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Brian Neher est né à Alexandrie, en Virginie, en 1972, Brian a commencé à dessiner à l'âge de trois ans. Grâce à l'encouragement et l'exemple de sa grand-mère, une artiste commerciale elle-même, il savait dès son jeune âge ,qu'il voulait poursuivre une carrière artistique.
Il a obtenu son baccalauréat des arts de Pensacola Christian College à Pensacola, en Floride, où il a également travaillé comme illustrateur pour des livres BEKA. C'est là qu'il a eu l'occasion d'étudier avec Brian Jekel, un peintre accompli qui aurait un impact important sur sa vie.
"En me présentant à des maîtres anciens de la fin du XIXe siècle, Brian Jekel mis en branle une série d'événements et d'étude qui serait à jamais diriger mon parcours en tant qu'artiste."
Brian Neher est un portraitiste de talent. Il capte non seulement la ressemblance exacte des enfants, mais aussi les expressions uniques de vue des enfants et de leurs personnalités sur la toileAujourd'hui, Brian réside à Charlotte, en Caroline du Nord avec son épouse, Jacquie et leurs deux enfants
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Jésus parlait à ses disciples de sa venue : « Prenez garde, veillez : car vous ne savez pas quand viendra le moment. Il en est comme d’un homme parti en voyage : en quittant sa maison, il a donné tout pouvoir à ses serviteurs, fixé à chacun son travail, et recommandé au portier de veiller. Veillez donc, car vous ne savez pas quand le maître de la maison reviendra, le soir ou à minuit, au chant du coq ou le matin. Il peut arriver à l’improviste et vous trouver endormis. Ce que je vous dis là, je le dis à tous : Veillez ! »Prière d’introduction Seigneur Jésus, permets-moi de passer ces quelques minutes dans un dialogue de prière avec toi. Aide-moi à mettre de côté tous mes soucis afin d’utiliser ce temps de l’Avent pour me préparer à ta venue.
Pétition Mon Dieu, chaque jour tu fais une apparition inattendue dans ma vie. Aide-moi à être attentif de sorte que je puisse te reconnaître à ton passage.
1. Soyons prêts ! Souvent des événements se produisent sans que nous ne soyons ni prévenus ni préparés. Combien de fois la date d’anniversaire d’un ami nous a- telle échappée par inadvertance ? Il y a un événement qui doit être marqué en "gras" sur notre calendrier : c’est l’avènement de Jésus-Christ. Jésus va vraiment venir pour chercher des cœurs où il pourra faire sa demeure. Le danger d’être pris par surprise est plus grand qu’il ne semble, de prime abord. Comme les personnes du récit de l’évangile d’aujourd’hui, la routine peut s’installer dans notre vie. Le tourbillon de chaque jour peut nous cacher la présence du Christ. Y a-t-il des aspects de ma vie que je ne voudrais pas que Jésus connaisse ? Y a-t-il des personnes que j’ai du mal à supporter ? Qu’est-ce que je dois changer dans ma vie de sorte que Jésus soit un invité bien reçu à chaque moment de ma journée ?
2. Jésus vient. L’Eglise nous offre ces quarante jours de l’Avent pour nous préparer à la naissance du Sauveur. Mais le Christ ne vient pas seulement une fois par an à Noël. Comme notre pape François le précise constamment : le "Christ hier, aujourd’hui et pour toujours." Le Christ est venu dans son incarnation, et il est encore présent avec nous dans l’Ecriture et dans le Saint Sacrement. Jésus vient également à nous, caché, dans notre voisin démuni. Soyons attentifs afin de le reconnaître et de le servir en vivant la charité. Est-ce que je perçois l’incarnation comme le plus grand don de Dieu le Père à l’humanité ? Est-ce que je me rends compte que la réalisation des paroles de Jésus, "Je suis avec vous jusqu’à la fin du temps" trouvent leur réalisation dans l’Eucharistie ? Ai-je un grand amour pour le Christ dans le Saint Sacrement ? Est-ce que je cultive un désir ardent de le recevoir dignement ?
3. Suis-je prêt à l’accueillir ? L’Avent est déjà là et la célébration de la naissance de Jésus- Christ est toute proche. Comme nos cœurs désirent ardemment la joie et la paix promises par les anges en la nuit bénie de la naissance de Jésus ! Cette année, Jésus trouvera-t-il un endroit pour naître ? Comme au premier Noël, ira t’il de porte-à-porte, cherchant un endroit où se reposer. Peut-être, comme lors du premier Noël, y aura t’il des maisons où il n’y aura pas de place pour lui. Peut-être seront-elles trop accaparées par les soucis de la fête. Cependant, alors que tous les manoirs et les palais seront peut-être pleins, il y aura d’autres endroits plus humbles, prêts à accueillir le Christ : des cœurs simples brûlants d’amour. Offrons à Jésus notre cœur ; laissons la porte entre ouverte et il trouvera son chemin pour y entrer.
Dialogue avec le Christ Seigneur Jésus, je sais que je ne suis pas digne du grand amour que tu me portes. Les soucis du moment m’envahissent jusqu’à parfois me faire oublier le plus important. Quand tu frappes à ma porte ce Noël, je veux être éveillé avec ma lampe à la main, prêt à te recevoir dans mon cœur.
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Ingrédients :
20 crèpes
4 tranches de jambon
12 batonnets de surumi
2 avocats
4 tomates
8 oeufs
1 laitue
Préparation :Délicieuse entrée à préparer la veille
Faire des crèpes de sarazin et étaler de la mayonnaise a l'aide d'un pinceau sur les deux faces de chaque crèpe.
Alterner les couches avec
oeufs durs écrasés
tomates mondées, tranchées finement
jambon
avocat, tranché fin
surimi
salade ciseléerecommencer jusqu'a epuisement
finir par une crèpe, napper de mayonnaise et décorer a l'aide d'oeufs durs écrasés mélangés avec du persil.
Filmer et poser une assiette retournée avec un poids dessus jusqu'au lendemain
Ce mille feuilles est prévu pour une entrée de 10 personnesbon appétit:
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Sur les rochers du littoral de la Manche et de l'Atlantique découverts à marée basse, on rencontre en grande abondance cette algue buissonnante lie-de-vin ou brunâtre, très ramifiée, à segments aplatis et lisières crispées. On la reconnaît à sa fronde qui peut mesurer entre 10 à 20 cm. Elle est extrêmement polymorphe, en aspect et en coloris. La consistance cartilagineuse du thalle lui a donné son nom scientifique de genre "Chondrus", qui vient du grec chondros, cartilage.
Les algues rouges contiennent dans leurs tissus des grains de chlorophylle comme les végétaux supérieurs, mais ils sont masqués par des cellules spéciales, les chromatophores renfermant un pigment qui selon sa concentration et l'intensité lumineuse modifie le coloris des algues du rouge le plus vif au brun foncé.
Pendant tout l'été, la récolte a lieu à bord de bateaux, par temps humide et en utilisant des rateaux. Il convient, pour son utilisation, de nettoyer la carragheen à l'eau de mer et de la sécher pendant 24 heures au soleil. Cette opération s'effectue 3 fois. Il perd alors sa belle couleur pour devenir blanc grisâtre, translucide.Comme beaucoup d'autres algues, le carragheen contient une substance mucilagineuse qui, une fois traitée, est très utilisée dans l'industrie alimentaire, en particulier dans la préparation du chocalat au lait et de crèmes.
HABITAT
- Côtes de la Manche et de l'Atlantique surtout FinistèreIDENTIFICATION
- Taille : 0,10 à 0,20 m
- Thalle homogène, aplati, pourpre
- Col basiliaire
- Fronde en éventail, dressée, ramifiée
- Ramifications dichotomiques lobées, bords crispés, sans nervure
- Lobe bifide
- Cystocarpes sur face inférieure et tétrasporanges à la surface de thalle, logées dans protubérances ovoïdesPARTIES UTILISEES
- Thalle (été), séchage au soleilCONSTITUANTS
- Mucilage, sels minéraux, acides aminés, iode, provitamine DPROPRIETES
- Béchique, émollient, expectorant, laxatif
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L'Avent débute le quatrième dimanche avant Noël, c'est celui qui tombe entre le 27 novembre et le 3 décembre. Dans l'église catholique, de même que le carême précède Pâques, l'Avent est la période où l'on se prépare à la venue du Christ. D'ailleurs, son nom vient du latin "adventus" : venue, arrivée. Pendant cette période jusqu'à Noël, les fidèles manifestent une fervente piété et un esprit de pénitence pour se préparer à la naissance de Jésus.
Les noces y sont prohibées, et même jusqu'à l'Epiphanie, car autrefois, la fête de la naissance de Jésus se célébrait le 6 janvier sous le nom de Théophanie.
Le symbole de l'Avent, c'est la lumière, celle de l'espoir du retour divin, mais aussi en cette époque de l'année, celle des jours qui vont recommencer à croître. La maison toute entière se pare dans l'attente du grand jour : couronne de l'Avent sur la table et sur la porte d'entrée, guirlandes et bougies.Les couronnes rondes de l'Avent viennent d'un ancien symbole évoquant le soleil et annonçant son retour. On dit aussi qu'un pasteur allemand décida d'allumer chaque jour une bougie disposée sur une roue, pour marquer les 24 jours qui précèdent Noël.
Faite de branches de sapin et de houx, la couronne de l'Avent est nouée de rubans rouges et ornée de quatre bougies ou de pommes de pin, marquant ainsi les quatre dimanche avant Noël.
Mais une nouvelle tradition d'origine germanique est apparue, c'est le calendrier de l'Avent destiné à faire patienter les enfants jusqu'à Noël. A l'origine, on remettait une image pieuse chaque matin aux enfants, comportant une phrase de l'Evangile ou une incitation à faire une bonne action. Peu à peu, des biscuits et des chocolats ont remplacés les images, et c'est ainsi que ce calendrier est né.Texte extrait du livre : Le grand Almanach de la France
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Les effets d'un sourire
C'est toujours un cadeau,
Il coûte un peu d'effort mais donne du réconfort.
C'est une preuve d'affection, un peu de compréhension.
Un sourire n'a pas d'âge,
Si un petit bébé est capable de le donner;Vous qui êtes âgé essayer vous verrez !
Un sourire c'est joli.
Au lieu d'être déprimer,
De rester enfermer.Sortez donc vos fossettes,
Voyer l'effet que vous faites.
C'est un rayon de soleil,
Comme un brin de lumière
Qui descend sur la terre.
Et apporte dans le cœur
Un instant de bonheurUn sourire fait du bien.
Tiens ! Votre sourire revient
Et il vous fait du bien
La vie est plus facile lors qu'on se sent utile.Jean Claude Brinette
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" Je suis heureux d'annoncer à Votre Majesté que j'ai découvert les tombes qui, selon la tradition, appartiennent à Agamemnon, Cassandre, Eurymédon et leurs compagnons. J'ai découvert dans les tombeaux d'immense trésors qui pourraient, à eux seuls, animer le plus splendide des musées ".
C'est ce qu'écrit Heinrich Schliemann, le 6 décembre 1876, au roi Georges 1er de Grèce. L'archéologue allemand est dans un état de fébrile agitation, il fouille le site de Mycènes depuis trois mois seulement et a déjà obtenu de merveilleux résultats, donnant raison à son intuition.Il a en effet suivi à la lettre les indications contenues dans les écrits de Pausanias, voyageur et chroniqueur grec du IIe siècle apr.J.C. qui identifie la ville comme la patrie des Achéens entrés en guerre contre Troie, comme le raconte Homère dans l'Iliade.
Ce jour là, il tient dans ses mains un merveilleux masque en feuille d'or, tout juste sorti d'une tombe. "Jai vu le visage d'Agamemnon!." bafouille-t-il.
Bien que beaucoup aient vu en lui un rustre autodidacte ayant les pires travers d'un marchand, Schliemann a le mérite incontestable d'ouvrir un monde nouveau aux recherches archéologiques, en pénétrant le secret de la plus importante civilisation de la préhistoire grecque, prospère entre les XVIe et XIIe siècles av.J.C. En vérité, on connaît déjà l'exact emplacement de Mycènes depuis une trentaine d'années. Sur un plateau étroit entre deux pics des monts Eudée, en Argolide,
ont été trouvés la sobre et monumentale porte des Lionnes - appelée ainsi pour les deux animaux stylisés sculptés en bas relief sur les colonnes qui soutiennent le linteau en forme de triangle -
et une partie du colossal mur d'enceinte de plus de 1 kilomètre de périmètre et d'une épaisseur de 6 à 8 mètres.
Mais Schliemann ne s'intéresse pas aux remparts ni aux vestiges du palais royal, des lieux du culte, des habitations et des greniers. Il y creuse de grossières tranchées, entraînant la perte de précieux témoignages sur la haute et moyenne période mycénienne. Cela lui permet cependant de découvrir le cercle funéraire A (avec 19 tombes) à l'intérieur du mur, et le cercle funéraire B (avec 25 tombes dont 14 royales), un peu plus loin que la port des Lionnes, qui comprend ledit tombeau d'AgamemnonLes deux complexes, datant respectivement du XVe et du XVIe siècle av.J.C., renferment des tombes à chambre, creusées dans la roche, et d'autres à tumulus.
On y retrouve des bijoux, des masques et des vases en or et en argent précieusement ornés de motifs abstraits, des morceaux d'étoffe et des biens de lointaines provenances - Nibie, Anatolie, Syrie et Mésopotamie - prouvant le niveau élevé de la civilisation et de la richesse de la première période mycénienne.
Porté par son enthousiasme - et utilisant toujours comme "guide" les mythes homériques - en 1884, Schliemann, aidé de Wilhelm Dôrpfeld, entreprend une nouvelle campagne de fouilles en Argolide, mettant au jour la cité perdue de Tirynthe qui, dans l'Iliade, a pour roi Diomède.
Tirynthe est également ceinte de murailles qui s'étirent sur 700 mètres et atteignent 8 mètres d'épaisseur, renfermant une série de cellules et de couloirs et un vaste palais royal.
Son plan urbanistique aux caractéristiques stratigraphiques particulières la lie indissociablement à Mycènes dès l'aube de la civilisation mycénienne. Pour les visiteurs les ruines de Mycènes et de Tirynthe n'ont pas le charme d'autres sites archéologiques plus élégants et plus "récents" de la Grèce. Mais pour les archéologues, elles jouent un rôle capital dans la compréhension de la civilisation hellénique, fille de la civilisation mycénienne. Même si, à contre-coeur, ils doivent remercier ce "visionnaire" de Schliemann.
Texte extrait du livre : Les plus beaux sites du patrimoine mondial de l'Unesco
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Le principe du batik consiste :
1.à dessiner sur le tissu le motif final à reproduire (cette opération n'est pas indispensable)
2.à protéger des zones du tissu contre la coloration par l'application de la cire chaude
3.à appliquer des couleurs - par trempage dans des bains de teinture / ou en peignant des teinture directement sur le tissu
4.à recommencer les opérations 2 et 3 successivement pour chacune des couleurs en allant des couleurs claires aux plus foncées
5.à la fin : à ôter la cire, soit avec un fer à repasser, soit par trempage dans l'eau bouillanteFinalement on obtient un tissu où se mêlent différents tons ou contrastes juxtaposés ou superposés, formant toutes sortes de motifs.
Artiste talentueuse Yuko Nakata est née à Sapporo, Hokkaido, Japon. Elle est diplômée de l'Institut des Beaux-Arts Junior College, programme de design graphique à Tokyo.
Pendant 13 ans, elle a travaillé comme graphiste dans une compagnie de publicité.Yuko Nakata a visité l'Indonésie pour la première fois en 1977 et a depuis commencé à collecter des tissus batik et photos.
En 1999, elle a commencé à étudier les compétences traditionnelles de dessin batik à Bali. Puis elle est devenu illustrateur freelance.
Elle a étudié les compétences de dessin traditionnels de batik en Indonésie (Bali), la ville natale de cette forme d'art.
C'est un art de patience et de minutie.
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La gloire au-delà des apparences
"Cette sagesse, aucun des chefs de ce temps ne l’a connue, car, s’ils l’avaient connue, ils n’auraient pas crucifié le Seigneur de la gloire." 1 Corinthiens 2.8Comme j'aime la croix pour cela ; elle est le lieu de tous les paradoxes ; c'est le Seigneur de gloire qui est là, sur ce bois terrible ! Sa gloire, ils ont voulu l'engloutir dans la honte, le dépouillement, la souffrance, la détresse, la terrible solitude, la fièvre, l'abaissement et même la mort ! Le diable, l'enfer, la religion, le péché, le malheur réunis se sont associés pour en finir avec lui et avec sa gloire ! Et toutes les apparences sont là pour nous faire penser, à nous qui aimons croire ce que nous voyons, qu'effectivement là, c'en est terminé avec la gloire de Dieu !
Ils ont crucifié son corps, mais pas sa gloire !
Eh bien non ! La gloire, elle est justement là dans cet abaissement, dans ce dépouillement, dans cette apparente défaite ; la gloire du grand Dieu ressurgit là, dans la nudité du crucifié, dans la honte que les hommes lui font subir ; sa gloire transcende tout le reste ! Ils ont crucifié son corps, mais pas sa gloire ! Sa grandeur, sa majesté, sa noblesse n'en sont que plus évidentes !Si souvent, l'œuvre de la croix dans votre vie vous conduit à vous arrêter à ce que vous voyez ; l'échec du présent ; l'occasion manquée ; la misère actuelle ; l'incompréhension d'aujourd'hui ; la souffrance intérieure au quotidien ! Mais attendez, Dieu n'en a pas terminé avec vous ! Sa gloire n'est pas morte ; cessez de vous arrêter à ce que sont les apparences têtues ; Dieu veut encore vous montrer sa gloire et pour cela, il faut que vous passiez par cette croix qui vous fait reculer ! N'ayez pas peur, il est là avec vous, il n'est pas loin de vous ; il est encore Emmanuel !
Il y avait de quoi jubiler ce soir-là, au pied de la croix, pour tous ceux qui ne voulaient plus de ce Jésus ; ils pensaient en avoir terminé avec lui ; ils se sont fiés aux apparences, ils n'ont vu que la honte et l'ignominie, et n'ont même pas vu la gloire de Jésus rejaillir de là !
Attendez-vous à cette gloire-là dans votre situation, et cessez de vous arrêter aux apparences !
Une confession de foi pour aujourd'hui
Jésus, j'humilie mon cœur devant toi ; si souvent j'ai fait partie de ceux qui ont contemplé l'apparent échec dans ma vie ; ta gloire n'est pas morte à la croix ; elle s'y révèle encore plus pour moi ; je sais que ma situation actuelle servira à ta gloire ! Amen
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Ingrédients pour 2 personnes
400 gr de jarret de boeuf,
400 gr de carottes,
1 oignon,
1 gousse d'ail hachée,
1 branche de thym,
1 pincée de noix de muscade,
2 cuillère à soupe de cognac,
2 petites branches de céleri,
3 cuillères à soupe d'huile d'olive.Préparation
Préchauffer le four à 120°/ th 4
Préparer vos légumes.
Éplucher et rincer les carottes.
Éplucher l'ail et l'oignon.
Ôter les fils du céleri.
Émincer les carottes en fines rondelles.
Dans un faitout allant au four, verser l'huile et la faire chauffer.Déposer les carottes, l'oignon émincé et l'ail, les faire blondir.
Ajouter le thym.
Saler et saupoudrer de muscade.Vous ne les cuisez pas, juste les faire blondir, ramollir un peu.
Les mettre de côté.
Dans le faitout, déposer la viande avec une cuillère à soupe d'huile, la faire dorer sur toutes ses faces.
Saler, verser le cognac et laisser réduire
Disposer les carottes et les branches de céleri autour
Couvrir avec un couvercle et laisser cuire environ 2 heures au four, en vérifiant de temps en temps, jusqu'à caramélisation des carottes.Servir ainsi ou avec des pâtes fraîches ou un boulgour turc.
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