Les bénédictions liées à la crainte de l'Éternel

 

 "Heureux quiconque craint l’Éternel et marche dans ses voies ! Tu jouis alors du travail de tes mains, tu es heureux, tu prospères. Ta femme est comme une vigne féconde dans l’intérieur de ta maison ; tes fils sont comme des plants d’olivier, autour de la table." Psaumes 128.1-3

 

 Les êtres modernes que nous sommes aiment être indépendants et agir à leur guise. L'idée de craindre l'Éternel peut nous paraître archaïque et irréaliste. Mais Dieu promet des bénédictions à ceux qui le craignent. Comment pouvons-nous savoir si nous avons "la crainte de l'Éternel" ? Le psalmiste nous donne une indication simple : nous craignons véritablement l'Éternel si nous marchons dans ses voies. Si nous lui obéissons et prenons sa Parole au sérieux. Si nous agissons ainsi, Dieu promet de nous bénir.

 

 
 Ceux qui le craignent mettent ses principes en pratique. Lorsque nous lui consacrons nos vies et nos ressources, il nous bénit en retour. Il pourvoit à nos besoins. Il nous guide, nous protège et nous donne sa sagesse. Il exauce nos prières et nous avons accès à sa puissance.

Ensuite, Dieu nous bénit en faisant fructifier notre labeur. Nous ne connaîtrons pas la frustration, mais jouirons au contraire du travail de nos mains et verrons des résultats à nos actions. De plus, il nous donnera la joie, le bonheur et le contentement en récompense et nous libérera de l'agitation et du trouble. Enfin, les bénédictions de Dieu s'étendront à notre famille et nos enfants. Nous pouvons les lui confier et lui demander de pourvoir à leurs besoins.

 

 
 Ce sont autant de bénédictions qui découlent de la crainte du Seigneur et de l'obéissance à sa volonté.
 
 Aujourd'hui, Dieu est prêt à vous bénir. Il vous suffit de le craindre, de le chercher et de marcher dans ses voies. Faites de cette attitude la règle de votre vie.
 
 Une prière pour aujourd'hui

 

Père, je te crains et je t'adore. Je veux marcher dans tes voies. Bénis-moi et permets que je porte du fruit. Je veux investir le temps, les talents et les trésors que tu m'as confiés. Au nom de Jésus. Amen.

 

John Roos

 

 

 

Ingrédients:

 

Mousse au chocolat: 150g de chocolat noir, 100g de lait, 1/2 cc d’agar-agar, 180g de crème

Bavarois au caramel salé: 100g de sucre, 70g de beurre demi-sel, 20cl de lait, 2 jaunes d’oeuf, 10g de Maïzena, 1/2 cc d’agar-agar, 150g de crème.

Biscuit aux noix: 3 blancs d’oeuf, 40g de sucre en poudre, 40g de poudre de noix, 70g de sucre glace, 25g de farine.
                        5 poires, le jus d’un citron, 100g de sucre, 300g d’eau.

 

Préparation:

 

Mousse au chocolat: fondre le chocolat au bain marie. Chauffer le lait avec l’agar-agar. Incorporer le lait au chocolat à la maryse et en 3 fois.
Ensuite ajouter la crème montée Chantilly. N’ayant pas ce cercle à entremet de la taille désirée, j’ai utilisé un moule à cake chemisé de film alimentaire et procédé au montage « à l’envers ». Verser la mousse dans le moule et réserver au frais.
Eplucher et épépiner les poires, les arroser du jus de citron pour qu’elles ne noircissent pas, puis les faire pocher une vingtaine de minutes dans un sirop réalisé avec l’eau et le sucre.
Une fois refroidies, les couper en tranches assez épaisses et les répartir sur la mousse au chocolat.

 

 

Bavarois au caramel salé: faire un caramel à sec avec le sucre puis ajouter le beurre salé et le lait chaud. Mélanger les jaunes avec la Maïzena et l’agar-agar, ajouter le lait caramélisé et cuire comme une crème pâtissière. Incorporer au mélange refroidi la crème fouettée. Déposer le bavarois sur les poires.

 

 

Biscuit aux noix: monter les blancs en neige, incorporer le sucre quand ils commencent à mousser. Ajouter le sucre glace et les poudres à la maryse. Cuire sur une plaque à pâtisserie 12 min à 180°.

 

 

Découper un rond de biscuit de la taille de votre moule, puis déposer le sur les crèmes. Réserver au frais.

Démouler le gâteau puis le décorer selon vos envies et les moyens du bord. Ici, bord en chocolat, des poires, des noisettes au caramel.

 

 

 

Ce bleuet des moissons appartient au genre très peuplé des Centaurées, dont quelques espèces seulement possèdent des propriétés médicinales. Ce nom leur a été donné en l'honneur du fabuleux Chiron, mi-homme, mi-cheval, savant éducateur d'Achille et fort versé en médecine.
Connues de tous, ses fleurs d'un bleu profond réservent souvent aux jardiniers la surprise de se colorer en rose si elles sont emprisonnées dans les parterres.

 

Cette plante disparaît peu à peu, détruite par les herbicides. Parmi ses nombreux surnoms, le bleuet porte celui de "casse-lunettes", c'est une allusion à sa bienfaisante action sur la vue.

 

 

La tradition veut que, bleu, le bleuet des moissons soigne les yeux bleus, tandis que les plantains conviennent mieux aux yeux bruns. Sans aller jusque là, il est vrai que les fleurs de bleuet en décoction font merveille pour rendre leur vivacité aux regards fatigués. Elles partagent cette propriété avec une espèce voisine qui pousse dans les montagnes, " Centaurea montana ".

 

 

HABITAT

- Europe, champs de créales, sols riches et légers, jusqu'à 1 800 mètres

 

 

IDENTIFICATION

- 0,30 à 0,80 mètre, bisannuelle

 

- Tige raide, striée, rameuse, couverte d'un duvet gris

 

- Feuilles vert-gris, duveteuses dessus, cotonneuses dessous,

 

                                        les supérieures sessiles, entières, étroites,
                                        les inférieures pétiolées, divisées

 

- Fleurs bleu vif (mai-septembre), en grands capitules, à bractées bordées de cils argentés,   tubuleuses, hermaphrodites au centre, stériles et rayonnantes à la ériphérie, en cornets découpés

 

- Akène clair, à courte aigrette dure, rousse

 

- Racine pivotante, grêle

- Saveur amère

 

PARIES UTILISEES

- Plante entière, fleur, graine (juin-août), séchage au grand air

 

 

CONSTITUANTS

- Tanin, glucoside, pigment bleu

 

 

PROPRIETES

- Adoucissant, astringent, goutte, oedème, orgelet, rhumatisme, yeux

 

 

 

Dans la mythologie grecque, Arachné était une jeune fille experte dans l'art du tissage, personne ne l'égalait.

 

 

Athéna, fille de Zeus et déesse des Arts et des Sciences lui rendit visite, déguisée. Elle constata la qualité de son travail, mais aussi son arrogance car Arachné se prétendait supérieure à elle.Les deux femmes se défièrent alors dans un concours. Athéna tissa une toile représentant la majesté des douze dieux de l'Olympe, tandis qu'Arachné osa représenter la vie scandaleuse de Zeus et de ses acolytes. Mais le travail d'Arachné était tellement beau et parfait que la déesse n'y découvrit aucun défaut. Alors, folle de rage, Athéna frappa Arachné puis lacéra et mis en lambeaux son chef d'oeuvre.

 

 

Arachné alla se pendre de désespoir. En apprenant  le drame, Athéna lui offrit une seconde vie en la métamorphosant en une araignée suspendue à sa toile. Ainsi ses talents de tisseuse perdureraient.

 

C'est à partir de cette légende que les entomologistes donnèrent le nom d'arachides à une classe d'arthropodes distinctes des insectes, dont font partie les araignées.

 

Texte extrait du livre : Le grand Almanach de la France.

 

 

 

Parfums d'ailleurs

 

Habituellement délicat, chez l'orchidée,
Suave et sucré, pour la fleur de vanille,
Il se fait subtil sur les bougainvillées,
Réchauffés sous le soleil des Antilles.

 

Fragrance entêtante qu'est celle du tiaré,
Émanation capiteuse du coprah de coco,
L'une ornant la noire chevelure des vahinés,
L'autre fleurant leurs corps vêtus de paréo.

 

Concentré pour l'ilang-ilang, le géranium,
Il sied à merveille au jasmin, frangipanier,
S'exhalant des bosquets de pélargonium,
D'arbres à fleurs d'oranger ou de citronnier.

 

Exhalaisons attrayantes des jardins du monde,
Exposant dans leurs paniers emplis d'épices,
Colombo ou gingembre, aux courbes rondes,
Safran, cannelle, curry et bâtons de réglisse.

 

Les sens en émoi, par ces délectables effluves,
L'on se laisse emporter par de telles tentations,
De senteurs épicées, sous une chaleur d'étuve,
Auxquelles le voyageur succombe de passion.

 

Guy Vigneau

 

 

 

Toute la Rome antique est constellée de colonnes célébrant les entreprises guerrières. Marc Aurèle fait lui aussi ériger un monument pour commémorer ses victoires contre les Germains. Débutée en 176 et achevée en 193, la colonne mesure 100 pieds de haut -unité de mesure de l'époque - soit près de 30 mètres. Elle atteint 42 mètres lorsque le Pape Sixte V fait poser la statue de Saint Paul à son sommet en 1589. Elle se compose de 28 tambours de marbre superposés, et la spirale sculptée en bas relief compte 21 circonvolutions. Elle abrite à l'intérieur un escalier en colimaçon de 203 marches qui monte jusqu'à la statue.

 

Parmi les autres monuments protégés par l'Unesco comme patrimoine mondial de l'humanité, le Panthéon est l'un des plus majestueux et des mieux conservés. Erigé par Marcus Vipsanius Agrippa en 27 av.J.C., et construit par Hadrien entre 118 et 125 de notre ère, il est le résultat de la réunion d'un édifice rond, recouvert d'une coupole hémisphérique et d'un pronaos rectangulaire orné de colonnes. Un mur circulaire soutient le tambour, haut de plus de 30 mètres. La coupole se termine par un oeil central, d'un diamètre de 9 mètres, qui éclaire l'intérieur. En 609, le Pape Boniface IV le transforme en église chrétienne. Il abrite aujourd'hui les tombeaux de Raphaël, Victor-Emmanuel II, Umberto 1er et Marguerite de Savoie.

 

D'imposants édifices funéraires sont également inscrits au patrimoine de l'humanité, dont le colossal mausolée dont Auguste ordonne la construction en 28 av.J.C., après avoir soumis Antoine et Cléopâtre. Haut de 44 mètres pour 87 de diamètre, il se compose d'un corps cylindrique revêtu de blocs de travertin, au centre duquel s'ouvre une porte précédée d'un court escalier et flanquée de deux piliers sur lesquels sont posées des plaques de bronze gravées, relatant les faits de l'empereur. Le "dromos"  débouche sur deux couloirs annulaires qui entourent la chambre mortuaire. En son centre, un noyau cylindrique revêtu de blocs de travertin est l'épine dorsale de l'édifice

 

Le mausolée d'Hadrien, construit à partir de 121 apr.J.C., et connu aujourd'hui sous le nom de château Saint-Ange, est tout aussi remarquable. Il se compose à l'origine d'un embasement carré sur lequel se dresse la masse cylindrique que l'on voit encore, haute de 21 mètres pour 64 mètres de diamètre. Au centre se dresse un second cylindre, plus petit, qui abrite les cendres d'Hadrien. Au dessous, où se trouvent aujourd'hui l'ange et son épée, un char tiré par quatre chevaux de bronze transporte au ciel l'effigie de l'empereur.

 

Telle est une brève descriprion des monuments que l'Unesco a explicitement cités pour justifier l'inscription de Rome au patrimoine mondial.
Mais l'héritage laissé par la Ville éternelle nécessiterait beaucoup plus d'espace. A commencer par les thermes de Caracalla,

 

 

ou par l'anneau du Circus Maximus qui, après sa reconstruction par Trajan au IIe siècle apr.J.C., comptait plus de 300 000 places.

 

Sans oublier des monuments découverts plus récemment, comme la Domus Auréa (la résidence de Néron),

 

 

ou les tombes sur l'Appia antica.

 

Les fouilles archéologiques continuent. Rome n'a pas fini de nous livrer les richesses de son passé.

 

Texte extrait du livre : Les plus grands sites du patrimoine mondial de l'Unesco.

 

 

Albert Swayhoover est né à New York. Il a étudié l'art à l'université de New York à Farmingdale, à Long Island, et à la School of Visual Arts, partageant son temps entre la peinture et une carrière réussie dans la publicité. La demande pour ses toiles a augmenté régulièrement et en 1966, il a quitté la publicité pour se consacrer entièrement à la peinture. Il est le récipiendaire de plus de 25 récompenses, dont le Prix Solomon R. Guggenheim donnée par le Club Salmagundi de NY Il a eu beaucoup de succès one-man-montre dans les principales galeries à travers l'Amérique.

 

 Son travail a été en musée montre et sur les couvertures de magazines. Certains de ses tableaux sont accrochés dans d'importantes collections privées ainsi que les collections d'entreprise d'IBM, Chase, CBS, Raymond James et beaucoup d'autres. Avec l'avènement de la publication de son ouvrage que les éditions limitées et des affiches, il est aujourd'hui l'un des artistes les plus collectés en Amérique. Affiches de son travail montrent maintenant dans les galeries en Europe.

 

 Citation:

 «Je ne peux obtenir des surfaces picturales sans l'irritabilité des coups de pinceau. Couleurs rester dynamique et formes rester croquants." "Je crois que chaque artiste construit dans la structure de son travail l'influence de son entourage. Ma vie à la terre comme un jeune homme m'a beaucoup inspiré. Les anciens camps de pêche sur la rive orientale de Long Island et les maisons pittoresques sur Oak Island étaient mes premières inspirations. Je ai adoré les sons et les curiosités des chantiers navals et le vent soufflé marais qui les entourent, les vieilles granges de pierre de la Pennsylvanie aussi m'a inspiré.

 

 

Je l'ai fait des aquarelles et des dessins au crayon de ces scènes. Maintenant, après avoir été un bel artiste depuis plus de 45 ans, je me réfère toujours revenir à mes anciennes carnets de croquis et de photos. Ils revitalisent ma créativité et de faire mes tableaux prennent vie. Peintures besoin de sincérité et de réalisme pour les faire fonctionner. Je suis heureux de documenter ces scènes parce qu'ils disparaissent rapidement de notre monde ".

 

 

Toutes mes excuses pour la traduction qui n'est pas excellente...

 

 

"Tu oins d’huile ma tête, et ma coupe déborde." Psaumes 23.5

 Connaissez-vous l'expression : "C'est la goutte d'eau qui fait déborder le vase !" ? Cette expression signifie qu'une personne ne peut plus supporter une situation, ou bien qu'un événement en trop est venu s'ajouter à celle-ci. Il s'agit d'une image renvoyant à un vase dans lequel on verserait de l'eau jusqu'à ce qu'il déborde, autrement dit "jusqu'à ce qu'il ne puisse en supporter davantage". D'ailleurs avant de recevoir cette fameuse goutte, les gens disent : "La coupe est pleine !" Ces expressions renvoient à une notion de conflit.

 

 

De quoi notre coupe est-elle pleine ?
 Cependant, il semble que dans le Psaume 23, il en est autrement. David désire ardemment que sa coupe soit pleine, et même qu'elle déborde. Il attend avec impatience cette fameuse goutte d'eau qui va venir faire déborder son vase.

Ces deux citations, l'une profane et l'autre biblique, nous poussent à une question sous forme de réflexion. De quoi notre coupe est-elle pleine ? Est-elle remplie de frustration, de colère, d'angoisse et de méchanceté ou bien est-elle débordante de grâce, d'amour, de reconnaissance et de l'onction divine ?

 

 

Qu'en ce jour vous puissiez demander à Dieu de vider votre coupe de tout ce qui n'est pas à sa gloire. Ensuite, priez afin qu'il vous remplisse de son Esprit.

Si autrefois votre coupe était pleine d'inquiétude, qu'elle puisse désormais être remplie de paix. Si votre vase était prêt à déborder de colère, laissez Dieu vous donner sa douceur. Si votre vie est pleine de péché, que Dieu lave votre vase souillé et qu'ensuite il le remplisse de son pardon.

Oui, Seigneur que ma coupe déborde de ta joie, de ton amour et de ton Esprit.

 

 

Une prière pour aujourd'hui

 Seigneur, je viens devant toi en ce jour pour te demander de vider mon vase de tout ce qui n'est pas à ta gloire. Désormais Jésus, remplis ma coupe de ton onction et que celle-ci puisse déborder pour la gloire de ton nom. Amen.

 

 

 

 

 Ingrédients pour 4 personnes :

 

600 g de pâte feuilletée maison (ou 2 rouleaux achetés)

100 g de viande de boeuf

200 g de viande de veau

1 carotte

1 oignon

2 gousses d'ail

1/2 à 1 verre de vin blanc (Alsace)

1 oeuf (+ 1 oeuf pour dorer)

1 cuillère à soupe de moutarde

100 g de fromage râpé 

persil

sel, poivre

 

Préparation :

 

 

Etendre la pâte : former deux ronds de pâte (un à peine plus grand que l'autre)

Mettre le plus petit sur une plaque recouverte de papier sulfurisé ou sur une feuille de silicone.

Répartir la farce sur ce rond de pâte en laissant libre un bord d'1,5 à 2 cm. Bien tasser le farce (elle peut avoir 2 cm de hauteur ce n'est pas gênant)

Recouvrir le tout avec le deuxième cercle de pâte.

Souder les bords avec un peu d'eau.

Festonner les bords (appuyer de l'extérieur vers l'intérieur avec la tranche d'une cuillère pour former des petits "ponts" de pâte)

Percer un petit trou au dessus de la tourte pour laisser la vapeur s'échapper.

Avec le surplus de pâte, décorer la tourte (former des fleurs, feuilles ou autres déco..)

Dorer la tourte avec un oeuf battu (jaune d'oeuf ou oeuf entier) en ne mettant pas d'oeuf sur les bords afin de ne pas empêcher la pâte de lever.

Enfourner à 190° (four préchauffé) pendant 45 min à 1 heure (temps variable en fonction de la pâte et du four)

La tourte est cuite lorsque la pâte est cuite.

 

Servir chaud avec une salade verte.

 

 

Nombreux sont les poètes et les romanciers qui ont célébré l'aubépine : Jehan Froissart, Bernard Palissy, Clément Marot, Bernardin de Saint-Pierre, Georges Sand et bien d'autres lui ont rendu hommage sous les noms les plus divers.

 

 

L'aubépine, malgré l'âge très avancé qu'elle peut atteindre - parfois 500 ans - malgré ses aiguillons rébarbatifs et son bois dur comme le fer, reste pour tous le symbole de la délicatesse et de la plus fraîche beauté. Et pourtant, c'est dans son bois dur comme le fer que l'on taillait autrefois les billots .

 

 

Les propriétés médicinales sont :  alimentaires pour les hommes de la préhistoire, comme le prouvent les noyaux trouvés dans les vestiges des cités lacustres,

 

 

les fruits rouges des aubépines depuis longtemps employés pour leur effet diurétique et astringent.

 

 

La mise en évidence de leur vigoureuse action cardiaque, due à des médecins américains, est une découverte moderne.

 

 

HABITAT

- Europe, tous terrains, jusqu'à 1 600 mètres

 

 

IDENTIFICATION

- Hauteur : 2 à 4 mètres

 

 

- Ecorce jeune gris clair, lisse, plus tard brune, fendillée

 

 

- Feuilles caduques,  3 à 7 lobes très profonds, non dentés

 

                            
- Fleurs blanches ou rosées (avril-juin) en corimbes, 5 pétales libres
                               style blanc vert, étamines violacées

 

                             
- Drupe ovoïde, farineuse, rouge, 1 noyau

 

- Odeur faible

- Saveur douce, fade

 

PARTIES UTILISEES

 

- Fleurs en bouton, drupes (fin septembre), écorce des jeunes rameaux (février), séchage des   drupes au four

 

 

- CONSTITUANTS

 

- Pigments flavoniques, aminés, dérivés terpéniques, histamine, tanin, vitamine C

 

 

PROPRIETES

 

- Antispasmodique, astringent, diurétique, fébrifuge, hypotensive, sédative