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LA POTEE AUVERGNATE
Pour 6 personnes.Cuisson : 3h
Ingrédients
• 1 palette de porc demi-sel de 1.5 kg environ
• 1 jambonneau demi-sel et 6 saucisses d'Auvergne
• 1 chou, des carottes à volonté, 1 poireau
• 8 à 10 pommes de terre
• 1 oignon piqué de 2 clous de girofle
• 1 bouquet garni (thym, laurier, persil).
Faire tremper la viande dans de l'eau froide pendant 2h ou plus suivant le degré de salaison.Dans un faitout, déposer la viande, la couvrir largement d'eau froide et amener doucement à ébullition. Écumer. Faire cuire lentement.
Au bout d'une heure et demie, ajouter les carottes, le poireau, le bouquet garni, l'oignon et le chou préalablement blanchi 5 mn à l'eau bouillante.
30 mn après, éplucher et mettre les pommes de terre entières.
Achever la cuisson durant 45 mn
Disposer dans un grand plat viande et légumes.
Bon appétit !.....
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Natif d'Europe, le chou se rencontre à l'état sauvage sur les falaises et rochers littoraux de la Manche, de l'Océan et de la Méditerranée occidentale.
Dans son habitat naturel, c'est une plante à grosse tige semi-ligneuse et plus ou moins couchée, à feuilles éparses, les inférieures souvent profondément découpées, de couleur générale vert glauque, de texture charnue. On y reconnaôt facilement le prototype des choux fourragers, non "pommés".
Cultivé depuis des millénaires, très apprécié par les peuples celtes et par les romains, le chou a produit une foule de variétés aujourd'hui répandues dans les champs et les jardins du monde entier.Légume populaire par excellence, le chou a mené de front des carrières glorieuses d'aliment et de remède. Caton l'Ancien, IIIe-IIe siècle avant J.C., en faisait une panacée.
Pline, au 1er siècle de notre ère, y voyait la plante miracle qui avait permis aux Romains de se passer de médecins pendant 6 siècles.
Jérome Bock, célèbre médecin allemand de la Renaissance, considérait encore le chou rouge comme un vulnéraire : d'après lui, l'urine de ceux qui en avaient mangé acquérait le pouvoir de guérir les tumeurs externes.
Mais le sceptique XIXe siècle relégua le chou aux cuisines ou n'y vit, le plus souvent, qu'un remède de bonne femme. Néanmoins il était dit que son destin thérapeutique n'avait pas pris fin : remis à l'honneur par les phytothérapeutes contemporains, il s'est vu reconnaître la plupart des propriétés que lui attribuaient les Anciens.Ce que l'on sait de la composition chimique ne permet pas d'expliquer véritablement l'activité thérapeutique. Outre environ 92% d'eau, le chou renferme comme la plupart des Crucifères légumières, un peu d'essence sulfurée, de 1 à 4% de protides, de 5 à 7% de glucides dont les mucilages, 0,3% de lipides, des minéraux : phosphore, calcium, iode, etc., assez peu de vitamines A et B mais beaucoup du groupe C : 0,05 à 0,08%.
Ses propriétés sont innombrables et son rôle antiscorbutique est depuis longtemps connu : c'est grâce à l'emploi de la choucroute sur les navires qu'on l'on put enfin vaincre le "scorbut marin".
Il faut savoir que le plus bénéfique des choux est le chou rouge cru, ou, en cas d'intolérance, cuit. Dans un ouvrage récent, un médecin français lui prête environ 80 indications distinctes.PROPRIETES : adoucissant, antianémique, antidiarrhéique, antiscorbutique, cicatrisant, dépuratif, diurétique, hypoglycémiant, pectoral, vermifuge, vulnéraire.
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La Seine-et-Marne est à l'origine un département rural, rattrapé au XXe siècle à l'ouest par l'étalement de l'agglomération parisienne, comme l'illustre la création du nouvel arrondissement de Torcy en 1993. Dans le nord du département, la Marne traverse le plateau de Brie, où Meaux et Coulommiers sont historiquement des villes champenoises tout comme Provins qui garde les traces de sa grandeur médiévale. Dans le Sud, la Seine reçoit les eaux de l'Yonne, puis celles du Loing en provenance du Gâtinais. En amont, la plaine de la Bassée pourrait bientôt accueillir un nouveau lac-réservoir pour renforcer le dispositif de lutte contre les crues centennales de la Seine.
- PROVINS SOUTERRAIN -
La Grange-aux-Dimes est une somptueuse maison de marchands provinoise. Sa salle basse, aux allures gothiques, servait au stockage pendant les célèbres foires de Champagne. De nombreuses autres salles souterraines, aux entrées beaucoup plus discrètes, sont disséminées dans le sous-sol de Provins. Ce furent d'abord des carrières dont les roches étaient utilisées pour le dégraissage de la laine. Ces souterrains ont aussi pu servir d'entrepôt ou de refuge lors des guerres, et enfin lieu de réunion de sociétés secrètes qui y ont laissé de mystérieuses inscriptions.
- LA FORET DES PEINTRES ET DES RANDONNEURS -
Avec ses allées droites, ses carrefours en étoile et son "périphérique" appelé "route Ronde", la forêt de Fontainebleau a été aménagée pour le loisir des rois de France : la chasse. Au XIXe siècle, le concierge de la caserne de Fontainebleau, y a aménagé de nombreux sites et crée un important réseau de sentiers. Inaugurée sous le nom de Fort l'Empereur, la tour qu'il érigea au nord de Fontainebleau porte désormais son nom. A la même époque, les paysages de la forêt attirèrent les peintres de l'école de Barbizon. Le clocher du célèbre "Angélus" de Millet est celui de l'église de Chailly-en-Bière, commune dont Barbizon n'était à l'époque qu'un hameau.
- LE MOULIN DE MENIER -
En 1825, Jean-Antoine Brutus Menier fit l'acquisition du moulin de Noisel et les terres où s'est développée la célèbre chocolaterie familiale. Le moulin qui enjambe encore de nos jours la Marne est l'oeuvre de Jules Saulnier qui a su allier la fonctionnalité industrielle et l'architecture Art Nouveau. Le complexe industriel fut complété dès 1874 par une cité ouvrière soucieuse du bien-être de ses habitants. La famille Menier n'est plus présente que dans le nom des rues de la ville de Noisel qu'elle a quittée en 1960, et où Nestlé a installé son siège social en 1995.
- UN SOUS-SOL RICHE EN HYDROCARBURES -
Avec la hausse des cours du baril, l'exploitation pétrolière de Seine-et-Marne connaît une deuxième jeunesse. Non rentables, la plupart des 3000 puits que comptait le département dans les années 1950 avaient fermé. En 2007, la production s'est élevée à 205 000 tonnes, soit près d'un quart de la production nationale, mais pour moins de 1% de la consommation du pays. Son sous-sol possède également des gisements de gaz de schiste, un hydrocarbure que l'on extrait par la délicate technique de fracturation hydraulique, à l'origine d'une récente levée de boucliers de la population locale et des écologiques.
Texte extrait du livre : La France - Géographie Curieuse et Insolite.
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Le papillon et les tourterellesUn papillon, sur son retour,
Racontait à deux tourterelles,
Combien dans l'âge de l'amour
Il avait caressé de belles :
"Aussitôt aimé qu'amoureux,
Disait-il, ô l'aimable chose !
Lorsque, brûlant de nouveaux feux,
Je voltigeais de rose en rose !
Maintenant on me suit partout,
Et partout aussi je m'ennuie ;
Ne verrai-je jamais le bout
D'une si languissante vie ?"
Les tourterelles sans regret
Répondirent : "Dans la vieillesse
Nous avons trouvé le secret
De conserver notre tendresse ;
À vivre ensemble nuit et jour
Nous goûtons un plaisir extrême :
L'amitié qui vient de l'amour
Vaut encor mieux que l'amour même."Jean-Baptiste Willart de GRECOURT (1683-1743)
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La Convention qui établit l'Inventaire du Patrimoine Mondial de l'Unesco a été approuvé il y a près de quarante ans. Aujourd'hui, cet inventaire comporte environ 400 monuments estimés irremplaçables dans l'héritage architectural et artistique de l'humanité. Ce panorama des sites culturels couvre une période d'environ deux mille ans, illustrant les développements récents de la civilisation humaine et témoignant des progrès de l'art, de la connaissance et de la religion tout au long de son histoire.Dans une telle configuration, il n'est pas surprenant que la moitié de cet exceptionnel héritage architectural et culturel soit situé sur le Vieux Continent. Durant l'ère chrétienne, l'Europe a connu une floraison de civilisation sans équivalent sur les autres continents, et a vu l'essor de mouvements artistiques et architecturaux extrêmement influents - depuis le Gothique et la Renaissance, jusqu'au Baroque et au Néoclassique pour finir avec les grands courants modernes - mais aussi de scènes artistiques locales, parfois mêmes individuelles, qui ont produit un héritage d'une valeur inestimable.
Les forces conductrices de ce processus sans égal furent indubitablement le développement économique et technologique qui a toujours donné à l'Europe un statut privilégié, mais aussi les poussées culturelles engendrées par le Christianisme et sa diffusion, et ultérieurement par la constitution de nations, depuis les grands empires jusqu'aux petits duchés de la Renaissance italienne. En conséquence, ce panorama des monuments architecturaux et artistiques les plus importants inclut, dans leur intégralité, les centres artistiques de cités qui ont laissé leur marque sur de longues périodes de l'histoire européenne, comme Venise, Prague et Paris,
ainsi que les plalais des grandes dynasties qui ont régné sur le continent, Versailles et Westminster, comme Schönbrunn, Postdam et Saint-Pétersbourg.
Il inclut également le Vatican, symbole du Christianisme et incroyable concentré de l'art italien,
et les oeuvres visionnaires de deux figures géniales de l'architecture moderne, nommément le Belge Victor Horta et le Catalan Antoni Gaudi.Texte extrait du livre : Les plus beaux sites du Patrimoine Mondial de L'UNESCO
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Artiste peintre français né à Lyon en 1971.
Autodidacte, je commence la peinture à l'huile en 1998. Un an plus tard, je présente mes premiers tableaux à la Galerie Jacques Royan à Lyon. En 1999 la Mairie de Caluire me demande d’exposer mes tableaux de Lyon et ses environs. Je rencontre un succès auprès des particuliers et de collectionneurs privés.
Aujourd’hui, mes peintures sont un peu partout dans le monde Pays-Bas, Angleterre, Ecosse, Allemagne, Etats Unis, Brésil, Italie et Espagne.
A 30 ans, suite à une exposition personnelle, je rentre à l’académie de peinture Pierre Jean Chaffrey où je suis l’enseignement des peintres André Disdier, Pascale Paradis et Norbert Vaginay et participe à des expositions collectives au sein de la Galerie de l'Olympe de Lyon.
En 2008, je quitte le Rhône pour la Provence afin de retrouver la luminosité très spécifique du sud de la France.
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« Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur »
Aimons tous le Seigneur Dieu de tout notre cœur, de toute notre âme, de tout notre esprit, de tout notre pouvoir et courage, de toute notre intelligence, de toutes nos forces, de tout notre effort, de toute notre affection, de toutes nos entrailles, de tous nos désirs, de toutes nos volontés. Il nous a donné et nous donne à tous le corps, l’âme et la vie ; il nous a créés et rachetés ; il nous sauvera par sa seule miséricorde ; malgré nos faiblesses et nos misères, notre avilissement et nos hontes, nos ingratitudes et notre méchanceté, il ne nous a fait et ne nous fait que du bien.N’ayons donc d’autre désir, d’autre volonté, d’autre plaisir et d’autre joie que notre Créateur, Rédempteur et Sauveur, le seul vrai Dieu, qui est le bien plénier, entier, total, vrai et souverain ; qui seul est bon, miséricordieux et aimable, indulgent et doux ; qui seul est saint, juste, vrai et droit ; qui seul est bienveillant, innocent et pur ; de qui, par qui et en qui est tout pardon, toute grâce et toute gloire pour tous les pénitents et les justes sur la terre et pour tous les bienheureux qui se réjouissent avec lui dans le ciel.
Désormais donc, plus d’obstacle, plus de barrière, plus d’écran ! Partout, en tout lieu, à toute heure et en tout temps, chaque jour et sans discontinuer, tous, croyons d’une foi humble et vraie, gardons dans notre cœur, sachons aimer, honorer, adorer, servir, louer et bénir, glorifier et célébrer, magnifier et remercier le très haut souverain Dieu éternel, Trinité et unité, Père, Fils et Saint Esprit.
Saint François d'Assise (1182-1226), fondateur des Frères mineurs
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clafoutis aux cerises
Pour 4 personnes
Temps nécessaire : 50 min
Préparation : 20 min
Cuisson : 30 minIngrédients
500 g de cerises
4 œufs
100 g de farine
100 g de sucre fin en poudre
30 cl de lait
1 gousse de vanille
30 g de beurre
1 pincée de selRéalisation
Laver, essuyer, équeuter et dénoyauter les cerises. Beurrer un moule à manqué puis incorporer les cerises préalablement préparées. Dans un bol pâtissier, casser les quatre œufs puis ajouter pas à pas la farine et le sucre. Mélanger le tout puis ajouter le lait, une gousse de vanille ainsi q'une pincée de sel pour donner du goût.
Verser le mélange obtenu sur les cerises puis préchauffer le four à 180 °C (thermostat 6). Une fois la température maximale atteinte, enfourner le clafoutis puis laisser cuire la recette pendant 30 minutes.
Conseil : Le clafoutis aux cerises sera encore meilleur servi après avoir été légèrement tiédi. Pour les plus gourmands, ne pas hésiter à l'accompagner d'une boule de glace à la pistache, la dégustation n'en sera que plus délicieuse !
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Il existe de nombreuses variétés du cerisier. Les guignes sucrées, rouges ou rouge noirâtre, et les bigarreaux à chair claire et cassante dérivent du merisier sauvage, indigène en Europe.
D'autres cerises sont issues d'hybridations entre merisier et le cerisier vrai, ou griottier, aus fruits acides et juteux. Sauvage en Asie occidentale, le griottier a été introduit en Europe dès l'Antiquité. Les emplois médicinaux des diverses variétés sont identiques.La cerise, aqueuse, peu nutritive malgré ses sucres, apporte cependant à l'organisme une quantité notable de vitamine A et, par ailleurs, des vitamines du groupe B, des acides organiques, du tanin, des flavoïdes.
L'amande du noyau renferme un peu d'acide cyanhydrique et ne doit pas être consommée. La cerise est un fruit recommandable, en cure, aux pléthoriques, aux rhumatisants, et grâce à ses vitamines, aux enfants et aux adolescents.
Le jus, réduit en sirop, procure une boisson désaltérante.
La pulpe fraîche, appliquée en masque sur le visage, tonifie l'épiderme.
Les queues de cerise, sont, en infusion, un diurétique adoucissant d'emploi populaire très justifié.PROPRIETES : dépuratif, diurétique, laxatif, rafraîchant.
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La Seine et son affluent l'Aube naissent sur le plateau de Langres et se rejoignent près de Romilly-sur-Seine. Les crues de ces deux cours d'eau sont régulées par des canaux alimentant de vastes lacs-réservoirs : les lacs d'Amance et du Temple pour l'Aube, et le lac d'Orient pour la Seine. Avec le lac du Der-Chantecoq pour la Marne, à cheval sur les départements voisins marnais et haut-marnais, ils permettent notamment de diminuer le risque d'inondation dans l'agglomération parisienne. Ces lacs artificiels de l'est du département sont au coeur de la "Champagne humide" qui s'oppose à la "Champagne crayeuse" au nord, moins humide en raison de la perméabilité du sol calcaire.
- LES FOIRES DE CHAMPAGNE -
Les foires de Champagne bénéficiaient d'un calendrier pensé par les comtes de Champagne de telle sorte que tout le long de l'année des échanges commerciaux aient lieu sur le territoire champenois. Les marchands de Flandre ou du nord de l'Italie, les deux coeurs économiques de l'Europe médiévale s'y retrouvaient pour vendre des épices ou des draps. Au XIIIe siècle, les foires de Lagny ouvraient l'année, relayées le dernier mardi avant la mi-carême par celles de Bar-sur-Aube. Entre les foires de Provins de mai et de septembre, Troyes accueillait les "foires chaudes" de la Saint-Jean, puis en octobre les "foires froides" de la Saint-Remi. Si ces foires ont connu un déclin à la fin du Moyen-Age, l'industrie textile a bénéficié d'un nouvel essor au XVIIIe siècle à Troyes, où désormais les magasins d'usines font la renommée de la ville.
- BRIENNE-NAPOLEON -La commune de Brienne-le-Château fut appelée Brienne-Napoléon de 1849 à 1881. Elle était associée à l'Empereur à double titre. L'école militaire de Brienne l'accueillit pour une partie de ses études de 1779 à 1784, et lors de la campagne de France il y stoppa pour un temps, l'invasion du pays par les Prussiens et les Russes en janvier 1814.
- LES MESAVENTURES DU JEUNE DANTON -
Né à Arcis-sur-Aube, Danton était remarquable par sa laideur qualifié de "royale" par Michelet. A l'âge de 1 an, sa lèvre supérieure lui aurait été arrachée par le coup de corne d'un taureau, tandis qu'un autre, avec qui il a prétendu lutter, lui aurait plus tard écraser le nez. Celui dont le visage conservait également les traces de la petite vérole (ou variole) recommanda tout naturellement "de l'audace, encore de l'audace, toujours de l'audace" pour sauver la France menacée d'invasion en août 1792.
- LE "SAINT SUAIRE" DE LIREY -
Le suaire de Turin est un linceul présentant les marques d'une personne crucifiée, connu -vraisemblablement à tort- pour avoir été celui du Christ. Il est conservé depuis 1578 à Turin capitale des ducs de Savoie qui le gardaient auparavant à Chambéry où il a été sauvé des flammes in extremis. Cette relique avait précédemment changé maintes fois de propriétaires. La plus ancienne serait la seconde épouse du chevalier Geoffroy de Charny, conseiller des rois de France tué à la bataille de Poitiers en 1356 et seigneur de Lirey en Champagne. Une enseigne conservée au musée de Cluny témoigne du pèlerinage dont le suaire faisait l'objet à Lirey à la fin du Moyen-Age.
Texte extrait du livre : La France -Géographie Curieuse et Insolite.
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