Qu'il soit aimé des chèvres ou, comme elles, doué pour l'escalade, le chèvrefeuille des bois, que Madame de Sévigné écrivait "chèvrefeuil" parce qu'elle le voyait résolument masculin, est de la même famille que le sureau soir et les viornes. C'est une plante vivace dont les rameaux volubiles s'enroulent solidement autour de leurs supports et qui peut vivre 40 ans.

 

 

Située à la lisière des bois ou dans les haies de basses montagnes, dès juin, ses fleurs embaument tout leur entourage.

 

 

Durant toute l'Antiquité égyptienne, grecque et romaine, on a employé son écorce, mais les siècles passant, le Moyen-Age n'en fit plus grand cas. De nos jours, ce sont ses feuilles et ses fleurs qui sont utilisées pour leurs vertus antiseptiques et diurétiques.

 

 

Dans tous ses usages, on peut substituer au chèvrefeuille des bois, le chèvrefeuille commun "Lonicera caprifolium" qui s'échappe souvent des jardins et que les Provençaux appellent " Pentecôte " car il fleurit plus tôt que l'espèce sauvage, embaumant l'air surtout à la tombée de la nuit.

 

 

HABITAT

- Toute l'Europe, lisières des bois, terrains argileux, haies, jusqu'à 1 000 mètres

 

 

IDENTIFICATION

- Hauteur : 1 à 5 mètres, arbrisseau

 

- Tige volubile

 

- Jeunes rameaux pubescents au sommet

 

- Feuilles opposées, courtement pétiolées, les supérieures sessiles, caduques, ovales, plus pâles   dessous

 

- Fleurs ivoire, teintées de rouge (juin-septembre) sessiles, groupées en tête terminale pédonculée,   calice court à 5 dents, corolle en tube allongé, partie supérieure élargie en 2 lèvres, la supérieure   à 4 lobes courts, l'inférieure entière à 5 étamines

 

- Baie rouge, ovoïde à plusieurs graines

 

- Racine possédant des bourgeons adventifs

- Odeur agréable

 

PARTIES UTILISEES

- Feuilles, fleurs (juin-juillet) séchage à l'ombre

 

 

CONSTITUTANTS

- Acide salicylique, mucilage, essence, glucoside

 

 

PROPRIETES

- Antiseptique, astringent, détersif, diurétique, sudorifique

 

 

 

Au Moyen-Age, Limoges était coupée en deux entités : le château et la cité (où se trouvait la cathédrale).

 

 

Les habitants de la cité étaient dépendants du vieux pont Saint-Martial situé en aval sur la Vienne.

 

 

Ils décidèrent donc de construire un nouveau pont, le pont Saint-Etienne (achevé en 1203), afin de ne plus être tributaires du château. Le pont, faisant partie du système défensif de la cité, était protégé à ses extrémités par deux tours munies chacune d'un pont-levis.

 

 

La Vienne était utilisée pour le flottage des  bois d'oeuvre et de chauffage provenant de la forêt limousine.

 

 

Le pont Saint-Etienne marquait la limite du flottage des bois, arrêtés en amont du pont par de solides "ramiers", constitués de pièces de charpentes, construits au XVIIIe siècle et détruits en 1897.

 

 

Les bois étaient stockés sur la berge. Le flottage des bois s'intensifia au XIXe siècle, pour alimenter les nombreux fours à porcelaine de la ville.

 

 

Côté rive droite, le pont était entouré par les maisons des laveuses. Ces dernières assuraient la lessive des gens du château, puis plus tard, celle des habitants de la ville.

 

 

 

Il pleure dans mon cœur

 

Il pleure dans mon coeur
Comme il pleut sur la ville ;
Quelle est cette langueur
Qui pénètre mon coeur ?

 

Ô bruit doux de la pluie
Par terre et sur les toits !
Pour un coeur qui s'ennuie,
Ô le chant de la pluie !

 

Il pleure sans raison
Dans ce coeur qui s'écoeure.
Quoi ! nulle trahison ?...
Ce deuil est sans raison.

 

C'est bien la pire peine
De ne savoir pourquoi
Sans amour et sans haine
Mon coeur a tant de peine !

 

Paul VERLAINE  

 

 

Entre 218 et 217 av.J.C., Hannibal, jeune général carthaginois, traverse les Alpes à la tête d'une armée composée de 18 000 soldats, 8 000 cavaliers et 40 éléphants. Il a l'intention de frapper l'ennemi en plein coeur afin de conquérir Rome et d'obtenir la domination de la Méditerranée. Ses victoires de la Trébie, de Trasimène et de Cannes semblent lui donner raison, mais son avancée est stoppée aux portes de Rome, dont le pouvoir réorganise rapidement une très nombreuse armée et sera finalement vainqueur en Afrique.

 

En 202, après seize ans de guerre ininterrompue, Scipion l'Africain contraint la cité de Zama à la réddition : c'est la défaite la plus rude infligée aux Carthaginois.

 

Bataille de Zama

Chute de Carthage

De Carthage, l'Histoire a surtout retenu les trois guerres puniques au cours desquelles la ville défie l'hégémonie romaine,

 

 

mais une légende la fait naître en 814 av.J.C, date officielle de sa fondation par Didon. Celle-ci fuit Tyr après le meurtre de son mari par Pygmalion, son frère, qui convoite le trône. En réalité, des colons phéniciens de Tyr créent un nouveau comptoir sur les côtes de la Tunisie actuelle.

 

De la Carthage punique, détruite d'abord par les Romains puis par les Arabes vers 700 apr.J.C., il subsiste peu de vestiges. Les plus intéressants se situent sur la colline de Byrsa où se dressait l'acropole alors cernée d'un mur d'enceinte.

 

 

Des sépultures y ont été découvertes, mais aucun édifice public, aucun habitat n'a survécu aux conquêtes. De rares éléments ont permis d'identifier en 1921 le tophet, lieu destiné aux sacrifices à proximité duquel se dressait un temple dédié aux dieux phéniciens Tanit et Baal. Découvert en 1921, le tophet a livré des urnes, contenant des ossements calcinés d'animaux et de jeunes enfants, surmontées de stèles votives. C'est là un aspect intéressant de la civilisation carthaginoise qui suscite encore de nombreuses questions.

 

Un étang bordant la mer, voilà tout ce qui reste des deux grands ports, marchand et militaire; qui ont fait la grandeur de Carthage.

 

De l'époque romaine, sont conservés les vestiges du monumental édifice thermal d'Antonin, construit entre 146 et 162 apr.J.C. De nos jours, on ne peut plus en voir que le soubassement sur lequel se dressaient les pièces réservées aux employés et les fours chauffant l'eau surmonté de colonnes de 2 mètres de diamètre et de 70 tonnes environ. Récemment, une colonne a été reconstituée : elle mesure 15 mètres de haut, tandis que la voûte du "frigidarium", en cours de reconstitution devrait dépasser 20 mètres.

 

Non loin de là se dresse la basilique de Domus el-Karita, dont le nom est peut-être une déformation du latin "Domius Caritatis" où saint Augustin prêche entre 399 et 413.

 

L'amphithéâtre est un lieu où se déroule des combats de gladiateurs, entre eux ou contre des animaux sauvages, célèbres dans tout le monde romain. Celui de Carthage, l'un des plus grand de l'Empire Romain, est à peine visible de nos jours parmi les pins car la majeure partie des pierres a été emportée au fil des siècles pour être réemployée dans d'autres constructions.

 

Au nord-est de cet édifice, une série de grandes citernes constituent la principale réserve d'eau de la ville à l'époque romaine.

 

Il ne reste presque rien du théâtre construit sous le règne d'Hadrien, des temples et des habitations  de cette antique puissance méditerranéenne.

 

Ce sont les collections du Musée national de cette ville, situé dans les locaux du séminaire des Pères blancs à côté de la cathédrale Saint-Louis construite par les Français en 1890, qui évoquent la splendeur de Carthage.

 

 

Elles sont composées de vases, de sculptures, d'inscriptions, de céramiques découvertes pendant les fouilles, témoignages de la Carthage punique, romaine et arabe, vestiges d'un empire disparu.

 

 

Texte extrait du livre : Les plus beaux sites du patrimoine mondial de l'Unesco

 

 

Cicely Mary Barker, née le 28 juin 1895 et morte le 16 février 1973, est une illustratrice britannique connue pour ses illustrations de fées et de fleurs. Son éducation artistique commence dès l'enfance avec des cours par correspondance. Ses premières œuvres professionnelles sont des cartes de vœux et des illustrations dans des magazines pour enfants, et son premier recueil, Flower Fairies of the Spring, est publié en 1923. D'autres livres du même type sortent dans les décennies suivantes.

 

 

Barker est une ardente anglicane, et donne sa collection à des œuvres de bienfaisance chrétiennes et à des missions. Elle produit quelques livres d'illustrations sur le thème du christianisme, comme The Children’s Book of Hymns, et, en collaboration avec sa sœur Dorothy, He Leadeth Me. Elle réalise un vitrail pour l'église de Saint Edmund à Pitlake, et sa peinture de l'enfant Jésus, The Darling of the World Has Come, est achetée par la reine Mary.

 

 

Elle utilise indifféremment la peinture à l'eau et à l'huile, l'encre ou les pastels. Kate Greenaway et les préraphaélistes sont ses principales influences. Elle affirme peindre à l'instinct, et rejette la théorie de l'art. Cicely Mary Barker meurt en 1973. Malgré la publication de ses livres de Flower Fairies sur les thèmes du printemps, de l'été et de l'automne, ce n'est qu'en 1985 que ses travaux relatifs à l'hiver sont assemblés et publiés.

 

 

Incapable de se rendre à l'école en raison de son épilepsie, Cicely Mary Barker étudia chez elle et consacrait énormément de temps à apprendre à dessiner et à peindre. Son art fut influencé par celui de Kate Greenaway mais aussi par les peintres pré-Raphaëlites. Elle fut bientôt reconnue pour son talent et rejoignit la Croydon Art Society

 

 

 Ses peintures florales furent particulièrement appréciées par la société victorienne, en raison du sujet qu'elle avait choisi : les fées et la féerie. Cicely Mary Barker publie son premier Flower Fairies book en 1923 ; elle reçoit 25£ pour Flower Fairies of the Spring, une collection de 24 peintures et illustrations. Cet ouvrage a reçu un accueil important, notamment en raison de l'intérêt de la reine Mary pour l'art féerique. Fort de cet engouement, elle publie ensuite les ouvrages Flower Fairies Friends et Secret Stories.

  

 

Les Flower Fairies book sont cependant l'œuvre la plus connue de Mary Barker. La peinture douce et réaliste des enfants consititue la part majeure de son art. Les portraits enfantins sont notamment inspirés de sa propre sœur, Dorothy. Mary Barker a par ailleurs rencontré la botaniste Beatrix Potter, qui a su l'aider à représenter les plantes. Les illustrations et peintures de Mary barker appartiennent actuellement à Frederick Warne & Co et à la fondation Cicely Mary Barker.

 

 

 

Les six phases de la foi

 

"Alors il leur toucha les yeux en disant : Qu’il vous soit fait selon votre foi." Matthieu 9.29

 

Dieu prend notre foi et il nous bénit au travers d'elle, ce qui fait de la vie une grande aventure. Il est essentiel que nous coopérions avec lui alors qu'il construit la foi en nous. Ce sujet est tellement important que j'aimerais reprendre ici les six phases de la foi.

Dieu est fidèle. Ce qu'il nous demande de faire, il le fera !

 

 

 Phase 1 – Le rêve. Dieu a-t-il placé un rêve en moi ? Si ce n'est pas le cas, commencez par prier : "Seigneur, communique-moi ton rêve". Si vous ne pouvez pas noter par écrit le rêve que Dieu vous a donné, priez. Sans rêve, vous ne vivez pas, vous vous contentez d'exister. Dieu vous a placé sur cette terre pour un but précis.

 

Phase 2 – La décision. Ai-je besoin de prendre une décision de foi qui aidera ce rêve à devenir réalité ? Certains d'entre vous ont reçu un rêve, mais ils n'ont pas pris la décision d'y donner suite. Ils sont toujours indécis. Dieu leur dit : "Allez-y !" Pour certains, ce sera la décision de donner leur vie à Christ ; pour d'autres, celle de se joindre à une église ; pour d'autres encore, celle de s'engager dans le ministère.

 

 
 Phase 3 – Le délai. Qu'est-ce qui a retardé la réalisation de mon rêve ? Ne vous inquiétez pas si votre prière n'a pas été exaucée. Cela signifie simplement que vous vous trouvez dans la salle d'attente de Dieu. Ce n'est pas le moment de changer de route. Quand les choses ne se passent pas selon notre calendrier, nous avons tendance à vouloir aller plus vite que Dieu et à emprunter des chemins détournés pour forcer l'événement. Vous risquez de prendre la mauvaise décision. Attendez plutôt le temps de Dieu.

 

 

Phase 4 – Les difficultés. À quelles difficultés ai-je été confronté en attendant que mon rêve se réalise ? Dieu vous met à l'épreuve et ce ne sera pas la dernière fois. Vous subirez d'innombrables épreuves au cours de votre vie. Dieu vous dit : "Je sais exactement ce que tu vis. Je le vois. Je veille. Ne pense pas que je t'aie oublié, car il n'en est rien."

 

 

Phase 5 – L'impasse. Suis-je dans une impasse ? Certains d'entre vous sont prêts à renoncer. Mais sachez que vous êtes exactement là où Dieu vous veut. Il vous prépare pour la délivrance et vous dit : "Tiens bon ! Continue à croire ! N'abandonne pas !"

 

 
 Phase 6 – La délivrance. Est-ce que je crois vraiment que Dieu me délivrera ? "Qu'il vous soit fait selon votre foi" (Matthieu 9.29). Dieu est fidèle. Ce qu'il nous demande de faire, il le fera. Mais cela ne se produit pas du jour au lendemain. Vous devez d'abord passer par les phases du rêve, de la décision, du délai, de la difficulté et de l'impasse… après quoi vient la délivrance.

 

 

Une question pour aujourd'hui

  Dans quelle phase vous situez-vous actuellement ? Croyez que Dieu sait exactement où vous en êtes et faites-lui confiance.

 

Rick Warren

 

 

Ingrédients :

 

Pour 6/8 personnes :

100 g de farine T65 (ou autre)

150 g de sucre

100 g de poudre d'amandes

3 oeufs

2 poires au sirop ou fraîches

1 sachet de sucre vanillé

25 cl de lait

1 brick de crème fraîche liquide (20 cl)

2 C.S. de cassonade

100 g d'amandes effilées

 

Préparation :

 

Dans une jatte mélanger les sucres, la farine et la poudre d'amandes.

Ajouter les oeufs battus en omelette, le lait et la crème.

Bien mélanger.

Préchauffer le four à 180°

Couper les poires en deux et les placer dans le moule à gâteau préalablement beurré sauf moule en silicone.

Verser la pâte.

Parsemer d' amandes effilées et saupoudrer de cassonade.

 

 

Enfourner 35/40 min. Déguster tiède ou froid.

 

 

 

 

 

Vagabond d'Europe, le chardon Marie, originaire des régions méditerranéennes, a gagné, par les terres incultes et les bords des chemins, les lointaines landes danoises.

 

C'est une plante robuste, aux capitules pourpres, bien défendue par les bractées de son involucre recourbées en épines aiguës.

 

 

D'après la légende, les taches laiteuses qui marquent les feuilles près des nervures sont les vestiges héréditaires de quelques gouttes de lait tombées du sein de Marie lorsqu'elle déroba Jésus aux persécutions d'Hérode.

 

Depuis les temps anciens, la plante est connue dans les campagnes pour son rôle alimentaire, les jeunes feuilles sont préparées en salade,

 

 

les racines et les capitules en légumes cuits à l'eau d'où son nom vulgaire d'"artichaut sauvage", toute la plante broyée est aussi donnée au bétail, et les volailles apprécient beaucoup les graines.

 

Le chardon Marie, longtemps délaissé au profit du chardon béni, a prouvé récemment son effet bénéfique sur l'appareil cardi-vasculaire et sur la fonction hépatique. Il aurait aussi, pris 8 jours avant son voyage, une action préventive du mal des transports.

 

 

HABITAT

- Europe occidentale et méridionale, terrains secs et rocailleux, jusqu'à 700 mètres

 

 

IDENTIFICATION

- Hauteur : 0,30 à 1,50 m. Plante bisannuelle

 

- Tige dressée, robuste

 

- Feuilles grandes, brillantes, vert panaché de blanc le long des nervures, à marges ondulées bordées d'épines et de cils

 

- Fleurs pourpre violacé (juillet-août) tubuleuses, en capitules hémisphériques solitaires à bractées en longues pointes étalées

 

- Akène noir, luisant ou marbré de jaune, surmonté d'une aigrette denticulée en anneau à sa base

 

- Racine pivotante, épaisse

 

- Odeur nulle

- Saveur d'artichaut

 

PARTIES UTILISEES

- Feuilles, racine, graines, sécher et battre les capitules

 

 

CONSTITUANTS

- Huile essentielle, principe amer, histamine, silymarine, tyramine

 

 

PROPRIETES

- Cholagogue, cholérétique, diurétique, hypertenseur, tonique

 

 

 

Il n'y a pas si longtemps, on parlait seulement du "8 décembre à Lyon". C'est à partir de 1989 que la fête spontanée s'accompagne d'animations proposées par la municipalité et les professionnels du spectacle. Le 8 décembre devient alors " Fête des Lumières", avec de surprenants effets sur des sites historiques ou insolites.

 

 

Mais cette date du 8 décembre a toute une histoire dans la capitale des Gaules. La ville de Lyon vénère la Vierge Marie depuis le Moyen-Age. Chaque année, une procession monte sur la colline de Fourvière en remerciements à la Vierge pour avoir enrayé l'épidémie de peste de 1643. En 1852, une statue de la Vierge Marie est érigée sur la chapelle de cette colline (la basilique n'existe pas encore, elle sera construite de 1872 à 1884). Or une crue de la Saône, aurait empêché l'inauguration de la statue à la date prévue, et celle-ci fut reportée au 8 décembre. Elle donna lieu à de grandes festivités populaires, illuminations et feux d'artifices. Et deux ans plus tard, c'est le Pape Pie IX qui proclame le dogme de l'immaculée conception de Marie, soit le 8 décembre 1854.

 

 

Depuis, la tradition veut que ce jour là, chaque famille lyonnaise allume des bougies au fond de verres colorés et les installent sur le rebord des fenêtres,

 

 

tandis qu'une foule joyeuse se rassemble pour déambuler dans la vieille ville.

 

 

Texte extrait du livre : Le grand Almanach de la France

 

Cette fête qui devait avoir lieu le 8 Décembre comme toutes les autres années n'aura pas lieu cette année à cause des attentats du 13 Novembre.

 

 

 

L'AMITIE VIRTUELLE

 

L'amitié est éternelle
Des fleurs c'est la plus belle
Musique douce, une merveille

 

 

L'amitié ne connaît pas d’âge
Ni de couleur de peau
Rien que le plaisir du partage
De tout ce qui est beau

 

 

Quand un ami trouve
Le chemin de notre cœur
Cela atteste et prouve
Pour nous sa grande valeur

 

 

Avec nos amis on vit
Nos peines et nos joies
Nos secrets on leur confie
Car confiance fait loi

 

 

Quand soudain ils disparaissent
De notre vie, pas de notre cœur
Derrière eux ils ne laissent
Que chagrins et cœur en pleurs

 

 

Alors amis, avant de partir
Pensez à ceux que vous quittez
En votre absence ils vont souffrir
C'est sûr, vous allez leur manquer !

 

auteur inconnu