de lui faire cette confession, et d'attendre de lui cette rémission.

                 A Dieu seul revient, en effet, de remettre les péchés, c'est donc à lui qu'il faut les confesser. Mais le Tout-Puissant et Très-Haut ayant pris une épouse faible et humble, il a fait de sa servante une reine, l'Eglise. Et de meme que tout ce qui est au Père et au Fils, et que ce qui est au Fils est au Père de par leur unité de nature, de meme l'Epoux a donné à l'épouse tout ce qui est à lui et il a assumé tout ce qui était à elle, faisant l'unité entre elle, lui et son Père.

                 Dès lors, l'Eglise ne peut rien pardonner sans le Christ, mais le Christ ne veut rien pardonner sans l'Eglise. L'Eglise ne peut rien pardonner sinon à celui qui fait pénitence, c'est-à-dire à celui que le Christ a d'abord touché, mais le Christ ne veut rien remettre à celui qui dédaigne l'Eglise : "Ce que Dieu a uni, que l'homme ne le sépare pas !"

                  Ne sépare donc pas la tete du corps, ce qui empecherait le Christ d'exister tout entier ; car jamais le Christr n'est entier sans l'Eglise, ni l'Eglise sans le Christ. Le Christ entier et complet, c'est la tete et le corps : c'est cet homme-là seulement qui remet les péchés.

    Extrait du Sermon XII écrit par Isaac de l'Etoile (1100-1178)

    D'une noble famille d'Angleterre, après des études à Chartres et à Paris, Isaac devient abbé du monastère cistercien de l'Etoile, en Poitou. Il y reçoit son ami Thomas Becket, archeveque de Cantorbéry, envoyé en exil par Henri II Plantagenet. Il sera à son tour exilé dans l'ile de Ré, où il finira sa vie dans l'austérité d'un nouveau monastère. Isaac est l'un des grands représentants de la théologie monastique du XIIe siècle, avant qu'elle ne s'panouisse dans les universités du siècle suivant.
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  • fraisier2Espèce très commune dans les haies et les clairières des bois où la plante se développe et se multiplie par des stolons (les coulants). Les feuilles sont à trois folioles en rosette, les fleurs blanches (d'avril à juin), donnent les petites fraises rouges, charnues, parsemées de graines brunes. La plante, ne dépasse pas 25cm. Cultivé; le fraisier est sélectionné ou hybridé avec d'autres espèces (rosacées)
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  • Bouligneux site 2004
    Depuis sa construction, au début du XIVe siècle, le chatreau de Bouligneux s'est transmis sans avoir jamais fait l'objet d'aucune vente. Le fait explique peut-etre que cette maison forte de la Dombes qui a conservé, extérieurement au moins, son aspect médiéval, n'ait jamais vu altérer son authenticité par des restaurations hasardeuses ou agressives.

    LE DEBUT D'UNE LONGUE HISTOIRE
    En 1290, Vaucher de Commarin, seigneur de Chateau-Villain, cède la terre de Bouligneux, qu'il possédait depuis une dizaine d'années, à Henri de Villars, seigneur de Trévoux et chamoine de l'église de Lyon. En 1306, cinq ans après sa mort, son neveu, Humbert V, sire de Thoire et de Villars, inféode Bouligneux à l'un de ses fidèles, le chevalier Girard de la Palud, seigneur de Varambon, de Richemont et de Tossiat, laissant au bénéficiaire le soin de batir une maison forte afin de contribuer à la défense des territoires que les Thoire-Villars tiennent entre la Saone et l'Ain. Girard de la Palud s'acquitta de la mission qui lui avait été confiée en entreprenant la construction d'un chateau que son  petit fils, Hugues de la Palud, mena à son terme.Bouligneux Grand angle 2 

    UNE MODESTE MAISON FORTE
    Baigné à l'origine sur quatre de ses faces par un étang, qui lui assure une défense naturelle, le chateau, défendu par un pont-levis, est posé sur une sorte de tertre. Ses murs, enserrant une cour intérieure, sont flanqués sur les cotés nord-est, nord-ouest et sud-est d'une tour carrée formant un angle à 45°, et, au sud-ouest d'une tour ronde qui commande l'entrée. L'ensemble, d'aspect sévère mais dépourvu d'éléments défensifs autres que ceux que lui procure sa structure, est appareillé en brique rouge, matériau traditionnel de la Dombes.
    boulig01 
    AU GOUT DU JOUR
    Au XVe siècle, François de la Palud, menacé par le duc de Savoie, alors son suzerain, d'une confiscation de ses biens pour cause de désobéissance, échange temporairement ses seigneuries de Bouligneux et de Varambon contre les domaines situés en Bourgogne. Cependant Bouligneux revient au La Palud grace à la dévotion de la seigneurie à un cadet à la suite de la branche ainée en 1581. La vieille demeure est peu à peu modernisée et pourvue d'éléments de confort. Entre les dernières années du XVIe siècle  et le début du siècle suivant, on plaque contre les courtines trois corps de batiments à un seul étage, éclairés par des fenetres à meneaux et croisillon, ainsi qu'un batiment à usage d'écurie. Le corps qui occupe le fond de la cour est doté au rez-de-chaussée d'une galerie sur portique ajourée d'arcades en plein cintre. Ces travaux sont poursuivis au XVIIe siècle avec la création, sur tout le pourtour du chateau d'une enceinte depuis transformée en terrasse de circulation, et par la construction, dans le batiment sud, d'un grand escalier. A cette époque, également, les pièces sont pourvues de belles cheminées de pierre.Bouligneux entree 

    DE FORT PAISIBLES SUCCESSIONS

    Le chateau passe par héritage à plusieurs seigneurs. A la Révolution, le chateau utilisé comme grenier à grains, par la municipalité de Bouligneux échappe à toute destruction d'envergure. On arase cependant ses tours, considérées comme des symboles féodaux, à la hauteur des murs du chateau, ce qui donne à la tour ronde notamment la curieuse toiture pentue qu'elle arbore aujourd'hui. 
    Depuis deux siècles, la seule modification d'envergure réalisée au chateau a été la suppression de la courtine ouest, afin d'ouvrir la cour sur l'extérieur, et le comblement de l'étang du coté de l'entrée.    
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  • 859e54bb649d922de44466ef3e127f9c                                      LE RETOUR DU FILS PRODIGUE

              Ce prodigue, si gravement coupable, n'avait pas encore confessé sa faute, mais il ne faisait qu'y réfléchir. Il n'avait pas encore payé sa faute, mais déjà il y pensait, et ce seul propos d'humilité qu'il est en train de former, lui vaut un pardon immédiat, ce pardon que l'on attend d'habitude si longtemps et à travers bien des supplications, qu'on implore avec des larmes et qu'on sollicite à force d'intances : eh bien, la confession aura suffi pour le larron crucifié, et pour le fils prodigue la seule volonté de confesser sa faute.

              La miséricorde de Dieu vient partout à notre rencontre : elle a inspiré la volonté de la confession , et elle a dispensé de confession celui qui était pret à le faire. "Tandis qu'il était encore loin, il courut vers lui, se jeta à son cou et l'embrassa". Ces paroles semblent montrer que le père était plus pressé de donner son pardon à son fils, que celui-ci ne l'était de la recevoir : se hatant de libérer le coupable du tourment de sa conscience, il semble que la compassion de sa miséricorde lui fut plus douloureuse que la passion du remords ne l'était au misérable.

              Il ne s'agit pas de preter nos sentiments humains à celui dont la nature est immuable, mais d'apprendre à adoucir nos sentiments par l'amour de sa bonté supreme, puisqu'elle nous aime plus que nous ne nous aimons nous-memes.

            Sermon II pour le Careme écrit par Guerric d'Igny (Mort en 1157)..

    Né vers 1087 à Tournai, Guerric apparait au moment des grandes réformes monastiques du XIIe siècle. Tenté par la vie érémitique, sa rencontre de Saint Bernard le placera définitivement dans le mouvement cistercien. Moine exemplaire, il sera le deuxième abbé de la fondation d'Igny, près de Reims. Ses 54 sermons, destinés au chapitre du monastère, montrent l'éducateur qu'il fut pour ses frères....  
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  • V2726Différentes espèces vivaces ont des tiges qui durent deux années. D'abord dressées, les tiges s'ibfléchissent et s'enracinent en terre, donnant un marcottage naturel qui explique les ronciers. Les forets humides abritent ces colonies qui donnent des fleurs blanches de juin à aout, puis des fruits noirs (les mures). Le fruit se détache avec le receptacle (rosacées).....
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  • heb-chateau-meyrarguesJuché au sommet d'un promontoire rocheux, le chateaux de Meyrargues domine la vallée de la Durance et le petit village qui porte son nom. Elevé au Moyen Age, cet édifice a conservé les structures et les imposants  volumes d'une forteresse, mais les transformations dont il a fait l'objet au XVIIe siècle lui ont conféré un visage plus aimable.
    chateau-copie-1

    AUX ORIGINES
    Site statégique commandant la vallée de la Durance Meyrargues abritait déjà un castrum à l'époque carolingienne. De cet édifice en bois, rien n'a subsisté. La construction du chateau actuel commence au XIe siècle, période où apparait également le village bati au pied du piton rocheux, le long de la rivière. Ainsi qu'en atteste une bulle pontificale datée de 1024 mentionnant l'existence de Hugues, seigneur des Baux et de Meyrargues, ce fief appartenait alors à la puissante famille provençale des Baux, sous la suzeraineté théorique de l'archeveque d'Aix. Elle en restera propriétaire jusqu'en 1291, date à laquelle Hugues III des Baux est contraint, pressé par ses créanciers, de vendre au comte de Provence ses seigneuries de Meyrargues et du Sambuc.
    LA SUZERAINETE DES COMTES DE PROVENCE
    Suzerains de Meyrargues, les comtes de Provence inféodent ponctuellement cette seigneurie, alors prospère, pour remercier leurs alliés et vassaux, si bien que la terre de Meyrargues change plusieurs fois de maitres entre 1291 et 1442. En 1442, le roi René en fait don à Artaluche d'AIagonia, gentilhomme napolitain qui l'avait soutenu pendant les guerres d'Italie.chateau2  

    LE TEMPS DES ALAGONIA

    Artaluche d'Alagonia, qui trouve la récompense bien maigre au regard de ses services, ignore que Meyrargues, restera la propriété de sa famille pendant deux siècles. Le chateau possède alors toutes les caractéristiques d'une forteresse médiévale. Il forme un imposant quadrilatère dont les murs épais de 2 m environ sont flanqués de tours massives et carrées directement assises sur le rocher. Contemporaines des guerres de religion, les dernières années du règne des Alagonia sur Meyrargues sont marquées par des événements dramatiques. A deux reprises en 1589 et 1594, le chateau et le village sont pillés et partiellement détruits par les troupes royalistes. En 1605, le seigneur Louis d'Alagonia est décapité à Paris pour avoir comploté contre Henri IV . Quelques années plus tard la branche des Alagonia s'éteint. Le chateau est légué à l'un de ses parents; Léon de Valbelle  , seigneur de Cadarachemeyrargues-5


    DIFFICULTES ET RECONSTRUCTION

    Les descendants de Léon de Valbelle resteront jusqu'à la Révolution en possession du chateau auquel ils donneront sa configuration actuelle. En 1650, l'édifice est détruit par les troupes du comte d'Alès pour punir l'engagement de Léon de Valbelle au coté des frondeurs. L'importante campagne de reconstruction qui est entreprise peu après modifie considérablement la physionnomie des batiments, qui conservent cependant une grande partie de leurs volumes initiaux. L'aile sud es abattue, ce qui donne au chateau une forme de fer à cheval. Désormais ouverte sur l'extérieur, la cour est précédée d'une vaste terrasse reliée aux jardins par un escalier bordé d'une rampe à balustres de pierre. La distribution des ailes latérales sont pourvues de plafonds à la française. Les Valbelle font percer de nombreuses ouvertures dans les murs. Après avoir connu plusieurs propriétaires, cette belle demeure provençale a, en 1952, transformée en hotel.......meyrargues

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  • robertbellarmin
                                         L'AVARICE EST UNE SOTTISE

              O incrédulité humaine ! Un homme menteur emprunte un capital, moyennant promesse de dix pour cent d'intéret : on le croit, Dieu, qui ne peut mentir, promet à celui qui donne l'aumone, un trésor dans le ciel, cent pour un, avec la vie éternelle ; et l'homme avare hésite, il ne sait se déterminer à faire crédit à Dieu, il préfère cacher son trésor là où les mites consument et où les voleurs dérobent, plutot que de les placer dans le ciel à l'abri des mites et des voleurs.

             Mais supposons-le : les voleurs ne dérobent plus, la teigne et les mites ne rongent pas. Ces biens si péniblement acquis, si laborieusement conservés, o malheureux, à qui appartiendront-ils ? Une chose est certaine : ils ne t'appartiendront plus ! Ils auraient pu t'appartenir, si, par les mains des pauvres, tu les avais transférées dans les trésors célestes. L'expérience montre que les biens accumulés par des avares passent à des héritiers prodigues, qui les gaspillent en moins de temps qu'il n'en fallut pour les accumuler. Et malgré cette expérience, le péché d'avarice continue à sévir, il continuera à sévir éternellement et le ver de la conscience ne mourra pas, et le feu de l'enfer ne s'éteindra pas.

             O mon ame ! laisse-toi instruire par la sottise d'autrui ! "Dans l'abondance meme, la vie d'un homme ne dépend pas des biens qu'il possède."    

    Extrait de "La montée de l'ame vers Dieu" écrit par Saint Robert Bellarmin (1542-1621)
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  • 033eglantier puceron4298L'églantier ou "rosier des chiens", est un arbrisseau buissonnant dont les branches sont munies d'aiguillons. Les feuilles alternes composées de 5 à 7 folioles sont garnies de 2 stipules à la base du pétiole. Les fleurs, blanches, roses ou rouges, sont grandes et très odorantes. Elles sont solitaires ou groupées en corymbes, ont 5 sépales, 5 pétales et de nombreuses étamines. Elles apparaissent de mai à juillet. Communs sur les coteaux et dans les bois; ces buissons atteignent 3 m de hauteur. Les fruits sont des akènes rouge vif (rosacées)...... 
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