Les hautes Vosges offrent l'alternance de leurs grandes forêts ombreuses, toutes de majesté sereine, de leurs vallées accueillantes et discrètes, de leurs rivières encaissées et de leurs sommets dénudés, domaine des chaumes.

 

ELOYES

3 km en auto et 30 mn de marche sont nécessaires pour gagner, aisément, la Tête des Cuveaux (783m) d'où l'on découvre un vaste panorama sur la vallée de la Moselle et les Vosges centrales.

 

REMIREMONT

 

Que l'on atteint en suivant la vallée encaissée de la Moselle, est une ville pittoresque dont l'Avenue Charles de Gaulle est bordée de maisons à arcades. Dans l'église Saint-Pierre, à côté de l'ancien palais abbatial (XVIIIe siècle), on peut admirer une statue reliquaire en bois du XIe siècle de la Vierge du Trésor.

 

 

LA BRESSE

 

Située au confluent des deux branches de la Moselotte, cette petite ville fut presque entièrement détruite à l'automne de 1944. Reconstruite depuis lors, elle est dotée d'une nouvelle église dont les vitraux sont dus au maître-verrier Loire. Dans les environs, au delà des forêts de sapins et de hêtres, sur les hauteurs, on trouve encore des mercaireries, fromageries spécialisées dans la fabrication du "munster géromé". Selon la tradition, pendant la belle saison, les marcaires montent avec leurs troupeaux vers les hauts pâturages (chaumes), où, dans leur mercairerie, ils fabriquent le géromé à partir du lait entier de vache.

 

 

GERADMER

 

"La Perle des Vosges" doit sa renommée à son site magnifique. Assise à 600 m d'altitude, à l'extrémité orientale du lac, la ville est entourée de monts boisés de sapins, d'épicéas et de hêtres, petite partie de l'immense forêt vosgienne. Le tour du lac (6 km) permet de contempler le site sous plusieurs aspects : notamment du belvédère Charles-Dufour, à la Tête de Mérelle (984m), vaste panorama sur le lac.

 

 

GRANDE CASCADE DU TENDON

 

Accès par un sentier à gauche, 2 km après le col de Bonne Fontaine. Elle est formée par le Scouet, qui tombe de 35 m de haut, en trois bonds successifs.

 

Texte extrait du livre : La France des Routes Tranquilles.

 

 

Le peintre Vladimir Volegov est né à Chabarowsk en Russie. Il commence à peindre très jeune et son talent s'épanouit dès l'adolescence. Dans l'ancienne Union Soviétique, il fréquente l'école d'art Krivoj Rog et l'Institut polygraphique Lvov.

 

 

 En 1984, Vladimir Volegov est primé au Concours international d'affiches d'art. Il s'installe à Moscou en 1988 et sa carrière s'oriente vers la conception d'affiches et de pochettes de disques pour des groupes musicaux. Simultanément, il continue à peindre et à participer à des expositions.

 

 

En 1990, Vladimir Volegov commence à voyager en Europe. Il gagne sa vie en peignant des portraits dans les rues des villes européennes et en particulier Barcelone, Berlin et Vienne. Il affine ainsi son expérience du portrait et devient rapidement un peintre recherché.

 

Son style figuratif, presque photographique, le fait exceller dans la représentation de jeunes femmes fines, élégantes sur fond de décor naturel (jardins, arbres, bord de mer). Mais il représente également des enfants et des animaux.

 

 

 Le traitement des couleurs est exceptionnellement riche et la luminosité intense. Il s'en dégage à la fois une impression de sérénité et de sensualité. Les muses du peintre sont rêveuses, raffinées et semblent en situation d'attente. Il y a quelque chose de proustien chez Volegov.

 

 

 

Avoir son coeur

"Oui, Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils, son unique, pour que tous ceux qui placent leur confiance en lui échappent à la perdition et qu'ils aient la vie éternelle. En effet, Dieu a envoyé son Fils dans le monde non pas pour condamner le monde, mais pour qu'il soit sauvé par lui.
Dieu a toujours ouvert son cœur face au chaos. Son remède, c'est une personne qui a le cœur visité par son Esprit et son amour, qualifiée pour toucher les autres de sa part. Ce genre de personne sort de sa présence avec une caractéristique simple et profonde : le cœur de Dieu pour sa génération!

Dieu ne révèle pas son cœur à des gens qui se tiennent loin de lui, mais à ceux qui répondent à l'appel de s'approcher de lui!
"Heureux celui que tu choisis et que tu fais approcher de toi pour qu'il habite dans tes parvis!"

 Dieu recherche de telles personnes, dont les cœurs sont en communion intime avec son Esprit, qui reçoivent un appel divin et dont les âmes sont remplies d'une sincère compassion. Par cette communion, elles commencent à marcher et œuvrer avec une véritable autorité spirituelle.

 Lorsque Moïse est devenu leader d'Israël, il s'est retrouvé surchargé de travail. Le peuple dont il avait la responsabilité était très nombreux : entre 2 et 4 millions et du matin au soir, il devait juger et s'occuper de tous leurs problèmes. Dans Exode , Jethro, plein de sagesse, lui dit clairement que sa priorité était de passer du temps dans la Présence de Dieu, de lui porter leurs requêtes, de communiquer au peuple des enseignements bibliques mais de déléguer les autres tâches (dont la relation d'aide) à d'autres hommes de qualité, fidèles et zélés !

 Moïse est un exemple à suivre alors que nous décidons de connaître le cœur de Dieu, non seulement pour nos vies, mais aussi pour ceux qui nous entourent et pour notre belle nation ! Les versets ci-dessous parlent de la communion qu'il entretenait avec son Seigneur.

 "L'Eternel était descendu sur le sommet du mont Sinaï, et il appela Moïse. Moïse y monta."

 "Le peuple restait à distance, Moïse seul s'approcha de l'épaisse nuée dans laquelle Dieu se tenait."

 Dieu ne révèle pas son cœur à des gens qui se tiennent loin de lui, mais à ceux qui répondent à l'appel de s'approcher de lui! Son cœur est dans le cœur de ceux qui aiment sa présence par dessus-tout ! Dieu leur dit : "Je vais te confier plus d'onction ! Je vais te révéler mes secrets et te montrer la marche à suivre pour que le maximum parvienne à ma connaissance... Tu as su répondre à ma passion par la passion !"

 

Une prière pour aujourd'hui

 Seigneur, je viens à toi pour te demander de me faire connaître ton cœur. Je veux répondre à ta passion par la passion. Aujourd'hui, je prends la décision de revoir mes priorités et mon agenda afin que tu sois véritablement le centre de ma vie pour que je puisse accomplir tes plans. Amen.
 
Eric Célérier

 

Le fort de Mont-Alban, ouvrage défensif édifié au XVIe siècle par les ducs de Savoie constitue un exceptionnel belvédère qui permet d'admirer la Côte d'Azur depuis la frontière italienne jusqu'au massif de l'Esterel, avec la rade de Villefranche à ses pieds.

 

- La Préhistoire -

Les traces les plus lointaines de la présence humaine sur la Côte d'Azur remontent au moins à 400 000 ans avant J.C. Aujourd'hui encore, le musée Terra Amata, dont les fouilles actives permettent de retrouver, sous les pieds des Niçois, des silex taillés et des fragments d'os transformés en accessoires de chasse par nos lointains ancêtres, nous révèle, comme un livre ouvert, les secrets des civilisations disparues.

 

 

 

Les premiers Phéniciens s'y installent environ 800 ans avant notre ère. Vivant de la chasse et de la pêche, ils ouvrent les premiers comptoirs marchands à Menton, Monaco, Villefranche, Nice, Antibes, Fréjus, Toulon.

 

 

C'est à eux que nous devons l'introduction de la vigne et de l'olivier,  " les deux mamelles de la Provence ".

 

 

Les Grecs colonisent le littoral autour de deux grandes cités antiques, Massilia (Marseille) et Nikaia (Nice), mais sans disputer leur territoire aux peuplades à demi-sauvages de l'intérieur, les Nérusis, les Védiantis, les Oratelis, les Décéates et surtout les Ligures, qui descendent fréquemment des montagnes toutes proches pour piller les comptoirs de la Côte.

 

 

Quelques gracieuses colonnes témoignent encore de l'opulence de la ville romaine de Cemenelum dont on distingue encore au sol les emplacements du théâtre, des thermes, du champ de courses.

 

Texte extrait du livre : CÔTE D'AZUR

 

 

 

SETCREASEA

Le genre " Setcreasea "- purpurea - vient d'être redéfini par les botanistes : certaines formes qui lui étaient attribuées se trouvent maintenant dans le genre " Callisia ".
 La seule espèce cultivée à l'intérieur présente des tiges rampantes à extrémité dressée et des feuilles de 10 à 15 cm de long sur 2,5 cm de large, pourpre violacé. De petites fleurs rose magenta à 3 pétales naissent à l'aisselle des feuilles en été. Après la floraison, couper les tiges florifères qui ont porté des fleurs à leur extrémité. Les Setcreaseas peuvent être cultivés en pot ou en corbeille suspendue.

 

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SIDERASIS

Il n'y a qu'une seule espèce dans le genre " Siderasis " - fuscata - C'est une plante tropicale à rosette et à port prostré, remarquable par ses fleurs et son riche feuillage, mais très difficile à cultiver autrement que dans terranium ou une vitrine. Dans de bonnes conditions, sa croissance est ininterrompue.
Les feuilles elliptiques jaillissent directement d'une courte tige souterraine. Elles sont disposées en rosette qui ne dépasse pas 8 cm de haut et elles peuvent atteindre 20cm sur 8. Leur limbe est vert olive pâle sur le dessus, avec une bande longitudinale blanche de 0,5 cm au centre, et rouge pourpre en dessous. Un fin duvet roux recouvre la plante. A la fin de l'été, des hampes duveteuses apparaissent près du centre de la rosette et chacune donne naissance à une fleur à 3 pétales, de 2,5 cm de diamètre. La couleur des fleurs varie du violet au pourpre rosé. Les sujets adultes produisent des rejets à la souche.

 

 

 

 

 

Le département de la Haute-Vienne a été formé d'une partie du nord du Limousin et de l'ouest de la Marche. Il culmine près du lac de Vassivière au mont Crozat (777 m) au coeur des monts du Limousin qui forment un glacis à l'ouest du Massif Central. La Vienne traverse Limoges et Saint-Junien, deuxième ville du département connue dès le Moyen-Âge pour sa ganterie et près de laquelle Corot aimait venir peindre les berges de la Glane, rivière qui borde tristement le célèbre village d'Oradour. L'autre cours d'eau notoire du département est la Gartempe, affluent de la Creuse qui passe au pied des monts d'Ambazac et non loin des monts de Blond.

 

 

LA METEORITE DE ROCHECHOUART

Celle qui est couramment appelée "météorite de Rochechouart" est à l'origine de l'astroblème dit de Rochechouart-Chassenon, un cratère formé il y a 200 millions d'années. Si ce cratère n'est désormais perceptible à cause de l'érosion, la preuve de cet impact est la formation de roches singulières qui ont constitué une énigme pour les géologues jusqu'à la fin des années 1960. Le château de Rochechouart a été édifié sur un piton rocheux de "brêches", nom donné à ces roches spécifiques qui se retrouvent dans le bâti local, notamment dans les thermes romains du village charentais voisin de Chassenon.

 

 

LA VILLE ROUGE

Les nombreux mouvements ouvriers initiés à Limoges -notamment dans les usines de porcelaine Haviland- dès le XIXe siècle ont fait d'elle la "Rome du socialisme". La ville a laissé son nom au verbe limoger, mais les limogeages en question n'ont pas été défendus par la CGT, bien que ce syndicat ait été fondé à Limoges en 1895. L'origine du verbe est militaire : suite aux mauvaises performances de l'armée française au début de la Grande Guerre, des hauts gradés furent démis de leur commandement et certains furent nommés à Limoges ou dans sa région, bien loin du front.

 

 

CHALUS, DERNIER SOUPIR DE RICHARD COEUR DE LION

 

Limoges était une des principales villes de la dot de l'épouse d'Henri II d'Angleterre, Aliénor d'Aquitaine. Leur célèbre fils, Richard Coeur de Lion, a été couronné duc d'Aquitaine à l'âge de 12 ans, lors de deux cérémonies dont l'une se tint à Limoges en 1172. C'est également dans la région que la gangrène eut raison de lui en 1199, après avoir été touché au cou par un carreau d'arbalète, alors qu'il venait régler un différent avec son vicomte Adémar V au château de Chalus-Chabrol.

 

 

LA PORCELAINE DE LIMOGES

Limoges est parfois surnommée la "capitale des arts du feu" en raison de son artisanat des émaux et des vitraux, et surtout pour son activité porcelainière. La production de la célèbre porcelaine de Limoges est liée à la découverte en 1768 près de Saint-Yrieix-la-Perche dans le sud du département d'un gisement de kaolin. Cette terre blanche qui donne à la porcelaine blancheur, dureté et translucidité, était broyée dans les moulins des bords de Vienne, avant d'être chauffée dans les manufactures de la ville.

 

 

Texte extrait du livre : La France : Géographie Curieuse et Insolite.

 

 

Mer montante

 

Le soleil semble un phare à feux fixes et blancs.
Du Raz jusqu'à Penmarc'h la côte entière fume,
Et seuls, contre le vent qui rebrousse leur plume,
A travers la tempête errent les goëlands.

L'une après l'autre, avec de furieux élans,
Les lames glauques sous leur crinière d'écume,
Dans un tonnerre sourd s'éparpillant en brume,
Empanachent au loin les récifs ruisselants.

Et j'ai laissé courir le flot de ma pensée,
Rêves, espoirs, regrets de force dépensée,
Sans qu'il en reste rien qu'un souvenir amer.

L'Océan m'a parlé d'une voix fraternelle,
Car la même clameur que pousse encore la mer
Monte de l'homme aux Dieux, vainement éternelle.

 

José-Maria de HEREDIA

José-Maria de Heredia, né le 22 novembre 1842 et mort le 2 octobre 1905 est un homme de lettres d'origine cubaine : né sujet espagnol, il a été naturalisé français en 1893

 

 

 

 

Depuis le Ried, ses étendues marécageuses, clairsemées de prairies et de champs de maïs, où s'entrecroisent les haies vives, jusqu'aux sommets des Vosges, couverts de forêts, la moyenne Alsace offre autour de Sélestat la variété et la richesse d'un patrimoine naturel, historique et architectural, formant une entité harmonieusement façonnée au cours des temps.

- FORET DE L'ILL -

Cette forêt, inondée à la fonte des neiges, où le peuplier et le frêne dominent à côté du chêne, abrite une population de daims, la seule vivant en liberté en France. Ces animaux, trop souvent dérangés, ne sortent que rarement des sous-bois et sont donc difficiles à observer.

 

 

- RIED D'OHNENHEIM -

Entre la Blind et le Scheidgraben, la flore du Ried comporte plusieurs espèces rares, dont l'ail odorant, l'iris sibirica et le glaïeul sauvage, menacés de disparaître à jamais de nos régions. La faune, faisans, lièvres, chevreuils et daims, est abondante dans ces prairies et ces champs couverts de haies.

 

 

- SELESTAT -

Au coeur de la vieille ville, l'église Ste-Foy, fondée à la fin du XIe siècle, date du XIIe siècle dans sa forme actuelle, mis à part quelques modifications malencontreuse, et l'église St-Georges, commencée au début du XIIIe siècle, montre la transition du roman et du gothique, des compléments architecturaux ayant eu lieu jusqu'au XVIIe siècle. Ces deux édifices sont entourés de constructions anciennes dont le couvent des Récollets (XIVe.s), le "vieil arsenal" et l'hôtel des Abbés d'Ebersmunster (XVIe.s).

 

 

- KINTZHEIM -

Les ruines du château de Kintzheim (XIIIe.s) abritent la "Volerie des Aigles" : les démonstrations de fauconnerie constituent un spectacle fascinant.

 

 

- HAUT-KOENIGSBOURG -

Ses tours se dressent au sommet d'un cône de grès des Vosges, dominant le Ried de Sélestat. Durant le XIIe siècle, si ce n'est de l'époque romaine, remanié au XVe siècle, le château avait été détruit par les Suédois en 1633, après un siège de plus de trois mois. La ruine a été restaurée à la fin du XIXe siècle. A l'intérieur, on admirera une belle collection d'armes anciennes et du mobilier du Moyen-Age. Le site est impressionnant. Du château, vue saisissante sur les Vosges, la plaine d'Alsace et la Forêt-Noire.

 

 

Texte extrait du livre : La France des Routes Tranquilles.

 

 

 

 

Charles Courtney Curran (né en 1861 à Hartford dans le Kentucky, mort en 1942 à New York) est un peintre américain

 

 

En 1881, à l'âge de 20 ans, Charles Courtney Curran quitte son Kentucky natal et s'installe à Sandusky, dans l'Ohio. Il étudie durant une année à la Cincinnati School of Design, puis il part à New York. Dans cette ville, il s'inscrit à la National Academy of Design et à l'Art Students League.

 

 

Ses participations à des expositions où ses tableaux sont remarqués sont les débuts d'une brillante carrière.

 

 

Afin de parfaire sa formation, il vient étudier à Paris où, de 1888 à 1902, il est l'élève, à l'Académie Julian, de Jean-Joseph Benjamin-Constant, Jules Joseph Lefebvre et Henri-Lucien Doucet.

 

 

 À New York, Curran devient lui aussi un enseignant au Pratt Institute, à la Cooper Union et à la National Academy of Design.

 

 

 

Rien qu’un seul mot et tout peut basculer,
 pour le pire ou pour le meilleur…

 

Rien qu’un mot de colère, et un cœur sensible a été blessé.
 Rien qu’un mot de reproche, mais il a fait couler des larmes.
 Rien qu’un mot impatient, mais il assombri un jour qui s’annonçait lumineux.
 Rien qu’un mot irréfléchi, et la journée est assombrie…
Rien qu’un mot malveillant, mais c’est pire qu’une guêpe qui a laissé on aiguillon.
 Rien qu’un mot moqueur, et c’est la tristesse qui remplie le cœur.

 

 

Rien qu’un mot de bonté, mais il a soulagé le cœur qui souffrait.
 Rien qu’un mot de sympathie, mais une personne en détresse a été consolée.
 Rien qu’un mot d’encouragement, mais un chemin obscur a été illuminé.
 Rien qu’un mot de paix et le sourire illumine le visage.
 Rien qu’un mot de pardon, et le cœur est en paix.
 Rien qu’un mot d’espérance et de foi et la journée entière en a été transformée.