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A la Belle Epoque, les roses étaient surtout cultivées dans un but industriel. Elles entraient notamment dans la fabrication de savons, de parfums, d'eau de rose, d'huiles essentielles, de poudres et de crème, autant de produits prisés par les élégantes de l'époque.
C'est surtout sur les hauteurs de Grasse, dans les Alpes-Maritimes que s'étendaient le plus grand nombre de champs de fleurs de toutes sortes et aussi que se trouvaient les plus prestigieux parfumeurs.
Puis, de plus en plus, avec la mode des produits de beauté, se développa l'industrie de la distillation de fleurs.
Dès le début du XXe siècle, notamment dans le Gâtinais, en Essonne, en Seine-et-Marne et dans le Loiret, on commença à cultiver le crocus, dont les stigmates séchés donnent le safran. Ce dernier était, et est toujours, utilisé en teinturerie, en médecine et en cuisine.
Dans le Jura, la région de Pontarlier se spécialisa, à partir de 1797, dans la culture de l'absinthe, plante vivace aromatique. Cette production s'effectuait pour le compte d'un certain Henri-Louis Pernod qui créa une boisson bientôt surnommée la "fée verte", et dont la consommation fut interdite le 16 mars 1915 et à nouveau rétablie en 2011.Texte extrait du livre : Le grand Almanach de la France.
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Les autorités de la République populaire de Chine l'ont rebaptisée Gu Gong, le "musée du Palais", mais pour tous les Chinois, elle restera toujours Zijin Cheng, la "Cité Interdite". L'immense palais impérial de Pékin, qui s'étend sur 740 000 mètres carrés et rassemble 9 999 constructions, est le plus vaste complexe architectural du pays.
La peine de mort punissait tous ceux qui osaient franchir sans autorisation le portes de la somptueuse résidence qui fut celle des vingt-quatre empereurs des dynasties Ming et Qing. Pour les "fils du Ciel", qui ne pouvaient se mêler au commun des mortels, la Cité interdite était une prison dorée. Comment faisaient-ils, dans ce monde clos, pour gouverner un empire aussi vaste?
La question ne trouve pas facilement sa réponse. Sans doute les rituels compliqués qui rythmaient les journées de l'empereur étaient-ils un moyen de détourner son attention des manoeuvres de tous ceux qui, dans son entourage, exerçaient la réalité du pouvoir.
En 1407, à l'aube de sa cinquième année de règne, Yongle, empereur de la dynastie des Ming, commença la construction de la Cité interdite.Un million d'ouvriers, dont 100 000 artisans triés sur le volet, participèrent à l'immense chantier qui fut achevé quatorze ans plus tard.
Les pierres destinées aux bas-reliefs et aux terrasses furent extraites des carrières de Fangshan, situées aux portes de Pékin. Pour les transporter, des puits furent creusés le long de la route, à une distance de 50 mètres l'un de l'autre, en hiver la route aspergée d'eau se couvrait d'une couche de verglas, qui permettait de faire glisser les énormes blocs. Le bois de camphrier, destiné aux colonnes, provenait des provinces méridionales du Yunnan et du Sichuan. Les tuiles vernissées de couleur jaune, la couleur impériale, furent cuites dans des fours aménagés à proximité du chantier. Les murs extérieurs, épais de 8,60 mètres à la base et de 6,66 mètres au sommet, furent revêtus d'un badigeon de couleur rouge, mêlé à du riz glutineux et à du blanc d'oeuf. A l'intérieur, le sol des pavillons fut revêtu de briques.
A l'exception des terrasses et des toitures, les constructions étaient entièrement en bois, de sorte qu'à la suite des nombreux incendies qui dévastèrent la Cité interdite, la plupart des édifices conservés datent des XVIIIe et XIXe siècles.
La cité interdite est divisée en deux parties, l'une réservée aux palais officiels, l'autre aux appartements privés.
Le complexe est organisé le long d'un axe nord-sud : au centre s'alignent les pavillons impériaux, ouverts au sud, dont les noms sont empruntés à la tradition confucianiste; sur les côtés, les pavillons privés qui comprennent les appartements des concubines, des domestiques et des eunuques, sont disposés de façon symétrique.
La porte du Méridien (Wumen), qui se dresse à près de 36 mètres de hauteur, est la principale entrée de la Cité interdite. Construite en 1420 et restaurée en 1801, elle est percée de cinq arcades et surmontée de cinq pavillons. Le passage par l'arcade centrale était réservée à l'empereur, ainsi qu'à son épouse, le jour de son mariage, et aux élèves de l'école confucianiste, le jour de la remise des diplômes. C'est du pavillon central que l'empereur assistait aux défilés militaires ou proclamait le nouveau calendrier.
La grande cour sur laquelle s'ouvre la porte du Méridien est traverse par le ruisseau aux Eaux d'or (Jinshuihe), franchi par cinq ponts de marbre, symbole des cinq vertus du confucianisme.
Au fond de la cour, la porte de l'Harmonie suprême (Taihemen), gardée par deux lions de bronze doré, ouvre sur une vaste cour, qui pouvait accueillir 100 000 personnes.C'est là que se dresse le pavillon de l Harmonie suprême (Taihedian), le plus grand palais de la Cité interdite, qui avec ses 37,44 mètres est aussi le plus haut de Pékin. Symbole de la puissance impériale, la salle principale, dont les 72 colonnes sont ornées de dragons et de nuages, accueillait les cérémonies officielles : c'est là que , le jour de son anniversaire, l'empereur recevait l'hommage de la cour.
Les salles latérales étaient réservées aux audiences et aux dépôts de documents.Texte extrait du livre : Les plus beaux sites du patrimoine mondial de l'Unesco..
La suite de cet article la semaine prochaine
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Alan Fearnley est reconnu comme l'un des plus grands artistes peintres de l'automobile dans le monde. Né dans le Yorkshire en 1942, Alan Fearnley a étudié à Batley College of Art. Ses premières œuvres établissent Alan comme un artiste de talent unique et de qualité.
Dans la fin des années 1970 il a commencé à s'éloigner de compositions semi-abstraites, topographiques et paysagées pour s'orienter en direction des transports notamment l'automobile et le sport automobile.
Les travaux d'Alan Fearnley reflètent non seulement son unique talent artistique, mais aussi son amour et sa passion pour l'automobile et à la fois le sport automobile.
L'ambiance classique et romantique créée par des peintures de style de vie d'Alan Fearnley a élargi l'appel de l'art de l'automobile, tandis que le mouvement, l'attention aux détails et la qualité même de la peinture du sport automobile a créé la demande pour des œuvres originales d'Alan Fearnley et des estampes à tirage limité à travers le monde.
Alan Fearnley expose régulièrement son travail et son exposition annuelle à Monaco est devenue une caractéristique du weekend du Grand Prix
Alan Fearnley est l'un des meilleurs artistes du monde automobile. Il sait créer des scènes détaillées et techniquement précises, entourées d'un sens concret de l'atmosphère et de l'émotion.
Ses peintures et dessins illustrent aussi bien les Flèches d'Argent des années 30, les pilotes des années 50 et jusqu'à aujourd'hui, quand le sujet l'inspire
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A l'écoute de sa Parole
“Heureux sont et seront pour toujours, ceux qui écoutent la parole de Dieu et qui la mettent en pratique !” Luc 11.28
“Mon erreur vient du fait que je n'ai absolument pas écouté Dieu alors que tous les indicateurs étaient au rouge, je n'en faisais qu'à ma tête parce que j'étais amoureuse de ce garçon”. Ces propos m'ont été donnés par une sœur qui malheureusement venait de subir un divorce.
Au travers de sa Parole, Dieu vous révèle les fondements indispensables pour construire votre vie.
C'est un douloureux constat de voir combien l'homme est susceptible de s'égarer quand il décide d'ignorer le conseil de Dieu. Bien souvent, il fait le choix d'écouter son propre raisonnement, de poursuivre ses intérêts, ce qui peut sembler être un soulagement sur l'instant présent.Puis, le temps passe et tout le poids de ses choix remonte à la surface. Certaines erreurs peuvent être rapidement rectifiées tandis que d'autres ont des conséquences beaucoup plus graves.
Tristesse, remords, repentance... : ah si j'avais su, j'aurais écouté Dieu ! “Mon peuple est détruit parce qu'il lui manque la connaissance.” Osée 4.6
La vérité est qu'au travers de sa Parole, Dieu vous révèle les fondements indispensables pour construire votre vie. Il vous donne également les directives nécessaires pour en gérer chaque aspect et vivre ainsi en parfaite harmonie avec sa volonté.
“Ainsi parle l'Eternel, ton rédempteur, le Saint d'Israël : Moi, l'Eternel, ton Dieu, je t'instruis pour ton bien, Je te conduis dans la voie que tu dois suivre.” Ésaïe 48.17
Nul doute qu'au cours de votre vie Dieu vous invitera à faire des choix qui vont totalement à l'encontre de votre compréhension. Vous aurez peut-être même l'impression sur le coup de perdre quelque chose.
Heureusement il n'en est rien, c'est juste une impression, n'oubliez pas que Dieu voit plus loin que vous. Alors chaque conseil qu'il vous apportera vous mènera un peu plus haut vers les sommets de la réussite.
A coup sûr écouter sa parole est donc la meilleure décision pour votre vie.
Une action pour aujourd'hui
Père, je décide de me laisser guider d'après ta Parole !
Yannis Gautier
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Ingrédients pour 5 verrines :
300g d'un mélange de framboises et de groseilles1 louche de sucre en poudre
3 feuilles de gélatine
25cl de crème liquide entière
Du coulis de mûres
Préparation :
Réhydrater la gélatine dans de l'eau froide.Mixer une partie du mélange framboises/groseilles.
Passer au tamis pour éliminer les grains.
Ajouter le sucre.
Faire chauffer ce mélange.
Ajouter la gélatine essorée.
Monter la crème liquide en chantilly.
Une fois la purée de fruits refroidie, incorporer la chantilly.
Monter les verrines: au fond du coulis de mûres puis la mousse de framboises/groseilles.
Laisser prendre au frigo.
Avant de servir, recouvrir avec le restant de fruits rouges
Bonne dégustation !....
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Le néflier n'est pas la gloire de nos vergers, mais c'est un arbre fruitier qui jadis tenait sa place avant d'être relégué dans les haies. Il faut toutefois se rappeler l'expression argotique française "des nèfles" pour se rendre compte que ce fruit n'a jamais été tenu en grande estime.
Ses fleurs blanches sont assez grandes
et ses fruits, vulgairement appelés cul-de-chien, ressemblent à de petites pommes brunes surmontées d'une large couronne de sépales persistants. Mûrs, ils ne sont pas mangeables, il faut attendre qu'ils soient blets, alors ils acquièrent une saveur assez agréable.
On ne saurait rien dire du rôle du néflier dans l'Antiquité, car de nombreuses confusions sont commises à son sujet. Dès le Moyen-Age, on utilisait ses fruits contre les fièvres et les diarrhées, astringents, ils sont très précieux pour régulariser les fonctions intestinales, consommés à l'état naturel, ils sont supportés par les estomacs les plus délicats. Il est utile de les conserver en confectionnant compotes et sirops.=============
HABITAT :
Europe du Sud et du Sud-Est, rare en région méditerranéenne, forêts, bois clairs, haies, bosquets, jusqu'à 800 mètres.IDENTIFICATION :
Arbre : de 3 à 6 mètres
Tronc : tortueux
Rameaux : poilus et épineux
Feuilles : grandes, simples, entières ou un peu dentées, à courts pétioles, mates et glabres dessus, un peu cotonneuses dessous.
Fleurs : blanches (mai-juin), de 3 cm de diamètre, solitaires, subsessiles, entourées de grandes feuilles au sommet des rameaux, 5 sépales longs, persistants, 5 pétales ondulés, étamines nombreuses, ovaire infère.
Drupe : bronzée, largement déprimée au sommet, couronnée par les lobes du calice dressé, 5 noyaux à 1 graine ovoïde et comprimée.PARTIES UTILISEES :
fruits (après les premières gelées), noyaux, feuilles, écorce.
CONSTITUANTS :
tanin, acides (acétique, citrique, formique, malique, tartrique) matière pectiques, sucre, vitamine C
PROPRIETES :
astringent, diurétique.
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Depuis 1946, les Nuits de Fourvière, à Lyon, s'attachent à promouvoir tous les arts de la scène. Chaque été, le festival propose près de 60 représentations de théâtre, musique, danse, opéra, cirque, cinéma... Et accueille plus de 130 000 spectateurs.
Les nuits de Fourvière s'affichent comme un véritable festival de création. En effet, au-delà des spectacles proposés, les Nuits assument le montage financier de certains projets et le suivi de production, pour proposer au public toujours plus de qualité.
Les Nuits de Fourvière bénéficient également d'un atout majeur : le site archéologique de Fourvière. Découvert en 1946 à la suite de fouilles, le Grand Théatre, édifié par les romains au temps de l'antique "Lugdunum"inauguré par Edouard Herriot, alors maire de la ville, servira dès le début de scène au groupe de théatre antique de la Sorbonne.
Aujourd'hui reconnues comme une manifestation culturelle majeure, les Nuits de Fourvière savent contenter tous les spectateurs.Texte extraits du livre : Le grand Almanach de la France.
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Il fera longtemps clair ce soir
Il fera longtemps clair ce soir, les jours allongent,
La rumeur du jour vif se disperse et s'enfuit,
Et les arbres, surpris de ne pas voir la nuit,
Demeurent éveillés dans le soir blanc, et songent...Les marronniers, sur l'air plein d'or et de lourdeur,
Répandent leurs parfums et semblent les étendre ;
On n'ose pas marcher ni remuer l'air tendre
De peur de déranger le sommeil des odeurs.De lointains roulements arrivent de la ville...
La poussière, qu'un peu de brise soulevait,
Quittant l'arbre mouvant et las qu'elle revêt,
Redescend doucement sur les chemins tranquilles.Nous avons tous les jours l'habitude de voir
Cette route si simple et si souvent suivie,
Et pourtant quelque chose est changé dans la vie,
Nous n'aurons plus jamais notre âme de ce soir...Anna de NOAILLES
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Au cours des siècles, de multiples hypothèses ont été formulées sur l'identité des architectes. Certains ont même voulu attribuer le mausolée à Pietro Veroneo, qui fut au service de l'empereur durant la durée de sa construction. Néanmoins, il paraît improbable qu'un architecte italien fût-il le contemporain du Bernin, eût été capable de concevoir un monument qui conjugue aussi parfaitement les traditions indienne et persane. L'état actuel de la recherche laisse plutôt penser que le projet de l'oeuvre conjointe de plusieurs architectes orientaux.
Orné d'arabesques et d'inscriptions coraniques, un portail monumental en grès rouge, flanqué de tours de style hindou, constitue l'accès au Tadj Mahall.
Une fois le portail franchi, le visiteur découvre le mausolée, magnifique construction de 75 mètres de haut, qui repose sur un socle quadrangulaire de 57 mètres de côté. Aux quatre angles se dressent autant de minarets, qui sont légèrement penchés : cette inclinaison souligne l'effet de perspective et renforce leur résistance aux secousses sismiques.Surmonté d'un pinacle en cuivre de 9 mètres de haut, l'énorme dôme bulbeux, autrefois doré, fut probablement conçu par un architecte turc, Ismaïl Effendi, qui avait travaillé pour les sultans ottomans à Istanbul.
La construction du Tadj Mahall, qui s'étendit de 1632 à 1648, témoigne d'une grande maîtrise technique. Coiffés d'un dôme qui pèse plus de 12 000 tonnes, les murs extérieurs supportent un poids de 86 tonnes par mètre carré. Revêtu de marbre, l'édifice est soutenu par des arcs renforcés de briques, des poteaux de bois et des piquets de fer enfoncés dans la plate-forme. Un système de puits protège le site contre les crues de la Yamuna, dont le cours fut détourné de façon que la terrasse arrière surplombe la rive droite. A la prouesse technique des architectes s'ajoute l'habileté extraordinaire des artisans qui ont exécuté l'ornementation du mausolée, composée d'inscriptions coraniques, d'arabesques florales et de motifs géométriques. Mais ce raffinement n'enlève rien à l'impression de simplicité et d'harmonie qui se dégage du monument dans son ensemble.
De la part et d'autre du mausolée se dressent deux édifices identiques en grès rouge, coiffés chacun de huit coupoles. Alors que le bâtiment de gauche, tourné vers la Mecque, est une mosquée, le bâtiment de droite, appelé Jawab, "la Réponse", était destiné à recevoir les pèlerins.
Au centre, enfin s'étend le Char Bagh, le jardin de style persan crée à l'image du paradis. Orné de fontaines, il obéit à une géométrie parfaite, régie par la répétition du chiffre quatre et de ses multiples : ce grand carré, divisé en quatre parties, contenait à l'origine seize parterres, qui contenaient chacun quatre cents fleurs.
A l'intérieur du mausolée, le cénotaphe de Chah Djahan est le seul élément qui rompt la symétrie de l'ensemble. Dans l'immense salle, ornée de pierres précieuses, de mosaïques et de motifs sculptés dans le marbre, le cénotaphe de Mumtaz Mahall, situé au centre, est en effet flanqué sur sa gauche du cénotaphe de l'empereur. Le shéma asymétrique se retrouve dans la crypte, située sous la chambre funéraire, qui contient les tombeaux de Mumtaz Mahall et le Chah Djahan.
La violation du principe de symétrie qui gouverne l'ensemble du complexe s'explique par n'inachèvement du projet. A vrai dire, Chah Djaham repose ici contre sa volonté : l'empereur avait prévu de faire construire sur la rive opposée de la Yamuna un second mausolée en marbre noir, identique au Tadj Mahall, et de réunir les deux rives par un pont en or massif. Après sa mort, cependant, son fils Aurangzeb, qui était monté sur le trône après avoir exterminé toute sa famille, jugea inopportun de se lancer dans un pareil chantier de cette envergure et fit placer son père dans le Tadj Mahall.
Après le règne de Chah Djahan, qui avait marqué l'apogée de l'Empire moghol, la rébellion de plusieurs provinces précipita le déclin de la dynastie.
Délaissé, le mausolée du Tadj Mahall fut exposé aux pillages. Alors que des pierres précieuses étaient volées en grand nombre, la porte d'entrée en argent fut fondue, puis remplacée par une porte en cuivre. Aussitôt installés en Inde, les Britanniques emportèrent la couverture en or du dôme et lui substituèrent une couverture en cuivre. L'idée fut même lancée de démolir le mausolée et de vendre aux enchères les bas-reliefs, qui auraient peut-être trouvé place dans un château de la campagne anglaise.
Après l'indépendance de l'Inde, le monument fut l'objet d'une patiente restauration. Aujourd'hui, il a retrouvé tout son éclat, même si les fumées toxiques des quelques deux cents fonderies d'Agra mettent en péril la blancheur du marbre.Texte extrait du livre : Les plus beaux sites du patrimoine mondial de l'Unesco
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