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Te souviens-tu du tablier de ta grand-mère ? Le principal usage du tablier de grand-mère était de protéger la robe en dessous, mais en plus de cela... il servait de gant pour retirer une poêle brulante du fourneau.
Il était merveilleux pour essuyer les larmes des enfants, et, à certaines occasions, pour nettoyer les frimousses salies.
Depuis le poulailler, le tablier servait à transporter les oeufs et, de temps en temps les poussins !Quand des visiteurs arrivaient, le tablier servait d'abri à des enfants timides. Quand le temps était frais, grand-mère s'en emmitouflait les bras. Ce bon vieux tablier faisait office de soufflet agité au dessus du feu de bois.
C'est lui qui transbahutait les pommes de terre et le bois jusque dans la cuisine. Depuis le potager, il servait de panier pour de nombreux légumes. Après que les petits pois aient été récoltés, venait le tour des choux. En fin de saison, il était utilisé pour ramasser les pommes tombées de l'arbre.
Quand les visiteurs arrivaient de façon impromptue c'était surprenant de voir avec quelle rapidité ce vieux tablier pouvait faire la poussière. A l'heure de servir le repas, grand-mère allait sur le perron agiter son tablier, et les hommes aux champs savaient aussitôt qu'ils devaient passer à table. Grand-mère l'utilisait aussi pour poser la tarte aux pommes à peine sortie du four sur le rebord de la fenêtre pour qu'elle refroidisse, de nos jours sa petite fille la pose là pour la décongeler.
Il faudra de bien longues années avant que l'on invente quelque objet ui puisse remplacer ce bon vieux tablier qui servait à tant de choses.Texte extrait du livre : Le grand Almanach de la France
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Voici quelques photos que j'ai prise pendant le parcours que je fais en forêt tous les jours
voici le début du parcours situé deux maisons plus loin que chez moi, il y a un joli mimosa en fleur
le sol est jonché de feuilles mortes
le petit sentier monte et descend à travers des rochers
Une demie heure de marche et la promenade est finie...
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Fondée par les Phéniciens, la ville qu'ils appelaient Baalbek - ou "Dieu ( Baal) de la vallée de la Bekaa" - avait été rebaptisée Héliopolis - la "Cité du Soleil" - par les Grecs.
En dépit de ce nom ronflant, c'est un centre assez modeste sur le plan économique quand Auguste s'en empare sans coup férir en 15 av.J.C.. A son habitude, l'empereur y fonde une colonie - la Julia Augusta Felix Heliopolitana - et y installe une légion.En même temps, il décide on ne sait trop pourquoi d'y construire le plus grand temple de l'Empire romain. Rangé parmi les merveilles du monde par les historiens du Ve siècle, ce temple a été dédié à Jupiter, plus précisément, à Jupiter Heliopolitanus.
L'édifice, construit sur une plate-forme rectangulaire de 80 mètres sur 48 édifié en blocs de pierre pesant chacun plusieurs centaines de tonnes, comportant 54 colonnes de 2,20 mètres de diamètre et de 20 mètres de hauteur. Il n'en reste que six.L'empereur Justinien en a fait emporter huit à Constantinople pour les remployer dans sa basilique Sainte-Sophie. Le autres ont servi à construire sur place une autre basilique byzantine - aujourd'hui détruite - ou ont été reversées par les tremblements de terre.
Le temple abritait une statue en or de Jupiter, objet de vénération pour les pèlerins venus de tous les points de l'Empire romain.
Les travaux ont duré près d'un siècle et demi, sans que le temple soit jamais achevé. Mais les chapiteaux et les fragments d'architraves, ornés de frises comportant des têtes de taureaux et de lions, des feuilles d'acanthe et des roses, attestent le raffinement de son ornementation sculptée.De nombreux empereurs se sont efforcés de faire en sorte que l'édifice se montre à la hauteur du projet d'Auguste. Vers 60 apr.J.C., Néron a fait ériger en face du temple une tour qui permettait aux pèlerins d'observer la statue du dieu d'en haut.
Et Trajan, empereur de 98 à 117; a fait édifier une immense cour d'accès de forme carrée. Trois de ses côtés de 113 mètre de longueur étaient bordés d'exèdres précédés chacune d'un portique aux colonnes de granit rose d'Egypte. Les inscriptions ont permis d'établir que ces 12exèdres accueillaient les prêtres des diverses communautés et servaient à héberger les pèlerins de marque.
C'est Antonin le Pieux qui a fait construire le temple dédié à Bacchus en 145. Faisant face à celui de Jupiter, il couvre une superficie de 69 mètres sur 36. Il présente encore un très état de conservation, et ses élégantes proportions, ainsi que la richesse de son ornementation, en font un chef d'oeuvre de l'art romain.A l'intérieur se trouvent des statues qui représentent tous les dieux du panthéon romain, ils sont reconnaissables, bien que leurs faces aient été martelées par des iconoclastes musulmans.
Le troisième temple de Baalbek, dédié à Vénus, a été édifié par Septime Sévère vers 200 apr.J.C. et son successeur,
Caracalla, a fait bâtir les propylées, l'entrée monumentale qui donnait accès au complexe sacré.
Le temple de Septime est un élégant édifice pentagonal entouré de colonnes et de niches.
Eusèbe de Césarée, le premier historien de l'Eglise chrétienne, écrivait avec horreur que, dans le temple de Vénus, "les hommes et les femmes s'accouplaient sans vergogne, et que les pères et les maris permettaient à leurs filles et leurs épouses de se prostituer pour plaire à la déesse". Les romains avaient emprunté la pratique de la prostitution sacrée à la tradition sémite locale. De même, du reste, que la triade divine de Baalbek est le fruit du syncrétisme entre les religions romaine et phénicienne. Jupiter est identifié au dieu Baal, Vénus à Astarté, et Bacchus, leur fils, à l'esprit de la nature.
Depuis 1955, Baalbek s'est remise à vivre et est confrontée à un "nouveau syncrétisme", grâce au festival de musique classique. C'est ainsi que les divins Herbert von Karajan et Mtsislav Rostropovitch se sont produits au pied des majestueuses colonnes du temple de Jupiter.
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Chen Shu Fen est une dessinatrice qui a travaillé sur le manhua "Hyacinth
Chen Shu-fen et Ping-Fen sont deux célèbres illustrateurs taiwanais.
Mari et femme dans la vie , ils forment un duo de choc au style bien particulier …Vous pouvez retrouver leur travail en couverture d’une grande majorité de roman d’amour tawainais dont ils sont les illustrateurs par excellence
…
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Qu'est-ce qui vous poursuit ?
"Oui, le bonheur et la grâce m'accompagneront tous les jours de ma vie, et j'habiterai dans la maison de l'Éternel jusqu'à la fin de mes jours." Psaume 23.6
La Bible présente David comme un homme selon le cœur de Dieu. Quelle était son attitude ? Il écrit dans ce psaume : "Le bonheur et la grâce m'accompagneront." David vivait dans une attitude d'attente et d'espérance. Une version anglaise de la Bible traduit littéralement : "La bonté de Dieu me poursuit partout où je vais."L'attitude de David consistait à dire : "Il va m'arriver du bien. Partout où je vais, je sais que les bénédictions de Dieu me suivent. Sa grâce est toujours derrière moi." Rien d'étonnant à ce qu'il ait vu la bonté de Dieu ! Rien d'étonnant à ce qu'il ait surmonté les obstacles et réalisé de grands rêves. Il savait que de bonnes choses le suivaient.
Savez-vous ce qui vous suit en ce moment même ? Ce ne sont pas les dettes, ni les échecs, ni la médiocrité, ni la défaite, ni le manque... Non, ce n'est rien de tout cela ! Vous êtes un enfant du Dieu très-haut. Vous avez été couronné de faveur. Vous avez été racheté de toute malédiction. Dieu vous a mis à part comme son trésor précieux. Si vous regardez dans votre rétroviseur, vous verrez que vous avez intérêt à être préparé parce que vous êtes suivi de près !
Quelque chose se dirige vers vous à grande vitesse. Savez-vous ce que c'est ? Des bénédictions, des grâces, des occasions surnaturelles, la restauration. La bonté et la miséricorde de Dieu vous suivront et vous accompagneront tous les jours de votre vie !
Une prière pour aujourd'hui
Père céleste, je t'aime tant. Merci pour ta grâce abondante et ta miséricorde. Je choisis aujourd'hui de rechercher ta bonté. Je reçois ta faveur et tes bénédictions. Que toutes mes paroles et mes actes t'honorent. Au nom de Jésus. Amen.
Joël Osteen
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Ingrédients
Pour 4 personnes
100g de chocolat noir pâtissier
100g de chocolat au lait pâtissier
100g de chocolat blanc pâtissier
20 cl de crème fraiche liquide
2 œufs
Préparation :Faire fondre au bain marie 100g de chocolat noir avec 10cl de crème fraiche.
Répartir au fond de 8 verrines.
Mettre au frais 30min.
Pendant ce temps faire fondre au bain marie le chocolat blanc.
Monter le reste de crème bien froide en chantilly au batteur et incorporer doucement le chocolat blanc fondu
Ressortir les verrines et faire une deuxième couche et remettre au frais au moins 1hFaire fondre le chocolat au lait et incorporer les 2 jaunes d'oeuf puis battre les blancs en neige ferme et les incorporer délicatement.
Ressortir les verrines et faire donc une troisième couche.
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Les herbicides sélectifs l'ayant chassé des moissons où ses fragiles pétales rouge vif frémissaient autrefois parmi l'or des épis, le coquelicot s'est réfugié, à présent, le long des routes et des voies de chemins de fer.
Annuel, il meurt vite et bientôt deviendra rare, comme le bleuet des champs et toutes les "messicoles", les mauvaises herbes, de "messi", moisson et de "colo", j'habite.
Originaire de la Méditerranée orientale, le coquelicot semble s'être introduit en Europe avec la culture des céréales. Utilisé depuis les temps les plus anciens, cette fleur pectorale entre, à présent, dans le mélange des sept plantes qui composent la "tisane des quatre fleurs". Il convient de respecter les doses prescrites, car il peut, à haute dose, devenir toxique.Et si la couleur attirante de ces fleurs fragiles favorise l'envie d'en faire des bouquets, il faut être attentif à ses caractères distinctifs et, pour l'utilisation médicinale, rejeter toutes les fleurs moins rouges et plus petites, à capsule poilue ou étranglée au sommet.
HABITAT
- Europe, champs, talus, remblais, en voie de régression dans les moissons, jusqu'à 1 700 mètres.IDENTIFICATION
- Taille : 0,25 à 0,80 mètre. Annuelle
- Tige dressée, poilue, rameuse à latex blanchâtre
- Feuilles velues, découpées en lobes lancéolés triangulaires, les inférieures très découpées
- Fleurs rouges, souvent tachées de noir (mai-juillet), isolées au bout d'un long pédoncule, éphémères, calice à 2 sépales, corolle à 4 pétales, à préfloraison chiffonnée, étamines noir bleuâtre
- Capsule courte, ovoïde, glabre, s'ouvrant sous un couvercle orné de stigmates, nombreuses graines noires
- Odeur faible
- Saveur amèrePARTIES UTILISEES
- Pétales (à la floraison), étaler en couche mince, conserver au fraisCONSTITUANTS
- Traces d'alcaloïdes, anthocyancesPROPRIETES
- Adoucissant, antispamodique, émolient, hypnotique, pectoral, sédatif, sudorifique
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Pierre de la Mésangère, curé et professeur de lettre et de philosophie au collège de la Flèche, dans la Sarthe, refuse au lendemain de la Révolution de devenir un prêtre fonctionnaire. Privé de ressource, il tente de vivre en publiant des ouvrages de géographie. C'est ainsi qu'il rencontre un libraire qui a pour projet de faire un journal de mode pour dames.
Comment un curé peut-il s'intéresser aux toilettes féminines ? Il hésite, mais en 1797, il s'associe avec Sellèque pour la rédaction d'un journal de modes : " le journal des Dames et des Modes " rencontre, notamment grâce à ses planches en couleur, ces planches qui avaient décidé le curé Pierre de la Mésangère à franchir le pas.
En décembre 1801, Sellèque meurt, victime collatérale de l'attentat contre Napoléon Bonaparte.A partir de ce moment, le prêtre réfractaire va diriger le journal et être obligé d'afficher son nom dans l'ours du journal. Il se révéla bon directeur de journal doublé d'un chroniqueur littéraire et mondain, il écrivait une bonne partie des articles et supervisait la totalité de la fabrication.
Il se promenait tous les jours dans la ville, en observant la vie des Parisiens, le soir il était dans les lieux à la mode. C'est ainsi qu'il devint un personnage célèbre de la vie parisienne. Ses observations lui permirent d'écrire, sur la mode bien sûr, mais aussi un volumineux ouvrage sur la vie privée es français.
Pierre de la Mésangère mourut en 1831, son journal cessa de paraître en 1836.Texte extrait du livre : Le grand Almanach de la France.
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Ecoute-moi"Écoute-moi, s'il te plaît, j'ai besoin de parler
Accorde-moi seulement quelques instants
Accepte ce que je vis, ce que je sens,
Sans réticence, sans jugement.Écoute-moi, s'il te plaît, j'ai besoin de parler
Ne me bombarde pas de conseils et d'idées
Ne te crois pas obligé de régler mes difficultés
Manquerais-tu de confiance en mes capacités?Écoute-moi, s'il te plaît, j'ai besoin de parler
N'essaie pas de me distraire ou de m'amuser
Je croirais que tu ne comprends pas
L'importance de ce que je vis en moiÉcoute-moi, s'il te plaît, j'ai besoin de parler
Surtout, ne me juge pas, ne me blâme pas
Voudrais-tu que ta moralité
Me fasse crouler de culpabilité?Écoute-moi, s'il te plaît, j'ai besoin de parler
Ne te crois pas non plus obligé d'approuver
Si j'ai besoin de me raconter
C'est simplement pour être libéréÉcoute-moi, s'il te plaît, j'ai besoin de parler
N'interprète pas et n'essaie pas d'analyser
Je me sentirais incompris et manipulé
Et je ne pourrais plus rien te communiquerÉcoute-moi, s'il te plaît, j'ai besoin de parler
Ne m'interromps pas pour me questionner
N'essaie pas de forcer mon domaine caché
Je sais jusqu'où je peux et veux allerÉcoute-moi, s'il te plaît, j'ai besoin de parler
Respecte les silences qui me font cheminer
Garde-toi bien de les briser
C'est par eux bien souvent que je suis éclairéAlors maintenant que tu m'as bien écouté
Je t'en prie, tu peux parler
Avec tendresse et disponibilité
À mon tour, je t'écouterai "Jacques Salomé
Jacques Salomé est un psycho-sociologue, diplômé de l'école des Hautes Études en Sciences Sociales de Paris, formateur, écrivain, poète.
Il est l'auteur de nombreux ouvrages, dont "Le courage d'être soi" ,"Vivre avec les autres"; "Jamais seuls ensemble"
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En février 2003, l'archéologue turc Mahmud Arslan a annoncé la découverte de la chambre funéraire d'Antiochos 1er, roi de Commagène, à l'intérieur d'un tumulus de pierre situé au sommet du mont Nemrut, à 2 206 mètres d'altitude.
Avant Arslan et son équipe d'une quarantaine d'archéologues et de géologues, beaucoup de chercheurs avaient vainement tenté de percer les secrets de ce tumulus de pierre de 50 mètres de hauteur et de 150 mètres de diamètre. Les techniques les plus modernes permirent enfin de détecter la chambre quadrangulaire creusée dans la roche.On y a découvert trois sarcophages contenant les dépouilles d'Antiochos 1er, de son père Mithridate Kallinikos et d'un autre personnage non identifié.Cette découverte ajoute un élément fondamental à notre connaissance de l'histoire de l'une de ces régions les plus mystérieuses de la Turquie. Repéré à la fin de XIXe siècle par un géologue au service des Ottomans, le site de Nemrut Dag, perché dans les monts Taurus, en Anatolie orientale, faisait surgir des méandres de l'histoire la personnalité mégalomane du roi Antiochos 1er. Issu en 80 av.J.C., du morcellement de l'Empire séleucide, lui-même né des cendres de celui d'Alexandre le Grand, le royaume de Commagène était un Etat-tampon entre les Romains et les Perses. Son fondateur, Mithridate Kallinikos, s'allie à Rome, mais quand son fils Antiochos 1er accède au trône en 69 av.J.C., il croit assurer son indépendance en menant une politique pro-perse tout en témoignant de son amitié aux Romains.
Antiochos 1er s'est forgé une généalogie le faisant descendre des dieux de l'Olympe et d'Alexandre le Grand. Mais ces vantardises ne lui seront d'aucune utilité après lui, les rois de Commagène seront des fantoches aux ordres des Romains, et, en 72 apr.J.C., l'empereur Vespasien annexe purement et simplement le royaume à la province romaine de Syrie.
Les superbes temples et le tumulus qu'Antiochos 1er a fait édifier à Nemrut Dag prouvent qu'il avait une haute idée de lui-même. Il a laissé là une longue inscription (le "Nomos", un texte de 217 lignes) trahissant aussi bien ses prétentions divines que son rêve de voir son royaume durer éternellement.
A côté du tumulus, trois plates-formes sont aménagées dans la roche. De celle située le plus au nord, où se trouvaient les logements des prêtres, ne subsistent que les pierres qui la délimitaient, les bas reliefs qui l'ornaient ont été effacés par l'usure du temps.En revanche, celles qui se trouvent à l'est et à l'ouest sont impressionnantes : ce sont deux espaces culturels à ciel ouvert abritant chacun les restes de cinq statues colossales. Outre leur dimension imposante (hautes de 8 à 10 mètres, elles étaient formées de blocs de pierre de 8 tonnes chacun, aujourd'hui éparpillés au sol), elles éveillent l'intérêt par leur iconographie montrant un syncrétisme évident entre les divinités grecques et perses.
Sur les deux plates-formes, on peut voir Zeus, associé au dieu perse Ahura Mazda, Apollon, Mithra, Héraclès, Artagnès, Tyché (la déesse de la Fortune symbolisant la Commagène) et Antiochos 1er en personne. Leurs têtes, maintenant à terre, sont surmontées de tiares perses, de même, dans les scènes des bas-reliefs qui ornent les plates-formes, évoquant la rencontre entre les divinités et le souverain, les vêtements sont de coupe perse. Mais, au-delà de l'aspect spectaculaire des visages divins dans ce cadre particulièrement majestueux,
la figure la plus énigmatique de Nemrut Dag est celle d'un lion sculpté, sur la plate-forme ouest. On peut voir 19 étoiles sur son pelage, une lune croissante sur son cou, et les planètes Mars, Jupiter et Mercure sur son dos. Selon les spécialistes, ce bas relief a une signification astronomique précise. En interprétant les éléments figurés, on est parvenu à la conclusion qu'ils indiquaient la date du 7 juillet 62 av.J.C.. Peut-être s'agit-il du jour où Antiochos 1er a conçu l'idée folle qu'il était immortel.
Texte extrait du livre : Les plus beaux sites du patrimoine mondial de l'Unesco.
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