Henri-Edmond Cross, pseudonyme de Henri Edmond Joseph Delacroix, né à Douai le 20 mai 1856, mort à Saint-Clair, au Lavandou le 16 mai 1910, est un artiste-peintre français pointilliste proche du mouvement libertaire.

 

Né au 15 de la rue Jean Bellegambe à Douai, sa famille tient une quincaillerie. Son cousin découvre le talent d'Henri-Edmond Cross dès son enfance et devient son mentor. Il fait son apprentissage à Lille auprès de Carolus-Duran et d'Alphonse Colas. Il débute au salon de 1881 en traduisant son patronyme Delacroix en anglais Cross, pour se distinguer d'Eugène Delacroix.

 

 

Un peintre néo-impressionniste
D'abord naturaliste, il se lie d'amitié avec les peintres néo-impressionnistes, dont il partage les convictions anarchistes.

 

 

À partir de 1896, il collabore aux Temps nouveaux de Jean Grave en lui offrant dessins et lithographies (le premier dessin, L’Errant, n’était pas signé), ainsi que des aquarelles pour les tombolas de soutien au journal et à ses publications.

 

 

Il est particulièrement lié à Charles Angrand, Maximilien Luce (qui fit son portrait) et Théo van Rysselberghe.
Il n'adopte le divisionnisme qu'en 1891 avec son ami Paul Signac, peu avant la mort de Georges Seurat.

 

 

Il peint la Provence à partir de 1900.
Son œuvre a influencé Henri Matisse et les peintres fauves.

 

 

 

Dieu va vous pardonner et vous restaurer

 

“Père, j'ai péché” Luc 15.18

L'histoire du fils prodigue commence ainsi : “Un homme avait deux fils. Le plus jeune dit à son père : Mon père, donne-moi la part de la fortune qui doit me revenir. Et le père leur partagea son bien. Peu de jours après, le plus jeune fils rassembla tout ce qu'il avait et partit pour un pays lointain où il dissipa sa fortune en vivant dans la débauche” (v.11-13). Quel horrible péché !

 

 

Dans cette société patriarcale du Moyen-Orient, ce manque de respect envers son père dépasse de loin l'entendement de la plupart d'entre nous. En qualité de benjamin, il avait droit au tiers des biens familiaux, mais seulement après la mort de son père. En un sens, il envoyait un message à son père, disant : “Je voudrais que tu sois mort”.

 

 

Si vous pensez que c'est choquant, la réponse paternelle faite d'amour et de pardon vous choquera encore plus. Mais si vous avez gravement fauté envers Dieu, cela deviendra un réel encouragement pour vous.

 

 

Lorsque son fils est rentré chez lui brisé et anéanti, la Bible dit : “Comme il était encore loin, son père le vit et fut touché de compassion, il courut se jeter à son cou et l'embrassa". Dans cette société, les pères ne couraient jamais. Un fier patriarche n'aurait en aucun cas ôté sa veste, défait ses sandales pour se mettre à courir !

 

 

Un encouragement pour aujourd'hui

 

Le point que Jésus veut éclaircir est le suivant : Au moment où vous ferez demi-tour pour revenir à Dieu, il viendra en courant à votre rencontre, pardonnera votre péché, et vous restaurera dans vos droits au sein de sa famille. Alors, faites la démarche aujourd'hui !

 

Bob Gass

 

 

Ingrédients : pour 12 personnes

Pour la crème mascarpone :

8 g de gélatine
500 g de crème liquide entière (30% MG)
160 g de sucre en poudre
8 jaunes
500 g de mascarpone
60 g d’eau
2 cuillères à soupe de rhum

Pour le biscuit à la cuillère :

200 gr de farine
6 jaunes
6 blancs
200 gr de sucre

Pour le montage et la décoration :

3 barquettes de framboises
Sirop de grenadine
Framboises
Fraises
Myrtilles
Feuilles de menthe
Zestes de citron vert

 

Préparation :

Pour la crème mascarpone :

Mettre la gélatine à ramollir dans de l’eau froide. Dans une petite casserole , verser l’eau, le sucre et porter à ébullition pour que le sirop atteigne 114 °C. Mettre les jaunes dans le bol du robot ou dans un saladier et fouetter. Lorsque le sirop est à la bonne température, le faire couler en filet dans les jaunes (sans arrêter le batteur mais en baissant la vitesse ) et battre jusqu’à complet refroidissement. Les jaunes vont devenir plus pâles et le mélange paraîtra plus épais. Réserver. Fouetter dans un saladier le mascarpone pour le rendre plus homogène et ajouter les jaunes et la cuillère de rhum. Mélanger délicatement avec une spatule . Fouetter la crème liquide entière pour qu’elle double de volume . Dans un petit bol, déposer la gélatine essorée et la faire fondre rapidement au micro ondes. Incorporer la gélatine dans le mélange mascarpone/œufs en fouettant rapidement. Ajouter enfin la crème montée à cette préparation en soulevant délicatement avec une spatule. Réserver.

 

Pour le biscuit à la cuillère :

Préchauffer le four à 180°C. Fouetter les jaunes à la fourchette dans un petit bol. Fouetter les blancs en neige et lorsqu’ils sont suffisamment montés, verser progressivement le sucre. Continuer de fouetter pour obtenir une neige ferme. Verser délicatement les jaunes et fouetter rapidement. Ajouter la farine tamisée (j'utilise un tamis de 16 cm de diamètre acheté chez Toque de Chef) .Mélanger délicatement avec une spatule. Beurrer et fariner le cadre en inox. Le poser sur une plaque de cuisson recouverte de papier sulfurisé. Verser la pâte à l’intérieur du cadre et lisser avec une cuillère ou une spatule. Faire cuire 15 à 20 minutes (à surveiller). Le biscuit est prêt quand il a pris une belle coloration et qu’il est souple. Une fois sorti du four, laisser refroidir le biscuit sur une grille.

 

 

 

 Pour le montage :

 

Préparer un sirop de grenadine et le chauffer au micro-ondes. Couper le biscuit à la cuillère avec un couteau à pain ou une lyre à génoise. Vous devez obtenir 2 biscuits d’épaisseur égale.

 

A l’aide d’un pinceau, badigeonner du sirop de grenadine chaud sur l’un des biscuit (face coupée vers le haut). Disposer du rhodoïd tout autour du cadre, ce sera plus facile d’enlever le cadre ensuite. Déposer ce premier gâteau face badigeonné au dessus dans le cadre en inox. Recouvrir d’une couche de crème au mascarpone, ajouter les framboises puis recouvrir de crème et lisser.

 

Badigeonner du sirop de grenadine chaud sur l’autre biscuit (face coupée vers le haut). Recouvrir la crème avec le deuxième biscuit (face avec le sirop en dessous). Appuyez légèrement pour bien répartir la crème.

 

Déposer un peu de crème restante et lisser à la spatule . Congeler pour une nuit minimum si possible ou mettre au frais pour la nuit.

 

Pour la décoration :

Disposer des framboises, des fraises ainsi que des groseilles sur le dessus du gâteau. Ajouter quelques feuilles de menthe. Décongeler environ 6 heures en le laissant au réfrigérateur avant de le déguster. Au moment de la dégustation, saupoudrer le gâteau d’un peu de sucre glace et zester un citron vert.

 

 

La guimauve est réputée pour ses vertus adoucissantes et émollientes. Ainsi, selon certains, son nom viendrait d'une déformation du latin "bis-malva", deux fois la mauve, afin de mettre l'accent sur la force de ses propriétés.

 

 

En effet, les utilisations médicinales de la mauve, qui appartient également à la famille des Malvacées, sont très proches de celles de notre plante.

 

 

Venue des steppes asiatiques bien avant l'ère chrétienne, la guimauve s'est facilement acclimatée en Europe. Recensée dans un des capitulaires de Charlemagne, cultivée pendant tout le haut Moyen Âge, elle a longtemps été exploitée dans les jardins des monastères. C'est de là qu'elle s'est échappée pour s'ensauvager dans nos campagnes : elle est actuellement considérée comme un des simples les plus précieux.

 

 

On connaît souvent, mieux que la guimauve, une de ses parentes, fréquemment cultivée, la rose trémière, c'est la passe-rose des poètes avec ses feuilles gaufrées et ses larges fleurs fortement colorées. Les fleurs brique de ces variétés foncées peuvent remplacer les fleurs de guimauve : les racines et les feuilles ne sont pas utilisées.

 

 

HABITAT

 

- Europe, zones côtières, bords des cours d'eau, terrains frais, humides, jusqu'à 300 mètres.

 

 

IDENTIFICATION 

 

- Hauteur : 0,60 à 1,50 mètre, Vivace

 

 

- Tige robuste, cylindrique, veloutée, peu ramifiée

 

 

- Feuilles vert blanchâtre, pétiolées, larges, épaisses, lobées, ovales, pointues

 

 

- Fleurs blanches ou roses (juin-septembre) par 3 à l'aisselle des feuilles dans le haut de la tige, pédonculées, calice à 5   sépales doublé d'un calicule court, corolle à 5 pétales en coeur, nombreuses étamines

 

 

- Polyakène velouté, graine brune

 

 

- Racine pivotante, longue, charnue

 

 

- Odeur fade

 

- Saveur mucilagineuse

 

PARTIES UTILISEES

 

- Racine (automne),  fleurs (juillet-août), feuilles fraîches ou séchées (juin), séchage à l'ombre ou au four

 

 

CONSTITUANTS

 

- Mucilage, sels minéraux, glucides, vitamine C

 

PROPRIETES

 

- Adoucissante, béchique, émolliente

 

 

Le griffon (ou grype) est une créature légendaire présente dans plusieurs cultures anciennes.

 

 

Il est représenté avec le corps d'un aigle (tête, ailes et serres) greffé sur l'arrière d'un lion (abdomen, pattes et queue), et muni d'oreilles de cheval.

Selon diverses légendes, son habitat serait un désert riche en or, dont il se servirait pour faire son nid. Il aurait aussi la force de cent aigles ou de huit lions et ses griffes noirciraient au contact du poison.

 

 

Enfin, il serait fier et farouche et ne se laisserait approcher par personne, seuls les ermites parviendraient à les soigner et de grands héros réussiraient à les dompter.

 

 

Au Moyen Âge, cet animal fabuleux a été associé à la figure du Christ : dieu et homme, roi du ciel et de la terre. L'aigle symbolisait la part divine du Christ et le lion la part humaine. Pendant tout le Moyen Âge, le griffon a été le symbole de la résurrection du Christ.

 

 

Dans la littérature récente on retrouve le griffon comme animal totem dans Harry Potter

 

 

 

 

 

Texte extrait du livre : Le grand almanach de la France

 

 

 

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Journée de printemps

 

Ici, le rocher, l’arbre et l’eau

Font pour mon oeil ce qu’il convoite.

Tout ce qui luit, tremble ou miroite,

Forme un miraculeux tableau.

 

Sur le murmure qui se ouate

Le rossignol file un solo :

L’écorce blanche du bouleau

Met du mystique dans l’air moite.

 

A la fois légère et touffue

La lumière danse à ma vue

Derrière l’écran du zéphyr ;

 

Je m’attarde, et le soir achève

Avec de l’ombre et du soupir

La félicité de mon rêve.

 

Maurice Rollinat

 

 

 

Le mot "delta" définit en plusieurs langue la partie terminale d'un fleuve qui, avant de se jeter dans la mer, se ramifie en une série de bras formant un triangle. Ce terme fut adopté chez les anciens Grecs par analogie avec la forme de la lettre delta (D) de leur alphabet. Le premier delta qu'ils rencontrèrent, explorèrent et décrivirent fut celui du Danube, grand fleuve auquel, dès 450 av.J.C., Hérodote Halicarnasse reconnut un rôle fondamental dans la civilisation européenne.

 

Long de 2 900 kilomètres et navigable sur presque tout son cours, le Danube compte 80 millions environ d'habitants, répartis en huit pays, et son bassin s'étend sur quelques 800 000 kilomètres carrés. Le delta proprement dit 4 340 kilomètres carrés de la superficie de la Roumanie et 800 autres en Ukraine, c'est le plus jeune territoire géologique du continent.

 

Déclaré réserve de la biosphère en 1990, inscrit au patrimoine mondial de l'Unesco et à la convention Ramsar l'année suivante, le delta du Danube est une zone en continuelle évolution, modelée comme elle l'est par un fleuve au débit de 5 000 à 9 000 mètres cubes à la seconde, qui entraîne vers son embouchure près de 50 millions de tonnes de déchets alluvionnaires par an.
Le fleuve se divise en quatre bras principaux - Chilia, Tulcca, Sulina et Sfantu Gheorghe - auxquels s'ajoutent de nombreux lacs d'eau douces reliés par des canaux et, au sud, de vastes marais d'eau salée, séparés de la mer Noire par des barrières que l'action combinée du fleuve et de la mer modifie sans cesse. Seuls 10% du territoire du delta sont situés au-dessus du niveau de la mer.

 

 

En revanche, l'étendue aquatique est la plus vaste d'Europe et abrite le plus grand nombre de roseaux de marais de la planète. Ces roseaux, en majorité de l'espèce "Phragmites australis" forment de nombreux îlots appelés "plaur", qui émergent des marécages parsemés de fougères et de nymphéas.

 

 

C'est cependant au point de jonction du Danube avec la mer que se rencontrent les plus belles surprises : des îles qui apparaissent le jour et disparaissent la nuit, submergées par la marée, des dunes couvertes d'un épais tapis herbeux qui renferment des vallées humides, de longues barrières de terrain alluvial, à l'épaisse végétation aux tiges élevées. Parmi ces dernières, on peut citer celle de Letea, à l'embouchure du Sulna. Longue d'une vingtaine de kilomètres et large de 15 au maximum, elle est caractérisée par des chênes des espèces "Quercus robur" et Quercus pedunculiflora", pouvant atteindre plus de 35 mètres de haut, ainsi que par des pins et des frênes, à leur tour associés à des plantes rampantes, "Periploca graeca", "clématis vitalba", "Vitis sylvestris" et "Humulus lupulus", qui donnent au paysage un curieux aspect "tropical".

 

Les prairies noyées, les lacs, les dunes et les zones "élevées" du delta du Danube comportent 12 habitats différents et forment une réserve ornithologique, la première d'Europe par la quantité et la variété des espèces qu'elle abrite. Parmi les 300 espèces de migrateurs provenant du bassin de la Méditerranée, de l'Europe continentale et mêmes de zones éloignées de l'Asie, 176 viennent y nidifier. Parmi celles-ci, le cormoran pygmée dont la population composée d'environ 2 500 couples représente 61% du total mondial, et les différentes espèces de pélicans, qui constituent la plus forte colonie européenne de ces oiseaux.

 

 

Les ibis, les hérons pourpres, les aigrettes, les cigognes et les cygnes blancs sont également nombreux, au moins un millier par espèces.
En outre, bien que ne nidifiant pas, on rencontre au cours des mois d'hiver environ 45 000 bernacles à cou roux.

 

 

Le total des petits mammifères - loutres, ragondins, lièvres, chats sauvages et rats musqués - bien que non évalué avec précision, est considéré comme très élevé à l'échelle européenne, tout comme celui des vipères.

 

Sur la barrière de Letea vit l'écaille des marais, un papillon nocturne unique en Europe.

 

Enfin, parmi 70 espèces environ de poissons d'eau douce - une trentaine étant spécifiques du delta, - on peut citer les harengs du Danube, les carpes et surtout l'esturgeon, recherché des pêcheurs pour le caviar.

 

Les 15 000 habitants de la zone, répartis dans de petites localités, sont surtout d'origine ukrainienne et de religion orthodoxe. Le delta se dépeuple cependant, en raison des restrictions rigides que le gouvernement roumain, poussé par des différentes organisations internationales, impose à la pratique d'activités liées à la pêche systématique et à l'agriculture.

 

 

Ces mesures prennent le contre-pied des tendances des années 1980, qui prévoyaient, sous le régime de Ceausescu et l'égide de l'Union soviétique, l'exploitation massive de la zone. On avait alors construit de nombreux polders et expérimenté des cultures comme celles du riz et du maïs, mais tandis que la déforestation de grandes étendues faisait place à des plantations de peupliers, destinés à alimenter des papeteries. Entre-temps, en amont, les industries lourdes déversaient dans le Danube des tonnes de déchets nocifs.
Si l'écroulement de l'ex-URSS et ses satellites a entraîné des bouleversements de société, il a été par ailleurs profitable au délicat écosystème du delta qui, selon les spécialistes est actuellement en meilleure santé.

 

 

Texte extrait du livre : Les plus beaux sites du patrimoine mondial de l'Unesco

 

 

Josette Mercier-Kornmayer est née en 1958 à Saignelégier.

Elle est la fille d'Alphonse Kornmayer et de Colette Rebetez. Les origines allemandes de son père lui donnent également sa nationalité. Elle aura un passeport allemand jusqu'à l'âge de 15 ans. Son père demandera alors sa naturalisation ainsi que celle de sa famille. Depuis sa plus tendre enfance, le dessin fait partie de son univers. Elle est l'aînée de 5 enfants et seule fille. Le poupées ne l'attirent guère. Elle préfère les crayons, le papier et les livres. Vers 12 ans, elle gagne un premier concours de dessin. Elle suit une formation d'employé de commerce et se marie. Jeune maman, elle découvre la peinture sur porcelaine un peu par hasard et s'y adonnera durant 7 ans. Mais cet art l'enferme dans son atelier qu'elle a aménagé dans son appartement. Elle a besoin d'air, de la nature.

 

 

En 1991, elle retrouve les joies du dessin et décide de prendre des cours, afin d'améliorer sa technique auprès d'une peintre de La Chaux-de-Fonds, Shyla Sen Gupta. 

La photographie l'intéresse aussi, un ami lui prodigue quelques cours. Elle se cherche.

 

 

De 1992 à 1998, elle suit de nombreux cours en Suisse romande. En 1998, elle se rend à Ouroux, dans le Beaujolais, chez TREVY (Jean-Claude Hyvert). Il lui transmet sa technique d'aquarelle. Désireuse de se perfectionner et de découvrir d'autres expressions artistiques en aquarelle et acrylique, elle enchaîne les stages. Elle se rendra régulièrement au Canada pour y suivre les cours de Luigi Tiengo qu'elle admire, ceux de Claude.-J. Gauthier et Jean-Pierre Vallée. Elle suivra également en Europe les cours de Roland Palmaerts, Cao Bei-An (peintre chinois), Viktoria Prischedko et Bernd Klimmer.

 

 

En 2001, elle participe au festival de peinture figurative au Landeron (art-en-ciel) et remporte le premier prix de sa catégorie.

Depuis 1998, elle expose régulièrement soit de manière collective ou en exposition solo.

 

 

En 2005, elle loue un ancien local industriel au Noirmont et y installe son atelier. Elle n'y restera que quelques mois et trouvera un autre local plus approprié à Saignelégier qu'elle transforme en atelier-galerie et prend la décision de vivre de son art.

 

En 2010, elle édite avec son compagnon Robert Spaderna, passionné de photographie, un livre sur sa région « Les Franches-Montagnes...deux regards » ... le peintre et le photographe.

En 2013, elle déménage son atelier-galerie à la rue des Rangiers 16 à Saignelégier.

 

En constante évolution, elle s'exprime toujours beaucoup à travers les paysages, mais de plus en plus souvent, elle s'adonne également à une expression plus libre et semi-abstraite ouvrant la porte à de nouvelles émotions.

 

 

 

"Si vous ne savez pas sourire, n'entrez pas"

 

"Un cœur joyeux est un bon remède, mais un esprit abattu dessèche les os." Proverbes 17.22
Certainement est-ce pour cette raison que sur le fronton d'un hôpital aux Etats Unis, il est écrit : "Si vous ne savez pas le sourire, n'entrez pas". Il est évident que cet hôpital n'a jamais refusé quelqu'un parce qu'il ne souriait pas, mais la direction voulait rappeler que la joie, l'humour, la bonne humeur sont importants dans le processus de la guérison.
Le fruit de l'Esprit, c'est la joie !
La nuit où Jésus est né, le christianisme a commencé avec le chant des anges. Or, ce chant fut précédé de cette déclaration de l'un de ces anges : "Je vous annonce une bonne nouvelle, sujet d'une grande joie pour tout le peuple…" (Luc 2.10).

 

 

Le christianisme ne devrait pas être une religion imposant des rites et des devoirs, car il est basé sur une rencontre avec le Christ, rencontre qui procure la vie, de laquelle découle la joie.
L'évangile est une bonne nouvelle. Cette bonne nouvelle est source de joie. Dans le livre des Actes, lorsque Philippe rencontre l'eunuque Ethiopien, ministre de la reine Candace, il lui parle de la bonne nouvelle du salut en Jésus, et dès cet instant cet homme poursuit sa route avec joie (Actes 8.39).
Un jour on demanda au célèbre compositeur Joseph Haydn, pourquoi ses compositions religieuses étaient si joyeuses, et il répondit : "Je ne puis faire autrement. Lorsque je pense à Dieu et à sa grâce offerte en Christ, mon cœur est rempli d'une telle joie que les notes dansent et sautent au bout de ma plume. Dieu m'a donné un cœur joyeux, c'est pour que je le serve avec joie". La grâce qui nous est accordée inonde notre esprit d'une joie céleste.

 

 

La joie est l'une des premières caractéristiques de la vie chrétienne. Elle fait irruption dès le début de la foi en Jésus-Christ, elle est la joie "dans" le Seigneur. Nous le voyons dans le livre des Actes. Ceux qui croyaient au Seigneur Jésus-Christ, et se convertissaient, étaient remplis de joie : "les disciples étaient remplis de joie et du Saint-Esprit" (Actes 13.52). "Ils prenaient leur nourriture avec joie… " (Actes 2.46).
Cette joie n'a rien à voir avec la réussite, le succès, l'abondance…elle est vécue, même dans l'opposition : "Les apôtres se retirèrent de devant le sanhédrin, joyeux d'avoir été jugés dignes de subir des outrages pour le nom de Jésus" (Actes 5.41). C'est une joie surnaturelle.

 

 

Une prière pour aujourd'hui

Seigneur, je désire que cette joie surnaturelle, m'accompagne tout au long du chemin. Qu'elle remplisse tout mon être, et qu'elle soit une bénédiction, non seulement pour moi, mais aussi pour ceux qui cheminent à mes côtés. Amen !

 

 

Ingrédients : pour 6 personnes

1 pâte brisée

Pour la garniture :

800 g de rhubarbe
90 g de sucre
amandes effilées (facultatif)
2 cuillères à soupe d'amande en poudre

Pour le flan :

2 oeufs
50 g de farine
90 g de cassonade
zeste râpée d'une orange non traitée
100 g de crème fraîche
1 sachet de sucre vanillé

Pour le nappage :

2 cuillères à soupe de confiture de fraises ou d'abricots
sucre en grains (facultatif

Préparation :

 

 Etape 1

La veille, nettoyez les tiges de rhubarbe, lavez-les et essuyez-les. Coupez-les en dés dans un saladier, saupoudrez de sucre, couvrez-le avec un torchon, placez au frigo et laissez macérer pendant une nuit pour que la rhubarbe rende son eau et ne détrempe pas la pâte.

 

 

 Etape 2

Etalez la pâte dans un moule à tarte en conservant la feuille de cuisson. Recouvrez-la de papier aluminium et faites cuire 5 minutes à 200°C. Retirez l'aluminium et remettez à cuire 5 minutes.

 

 

 Etape 3

Laissez égouttez la rhubarbe et séchez-la. Réalisez le flan : Battez les oeufs avec la cassonade au batteur pour obtenir un mélange mousseux. Incorporez la farine, le zeste d'orange, la crème fraîche et le sucre vanillé.

 

 Etape 4

Saupoudrez le fond de tarte d'amandes en poudre. Répartissez les dés de rhubarbe dessus puis versez le flan. Saupoudrez d'amandes effilées et enfournez pendant 40 à 45 minutes à 200°C.

 

 

 Etape 5

Laissez refroidir dans le moule. Faites chauffer la confiture de fraise dans une casserole à feu doux pour qu'elle se liquéfie. Démoulez la tarte puis badigeonnez-la de confiture avec un pinceau. Saupoudrez de sucre en grains pour décorer.

 

 

 Etape 6

Dégustez tiède ou froid, éventuellement accompagné d'un coulis de fraises.