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C'est le premier jour de l'été
Date la plus fréquente pour le solstice d'été dans l'hémisphère nord, et le solstice d'hiver dans l'hémisphère sud ; c'est le début respectif de l'été ou de l'hiver dans ces deux hémisphère
Fête des Pères
L'origine de la fête des Pères en France remonte en 1949, c'est le fabriquant de briquets breton Flaminaire qui lance l'idée, de créer une fête des pères, en proposant d'offrir un briquet à son papa à l'occasion . Il choisit la date du troisième dimanche de juin.
Contrairement à la fête des Mères, la fête des Pères n'a jamais été officialisée en France.
Cependant, elle a pris sa place dans nos calendriers et nous la célébrons chaque année!La fête de la Musique
En 1982, Jack Lang, alors ministre de la culture, crée la fête de la Musique. Issue des réflexions de Maurice Fleuret, alors directeur de la Musique et de la Danse, elle correspond à son désir de voir "la musique partout et le concert nulle part", et recherche à faire descendre les spectateurs dans les rues. Elle a lieu chaque année, le 21 juin, jour du solstice d'été, nuit païenne se rapportant aux traditions anciennes des fêtes de la Saint-Jean.
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Le Tian est un plat qui se cuisine l'été quand les légumes sont gorgés de soleil et non en décembre quand ils n'ont aucun goût.
Ingrédients pour 6 personnes
2 grosses aubergines
2 grosses courgettes
4 à 6 belles tomates
2 oignons
ail
sel
poivre
thym
huile olive
coulis de tomates en tube ou en brique
Préparation
Laver les légumes, les essuyer puis couper les aubergines, les courgettes et les tomates en rondelles d'environ 1 cm d'épaisseur sans les éplucher. Disposer ces rondelles dans un grand plat à gratin soit en faisant des rangées de légumes, soit en alternant. Sur le dessus, parsemer les oignons coupés en gros dés ainsi que l'ail. Saupoudrer de sel, poivre et thym. Ajouter un filet d'huile d'olive sur les rangées de légumes et un peu de coulis de tomates.Mettre à four chaud (210°C, thermostat 7) pendant environ 35 minutes, arroser d'un filet d'huile d'olive à mi-cuisson (personnellement, j'enduis légèrement les légumes avec un pinceau trempé dans l'huile d'olive). Après ces 35 minutes, passer le plat 15 minutes sous le gril.
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Dans la Gaule franque, au Ve siècle, justice était rendue sous l'orme et l'on sait que dès le IXe siècle cet arbre respecté abrita de son ombre les joutes pacifiques des trouvères.
On en plantait souvent dans les villages au centre de la place publique et l'habitude est demeurée depuis ces temps lointains de se retrouver à son pied chaque soir, pour y commenter les nouvelles du jour.
Il existe en Europe 3 espèces d'orme qui tendent à disparaître : l'orme pédonculé, l'orme de montagne et l'orme champêtre représenté ici.
C'est l'ormeau au bois rouge, recherché par les ébénistes, que l'on trouve au bord des bois, où son feuillage en mosaïque capte plus de lumière que les essences voisines.
Il s'installe et se développe là où le vent sème un de ses fruits ailés minces comme des feuilles. Il peut vivre 500 ans. C'est un arbre apprécié pour ses vertus depuis l'Antiquité : ses feuilles avaient la réputation de guérir l'humeur noire, sa racine faisait repousser les cheveux, quant aux phytothérapeutes, ils utilisent surtout son écorce et ses feuilles, dont les propriétés ne sont pas très puissantes, mais qui, bien employées, comptent parmi les meilleures gardiennes de l'éclat et de la santé. Les enfants grignotent ses fruits avec délice.===============
HABITAT
Europe, plaines, sol frais, jusqu'à 1 300 mères.
IDENTIFICATION
Hauteur : 15 à 35 mètres
Tronc : cylindrique, droit
Ecorce : sombre, grossière et rugueuse, creusée de sillons longitudinaux,
Ramille : serrée, disposée sur le même plan, lisses
Feuille : pétiolée, distique à base asymétrique, ovale, pointue, ferme, mate, dentée, plus claire et poilu dessous à l'aisselle de nervures fourchues
Fleur : rouge sombre (février-avril), hermaphrodite, presque sessile, en petits fascicules alternés, sépales soudés, 5 étamines
Samare : rousse presque sessile à graine décentrée entourée d'une grande aile, plane, glabre, échancrée
Souche : drageonnante
Odeur : nulle
Saveur : amère, âpre, mucilagineuse
PARTIES UTILISEES
Ecorce moyenne, feuilles. Couper l'écorce en lanières, enrouler, sécher à l'ombre.
CONSTITUANTS
Mucilage, tanin, silice, potasse
PROPRIETES
Astringent, cicatrisant, dépuratif, sudorifique, tonique
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Quand on évoque les nénuphars, on pense tout de suite aux célèbres tableaux de Monet à Giverny. Cette superbe plante a été source d'inspiration féconde pour ce peintre et d'autres moins connus.
Nom latin :
"Nymphaca alba".. Famille : nymphéacées. Autres noms : Nymphéa, nymphé blanc, lis des étangs, lunifa, volant d'eau.
Etymologie :
Du grec nymphe, naïade, divinité des eaux dans la mythologie : allusion à la beauté de cette plante aquatique, ou bien au fait que cette plante côtoie les nymphes.
Origine, distribution, habitat, période de floraison :
Toute l'Europe, sauf extrême nord, Asie de l'Ouest, Inde. Commun dans toute la France, Spontané mais rare ou absent dans certaines régions, il est souvent introduit pour garnir des plans d'eau. Jusqu'à 800 mètres. Héliophile. Bassins, mares, étangs, eaux stagnantes, rivière à courant faible, fossés. Floraison de Juin à Septembre.
Description :
Le nénuphar blanc a des fleurs parfumées, flottantes, grandes de 5 à 15 cm, à de nombreux pétales (20 à 25) blancs passant insensiblement aux étamines. Le fruit globuleux porte la cicatrice des étamines tombées.
Utilisation :
Souvent utilisés en décoration sur les pièces d'eau, dans les parcs et les jardins.
Plusieurs espèces et variétés de nymphéas sont cultivées dans le monde pour leur beauté, leurs fleurs varient du blanc au rose foncé. Les rhizomes de divers nymphéas, riches en amidon, sont comestibles et rafraîchissantes. Ils ont été consommés dans de nombreuses parties du monde.Texte extrait du livre : Le grand Almanach de la France.
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Le sentier farfelu
Entre Rogne(s) et Lambesc, je connais un sentier
Qui erre ça et là, qu’on dirait en goguette
Tant il suit une voie qui n’a ni queue ni tête ;
Un chemin fantaisiste et très primesautier,Un layon caillouteux, un joyeux découcheur
Qui cahote en trottant, qui va et se tortille
En jouant plaisamment à tordre les chevilles
De tous ces casse-pieds qui se disent marcheurs :Le chemin buissonnier est un vrai solitaire
Qui n’aime point du tout qu’on vienne le fouler !
Il traverse la lande, il aime s’enrouler
Loin des sentiers battus et fort loin de ces terresOù ses frères captifs ont été goudronnés.
Oublié, par bonheur, il trottine et chemine
Entre les pins d’Alep fleurant bon la résine
Et les yeuses aiguës, sous le ciel festonnéDe nuages légers, tout criquant de cigales
Qui ont quitté pour lui leur monde souterrain.
Y palpite l’odeur du thym, du romarin,
De l’odorant bouquet des plantes provençalesDont le soleil rageur exalte la senteur.
Le petit chemin va, reliant les villages
Tout en tournevirant ; et son baguenaudage
A travers la garrigue est très cher à mon coeur.
Vette de Fonclare
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Le pavillon de la Source littéraire (Wenyange) abritait la Sikuquanshu, la "collection complète des livres des quatre bibliothèques", qui comprenait près de 80 000 volumes.
Devant le palais de l'Harmonie suprême, deux grands vases de bronze conservent le souvenir de ceux qui étaient disposés autour du palais, et qui, dans la crainte des incendies, étaient toujours remplis d'eau. A l'intérieur, des dragons de bronze à cinq griffes, dont le poids est estimé à 4 tonnes, étaient réputé attirer la pluie.
Le pavillon de l'Harmonie préservée (Baohedian), qui était utilisé pour les grands banquets de la cour, est le deuxième palais par ordre d'importance. Construit en 1420, remanié en 1625 et en 1765, il associe à l'élégance de son architecture la surprenante animation de ses jets d'eau. Un système complexe de conduites faisait en sorte, que les jours de pluie, l'eau jaillissait des 1412 têtes de dragon en marbre qui étaient disposés sur des colonnes autour de la salle.
De là, une stèle de marbre placée à l'horizontale, longue de 16,50 mètres et décorée de dragons jouant avec une perle, mène à la partie de la Cité interdite qui abrite les appartements privés.Le visiteur découvre d'abord le palais de la Pureté céleste (Quianqinggong) et le palais de la Tranquillité terrestre (Kuninggong). Construit en 1420, le premier pavillon, qui fut d'abord une résidence privée de l'empereur, puis une salle d'audience, abrite quatre miroirs monumentaux. C'est dans cette salle qu'en 1772 et en 1785 l'empereur offrit le banquet des Mille Anciens, auquel furent conviés tous les sexagénaires de toutes les provinces de l'empire.
Dans le palais de la Tranquillité terrestre, seul exemple d'architecture mandchoue de la Cité interdite, l'empereur passait traditionnellement sa première nuit de noces. Dans la chambre nuptiale, les murs sont peints en rouge, couleur du mariage, et ornés de l'idéogramme du double bonheur. Les lits en maçonnerie (kang), pourvus d'un système de chauffage, sont encore en place. A côté se trouve la salle où, chaque jour, des sacrifices étaient offerts au dieu Zaojun.
Plus loin, le Jardin impérial (Yuhuayuan), qui occupe une superficie de 12 000 mètres carrés, est orné de délicates constructions réservés aux passe-temps de la famille impériale. Devant le pavillon principal se dresse un pin, vieux de quatre siècles, qui symbolise l'harmonie entre l'empereur et l'impératrice.
Parmi les pavillons qui composent la partie privée de la Cité interdite, il faut mentionner aussi le palais de la Nourriture de l'esprit (Yangxindian), qui abritait les appartements privés de l'empereur. C'est là que, le 12février 1912, après le coup d'état de Sun Yat-sen, l'empereur Puyi signa son acte d'abdication, âgé de six à l'époque, l'empereur déchu vécut dans la Cité interdite jusqu'en 1924.
Non loin de là, les six Palais occidentaux (Xiliugong), qui abritaient les appartements des concubines, ont conservés des meubles et des objets de la fin de la période Ming.
A côté, le pavillon de la Longévité tranquille (Ningshougong), conçu en 1689 comme une réplique du palais de la Tranquillité terrestre, abrite une collection de 100 000 peintures, alors que le pavillon de la Longévité joyeuse ( Luoshoutang) conserve une statue en jade de 1 tonne, ainsi qu'une natte, longue de 2,16 mètres et large de 1,39,composée de fines bandes d'ivoire. Les collections présentées réunissent aussi des bijoux et des meubles Ming, des reliques tibétaines et des peintures sur soie.
Un grand nombre d'objet qui avaient appartenu aux empereurs furent emportés par l'armée de Sun Yat-sen, aujourd'hui, ces pièces constituent le noyau des collections du Musée national de Taipei, à Taiwan. Pour les remplacer, les autorités de la Chine Populaire rassemblèrent des pièces originaires de toutes les provinces de Chine.
L'entrée principale de la Cité interdite fut également surmontée d'un portrait monumental de Mao Zedong, qui sourit au peuple, tourné vers la place Tian'anmen, symbole de la Chine nouvelle.Texte extrait du livre : Les plus beaux sites du patrimoine mondial de l'Unesco
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Charles Gleyre, né le 2 mai 1806 à Chevilly (canton de Vaud) et mort le 5 mai 1874 à Paris, est un peintre suisse.
Après avoir étudié à Paris chez Louis Hersent, puis à Rome, il part en 1834, en compagnie de John Lowell Jr., industriel et amateur d'art fortuné vers la Sicile, la Grèce, l'Égypte, puis au Proche-Orient, et rentre à Paris en 1837, avec un problème de santé, sa vue s'étant altérée.
En 1840, Le duc de Luynes lui commande une peinture murale pour son château de Dampierre, qui sera remplacée quelque temps après par une peinture de Dominique Ingres.Il expose Le Soir, plus tard appelé Les Illusions perdues, au Salon de 1843. Peintre au dessin irréprochable, Charles Gleyre annonce les artistes symbolistes par la poésie de cette œuvre aux teintes irréelles.
Il est nommé professeur à l'École des beaux-arts de Paris en 1843, en remplacement de Paul Delaroche. Certains des peintres impressionnistes seront formés dans son atelier.
Plusieurs de ses tableaux orientalistes sont détruits lors d'un incendie au Caire en 1837.Son art prône le retour à l'antique. Il dit à Claude Monet : « Rappelez-vous, jeune homme, que quand on exécute une figure, on doit toujours penser à l'antique…? »
Le 5 mai 1874, Charles Gleyre meurt à Paris d'une atteinte d'apoplexie. Il est enterré au cimetière du Montparnasse. Une semaine plus tard, son corps est réclamé par le Conseil d'état Vaudois pour l'inhumer dans le cimetière de Chevilly, son village natal en Suisse. La famille du peintre regrette rapidement cette inhumation presque anonyme dans un petit cimetière de village et décide, vingt ans plus tard, de faire construire un tombeau digne de la réputation de l'artiste. Dans ce dessein, elle obtient en 1896 du gouvernement vaudois de faire transférer les cendres de Charles Gleyre au cimetière de la Sallaz à Lausanne. En 1947 ce cimetière étant désaffecté, le corps de Charles Gleyre est réinhumé dans sa tombe de Chevilly.
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Ne discutez pas avec le tentateur
"La femme répondit au serpent…" Genèse 3.2
Trop d'hommes et de femmes sont tombés dans le péché à vouloir argumenter avec le diable. Il ne s'appelle pas le père du mensonge, le rusé ou encore le malin pour rien. Il maîtrise très bien son sujet, il connaît toutes les astuces pour vous faire chuter.
Chaque jour priez afin de ne pas être incité à vous livrer à un acte répréhensible...
Souvent, le drame prend place lorsque vous commencez à parler et à répondre au tentateur. Adam et Eve ne sont pas nés dans le péché contrairement à vous. Rien ne les stimulait à commettre le mal. Ils étaient heureux, comblés et satisfaits. Leurs facultés psychologiques et spirituelles étaient à leur apogée et pourtant… Le diable les a balayés avec une simple conversation "amicale".Tant que cela dépend de vous, éloignez-vous radicalement de toute convoitise. Néanmoins, plus vous aurez d'impact pour le royaume de Dieu, plus votre adversaire désirera mener des attaques contre vous. C'est pourquoi la vigilance doit vous coller à la peau. Ne prenez pas le diable pour un idiot, il en a fait chuter plus d'un…
Chaque jour priez afin de ne pas être incité à vous livrer à un acte répréhensible, à être préservé de cette amorce qui, tel un hameçon, vous capture. Certes, la tentation n'est pas un péché mais son aire de combat se trouve en général en territoire ennemi. Aujourd'hui, élevez votre voix en demandant au Seigneur de vous préserver de tout appât susceptible de vous attirer dans un piège. Que le Seigneur éloigne vos pas de tout de tout esprit de séduction qui pourrait vous induire à pécher et qu'il vous délivre du mal.
Une prière pour aujourd'hui
Seigneur délivre-moi du mal, garde-moi de la tentation, amen.
Patrice Martorano
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Ingrédients pour 6 ou 8, selon la taille des verrines
• 150 g de chocolat blanc
• 25 cl de crème liquide
• 25 cl de crème de coco
• 50 g de sucre + 20 g (coulis) + 20 g (fruits)
• 3 feuilles de gélatine (ou 2 pour un résultat plus crémeux)
• 100 ml de purée de fruits de la passion
• 5 g de Maïzena + 2 cuillères à soupe d’eau
• ½ mangue
• ½ ananas
• Quelques graines de grenade
• 1 gousse de vanille
• 2 cuillères à soupe de noix de coco en poudrePréparation
Faire ramollir les feuilles de gélatine dans de l’eau froide. Mettre le chocolat blanc en morceaux dans un saladier.
Verser les crèmes dans une casserole avec les 50 g de sucre et la moitié des graines de la gousse de vanille. Quand la crème est très chaude, retirer du feu, essorer les feuilles de gélatine et les mettre à fondre dedans.
Verser sur le chocolat blanc et remuer avec une spatule jusqu’à ce qu’il soit totalement fondu. Répartir dans les verrines et mettre au frais au moins 2 heures.
Faire chauffer le jus de fruits de la passion avec 20 g de sucre. Diluer la maïzena dans 2 cuillères à soupe d’eau puis ajouter au coulis passion. Dès la reprise de l’ébullition, arrêter le feu, verser dans un saladier et garder au frais.
Peler l’ananas et la mangue puis couper en petits cubes (brunoise). Ajouter les graines de vanille restantes avec les 20 g de sucre puis conserver au frais.
Dans une poêle très chaude, faire légèrement torréfier la poudre de noix de coco puis réserver jusqu’au service.
Quand la pannacotta est bien prise, répartir le coulis passion, les fruits, les graines de grenade et la noix de coco torréfiée.
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Le noisetier est l'un de nos végétaux les plus anciens, il existait à l'époque tertiaire : de nombreux fossiles de feuilles ont été retrouvés, et les hommes de la préhistoire en consommaient les fruits, qu'on retrouve dans certaines tombes néolithiques.
Cet arbuste est bien connu de tous qui fleurit en septembre et dont les chatons jaunes répandent au coeur de l'hiver la poudre d'or de leur pollen.
Le nom de "Corylus" vient du grec corys, (casque), la noisette est en effet, enfermée dans une bractée verte à la manière d'une tête dans un casque.
Voici quelques appréciations des médecins anciens : Dioscoride pensait qu'elle était nuisible à l'estomac, mais calmait la toux,sainte Hildegarde la conseillait pour remédier à l'impuissance,
Matthiole la recommandait pilée et mêlée à la graisse d'ours pour faire repousser les cheveux,
Lusitanus l'estimait souveraine contre la maladie de la pierre.
De tout cela il demeure au moins une certitude : la noisette est très nutritive et stimulante, elle est plus digeste que la noix.
La racine veinée du noisetier est employée en marqueterieet ses souples rameaux fournissent la baguette fourchue des sourciers, indicatrice des points d'eau, si précieuse dans les campagnes.
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HABITAT
- Europe, sauf l'extrême Nord, bois, taillis, haies, jardins et parcs, bords des ruisseaux, jusqu'à 1 500 mètres.
IDENTIFICATION
- Hauteur : 3 à 5 mètres
- Arbuste, multiples tiges et rejets partant d'une souche commune
- Feuilles molles, ovale, terminées en pointe, doublement dentées, pubescentes à l'état jeune, alternes
- Chatons mâles jaune doré (septembre) allongés, retombants
- Chatons femelles (janvier-février), visibles seulement par le plumet rouge des stigmates
- Fruit sec indéhiscent renfermé dans l'involucre, cupule foliacée, 1 graine, rarement 2
- Odeur nullePARTIES UTILISEES
- Chatons, écorce des jeunes rameaux, feuilles, graines
CONSTITUANTS
- Flavonoïdes, tanin
PROPRIETES
- Amaigrissant, antihémorragique, antisudoral, astringent, dépuratif, fébrifuge, vaso-constricteur.
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