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Ce bel arbre, l'un des premiers à ouvrir feuilles et fleurs au printemps n'est pas originaire de l'Inde, mais plutôt des Balkans, le botaniste Bachelier l'a rapporté de Constantinople et introduit en France en 1615.
Au cours du XVIIIe siècle, il est répandu partout dans les avenues et les parcs, où certains sujets atteignent actuellement plus de 250 ans d'âge.
On l'appelle "Hippocastanum" châtaignier-de-cheval, parce que les Turcs faisaient consommer des marrons aux chevaux atteints de la pousse.
Aesculus est le nom d'un chêne à glands comestibles.
Bien que riches en amidon, les marrons frais, dont on peut extraire une huile d'éclairageet un alcool, ne sont pas consommés, à cause de leur amertume, sauf pour les chèvres, les porcs et parfois les poissons, mais une fois débarrassés de leur principe amer, il fournissent une fécule nourissante et agréable. La farine obtenue par mouture est utilisée en cosmétique pour rendre la peau brillante, et la pulpe est employée en savonnerie.
Mélangée à l'eau d'arrosage, la poudre de marron débarrasse les pots de fleurs de leurs vers de terre.
L'écorce de l'arbre fournit une teinture rouge.=============
HABITAT :
- Europe, parcs, avenues, jusqu'à 800 mètres.IDENTIFICATION :
- Arbre à frondaison équilibrée de 10 à 30 m.
- Tronc assez court, souvent contourné, branches maîtresses souvent horizontales
- Feuilles opposées, à long pétiole raide, palmées à 5 à 7 folioles oblongues et dentelées
- Fleurs blanches tachées de jaune et de rouge (avril-mai), grandes, en grappe composée, unique, dressée, calice à 5 dents, inégales, corolle chiffonée à 4 pétales inégaux, 7 étamines et 1 style saillant, ovaire à 3 loges
- Capsules à coque épineuse s'ouvrant par trois valves contenant 2 à 3 marrons.
- Saveur amèrePARTIES UTILISEES :
- Ecorce, graines (octobre), séchage au soleil.CONSTITUANTS :
- Tanin, saponosides, flavonoïdes, hétérosides, coumariniques.PROPRIETES :
- Anti-hémorragique, anti-inflammatoire, astringent, vaso-constricteur.
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La tuile vernissée de Bourgogne est un particularité architecturale traditionnelle et symbolique de la région bourguignonne. Des toitures couvertes de tuiles plates vernissées colorées aux dessins losangés caractérisent des villes et des villages comme Beaune la capitale des vins de Bourgogne.
Les tuiles plates vernissées existaient déjà en Île-de-France et en Normandie dès la fin du XIIe siècle. Il s'agit de l'application, tant aux tuiles qu'aux carreaux de sol, d'une technique déjà connue par les romains pour la poterie culinaire de luxe. L'utilisation de ces tuiles s'est développée en Bourgogne au début du XIVe siècle.
L'Hôtel-Dieu de Tonnerre, fondé par la comtesse Marguerite de Bourgogne-Tonnerre en est ainsi recouvert vers 1295.
Les motifs sont différents suivant la manière dont on dispose les tuiles sur les toits.
Les tuiles en terre cuite sont recouvertes d'une glaçure à base de plomb ou d'étain et prennent leur couleur après cuisson au four. On les appelle aussi des tuiles plombées ou glaçurées.
Lors de la deuxième cuisson, les sels de plomb fondent et donnent l'aspect vernissé. En mélangeant d'autres sels minéraux, on obtient les différentes teintes : jaune, orange, vert, rouge, brun foncé.
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Le chat
Dans ma cervelle se promène
Ainsi qu'en son appartement,
Un beau chat, fort, doux et charmant.
Quand il miaule, on l'entend à peine,Tant son timbre est tendre et discret ;
Mais que sa voix s'apaise ou gronde,
Elle est toujours riche et profonde.
C'est là son charme et son secret.Cette voix, qui perle et qui filtre
Dans mon fonds le plus ténébreux,
Me remplit comme un vers nombreux
Et me réjouit comme un philtre.Elle endort les plus cruels maux
Et contient toutes les extases ;
Pour dire les plus longues phrases,
Elle n'a pas besoin de mots.Non, il n'est pas d'archet qui morde
Sur mon coeur, parfait instrument,
Et fasse plus royalement
Chanter sa plus vibrante corde,Que ta voix, chat mystérieux,
Chat séraphique, chat étrange,
En qui tout est, comme en un ange,
Aussi subtil qu'harmonieux !II
De sa fourrure blonde et brune
Sort un parfum si doux, qu'un soir
J'en fus embaumé, pour l'avoir
Caressée une fois, rien qu'une.C'est l'esprit familier du lieu ;
Il juge, il préside, il inspire
Toutes choses dans son empire ;
Peut-être est-il fée, est-il dieu ?Quand mes yeux, vers ce chat que j'aime
Tirés comme par un aimant
Se retournent docilement
Et que je regarde en moi-mêmeJe vois avec étonnement
Le feu de ses prunelles pâles,
Clairs fanaux, vivantes opales,
Qui me contemplent fixement.Charles Baudelaire
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Construire une mosquée qui égale en magnificence est un impératif absolu dès l'époque de Memeth II. Il faut néanmoins un siècle de domination sur la ville avant d'y parvenir. Le sultan Soliman le Magnifique confie à Sinan, janissaire et architecte du génie militaire, la construction, dominant la Corne d'Or, de la Süleymanye Camii, mosquée qui lui est consacrée. Sinan -qui auparavant a effectué des travaux de consolidation et de restauration à Sainte-Sophie - est immédiatement obsédé par ce monument. Afin de montrer qu'il est capable de "surpasser les Grecs, il réalise entre 1550 et 1557 un immense édifice surmonté d'une coupole qui surprend par la rigoureuse géométrie des espaces, le parfait équilibre entre ombre et lumière et l'élégant minimalisme des décorations.
A côté de celle qui est devenue le symbole d'Istanbul l'Ottomane - et qui a fait de Sinan "le Michel-Ange turc" - se dressent quatre fins minarets.
Six minarets dominent la seconde rivale de Sainte-Sophie, la Sultan Ameth Camii, érigée en vis à vis au début de XVIIe siècle. Celle que l'on appelle aussi la mosquée Bleue frappe par l'extraordinaire harmonie de ses formes, surmontées d'une coupole, et par ses élégantes faïences bleues provenant de la ville d'Iznik qui en recouvrent entièrement les murs.
Istanbul conserve d'extraordinaires monuments d'époque ottomane, notamment le fabuleux palais de Topkapi, le Grand Bazar avec ses caravansérails et ses dizaines de mosquées.
Mais l'attention de l'Unesco s'est focalisée sur des monuments plus anciens, de l'époque de Constantinople et de Bizance. Nécessitant de considérables interventions de restauration, ils restituent l'âme de la ville qui, au cours de sa longue histoire, a vu fleurir de grandes civilisations. La ville est toujours parvenue à renaître de ses cendres - en changeant de nom, de Constantinople à Byzance puis Istanbul - chaque fois plus majestueuse qu'avant.
Exemple parfait de cette continuité - et avertissement pour les gouvernements - l'antique hippodrome qui correspond aujourd'hui à la grande place comprise entre Sainte-Sophie et la mosquée Bleue et sous laquelle se trouve sa somptueuse citerne construite pour agrandir l'approvisionnement en eau de la ville en cas de siège. L'empereur Constantin, qui agrandit l'hippodrome, y fit transporter une colonne qui se dressait à Delphe devant le temple d'Apollon. Ce lieu devient immédiatement un point de rencontre citadin, vocation qu'il a conservé jusqu'à nos jours. A l'époque byzantine, des courses de coches et de chevaux s'y déroulent. Souvent, les résultats des courses entraînent des révoltes qui ont des répercussions sur la vie politique et peuvent mener à la destitution de l'empereur.Des siècles plus tard, lors des émeutes qui marquent le déclin des Otomans, il est le théâtre, en 1826, du tristement célèbre massacre des janissaires par le sultan Mahmud II.
Le complexe système défensif d'Istanbul est une autre preuve de l'histoire et de la puissance de la ville. Tourné vers la terre ferme, il a été construit au Ve siècle et comprend 96 tours, 13 portes simples et 11 autres portes protégées par des bastions. Les remparts ont été percés une première fois par les croisés puis par le puissant canon hongrois de Mehmet II, mais sont restés dans un excellent état de conservation jusqu'au XIXe siècle. Devenus inutiles, ils ont été abandonnés et sont tombés en ruine. Les travaux de restauration, commencés en 1980, ont fait l'objet de vives polémiques car peu respectueux de l'original.
Ces dernières décennies, Istanbul a connu une augmentation démographique exceptionnelle. Elle est aujourd'hui une métropole de 10 millions d'habitants au développement urbanistique incontrôlé. De nombreux trésors antiques ont été englobés dans des quartiers ghettos et leur sauvegarde est une entreprise desespérée.
C'est ce qui est arrivé, par exemple, au splendide ensemble monastique du Christ Pantocrator, du XIIe siècle, constitué de trois églises ornées d'élégantes mosaïques qui ont abrité pendant les deux siècles suivants les sépultures des empereurs byzantins. Après la conquête ottomane, l'ensemble est devenu une école coranique puis une mosquée, portant le nom de Zeyrek Camii. Ouvert au culte musulman aujourd'hui encore, l'ensemble monastique est considéré par l'Unesco comme l'un des cent sites en danger dans le monde.Texte extrait du livre : Les plus beaux sites du patrimoine mondial de l'Unesco.
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Louis Aston Knight (3 août 1873–1948) est un peintre franco-américain.
Louis Aston Knight est né à Paris 7e le 3 août 1873. Il est le fils du peintre naturaliste Daniel Ridgway Knight dont il fut l’élève. Il pratiqua habilement la peinture de paysages, ces derniers toujours éclairés par quelque nappe d’eau, qu’il aimait peindre.
En 1892, il entre à l’Académie Julian pour plusieurs années où il étudie avec pour professeurs Jules Lefebvre et Tony Robert-Fleury. Il figure au Salon de Paris de 1894 à 1924 et prit part à des Salons de province. Il reçoit une médaille de bronze à l’exposition universelle de 1900, suivi d’une mention honorable au Salon de 1901. Il remporte une médaille d’or au Salon de Reims, Cherbourg, Lyon, Genève et Nantes. En 1905, il reçoit sa première médaille en or au Salon.
Louis Aston Knight nous a laissé de nombreux paysages de la Normandie (différentes vues de Beaumont-le-Roger, les bords de l’Iton à Évreux, la place du Vieux-Marché à Rouen, vue du bassin à Honfleur, etc.), de la Bretagne (vue des fortifications de Vannes, la Bretagne le soir), de Hollande (le vieux port de Dordrecht, Dordrecht le soir), de Venise (Un canal de Venise, le pont del angelo, le Rio Sant Aponal), des États-Unis (Vue de New York la nuit, l’East River, Ferme du Riverside).
En 1905, il part pour la première fois aux États-Unis. Après 1907, tous les mois de septembre, il séjourne à Venise. Pendant la Première Guerre mondiale, il part avec sa famille pour les États-Unis. Il voyage dans le Maine, en Caroline du Sud et passe ses hivers en Floride.
Il revient en France en 1919 avec sa famille et achète une maison à Beaumont-le-Roger. Il refait les jardins et fait construire une petite chaumière (Diane’s cottage) avec les pans de bois de trois anciennes maisons normandes. Il a alors à sa disposition trois façades différentes qui guident son inspiration.
Aston Knight connaît Claude Monet. Il l’admire. Il lui rend visite régulièrement à Giverny. Il est très impressionné par le jardin que l’artiste a créé. Le jardin qu'Aston Knight conçoit pour le manoir de Chantereine (Beaumont-le-Roger) deviendra aussi connu en son temps que celui de Monet.
Il meurt en 1948 à New York.
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Repoussez les limites de votre amour
“Vous savez comment Dieu a oint du Saint Esprit et de force Jésus de Nazareth, qui allait de lieu en lieu faisant du bien et guérissant tous ceux qui étaient sous l'empire du diable, car Dieu était avec lui.” Actes 10.38Souhaiteriez-vous parfois porter un écriteau "Ne pas déranger" au-dessus de votre tête ? C'est un des souhaits que j'aimerais que Dieu m'accorde, parce que quand je suis en train de faire quelque chose – ce qui est presque toujours le cas – je veux pouvoir m'y consacrer entièrement. Je crois pourtant que Dieu veut que nous acceptions d'être interrompus dans nos activités et je vais vous expliquer pourquoi.
Peut-être avons-nous nos limites et sommes-nous prêts à aller seulement jusqu'à un certain point ?
Tous ses miracles, Jésus les a accomplis alors qu'il était en chemin vers un endroit précis et que quelqu'un est venu l'interrompre. En fait, la Bible montre qu'il se rendait disponible aux interruptions.Dans Matthieu 8, après avoir pris le temps de rencontrer Dieu sur la montagne, Jésus redescendit avec une mission : enseigner les hommes et leur faire du bien. La Bible nous dit que "de grandes foules le suivirent" (Matthieu 8.1). Ce fut d'abord un lépreux qui lui demanda de le rendre pur. Après quoi un centurion le pria de guérir son serviteur. Les gens venaient le trouver avec tous leurs problèmes. Et c'est ainsi jusqu'à la fin de ce chapitre.
Si nous voulons vraiment que Dieu nous utilise, nous devons nous aussi nous rendre disponibles. Je ne veux pas dire que nous devons résoudre tous les problèmes que nous voyons ; il s'agit simplement de suivre les injonctions du Saint-Esprit.
Peut-être avons-nous nos limites et sommes-nous prêts à aller seulement jusqu'à un certain point ? Mais je suis convaincue que Dieu veut repousser ces limites.
Lorsque vous vaquez à vos occupations, avez-vous le temps de sourire ? Avez-vous le temps de laisser quelqu'un passer devant vous quand vous attendez à la caisse du supermarché avec un chariot rempli à ras bords ? Comment voyez-vous Jésus à l'œuvre au travers de vous ?
Je pense que souvent, lorsque nous avons l'impression de ne pas être à la bonne place, nous sommes exactement où Dieu nous veut. Et si nous voulons bien enlever l'écriteau "Ne pas déranger" de notre vie et commencer à nous rendre disponibles pour Dieu, nous aurons le privilège d'avoir part au bonheur qu'il apporte à d'autres.
Une action pour aujourd'hui
Votre temps avec Dieu est la seule chose qu'il vous faut protéger. Le reste de la journée, vous devez être ouvert à ce qu'il vous dit. Faites donc ce que vous avez prévu… jusqu'à ce qu'il vienne vous interrompre. Et alors, quel que soit le temps que vous passerez à lui obéir, soyez certain qu'il vous le rendra… Souvenez-vous que nous sommes bénis pour être en bénédiction, et plus nous serons en bénédiction, plus nous serons bénis.Joyce Meyer
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Liste des ingrédients
•450 g de fruits rouges mélangés (framboises, mûres, cassis, myrtilles...)
•1 cuillère à soupe de semoule fineIngrédients pour les miettes
•170 g de farine
•100 g de beurre
•150 à 200 g de sucre selon l'acidité des fruits
•1 pincée de sel
PréparationCommencez par égrapper les fruits rouges, puis répartissez-les dans un plat.
Préchauffez votre four thermostat 6 (180°C).
Mélangez le beure en parcelle puis la farine et le sucre du bout des doigts, jusqu'a consistance grossièrement sableuse.Incorporez la cuillère à soupe de semoule fine puis recouvrez-en les fruits.
Il est vivement conseillé de confectionner la pâte à la main et non au moyen d'un robot. Si la pate n'est pas assez sableuse ajouter un peu de farine.
Placez le plat dans le four chaud et laissez cuire 35 minutes.
Servez tiède avec par exemple de la glace à la vanille en accompagnement.
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Les hêtres sont apparus sur la Terre à l'ère tertiaire avec le refroidissement des climats et le développement de l'humidité. Ils peuplent les régions tempérées fraîches de l'hémisphère Nord, dont ils aiment les pluies et les brumes. Dans les montagnes, ils accompagnent les conifères et le dépassent même en altitude, formant alors d'étranges bosquets tourmentés par les vents.
Souvent réunis en hautes forêts où ils peuvent vivre jusqu'à trois siècles, les grands hêtres, harmonieux et tranquilles, déploient leur feuillage en dômes ovoïdes et touffus.
Chantée par les poètes, leur ombre est rafraîchissante. "Heureux Tityre, ainsi couché sous un large hêtre, tu essaies des airs champêtres sur ton léger chalumeau", écrit Virgile au premiers vers des "Bucoliques",
mais cet ombrage est fatal à toute végétation herbacée et, sous ses branches feuillues, le hêtre fait place nette et efface bien vite les anémones, les primevères et les aspérules qui s'étaient épanouies à son pied au début du printemps.
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HABITAT :
Europe, sauf région méditerranéenne, sol frais, profond, jusqu'à 1 700 mètres.IDENTIFICATION :
-arbre : 35 à 40 mètres
-tronc : droit, cylindrique jusqu'à 20 m avant ramification
-écorce : lisse, vert foncé jeune puis gris foncé
-feuilles : vert clair, plus pâles dessous, luisantes, entières, ovales pointues, nervures rectilignes et bords ondulés munis de poils soyeux
-chatons : blanchâtres (avril-mai), monoïques, en glomérules, pédonculés, les femelles dressées à 2 à 3 fleurs logées dans 1 involucre, ovaire à 3 loges
-faine : trigone, huileuse, brune, 2 à 3 dans 1 cupule coriace, à épines molles.PARTIES UTILISEES :
-écorce sur rameaux de 2 à 3 ans (février), boisCONSTITUANTS :
-tanin (écorce), créosote (bois)PROPRIETES :
-antiseptique, apéritif, astringent, fébrifuge.
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Le festival international du film de Cannes a été crée à l'initiative de Jean Zay, alors ministre de l'Instruction publique et des Beaux-Arts, car il souhaitait mette en place un événement culturel international capable de rivaliser avec la Mostra de Venise. La première édition du festival s'ouvre à Cannes le 20 septembre 1946. A partir de 1952, il se déroulera au mois de mai.
Rapidement, le festival gagne en notoriété et réunit bientôt toutes les stars du cinéma du moment, ce qui contribue à construire sa légende. En effet, dès les années 1950, il accueille des stars internationales comme Sophia Loren, Grace Kelly, Alain Delon, Gina Lollobrigida....
Décernée pour la première fois en 1955 à Delbert Mann pour son film "Marty", la célèbre Palme d'Or succède au Grand Prix, qui était jusque là remis au meilleur film en compétition.
Le Festival de Cannes a été reconnu d'utilité publique en 1972. Son but est de promouvoir la création cinématographique sous toutes ses formes.Texte extrait du livre : Le grand Almanach de la France.
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Cette fête célèbre l'élévation de Jésus Christ au Ciel. C'est l'une des principales fêtes de l'année liturgique.
Située entre Pâques et la Pentecôte, c'est-à-dire entre la résurrection du Christ et la venue de l'Esprit Saint sur les apôtres, l'Ascension ne peut être comprise qu'en lien avec ces deux évènements.Évangile de Jésus-Christ selon Saint Marc. ( Mc 16.15-20)
Jésus ressuscité dit aux onze Apôtres : « Allez dans le monde entier. Proclamez la Bonne Nouvelle à toute la création. Celui qui croira et sera baptisé sera sauvé; celui qui refusera de croire sera condamné. Voici les signes qui accompagneront ceux qui deviendront croyants: en mon nom, ils chasseront les esprits mauvais ; ils parleront un langage nouveau ; ils prendront des serpents dans leurs mains, et, s'ils boivent un poison mortel, il ne leur fera pas de mal ; ils imposeront les mains aux malades, et les malades s'en trouveront bien.»Le Seigneur Jésus, après leur avoir parlé, fut enlevé au ciel et s'assit à la droite de Dieu. Quant à eux, ils s'en allèrent proclamer partout la Bonne Nouvelle. Le Seigneur travaillait avec eux et confirmait la Parole par les signes qui l'accompagnaient.
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