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                                     LE GENIE DU CHRISTIANISME

  Avignon présente un paysage urbain grandiose : dominant la Cité et le Rhône, le Rocher des Doms offre un ensemble monumental exceptionnel constitué du Pont saint Bénezet, des Remparts, du Petit Palais, de la Cathédrale des Doms et des murailles impressionnantes flanquées des quatre tours gigantesques du Palais des Papes.
Cet ensemble architectural unique est classé par l’UNESCO : « patrimoine mondial de l’humanité ».

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le Palais des Papes est le symbole du rayonnement de l’église sur l’Occident Chrétien au XIVème siècle.
Edifié à partir de 1335, en moins de vingt années, il est l’œuvre principalement de deux papes bâtisseurs, Benoît XII et son successeur Clément VI.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le monument constitue le plus important palais gothique du monde, (15 000 m2 de plancher, soit en volume 4 cathédrales gothiques), et présente au visiteur plus de vingt lieux, théâtres d’événements au retentissement universel avec, notamment, les appartements privés du pape et leurs fabuleux décors de fresques exécutés par l’artiste italien Matteo Giovannetti.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le monument offre aussi au visiteur une animation culturelle régulière tout au long de l’année. Expositions thématiques et pédagogiques, visites à thèmes, concerts y sont organisés. Durant la saison estivale une grande exposition d’art occupe la Grande Chapelle, alors que les représentations du Festival d’Avignon, créé par Jean Vilar en 1947, se déroulent au mois de juillet dans la Cour d’Honneur du Palais.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le Palais des Papes accueille plus de 650 000 visiteurs par an. Il fait partie des 10 monuments les plus visités en France.

Ce groupe de papillons de taille petite ou moyenne a des ailes anguleuses et découpées.

Souvent les ailes postérieures sont ornées d'une petite queue. Parmi les espèces vivant en Europe, les mieux connues sont le gamma et le polygone egea.

Les chenilles brunâtres du gamma se trouvent de juin à août sur l'orme, le prunier, le groseillier et le prunellier. La chenille verdâtre du polygone egea vit sur les mêmes plantes et sur le noisetier à la même époque que la précédente. Les adultes des deux espèces volent durant l'été et survivent en hiver.......

Bénis le Seigneur, ô mon âme ; Seigneur mon Dieu, tu es si grand ! Revêtu de magnificence,
tu as pour manteau la lumière ! Comme une tenture, tu déploies les cieux,
Tu as donné son assise à la terre : qu'elle reste inébranlable au cours des temps.
Tu l'as vêtue de l'abîme des mers : les eaux couvraient même les montagnes ;
Dans les ravins tu fais jaillir des sources et l'eau chemine au creux des montagnes ;
les oiseaux séjournent près d'elle : dans le feuillage on entend leurs cris.
Quelle profusion dans tes œuvres, Seigneur ! Tout cela, ta sagesse l'a fait ; la terre s'emplit de tes biens.
Que les pécheurs disparaissent de la terre ! Que les impies n'existent plus ! Bénis le Seigneur, ô mon âme !

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La cathédrale de Durham (The Cathedral Church of Christ, Blessed Mary the Virgin and St Cuthbert of Durham, plus connue sous le nom de Durham Cathedral en anglais) est située dans la cité de Durham dans le comté de Durham, Angleterre et fut fondée en 1093.

Le siège ecclésiastique de Durham prend ses origines dans le diocèse de Lindisfarne fondé par Saint Aidan sur injonction de Oswald de Northumbrie vers l'an 635. Avec les invasions Vikings, les moines de Lindisfarne s'enfuirent avec les reliques de Saint Cuthbert qui furent entreposés, plus tard, en la cathédrale de Durham

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La cathédrale actuelle fut érigée par Guillaume de Saint-Calais, évêque de Durham. Cette cathédrale à une particularité: la voute de la nef est constituée d'arcs de style roman qui se croisent en diagonale (dit nervures). Auparavant, les arc romans ne se croisaient pas et "sautaient" de pilier en pilier. désormais les arcs se croisent entres quatre piliers disposés en carré. E.H. Gombrich fait dater cette technique architecturale de la construction de la cathédrale de Durham

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 Ce mode de conception de la voute est le trait d'union entre d'une part l'arc de style roman qui a dominé le XIe et le XIIe siècle, et d'autre part l'ogive de style gothique qui va dominer l'Église Catholique. Cette technique de croisement des arcs romans a révolutionnée l'architecture des églises qui se sont allégées, perdant peu à peu le caractère massif de leur façade de pierres au profit d'ouvertures plus nombreuses. L'art gothique continuera sur la même lancée.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

                     nous terminerons la visite de la cathédrale par l'intérieur de celle-ci...........

 

 

 

 

 

 

 

 

 

De tous nos papillons, les citrons sont certainement ceux qui apparaissent les premiers à la fin de l'hiver. Souvent on peut les voir voler dans nos jardins alors que rien n'annonce encore le printemps. Le mâle est jaune vif, tandis que la femelle est légèrement verdâtre. Ces papillons ont un vol assez lourd et se laissent facilement capturer à la main lorsqu'ils se posent, ailes repliées. Le citron de Provence diffère du citron commun par une grande tache orangée qui couvre une partie des ailes antérieures.....

Adolphe-Félix Cals est un peintre français, né à Paris le 17 octobre 1810 et décédé à Honfleur (Calvados) en octobre 1880.

Graveur de formation chez Anselin, il se dirigea vers la peinture dans l'atelier de Leon Cogniet. Ce dernier, peintre néoclassique, appréciait peu ce qu'on appellera les impressionnistes. Cals resta peu de temps dans ces relations tendues et quitta l'atelier. Il exposa régulièrement au salon à partir de 1835, des portraits et des paysages.

En 1863, il expose au Salon des refusés au côté des Monet, Degas, Pissarro. Le marchand de tableaux Pierre–Firmin Martin‎, dit "le père Martin" aimait bien sa peinture, Cals réalisa d'ailleurs des portraits de Martin et de sa femme actuellement au Musée Eugène Boudin. Alors commença une autre période de sa carrière. Influencé par Jean-Baptiste Camille Corot et Johan Barthold Jongkind, il travailla dans des tonalités plus grisées, moins fauves, se rapprochant davantage des impressionnistes sans toutefois adopter ce "mauve-violet dont certains peintres inondent leurs tableaux" faisait remarquer Victor Jannesson dans un ouvrage sur Cals daté de 1913.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Partagé entre Paris et Honfleur depuis 1871, il se décide enfin à s'installer , en 1873, dans ce port normand où séjournaient de nombreux peintres. Ami de Jongking, il fréquente les peintres pensionnaires de la ferme Saint Siméon et peint même la ferme sur le motif.

Installé avec sa fille à Honfleur pendant les dix dernières années de sa vie, Cals peint alors le port, la mer et les métiers de la mer, une peinture grave, forte et très humaine. L'âme des modèles transparaît dans ses portraits d'une sensibilité extrême. A l'invitation de Monet il participe à la première exposition des impressionnistes en 1874 puis 1876, jusqu'en 1881.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Il était le plus âgé de cette nouvelle génération de peintres, et certains le considèrent depuis quelques décennies comme le véritable inventeur de l'impressionnisme ceci parce qu'il restituait la lumière grâce à de petites touches grises semblables à de la rosée. Il constituerait ainsi le chaînon manquant entre Corot et l'impressionnisme éclatant.

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L'église de Boyana (translitération internationale Bojana) est située à la périphérie de Sofia en Bulgarie, dans le quartier de Bojana, au pied du mont Vitocha.

Elle se compose de trois bâtiments, dont le premier est l'église de l'Est, construite au X^e siècle.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 Cette première église a été agrandie au milieu du XIII^e siècle à la demande du sébastocrator Kalojan, le gouverneur de Sofia, qui fit construire le second bâtiment, haut de deux étages, à côté de l'ancien. La troisième église a été édifiée au début du XIX^e siècle. C'est ici que fut enterrée la reine Éléonore de Bulgarie (1860-1917), dont les restes furent dispersés par les communistes, avant d'y retrouver leur place.

 

L'UNESCO considère ces monuments comme « les plus parfaits et les mieux conservés de l'art médiéval d'Europe de l'Est », et ses fresques, réalisées en 1259, comme « l'une des plus importantes collections de peintures médiévales »^[1].

Elle a été inscrite en 1979 sur la liste du patrimoine mondial.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

C'est sur ces fresques que nous terminerons la visite de BOYANA......

Dès sa plus jeune enfance Daniel Lallemand se passionne pour la peinture.

Petit il surpasse ses camarades de classe en cours de dessin, adolescent il profite de visites familiales pour observer des heures durant les peintres authentiques de la Butte Montmartre des années 60, enfin, devenu adulte, il peint pour le plaisir d'offrir à sa famille et à ses amis.

C'est en 1995, qu'au hasard d'un déplacement professionnel il s'installe à Honfleur.
Il y redécouvre, sur le vieux port, le plaisir de coucher ses émotions sur la toile et, à son plus grand étonnement, commence à vendre ses œuvres.

Dès lors, ce figuratif aux tendances impressionnistes ne se lasse plus de revisiter sa ville d'adoption dont il capte les contrastes irisés au rythme des changements de lumières se reflétant sur le vieux bassin, comme le faisaient en leur temps Cals, Monet ou Boudin.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La candeur de ses huiles sonne juste sans doute parce que le plaisir est toujours le même : celui de retrouver, par l'utilisation des mêmes techniques, le plaisir originel que pouvaient ressentir ces grands noms de l'art.

Comme eux, en dehors de Honfleur, il puise ses inspirations: à Etretat, dans les jardins de Giverny mais aussi en Provence sur la côte de l'Esterel ou dans la région d'Antibes et, depuis peu, dans les îles des petites Antilles.

Il en revient des souvenirs plein les pinceaux pour mieux retrouver et explorer la mythique Honfleur qu'il sublime par des notes de couleurs chaleureuses et harmonieuses.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L'eau est un fil conducteur, pour cet artiste passionné de pêche et de nature. Le rendu de ses reflets lui permet de se balader du figuratif à l'impressionnisme et de tendre vers des inspirations plus abstraites.

Il travaille au couteau les étangs, ports, côtes ou plages en tentant toujours d'en saisir les moindres ondulations.

Mais son plus grand plaisir reste de lire les émotions dans les yeux de son public dont le jugement est primordial :

" j'ai besoin de la sanction du public, elle m'aide à conserver une certaine humilité face à mon travail, car rien n'est jamais acquis ".

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

C'est dans cette boutique située à Honfleur que vous pourrez acheter une de ses toiles............