-
Croire, c'est posséder déjà
"Croire en Dieu, c’est une façon de posséder déjà les biens qu’on espère, c’est être persuadé que les choses qu’on ne voit pas existent vraiment." Hébreux 11:1
Qu'espérez-vous aujourd'hui ? La Bible dit que croire, c'est posséder déjà ce qu'on espère. "Déjà" veut dire "dès maintenant".
Nous ne possédons pas plus tard, ou un jour futur, mais maintenant. Nous devons croire que Dieu travaille en ce moment même en coulisses. La foi consiste simplement à croire que Dieu est un Dieu bon et fidèle et qu'il récompense ceux qui le cherchent de tout leur cœur. Croyez-vous que Dieu veut agir dans votre vie, aujourd'hui ? Croyez-vous qu'il peut répondre à votre besoin, aujourd'hui ?
Croyez-vous qu'il peut guérir vos relations aujourd'hui ? Qu'il peut vous donner cette promotion, aujourd'hui ? Quel que soit l'objet de votre espérance, ouvrez votre cœur et attendez-vous à ce que Dieu agisse en votre faveur. Tenez ferme et proclamez que la victoire vous appartient d'ores et déjà !
Une prière pour aujourd'hui
Père, aujourd'hui je choisis de croire que tu agis en coulisses en ma faveur. Je sais que tu as de bons projets pour moi et que tu diriges chacun de mes pas. Aide-moi à tenir ferme aujourd'hui. Au nom de Jésus. Amen.
Joël Osteen
9 commentaires -
Ingrédients pour 4 personnes
200 g de crevettes cuites décortiquées
1 petit concombre
200 g de fromage frais Saint Môret
5 cuillères à soupe de lait
1 tomate cerise
poivre du moulin et ciboulette
Préparation
1 Ecrasez avec une fourchette le fromage avec le lait, puis poivrez et ajoutez la ciboulette fraîche.2 Mettez 1 cuillère à soupe dans le fond de chaque verrine. Déposez des morceaux de crevettes, des tagliatelles de concombre faites à l'aide d'un économe.
3 Déposez le reste du fromage dessus et décorez avec une crevette entière, de la ciboulette et 1/2 tomate cerise...
8 commentaires -
C'est d'Orient où elle servait depuis des milliers d'années à teindre les étoffes en rouge que nous est venue la garance,
elle fournit aussi aux Gaulois, qui la mélangèrent avec le suc bleu d'une crucifère appelée pastel, une très belle couleur violette.
En France, elle a longtemps fait l'objet d'un commerce prospère, mais c'est au XIXe siècle, au temps des képis et des pantalons rouges, que son exploitation a atteint son apogée.
L'obtention par synthèse du pigment contenu dans sa racine provoqua l'effondrement du marché. Depuis lors, la plante s'est ensauvagée.
Lui ressemblant par son action médicinale, on trouve , sous les climats méditerranéens, une proche parente, la garance sauvage ou garance voyageuse, dont les feuilles munies d'une seule nervure persistent l'hiver.La connaissance des vertus médicinales de la garance remonte aux temps d'Hippocrate, qui considérait sa racine comme diurétique.
HABITAT
- Europe méridionale, subspontané en France, sol calcaire, jusqu'à 1 000 mètres.IDENTIFICATION
- Hauteur : 0,60 à 1 mètre. Vivace
- Tige rouge-brun, grimpante, ramifiée, quadrangulaire, munie sur les angles de pointes crochues
- Feuilles verticilées par 6 grande, grandes, lancéolées, munies de crochets sur les bords et sa nervure centrale, nervures secondaires en réseau apparent
- Fleurs jaune (juin-août) petites, disposées en cymes à l'aisselle des feuilles et à l'extrémité des rameaux, calice à 5 dents, corole à 5 pétales soudés à leur base, 5 étamines, 2 carpelles
- Baie arrondie, noire, grosse comme un pois
- Souche rampante, rouge, sans rejets
- Odeur d'absinthe
- Saveur âcrePARTIES UTILISEES
- RacineCONSTITUANTS
- Hétérosides, anthraquinoniquesPROPRIETES
- Apéritive, astringente, cholérétique, diurétique, emménagogue, laxative, tonique
12 commentaires -
Dès les premiers beaux jours, des millions d'hirondelles reviennent d'Afrique, pour se reproduire en Europe. Comme de nombreux autres oiseaux migrateurs, elles retrouvent l'endroit où elles nichaient l'année précédente, le plus souvent sous un plafond, dans une grange ou une étable. Elles y élèvent plusieurs nichées afin de compenser les pertes liées aux dangers des migrations.
Pendant trois semaines, les oisillons doivent être nourris par leurs parents qui parcourent les environs à la recherche de nourriture. Dès que les petit sont autonomes, ils accumulent leurs réserves de graisse afin de se préparer à la migration suivante qui, en automne, les conduira sur le continent africain.
Les populations d'hirondelles diminuent d'année en année sur notre territoire. Plusieurs raisons sont en cause : la pollution urbaine, la disparition des vieux bâtiments au profit de constructions modernes, moins adaptées à l'accueil des nids, et la raréfaction par les pesticides des insectes qui les nourrissent.
Lors de leur grande migration, les hirondelles parcourent 6 000 kilomètres en cinq à six semaines, au cours d'étapes allant jusqu'à 300 kilomètres par jour. Le soir, elles se regroupent par milliers dans les champs ou parmi les roseaux, avant de reprendre 1er vol au lever du soleil.Après avoir franchi la Méditerranée en une seule étape, nos hirondelles de dix-huit grammes survolent le Sahara meurtrier avant d'arriver sur leurs sites d'hivernage....
18 commentaires -
Fleurs d'avril
Le bouvreuil a sifflé dans l'aubépine blanche ;
Les ramiers, deux à deux, ont au loin roucoulé,
Et les petits muguets, qui sous bois ont perlé,
Embaument les ravins où bleuit la pervenche.Sous les vieux hêtres verts, dans un frais demi-jour,
Les heureux de vingt ans, les mains entrelacées,
Echangent, tout rêveurs, des trésors de pensées
Dans un mystérieux et long baiser d'amour.Les beaux enfants naïfs, trop ingénus encore
Pour comprendre la vie et ses enchantements,
Sont émus en plein cœur de chauds pressentiments,
Comme aux rayons d'avril les fleurs avant d'éclore.Et l'homme ancien qui songe aux printemps d'autrefois,
Oubliant pour un jour le nombre des années,
Ecoute la voix d'or des heures fortunées
Et va silencieux en pleurant sous les bois.André Lemoyne
André Lemoyne, né à Saint-Jean-d'Angély le 27 novembre 1822
et mort 28 février 1907,
est un poète et romancier français.
15 commentaires -
Le professeur J.S. Newberry fut le premier à parler de Mesa Verde, en 1959. Dans le compte rendu de l'expédition qu'il réalisa pour le compte de l'armée des Etats-Unis, il fait état d'un vaste plateau de 2 600 mètres d'altitude, situé dans le sud-est du Colorado, en espagnol Mesa Verde, "table verte".
Il fallut cependant attendre encore 15 ans pour qu'un photographe de l'U.S. Geological Survey, W. H. Jackson, découvre le premier abri troglodytique dissimulé derrière les parois de cette merveille naturelle. Cette région du Colorado semblant présenter un certain intérêt pour l'industrie minière, les techniciens chargés de faire des prospections l'accompagnèrent dans le Mancos Canyon et il leur montre ce qui avait sans aucun doute été une habitation, et que l'on appelle depuis Two-Story Cliff House. Dès lors, cette région suscita la curiosité. Un an plus tard, un autre explorateur envoyé par le gouvernement découvrit la Sixteen Windows House, et peu de temps après la Balcony House.
Le 18décembre 1888, Richard Wetherill et son beau-frère Charles Macon, partis à la recherche de bêtes qui s'étaient échappées de leurs troupeaux, poussèrent jusqu'aux environs de l'endroit appelé aujourd'hui Sun Point et tombèrent sur plusieurs autres abris. La découverte de Cliff Palace date de ce jour.
Véritable chef-d'oeuvre de l'architecture précolombienne, Cliff Palace, adossé à la falaise, est une structure en briques grossières d'argile et de boue, qui compte plus de 200 pièces, on dénombre 23 lieux de culte ou "kivas", des chambres et des magasins pour stocker les récoltes.
Selon les spécialistes du projet archéologique de Mesa Verde qui ont mené les fouilles de 1959 à 1972, Cliff Palace, construit vers la fin du XIIe siècle, pouvait abriter de 200 à250 habitants.
Les indigènes Anasazi (mot qui dans la langue navajo signifie "les anciens") se sont établis sur le haut du plateau de Mesa Verde -déclaré parc national en 1906 - dès le VIe siècle, trouvant refuge dans les anfractuosités des falaises ou dans des abris de faible hauteur construits sur le haut plateau, à proximité des surplombs. Ces agriculteurs qui cultivaient le maïs et les haricots sur le plateau de la Mesa Verde et chassaient les canards sauvages pour se nourrir, parvinrent à organiser une communauté de plusieurs milliers d'habitants que les difficultés d'accès protégeaient des intrus. A partir du XIe siècle seulement, ils commencèrent à construire ces bâtiments en pierre ou à plusieurs étages, les pueblos, mot utilisé aussi pour désigner en les distinguant des groupes qui vivaient dans des tipis.
Un peu plus de 100 ans plus tard, cependant pour des raisons inconnues, ils quittèrent Mesa Verde et allèrent construire de nouveaux pueblos plus au sud, dans la région du Rio Grande.
Environ 3 900 sites présentant un intérêt archéologique ont été identifiés à Mesa Verde, dont plus de 600 habitations troglodytiques. Outre celles déjà citées, il convient de mentionner, parmi les plus remarquables, Long House, la deuxième par ses dimensions,et Spence Tree House, la troisième, ainsi nommée par ceux qui la découvrirent , en 1888, à cause d'un grand pin de Douglas qui poussait devant et qui fut coupé par un autre des premiers explorateurs du site. Step House est également intéressante, parce que c'est l'un des rares endroits où l'on a trouvé les preuves de deux occupations successives du même site. Une première habitation, rudimentaire, date du VIIe siècle, et un autre pueblo du XIIIe siècle occupe le reste de la grotte.
Récemment, les autorités ont décidé, par souci d'exactitude, de substituer au terme "Anasazi" appliqué aux populations ayant vécu à Mesa Verde, une appellation plus générale "les anciens habitants du pueblo". En effet, en plus des Navajo, 23 tribus peuvent prétendre être les descendantes de ceux qui ont édifié les constructions de Mesa Verde. Parmi celles-ci, les Utes, les Hopi d'Arizona et toutes les populations dont les ancêtres ont habité des pueblos semblables dans le Nouveau-Mexique. Aucun d'eux cependant n'a jamais égalé la splendeur de Mesa Verde...
Texte extrait du livre : Les plus beaux sites du patrimoine mondial de l'Unesco
17 commentaires -
Peintre américain né le 1er février 1801 à Bolton-le-Moors (Lancashire), mort le 11 février 1848 à Catskill (New York), Thomas Cole est le principal représentant du romantisme américain et le fondateur de l'école de l'Hudson (Hudson River School), groupe de paysagistes du milieu du XIXe siècle.
D'origine anglaise, la famille de Cole émigre à Philadelphie avant de s'installer à Steubenville (Ohio). Cole apprend d'abord la peinture auprès d'un portraitiste ambulant nommé Stein, puis suit des cours pendant deux ans à l'Académie des beaux-arts de Pennsylvanie. En 1825, des paysages de Cole exposés dans une vitrine new-yorkaise attirent l'attention du colonel John Trumbull et du peintre Asher B. Durand. Ils achètent ses œuvres et lui trouvent des clients, lançant ainsi sa carrière.
En 1826, Cole s'installe dans le village de Catskill (New York), sur la rive occidentale de l'Hudson. Il parcourt la région du Nord-Est, le plus souvent à pied, et fait des études de paysage au crayon. C'est à partir de ces dessins qu'il compose les peintures dans son atelier au cours de l'hiver. L'un de ses paysages les plus impressionnants, The Oxbow (ou View from Mount Holyoke, Northampton, Massachusetts, after a Thunderstorm, 1836), est inspiré d'une étude exécutée dans le Massachusetts.
Les scènes de la vallée de l'Hudson, qu'il fixe avec dévotion, renvoient à la solitude et au mystère des forêts d'Amérique du Nord. Cole peint des paysages réels, saisis sur le vif dans les moindres détails, mais il peut également composer des vues imaginaires grandioses, avec des contrastes dramatiques de lumière et de clair-obscur. Quand la figure humaine apparaît dans son œuvre, elle est toujours subordonnée à la majesté du paysage environnant.
Cole voyage en Europe pendant les années 1829-1832 et 1841-1842, notamment en Italie. Il vit à Florence avec le sculpteur américain Horatio Greenough. De retour aux États-Unis, Cole peint cinq grands tableaux pour un cycle intitulé Le Cours de l'Empire (1836). Ces peintures allégoriques sur l'évolution du genre humain sont inspirées de l'ouvrage du comte de Volney, Les Ruines, ou Méditations sur les révolutions des empires (1791). Une deuxième série, Le Voyage de la vie (commencée en 1839), retrace en quatre tableaux un voyage symbolique de l'enfance à la vieillesse. Cole commence peu avant sa mort un nouveau cycle sur un thème religieux, La Croix et le Monde.
15 commentaires -
Voir comme Dieu voit
"Ta servante n’a rien du tout à la maison qu’une cruche d’huile. Elisée lui dit : va demander au dehors des vases chez tous tes voisins." 2 Rois 4.2-3Voir ce que Dieu voit, n'est-ce pas un beau programme ? Cette pauvre veuve vécut une histoire tragique. Son mari mourut et elle se retrouva seule avec ses deux enfants. Au-delà de la souffrance émotionnelle et affective, vous devez comprendre qu'elle perdit également son pourvoyeur. Suite à cela, son créancier vint la trouver en la menaçant de prendre ses deux fils en esclavage si elle ne payait pas sa dette. Elle alla trouver le prophète Elisée en lui demandant de l'aide car, la seule chose qu'elle possédait était une cruche d'huile.
Elisée lui dit : "va demander des vases vides en grand nombre." Une cruche contenait environ 20 décilitres de liquide alors qu'un vase en contenait 100 litres. Cette pauvre veuve parlait de quelques litres alors que le prophète lui en proposait des centaines. Effectivement, la chose arriva comme la parole fut annoncée. D'une simple cruche, des centaines de litres coulèrent pour remplir des vases en grand nombre…
Voici le début du miracle : voir comme Dieu voit. Le Seigneur est capable de prendre le peu que vous avez afin de le multiplier. Lorsque vous regardez à vous-même vous dites : "Je n'ai qu'une petite voiture, un petit travail, une petite santé, de petites économies…" Mais Dieu veut vous amener à voir comme Lui voit. De petites choses, il en fait de grandes !
Si vous lui obéissez, il prendra votre cruche pour remplir des dizaines de vases.
Une vérité pour aujourd'hui
Seigneur, je crois que tu peux prendre mon peu, ma cruche, mon tabouret et en faire un miracle. Amen.
Patrice Martorano
11 commentaires -
Ingrédients :
- 1/2 ananas
- 500g de fraises
- 1 mangue
- 6 cs de fromage blanc à 20 %
- 2 cs d'édulcorant en poudre
- 6 spéculoos
- Pluche de menthe pour la décorationPréparation :
1.Épluchez la mangue et l'ananas et les couper en gros cubes
2.Lavez les fraises et les couper en deux.
3.Dans un bol, mélangez le fromage blanc + l'édulcorant.
4.Dans chaque verrine, mettre 2 spéculoos coupés grossièrement
+ 2 cs de fromage blanc + les fruits.
Terminez par la pluche de menthe.
12 commentaires