• Provence d'Antan : Musiciens et farandoles.

     

    Depuis la nuit des temps, galoubet et tambourin se répondent dans les fêtes provençales. Le galoubet est une petite flûte à trois trous qui se joue avec la main gauche. Le tambourin est un long tambour que le musicien frappe de la main droite. Tous deux sont le symbole de la musique traditionnelle provençale. Le tambourineur est celui qui donne vie à ces deux instruments inséparables. Sa musique accompagne chaque événement de la vie quotidienne : bal, mariage, cérémonie religieuse... A la Belle Epoque, le son aigu du galoubet et le rythme vibrant du tambourin peuvent résonner à toute heure sur les places et dans les ruelles des villages de Provence.

     

    Provence d'Antan : Musiciens et farandoles.

    Provence d'Antan : Musiciens et farandoles.

    Provence d'Antan : Musiciens et farandoles.

     

    La fabrication du galoubet nécessite patience et précision. Il est fait de bois d'olivier, d'amandier ou de palissandre dont l'intérieur, parfaitement lisse, est nourri à l'huile de lin, alors que l'extérieur est verni. Le sifflet est minutieusement taillé dans du genévrier, qui résiste très bien à l'humidité engendré par le souffle.

     

    Provence d'Antan : Musiciens et farandoles.

    Provence d'Antan : Musiciens et farandoles.

     

    La fabrication du tambourin est longue et compliquée. L'instrument, réalisé en bois de noyer est sculpté de de motifs choisis par le musicien. Les planches de bois sont cintrées, les joints de collage cachés sous des filets, le fût raclé, poncé, teinté, verni et ciré. Sur le cylindre du bas est tendue une peau de chèvre, celui du haut recouvert d'une peau de veau mort-né et entouré d'une simple corde appelée "chanterelle". Enfin, on pose les cercles en hêtres afin de maintenir les peaux ainsi que les cordages. La baguette dite "massette" est faite de chutes de bois et comporte une frappe, aussi nommée "gland" souvent réalisée en os.

     

    Provence d'Antan : Musiciens et farandoles.

    Provence d'Antan : Musiciens et farandoles.

     

    Ce joyeux ensemble musical accompagne les danses provençales et farandoles, auxquelles il s'adapte parfaitement. Les groupes folkloriques, constitué de musiciens et de danseurs, ont pour mission de transmettre toute une culture : celle de la langue, des costumes et de la musique provençale. Les farandoles sont l'expression parfaite de cette culture. Hommes, femmes et enfants en costume traditionnel effectuent leurs pas de danse au rythme joyeux du galoubet et du tambourin. Chaque fête ou cérémonie religieuse, chaque événement de la vie comme le mariage, est prétexte à la danse provençale.

     

    Provence d'Antan : Musiciens et farandoles.

    Provence d'Antan : Musiciens et farandoles.

    Provence d'Antan : Musiciens et farandoles.

    Provence d'Antan : Musiciens et farandoles.

     

    Les cordelles, le rigaudon ou encore la gavotte sont quelques-unes des autres danses pratiquées en Provence. Chacun se doit de maîtriser la technique propre à chaque interprétation extrêmement codifiée. Aujourd'hui encore, on peut admirer ces représentations du passé lorsque les groupes folkloriques se produisent dans les villages de Provence.

     

    Provence d'Antan : Musiciens et farandoles.

    Provence d'Antan : Musiciens et farandoles.

    Provence d'Antan : Musiciens et farandoles.

    Provence d'Antan : Musiciens et farandoles.

     

    Texte extrait du livre : La Provence d'Antan.

     

    Provence d'Antan : Musiciens et farandoles.




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  • Plantes d'Intérieur : SENECIO  (Composées)

     

    Le genre "Senecio" est très vaste. Certaines espèces cultivées à l'intérieur ont donné lieu à des confusions de noms. Cruentus, par exemple, est tellement connu sous son nom populaire de cinéraire qu'on l'a laissé ici dans le genre Cineraria. Il en est de même pour certaines espèces de plantes grasses du genre Senecio que l'on retrouvera dans le genre Kleinia.
    Deux espèces non succulentes à tiges volubiles, sont décrites dessous. Ce sont des plantes qu'il faut tuteurer ou laisser retomber d'une corbeille suspendue. Leurs feuilles alternes, lisses, tendres et charnues ressemblent à celles du lierre : elles sont découpées en lobes arrondis ou acuminés. Leur pétiole est de même longueur que leur limbe. Les fleurs jaunes ressemblent à des marguerites. Cependant ces plantes fleurissent rarement à l'intérieur, et lorsque cela se produit, la floraison coïncide avec la période de repos.

     

    - ESPECES RECOMMANDEES -

     

    - MACROGLOSSUS - a des feuilles lancéolées vert foncé à 3, 4 ou 5 lobes, de 6,5 cm de long sur 5 de large. La variété plus répandue "Variegatum", présente des tiges grêles pourpres. Les feuilles vert moyen, panachées de crème sont portées par des pétioles pourpres. Les feuilles de certaines pousses peuvent être complètement crème. Ces pousses sont dépourvues de chlorophylle : elles ne peuvent donc servir à multiplier la plante puisqu'elles n'ont pas de vie organique propre. Les fleurs lorsqu'il y en a, viennent seules ou en petits bouquets au sommet des tiges, elles ont 5 cm de diamètre.

     

    Plantes d'Intérieur : SENECIO  (Composées)

     


    - MIKANIOIDES - (lierre d'été, séneçon-lierre) présente des tiges et des pétioles vert moyen. Ses feuilles vert foncé, de 5 à 10 cm de long, ont 5 à 7 lobes acuminés, striés de nervures qui rayonnent du pétiole vers leur pointe. Des bouquets de fleurs parfumées, de 0,5 cm de diamètre apparaissent parfois à l'extrémité des tiges.

     

    Plantes d'Intérieur : SENECIO  (Composées)

     

    Plantes d'Intérieur : SENECIO  (Composées)




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  • Curiosités Départementales : CREUSE

     

    Le département de la Creuse regroupe essentiellement d'anciennes communes de la province de la Marche, et plus précisément de la Haute-Marche. Cette dernière tirait son nom de sa situation de province-tampon. Avec seulement 14 000 Guérandois dans son chef-lieu, et moins de 5 000 Aubussonnais dans sa seule sous-préfecture, c'est un département essentiellement rural. La Ceuse, rivière née sur le plateau de Millevaches tout comme la Vienne dans laquelle elle se jette après un cours de 250 km, traverse Aubusson, évite Guéret et reçoit, juste avant de quitter le département, les eaux de la Petite Creuse peintes par Monet à Fresselines, et celles de la Sédelle au pied du village perché de Crozant.

     

    Curiosités Départementales : CREUSE

     

    - LES TAPISSERIES D'AUBUSSON ET DE FELLETIN -

    Les plus anciennes mentions de tapisseries dans la Marche remontent au XVe siècle. Deux siècles plus tard, alors qu'Henri IV avait interdit l'entrée en France des tapisseries étrangères. Colbert accorda aux ateliers d'Aubusson, puis à ceux de Felletin, le statut de manufacture royale. Toutefois, la révocation de l'édit de Nantes en 1685 poussa les lissiers (ouvriers qui tissent la tapisserie) protestants à émigrer outre-Rhin. La tapisserie d'Aubusson, reconnue patrimoine culturel immatériel de l'humanité, a attiré de nombreux artistes renommés au XXe siècle sur les bords de la Creuse où une centaine de lissiers exercent toujours leur métier.

     

    Curiosités Départementales : CREUSE

    Curiosités Départementales : CREUSE

    Curiosités Départementales : CREUSE

     

    - LES REUNIONNAIS DE LA CREUSE -

    Dans les années 1960 et 1970, les autorités françaises ont envoyé en métropole des enfants réunionnais afin de repeupler certains départements touchés par l'exode rural. Ainsi plus de 1 600 jeunes Réunionnais ont passé une partie de leur enfance dans la Creuse. L'arrachement à leur île natale et la rudesse du climat du Massif Central furent généralement mal vécus, à tel point qu'une action en justice contre l'Etat a été menée en 2005 afin de faire reconnaître que ces enfants déplacés ont été victimes d'une déportation.

     

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    - LE LAUREAT DU GONCOURT VISIONNAIRE -

    Dans son roman "La carte et le territoire", récompensé par le prix Goncourt en 2010, Michel Houellebecq fait vivre les dernières années de la vie de son héros à Châtelus-le-Marcheix, village dont le nom et la configuration des routes sur la carte Michelin auraient plu à l'auteur. Il imagine dans un avenir assez proche un village à l'économie florissante grâce au renouveau des activités traditionnelles et à la venue de touristes russes ou chinois.

     

    Curiosités Départementales : CREUSE

    Curiosités Départementales : CREUSE

    Curiosités Départementales : CREUSE

     

    - LES MACONS DE LA CREUSE -

    Ce n'est pas un hasard si Felletin abrite aujourd'hui une école nationale des métiers du bâtiment. Dès le Moyen-Age, les Creusois avaient pour habitude de se faire embaucher sur les chantiers des grandes villes du pays comme maçons. Ces "bâtisseurs de cathédrales" partaient chaque année pour plusieurs mois mais, à partir du XIX e siècle et au début du XXe siècle ces migrations devinrent souvent définitives, notamment vers la capitale au moment de sa métamorphose haussmannienne. Le plus célèbre d'entre eux, le député Martin Nadaud, décrit son exode dans son livre "Mémoires de Léonard, ancien garçon maçon".

     

    Curiosités Départementales : CREUSE

    Curiosités Départementales : CREUSE

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    Texte extrait du livre : La France des Routes Tranquilles

     

    Curiosités Départementales : CREUSE




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    Interminablement… 


    Interminablement passe le temps d’hiver
     Qui semble à l’infini étirer sa grisaille
     En gros nuages mous. Et de tristes ouailles
     Du mois de février, complices et pervers,

    Ont investi un Sud tout harassé de froid :
     Le mistral qui secoue les sinistres bois nus,
     Le gel encaustiquant les chaussées et les rues,
     La pluie et le grésil et la neige, parfois…

    Moi, je coche les jours sur mon calendrier :
     Encor un de passé, un plus près du printemps !
     Oh, combien est pesant, combien long est ce temps
     Qui se traîne bien plus qu’au mitan de l’été !

    Même Aix est tristounette, et ses terrasses vides
     Dévoilent la cité sous un jour anormal.
     Mais où est donc passée la liesse provençale ?
     Où est le grand ciel bleu et sans aucune ride,

    Sauf celle d’un avion griffant sa pureté ?
     Interminablement et implacablement,
     L’hiver mène son train inexorable et lent.
     Puisse le Paradis n’être qu’un long été !

    Vette de Fonclare

     

     




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  • Circuit Touristique : Vallées des basses Vosges

    Entre le plateau lorrain et la plaine d'alsace, à cheval sur des massifs gréseux et cristallins, on parcourt les Vosges moyennes à travers les profondes vallées verdoyantes de la Bruche, de la Zorn et de la Mossig. Couverte de nombreuses forêts de sapins et de hêtres, la région offre de multiples possibilités de promenades, agrémentées de haltes riches en souvenirs, comme Saint-Dié, cité martyre qui fut tant de fois détruite et qui renaquit toujours de ses cendres.

     

    - SCHIRMECK -


    Situé au centre de la vallée de la Bruche, ce gros bourg est entouré de forêts de sapins. On peut y voir le château que les Suédois détruisirent en 1633, ainsi que le clocher en grès rouge de l'église construite dans le style gothique au XVIIIe siècle.

     

    Circuit Touristique : Vallées des basses Vosges

    Circuit Touristique : Vallées des basses Vosges

    Circuit Touristique : Vallées des basses Vosges

     

    - CHAMP DU FEU -


    Ce plateau marque la frontière entre les pays de dialectes alsacien et lorrain. De la tour qui est érigée à son sommet, on jouit d'une vue remarquable sur les Vosges (le Donon, Sainte-Odile), la plaine d'Alsace et, au-delà, la Forêt Noire.

     

    Circuit Touristique : Vallées des basses Vosges

    Circuit Touristique : Vallées des basses Vosges

     

    - LE CLIMONT -


    Il se présente comme un sommet en forme de trapèze couvert de sapins. Avant d'y parvenir, on passe par les fermes de Climont, autrefois habitées par des membres d'une communauté anabaptiste, les mennonites venus de Suisse.

     

    Circuit Touristique : Vallées des basses Vosges

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    - SAALES -


    Ancienne ville frontière entre la France et l'Allemagne de 1817 à 1918, elle est installée à l'extrémité d'un plateau où naît la Bruche, affluent de l'Ill. De la cité, il est facile de se rendre au Voyemont sorte de pyramide que couronne un rocher appelé "la roche aux fées". Du sommet, accessible par des marches taillées dans le roc, une vue magnifique sur la vallée de la Bruche.

     

    Circuit Touristique : Vallées des basses Vosges

    Circuit Touristique : Vallées des basses Vosges

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    - SAINT-DIE -


    Bien que la ville ait été fortement endommagée lors de la dernière guerre, il subsiste un bel ensemble architectural, constitué par la cathédrale, son cloître et l'église Notre-Dame. La cathédrale, en grès rose, présente une façade classique encadrée de deux tours du XVIIIe siècle. L'église Notre-Dame est de style roman.

     

    Circuit Touristique : Vallées des basses Vosges

    Circuit Touristique : Vallées des basses Vosges

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    Texte extrait du livre : La France des Routes Tranquilles.

     

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  • Né dans l’Oise en 1945. Diplômé de dessin et d’art plastiques en 1966, il fréquente pendant deux ans l’atelier du peintre Henri Goetz à Montparnasse, ex-académie André Lhote.
    De 1970 à 1981, il peint à l’huile, grave de nombreuses  eaux-fortes. Il vit de son métier de graphiste.
    En 1988, il mobilise toute son énergie sur l’aquarelle et s’installe dans son atelier de Montreuil.
    Pour la première fois, il ose peindre ce qu’il a devant les yeux : le désordre de l’atelier, les objets du quotidien, les voitures dans les rues. Au gré de ses rencontres, naissent ses premiers portraits et nus féminins.
    En 1993, il commence à enseigner l’aquarelle dans son atelier.
    Jean-Louis Morelle participe à de nombreux salons en Europe, écrit plusieurs livres sur l’aquarelle.
    Il travaille actuellement à l’huile.

    Diplômé de dessin et d'art plastiques pour l'enseignement, il est un aquarelliste français de renommée internationale.
    En 1999, paraît son livre de référence " Aquarelle, l'eau créatrice"  aux éditions Fleurus. Ce livre, mainte fois réédité, qui renouvelle techniquement la pratique de l'aquarelle et qui inaugure les principes de la technique "humide sur humide", marque une génération d'aquarellistes.
    Depuis 1993, beaucoup d'artistes passent par son atelier et il anime de nombreux stages en France ainsi qu’à l'étranger. Un autre ouvrage, "Journal d'un aquarelliste"  , paru en 2003, fait découvrir plus intimement son travail d'artiste.

    De sa passion de l'aquarelle, il écrit:

    Dans les années 1990, le réel s’organisait autour de deux pôles : celui de la technique et celui du regard.
    Pas d’art de l’aquarelle sans métier, sans la part incontournable de la maîtrise. Mais aucun art sans regard et ni relation au monde.
    L’aquarelle libérait mon regard de peintre. J’étais l’aventurier, l’explorateur de thématiques insoupçonnées, les objets ordinaires, les petits désordres du quotidien, les rues au sortir de l’atelier, les voitures, les visages que je croisais. Seule la légèreté de l’aquarelle m’autorisait mille voyages dans la vie aux alentours. Toujours sur le motif, je m’accompagnais toujours de ma boîte avec mes pigments dilués et mes papiers tendus sur des châssis.

    Quant à la technique… Je n’avais reçu aucun enseignement, ni rencontré aucun maître. Que faire de cette eau qui impulsait apparemment tant de vie aux pigments ?
    Je souhaitais m’affranchir de la technique des glacis successifs trop attachée pour mon tempérament, à l’illustration. L’aquarelle certes, mais pour y peindre directement dans la matière avec une liberté proche de l’huile qu' dispose à sa guise de l’emplacement des lumières. Dans les flaques humides, je créais donc des auréoles volontaires. Non pas comme une simple astuce, mais comme une question se référant par hypothèse à une loi générale. La lumière du papier se redécouvrait comme un trésor de liberté et de sensualité.

    Lors des portes ouvertes de mon atelier, les amateurs d’aquarelles avides de conseils venaient de plus en plus nombreux. La pédagogie prenait place. J’en retraçais les bases dans l’ouvrage « Aquarelle, l’eau créatrice ».
    Or on ne change pas impunément les règles d’un jeu, surtout technique. Changer nécessite la présence d’un manque, qui va appeler un désir de l’histoire. L’audience remportée depuis neuf ans par ce livre, plusieurs fois réédité, indique clairement que beaucoup de pratiquants de l’aquarelle sont encore en attente aujourd’hui, de renouvellement technique mais bien davantage, de sensations différentes.

    Celles-ci ouvrent un chemin pour chacun.

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    Seul avec le Père

     


     "Sa renommée se répandait de plus en plus, et les gens venaient en foule pour l'entendre et pour être guéris de leurs maladies. Et lui, il se retirait dans les déserts, et priait." Luc 5.15-16 

     

    Le ministère de Jésus semblait bien débuter. Sa renommée se répandait et les gens parlaient de ses enseignements et de ses miracles. Ils s'attroupaient pour le voir en personne. Pourtant, au beau milieu de cette agitation, Jésus s'arrêta pour faire une chose qui aurait pu sembler illogique : "Il se retirait souvent dans les déserts pour prier". C'était si important qu'il cessait toute activité en cours.

     

     

     Où allait-il ? Dans les déserts. Afin de se retrouver seul avec le Père, sans aucune distraction, là où ils pouvaient communiquer et dialoguer ensemble et où il pouvait écouter.

     Cela n'arriva pas seulement une fois. Cette habitude se répéta tout au long de sa vie. Il cherchait à être seul avec le Père après un moment intense dans le ministère Luc 4.40-42. Lorsqu'il devait prendre des décisions importantes Luc 6.12-13. Lorsqu'il était au faîte de son succès Jean 6.15.

     

     

     

     Jésus nous montrait ainsi une attitude que nous avons tous besoin d'adopter dans notre vie. Notre programme peut être très chargé ! Nous pouvons avoir tellement de choses à faire ! Il peut être facile de trouver des excuses et de ne pas passer des moments de qualité avec le Père. Mais c'est nous qui sommes perdants lorsque nous ne savons pas suspendre nos activités pour chercher Dieu… seul et à l'écart. Si ce fait était si important pour le Fils de Dieu, il est encore plus important – voire crucial – pour nous tous dans notre vie.

     Aujourd'hui, le Père est prêt à entrer en communion avec vous afin de vous renouveler, de vous enseigner, de vous désaltérer, de vous guider et de vous fortifier. D'ailleurs, il est disponible maintenant. Ne laissez rien vous distraire. Parlez-lui. Restez en sa présence. Écoutez. Et passez du temps seul avec lui.

     

     

    Une prière pour aujourd'hui

    Père, j'arrête ce que je fais en ce moment pour chercher ta présence dans ma vie. J'ai besoin de toi. Parle-moi. Guide-moi. Désaltère-moi et renouvelle-moi. Transforme-moi. Utilise-moi. Au nom de Jésus. Amen.


    John Roos







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