• predication 50
    Le Seigneur est mon berger : je ne manque de rien.
    Sur des prés d'herbe fraîche, il me fait reposer. Il me mène vers les eaux tranquilles
    et me fait revivre ; il me conduit par le juste chemin pour l'honneur de son nom.
    Si je traverse les ravins de la mort, je ne crains aucun mal, car tu es avec moi : ton bâton me guide et me rassure.
    Tu prépares la table pour moi devant mes ennemis ; tu répands le parfum sur ma tête, ma coupe est débordante.
    Grâce et bonheur m'accompagnent tous les jours de ma vie ; j'habiterai la maison du Seigneur pour la durée de mes jours.

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  • suzon-amont.jpgEncore un printemps

    Encore un printemps, - encore une goutte de rosée, qui
    se bercera un moment dans mon calice amer, et qui s'en
    échappera comme une larme !

    Ô ma jeunesse, tes joies ont été glacées par les baisers
    du temps, mais tes douleurs ont survécu au temps qu'elles
    ont étouffé sur leur sein.

    Et vous qui avez parfilé la soie de ma vie, ô femmes !
    s'il y a eu dans mon roman d'amour quelqu'un de trompeur,
    ce n'est pas moi, quelqu'un de trompé, ce n'est pas vous !

    Ô printemps ! petit oiseau de passage, notre hôte d'une
    saison qui chante mélancoliquement dans le coeur du poète
    et dans la ramée du chêne !

    Encore un printemps, - encore un rayon du soleil de mai
    au front du jeune poète, parmi le monde, au front du
    vieux chêne, parmi les bois !

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  • sa0034-jerusalem1

                                   LA TERRE SACRALISEE

    Ville sainte du judaïsme, du christianisme et de l'islam, Jérusalem a toujours eu une valeur symbolique. Parmi ses 220 monuments historiques, se détache le formidable Dôme du Rocher, construit au VIIe siècle et décoré de beaux motifs géométriques et floraux. Il est reconnu par les trois religions comme le lieu du sacrifice d'Abraham. Le mur des Lamentations sert de limite aux quartiers des différentes communautés religieuses, tandis que la Rotonde de la Résurrection abrite le tombeau du Christ.

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     Jérusalem a été directement associée à l'histoire des trois grandes religions monothéistes - le judaïsme, le christianisme et l'islam. Le site, habité sans interruption depuis la préhistoire, présente une série de témoignages exceptionnels de civilisations disparues. Les grands monuments de la ville ont exercé une influence considérable sur le développement de l'architecture religieuse chrétienne et musulmane.

    En tant que ville sainte pour ces trois religions, Jérusalem a toujours présenté une grande importance symbolique. Les premiers témoignages de la présence de l'homme dans cette zone remontent à la fin du chalcolithique et au début de l'âge du bronze (3000 av. J.-C.). Les fouilles archéologiques ont montré qu'il existait une ville au sud du mont Moriah, ou mont du Temple. Vers 1000 av. J.-C., David, fondateur du royaume d'Israël et de Juda, renomma sa ville Jérusalem, ce qui signifie la « ville de la Paix » en hébreu, et choisit le mont Moriah pour y construire son temple.

    Le premier temple des juifs a été édifié au cours du règne du fils de David, Salomon. La construction du temple prit sept ans, et il fut terminé en 957 av. J.-C. En 587 av. J.-C., Nabuchodonosor II de Babylone détruisit le temple et contraignit les juifs à l'exil. Lorsque le roi de Perse Cyrus conquit Babylone, il autorisa les juifs à revenir à Jérusalem, et le deuxième temple fut achevé en 515 av. J.-C. Sous la domination romaine, Hérode le Grand rebâtit et agrandit le deuxième temple et créa le célèbre Mur oriental (ou Mur des lamentations), qui était une partie des substructions du nouvel édifice sacré, qui fut lui-même détruit en 70 apr. J.-C.

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     jerusalem

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    La glorification chrétienne de Jérusalem se poursuivit jusqu'en 614, année durant laquelle les Perses envahirent la ville, massacrèrent ses habitants et détruisirent beaucoup de ses églises et de ses monastères. Après quelque temps passé sous la domination perse, Jérusalem fut prise en 638 par le calife Omar, qui construisit sur le mont du Temple une petite mosquée, et consacra le site au culte musulman. Non loin de là, les conquérants arabes entreprirent la construction du Dôme du Rocher, pour proclamer la suprématie de l'islam et pour s'assurer que ses nouveaux adeptes ne soient pas tentés par le christianisme. Ce vaste monument a été construit par Abd al-Malik, le neuvième calife, entre 687 et 691 ; ce n'était pas une mosquée vouée au culte public, mais plutôt un mashhad, un sanctuaire destiné aux pèlerins. Celle-ci achevée, de nouveaux travaux commencèrent sur le site de l'ancienne mosquée en bois du temps d'Omar, pour la construction d'une vaste mosquée congrégationnelle qui pouvait accueillir plus de 5 000 fidèles. Tandis que le Dôme du Rocher avait été construit comme une mosquée commémorant le voyage nocturne du Prophète, l'édifice connu sous le nom de mosquée Al-Aqsa est devenu un centre de culte et d'enseignement, attirant de grands maîtres venus du monde entier. Il fut modifié à différentes reprises pour le protéger des tremblements de terre et l'adapter aux nouveaux besoins de la population locale. L'aspect de l'édifice actuel est demeuré à peu près le même depuis sa reconstruction par le calife Al-Dhahir en 1033.

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    Cette époque de coexistence paisible s'acheva en 969, lorsque le contrôle de la ville passa aux califes fatimides d'Égypte, qui détruisirent systématiquement toutes les synagogues et toutes les églises. L'interdiction du pèlerinage chrétien fut à l'origine des croisades, qui culminèrent par la prise de Jérusalem en 1099. Sous la domination chrétienne, le Dôme du Rocher fut converti en une église chrétienne (templum Domini), l'église du Saint-Sépulcre reconstruite, et l'on fonda des hospices et des monastères. La ville, reprise par les musulmans en 1187, fut ensuite gouvernée par les Turcs jusqu'au XIXe siècle. Les juifs y revinrent à partir du XIIIe siècle, et Jérusalem est devenue officiellement en 1980 la capitale de l'État d'Israël.

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  • Notre-pere-jesusC'est tellement humain, naturel, voire légitime dans certains cas de vouloir se venger, n'est-ce pas ? Ceux qui vous diront le contraire sont de religieux hypocrites ! Votre nature réagit face à l'injustice, la blessure, la souffrance, l'insulte, l'outrage, comme par automatisme, en envisageant immédiatement la vengeance comme moyen de faire payer à l'autre. Qui n'y a jamais pensé ? Il ne s'agit même pas d'un acte réfléchi, du moins dans un premier temps, mais juste d'un réflexe.

    Ne cherchez pas à aider Dieu dans ce domaine-là, laissez-le faire !

    Cette première étape franchie, deux solutions s'offrent à vous :

    Soit vous entretenez, préparez, organisez, calculez votre vengeance et devenez adepte de la fameuse formule : "La vengeance est un plat qui se mange froid !" Soit vous décidez d'abandonner immédiatement ce sentiment-là et de croire ce que Dieu disait par la bouche de Moïse. Ce qui n'empêche à la tentation d'être là : ce serait si facile de nuire à l'autre et il serait tellement simple de vous en occuper vous-même, maintenant. Afin d'éviter de commettre des erreurs que vous pourriez regretter, rappelez-vous que la colère est très mauvaise conseillère ! Il va vous falloir résister avec l'aide de votre Dieu, pour ne pas succomber et finalement laisser libre cours à vos instincts vengeurs. C'est tellement difficile à croire que là, maintenant, Dieu va s'occuper de vous venger, si vous décidez d'y renoncer. Et pourtant, les choses se déroulent toujours ainsi !

    La vengeance de Dieu, celle qu'il saura manifester à votre place, si vous renoncez à la vôtre et même si vous comprenez l'importance de prier pour celui ou celle qui vous a insulté, blessé, sali, déshonoré, sera de toute manière toujours meilleure que votre petite vengeance humaine, faite de haine et de colère. Dieu pèse les cœurs et il sait ce qu'il faut faire ! Sa vengeance à lui sera votre justification à vous. Ne cherchez pas à aider Dieu dans ce domaine-là, laissez-le faire !

    Enfin, laissez-vous dégager par l'action du Saint-Esprit dans votre vie, de ce sentiment-là ; refusez-le franchement avec autorité, vous n'en serez pas moins fort, mais tellement plus noble.

    Une décision pour aujourd'hui

    Seigneur, je décide de renoncer à ma vengeance, à mes plans, à mes calculs. Je dépose tout cela au trône de la grâce et je te demande de m'aider à dépasser la pression de mes sentiments pour te laisser agir au mieux. Je te fais confiance. Au nom de Jésus. Amen.

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  • Nikko Yomeimon M3135

                                          LA TERRE SACRALISEE

     

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    Gojûnotô
    Pagode à cinq étages
    entre 1650 et 1818
    Offerte par un seigneur féodal (daimyo), cette pagode de quatre étage sera reconstruite en 1815, après un incendie. Chaque étage représente, dans l'ordre ascendant, un élément (la terre, l'eau, le feu, le vent et le ciel).
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    Shinkyo
    Pont des Serpents
    1636
    Le célèbre Pont des Serpents traverse la Daiya et marque l'entrée du centre historique de Nikko. Il se situe à l'endroit où Shodo Shonin traversa la rivière sur le dos de deux serpents, selon la légende.

    Les sanctuaires et temples de Nikko forment un ensemble d'édifices religieux, témoins d'une tradition séculaire, dans un cadre naturel exceptionnel. Depuis des siècles, il constitue un lieu sacré et, aujourd'hui encore, connaît une pratique religieuse régulière. Le site évoque aussi des heures glorieuses de l'histoire du Japon, en particulier autour de la figure emblématique du grand shogun Tokugawa Ieyasu.

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    Nikko shinkyusha

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    Le caractère singulier des sanctuaires et temples de Nikko tient à la conjonction de valeurs très fortes : une longue tradition cultuelle, un très haut niveau de réalisation artistique, une alliance saisissante entre l'architecture et l'aménagement du cadre naturel, un lieu de mémoire national. Ils sont étroitement liés à la mémoire des shoguns Tokugawa. D'autres sites peuvent refléter telle ou telle de ces valeurs, mais cette conjonction fait de Nikko un "bien culturel" exceptionnel.
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    Les sanctuaires et temples de Nikko représentent autant de chef d'oeuvres dus au génie des premiers architectes japonais. Les deux mausolées - le Tôshôgû et le Taiyû-in Reibyô - sont une illustration parfaite du style architectural connu comme "Gongen-zukuri", forme la plus aboutie de l'architecture religieuse de l'époque. Ce style devait exercer une grande influence sur les bâtisseurs de sanctuaires et de mausolées des générations suivantes.

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    Nikko - Tokugawa shrine detail

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Le gouvernement Meiji décidera, en 1871, de répartir le site et les édifices religieux qui relevaient d'une seule entité religieuse, en trois ensembles, confiés à trois organisations religieuses distinctes : Futarasan -jinja et Tôshôgu au culte shintoïste, et Rinnô-ji au culte bouddhiste. Cette réorganisation entraînera le déplacement et la restauration de certains édifices. Le caractère sacré et prestigieux du site garantira la sauvegarde de Nikko qui, dès 1897, sera placé sous une protection légale renforcée ensuite à plusieurs reprises.

    Nikko, Tochigi, circa 1860-1900

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                                     Cette visite des temples de Nikko au Japon est terminée.....

     

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  • 992-albert-marquet-la-frette-b.jpg

    Albert Marquet (ou Pierre-Albert Marquet) est un peintre français né à Bordeaux le 27 mars 1875, décédé à Paris le 14 juin 1947 et inhumé à La Frette-sur-Seine.

    Albert Marquet ne s'est jamais laissé enfermer dans aucun mouvement.

    Il fut un maître du paysage au regard sensible. Ami de Matisse et de Derain, il a conservé, de sa période fauve, le sens de la couleur et de la lumière. Il a peint Paris et ses environs, les ponts de la Seine, les rues illuminées la nuit, Paris sous la neige ou sous un soleil de plomb. Il fait partie de la génération du post-impressionnisme. C'est ainsi qu'il participe en 1905 à l'exposition des "Fauves" qui fait scandale par une vision brutale des formes et des couleurs. Il abandonne plus tard cette manière pour la recherche d'une harmonie tonale. Un de ses sujets favoris est la représentation de la Seine et des quais

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    albert marquet - vue du pont neuf petit bras - 1909

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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    Il est surtout célèbre comme paysagiste, et à partir de 1919 il voyage beaucoup, notamment en Tunisie et Algérie, en compagnie de Jean Launois et Etienne Bouchaud. Dans les intervalles de ses voyages, il fréquente les berges de la Seine pour lesquelles il conçoit une sorte de prédilection. De 1919 à 1939 il séjournera, entre autres, à Poissy, Triel et Méricourt et y peindra des paysages de la Seine.

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    Au début de 1939 il s'établit à La Frette-sur-Seine. C'est là qu'il peindra sa femme en train de coudre (Intérieur à la Frette) et son ami Desnoyer en train de peindre (l'Atelier de la Frette).

    Un extrait des souvenirs de son épouse Marcelle Marquet qui évoque les moments de bonheur paisible passés par le peintre dans leur maison de La Frette : C'est peut être dans cette modeste maison de la Frette qu'Albert se sentait le plus chez lui. Son atelier bien isolé dans le grenier dominait une boucle de la Seine, son fleuve. (...) Albert s'y sentait à l'aise et comme à l'abri. Desnoyer travaillait dans son coin d'atelier, il ne se gênaient ni l'un ni l'autre.).

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    Désireux de fuir l'invasion allemande, il se réfugie en Algérie, où il va vivre jusqu'à la fin de la guerre. En 1945, il regagne Paris, et La Frette-sur-Seine, où son corps repose, dans le cimetière communal.

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    le chevalet - Alger - 1942 - Albert Marquet

     

     

     

     

    Les deux dernières toiles représentent l'Algérie.

     

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  • saint-francois-d-assise-7791677.jpegSaint François d'Assise (1182-1226), fondateur des Frères mineurs

    « Ni pièces de monnaie dans leur ceinture »



          Le Seigneur ordonne dans l'Évangile : Gardez-vous soigneusement de tout attachement mauvais ; évitez soigneusement les préoccupations de ce monde et les soucis matériels (cf Mt 6,25). C'est pourquoi aucun frère, qu'il demeure dans une résidence ou qu'il soit en voyage, ne doit en aucune manière accepter lui-même ou faire recueillir pour son compte ni pièces d'or ni menue monnaie, et cela ni pour acheter des vêtements ou des livres, ni en guise de salaire pour aucun travail, ni sous aucun prétexte, sauf cas de nécessité évidente pour les frères malades. Car l'or et la monnaie, nous ne devons pas les considérer comme plus utiles ou précieux que les cailloux. Le diable s'emploie à aveugler ceux qui convoitent l'argent ou qui lui accordent plus de valeur qu'à des cailloux. Nous qui avons tout quitté, n'allons donc pas perdre pour si peu le Royaume des cieux (Mc 10,24.28). S'il nous arrive de trouver quelque part des pièces de monnaie, n'y faisons pas plus attention qu'à la poussière que nous foulons aux pieds : car cela est vanité des vanités, et tout est vanité (Eccl 1,2)...

          Tous les frères s'appliqueront à suivre l'humilité et la pauvreté de notre Seigneur Jésus Christ... Ils doivent se réjouir quand ils se trouvent parmi des gens de basse condition et méprisés, des pauvres et des infirmes, des malades et des lépreux, et des mendiants des rues. Lorsqu'il le faudra, ils iront quêter en nature. Qu'ils n'aient point honte : qu'ils se rappellent plutôt que notre Seigneur Jésus Christ, le Fils du Dieu vivant tout puissant..., a été pauvre et sans abri, qu'il a vécu d'aumônes, lui, et la bienheureuse Vierge, et ses disciples.

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  • PRINTEMPS                          35513c__est_le_printemps.jpg


    Voici donc les longs jours, lumière, amour, délire !
    Voici le printemps ! mars, avril au doux sourire,
    Mai fleuri, juin brûlant, tous les beaux mois amis !
    Les peupliers, au bord des fleuves endormis,
    Se courbent mollement comme de grandes palmes ;
    L’oiseau palpite au fond des bois tièdes et calmes ;
    Il semble que tout rit, et que les arbres verts
    Sont joyeux d’être ensemble et se disent des vers.
    Le jour naît couronné d’une aube fraîche et tendre ;
    Le soir est plein d’amour ; la nuit, on croit entendre,
    A travers l’ombre immense et sous le ciel béni,
    Quelque chose d’heureux chanter dans l’infini.

    Victor Hugo, Toute la lyre

    ibxkec

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  • srilanka40

                                      LA TERRE SACRALISEE

    Aux portes de la région montagneuse, KANDY fut la dernière capitale du royaume, accueillant au XVIe s. la fameuse relique de la Dent de Bouddha dans un temple à la sobre élégance, le Dalada Maligawa. Il constitue, avec les Devala, les sanctuaires des quatre dieux gardiens de la relique, un ensemble sacré que l’Unesco a inscrit au Patrimoine de l’Humanité en 1988.

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    Dans la jolie campagne environnante, les fondations religieuses se comptent par dizaines. Le Kataragama Devale conserve une forêt de colonnes en bois merveilleusement sculptées. Le Lankatilaka Viharaya domine les rizières depuis un épaulement de granit. Degaldoruwa est une chapelle ornée de peintures, glissée sous un bloc de granit. Le Gadaladeniya Viharaya abrite de belles sculptures.

     

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     Le temple de la Dent du Bouddha Le temple se compose d'un ensemble de bâtiments à l'intérieur d'une enceinte. Il a fait l’objet d’une restauration après l’attentat meurtier qui eut lieu le 25 janvier 1998.

     Tout s'articule autour de la salle de l'Image, un tabernacle contenant le reliquaire de la Dent orné au rez-de-chaussée de peintures et de fresques.
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    Le reliquaire est exposé au 1er étage dans la chambre sacrée

     Les cérémonies sont annoncées par des roulements de tambours. Les portes en argent de la chambre, encadrées de défenses d’éléphants, sont ouvertes, afin que les fidèles y déposent leurs offrandes. Derrière une grille dorée, le dagoba en or repose sur une table en argent et se compose de six autres coffrets d'or également en forme de dagobas s'emboîtant les uns dans les autres et dont la richesse augmente à mesure que le format diminue. Il n’est pas possible de voir la Dent, qui est bien dissimulé

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      Chaque été au mois d'août a lieu la fête de la Perahera qui voit un défilé d'éléphants et de flambeaux. La relique de la dent de Bouddha, enfermée dans une châsse installée sur le plus âgé des éléphants du Perahera (« procession » en cingalais), est promenée dans les rues de la ville à cette occasion. Le spectacle rassemble un grand nombre de srilankais ainsi que de touristes. Dix nuits durant, des éléphants escortent la relique de la dent de Bouddha dans les rues de la ville. Le soir de la pleine Lune, la fête atteint son apogée : jusqu'à cent éléphants défilent à la fois.

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    Voici que la visite s'achève sur le défilé des éléphants.

     

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  • 188

    Très jeune Charles Camoin perd son père et c'est donc sa mère qui l'inscrit à l'Ecole des Beaux-Arts de Paris où il se lie d'une indéfectible amitié avec Henri Matisse et Albert Marquet.

    Son enfance et son adolescence Charles Camoin les passe entre Paris, Nice, Cannes et Marseille, villes du sud qui exercent sur lui une irresistible attirance. Pendant son service militaire muté à Aix-en-Provence, le jeune homme provoque une rencontre avec Cezanne avec lequel il échangera une correspondance jusqu'à sa mort.

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    4.+La+place+des+Lices+Charles+Camoin.+1939

     

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    Depuis 1903 Charles Camoin expose aux Indépendants, puis au salon d'Automne, notamment celui de 1905 où éclate le "fauvisme". Tôt connu Charles Camoin abandonne le fauvisme pour une peinture plus douce et se tient à l'écart des grands mouvements intellectuels et artistiques de son époque, dadaïsme, cubisme.

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    Après la coupure due à la Première Guerre Mondiale et après son mariage en 1920, Charles Camoin partage sa vie entre Paris et Saint-Tropez, dont il aime peindre le port simplifiant les contours et jouant avec la lumière.

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    Charles Camoin meurt à Paris à l'age de 86 ans mais il est inhumé sous les cieux de sa ville natale , Marseille........ photo-1979793-M

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