Claude Gellée, dit « le Lorrain » (Chamagne, Vosges, v. 1600 - Rome, 23 novembre 1682), est un peintre lorrain, figure emblématique du paysage de style classique

Claude Gellée fréquente l’école du village avant de commencer à apprendre le métier de pâtissier. Il perd ses parents à l’âge de douze ans, et, à quatorze ans, il suit une troupe de pâtissiers qui se rend à Rome. Il y trouve du travail comme cuisinier auprès du peintre Agostino Tassi. C'est à cette époque que Claude Gellée aurait inventé la pâte feuilletée1. À part des travaux domestiques, il broie les couleurs de son maître ; il a ainsi l’occasion de le voir peindre. Il s'essaie lui-même à la peinture, et étonne Tassi au point que celui-ci commence l'éducation de Claude Gellée dans l’art pictural.

 

 

Il fait un séjour à Naples entre 1617 et 1621 où il étudie auprès du paysagiste Goffredo Wals. Il quitte l’Italie à l’âge de 25 ans et fait de longs voyages en France, en Suisse .
Toute sa carrière se déroule ensuite à Rome. Influencé par les grands paysages d'Annibal Carrache, il forge son propre style. Peu à peu, l’effet de la lumière devient sa préoccupation majeure.

 

 

Dans une première période, il reçoit des commandes du pape Urbain VIII. Il peint de nombreux ports imaginaires, invitations au voyage, à l'architecture néo-classique de la Renaissance italienne, baignés par la lumière rasante d'un soleil couchant situé dans la ligne de fuite du tableau. On y retrouve souvent des scènes d'embarquement grouillant de débardeurs affairés

 

 

À partir de 1645, le Lorrain s'oriente vers des œuvres plus apaisées, à la lumière uniforme, d'inspiration mythologique ou biblique (Bord de mer avec Apollon et la sibylle de Cumes, 1647 ; Mariage d'Isaac et Rebecca, 1648). Mais comme toujours chez le peintre, ces scènes ne sont que des prétextes pour l'exploration de l'espace infini du paysage (les œuvres du Lorrain « naissent de la distance », Werner Schade, 1999).

 

À la fin de sa carrière, le Lorrain retrouve son inspiration première dans des sujets plus symboliques, qui lui permettent d'explorer à nouveau le travail de la lumière
En 1663, Claude Gellée tombe gravement malade, il souffre beaucoup de la goutte. Dans ses dernières années, il ne vit que pour l’art. Bien qu’il soit délivré des soucis financiers, il mène une vie modeste et soutient beaucoup les pauvres. Hormis le pape Urbain VIII, il a peint pour des personnages très importants de son temps, tels que le roi d’Espagne ou des cardinaux de la Curie romaine. Il meurt le 23 novembre 1682 et est inhumé à Rome dans l'église Trinità dei Monti (en 1836 sa tombe sera transférée dans l'église Saint-Louis-des-Français, sous un monument édifié en son honneur.) Dans son testament, il demande qu’on dise des messes dans son village de naissance: malgré son admiration pour la nature d’Italie et sa grande fortune, Claude Gellée est resté toujours attaché à Chamagne.

 

 

 

Aujourd'hui, ouvrez les yeux

 

"Ouvre mes yeux, pour que je contemple les merveilles de ta loi" Psaumes 119.18

 

Un jour, Élisée et son jeune serviteur se réveillent dans une maison assiégée par une armée de soldats ennemis. Le serviteur panique et demande : "Comment ferons-nous ?" Alors Élisée prie : "Éternel, ouvre ses yeux, je t'en prie, pour qu'il voie" 2 Rois 6.17. Soudain, il voit ses ennemis entourés par une armée d'anges plus grande encore.

 

 

Sur le chemin d'Emmaüs, Cléopas et ses compagnons ont le cœur brisé parce que Jésus, celui en qui ils avaient placé leurs espoirs, vient d'être crucifié et enseveli. Un étranger sortant de nulle part les rejoint sur leur route, et arrivés chez eux, ils l'invitent à souper. Au moment même où il prie pour bénir le repas, les yeux de Cléopas et de ses amis s'ouvrent pour s'apercevoir que cet étranger n'est autre que Jésus (voir Luc 24.13-35).

 

 

Un homme dans un train de banlieue garde les yeux fixés à la fenêtre et dit : "Merveilleux, tout simplement merveilleux !". Que regarde-t-il ? Des immeubles délabrés et des ordures qui débordent jusque sur l'asphalte ! Après l'avoir entendu prononcer cinq ou six fois "merveilleux", sa voisine lui dit : "Je ne vois pas ce qu'il y a de merveilleux dans tout ça". Ce à quoi l'homme répond : "J'ai été aveugle pendant trente ans. Mais grâce à l'habileté d'un chirurgien, la générosité d'un donneur, et une transplantation de cornée, on m'a fait cadeau de deux yeux neufs. Pour moi, tout ce que je vois est merveilleux".

 

 

Une prière pour aujourd'hui

 

Les plaintes vous rendent aveugle aux bénédictions de Dieu, mais la gratitude vous ouvre les yeux pour pouvoir les apprécier. Aujourd'hui, demandez à Dieu d'ouvrir vos yeux à toutes les "merveilles" qui vous entourent.

Bob Gass

 

 

Ingrédients pour 4 personnes :

 

•2 melons
•4 cuil. à soupe de Porto
•1 cuil. à soupe de sucre

Pour réaliser cette recette melon au porto, commencez par préparer tous les ingrédients.

 

Découper un couvercle sur le melon en formant des dents de scie.

 

 

Retirer le couvercle délicatement.

 

Retirer les pépins à l'aide d'un cuillère à soupe.

 

Prélever des boules de melon à l'aide d'une cuillère à pomme parisienne.

 

 

Remettre les boules dans le melon.

 

 

Saupoudrer la surface de sucre...

 

 

..et arroser avec le porto. Servir très frais.

 

 

 

 

 

Parfois blottie en montagne, dans les creux des rochers, d'où ses rejets débordent pour coloniser l'entourage, la joubarbe se rencontre plus fréquemment dans les plaines.

 

 

Elle affectionne les vieux murs mais surtout les toits de lauzes et de chaume sur lesquels elle s'accroche et qu'elle consolide en les protégeant contre le ruissellement des pluies.

 

 

Son nom de joubarbe viendrait d'une contraction du latin "Jovis barba" de Jupiter, dieu du Ciel, maître des éclairs : on croyait en effet autrefois que sa présence sur un toit suffisait à détourner la foudre. C'est une de ces plantes vivaces, résistantes, ressemblant à un artichaut, comme de tous, mais dont on ignore souvent les précieuses qualités médicinales.

 

 

Nul besoin d'une récolte à date fixe, de procédés, de précautions de dessiccation : il suffit d'allonger la main et de cueillir une feuille fraîche. Peut-on imaginer une plus simple thérapeutique? C'est avant tout l'herbe aux cors, qui soigne aussi les dartres et les brûlures.

 

 

Cette simplicité d'utilisation s'accorde bien avec la vie de la plante : elle se nourrit de grand soleil, de quelques grammes de terre ou de poussière, de quelques gouttes d'eau. Bien mieux, plus la terre est aride, plus ses fleurs sont nombreuses et jolies..

 

 

 

HABITAT

- Europe centrale, méridionale, toits, vieux murs, ruines, rochers, jusqu'à 2800 mètres

 

 

IDENTIFICATION

- Hauteur : 0,20 à 0,50 mètre. Vivace

 

 

- Hampe florale dressée, charnue, très feuillée

 

- Feuilles basales en rosette, sessiles, grasses, imbriquées, oblongues, à pointes aigües souvent rouges, à faces glabres et bords cillés

 

- Fleurs roses strié de pourpre (juin-août), subsessiles ou              courtement pétiolées, en corymbe terminal, 8 à 20 sépales, 8 à 20pétales étalés, 2 fois plus longs que les sépales, 6 à 40 étamines, 8 à 20 carpelles divergents

 

- Follicule s'ouvrant par une fente, contenant de nombreuses graines sur deux rangs

 

- Souche émettant des rejets

 

- Odeur faible

- Saveur acidulée

 

PARTIES UTILISEES

- Feuilles fraîches, suc frais

 

CONSTITUANTS

- Tanin, mucilage, acides malique et formique

 

PROPRIETES

- Antispasmodique, astringente, émolliente, vulnéraire

 

 

Pour être passé à vingt-cinq pas d'une procession de capucins sans ôter son chapeau et sans se mettre à genoux, pour avoir chanté une chanson impie et possédé des livres condamnables, dont le Dictionnaire philosophique de Voltaire, le chevalier de la Barre, âgé de 19 ans, est condamné le 28 février 1766 par le tribunal d'Abbeville a avoir le poing coupé, la langue arrachée et à être brûlé vif.

 

 

Et le tribunal de Paris confirmera cette peine, en recommandant toutefois qu'on le décapite avant de le brûler ! Suite à cette affaire, Voltaire ajoutera un chapitre consacré à la torture dans son Dictionnaire philosophique, où il relatera le martyre de ce " jeune homme de beaucoup d'esprit et d'une grande espérance, mais ayant l'étourderie d'une jeunesse effrénée ".

 

En 1897, une statue représentant le chevalier de la Barre sur le bûcher a été érigée devant la basilique du Sacré-Coeur. Déplacée en 1926 square Nadar, la statue fut déboulonnée le 11 octobre 1941 pour être fondue.

 

Une nouvelle statue, payée par une souscription, a été inaugurée en février 2001,elle est l'oeuvre du sculpteur Emmanuel Ball. Sur le socle est inscrite une citation de Voltaire : " La tolérance universelle est la plus grande des lois ".

 

Texte extrait du livre : Le grand almanach de la France.

 

 

La Cueillette des Cerises

 

Espiègle ! j'ai bien vu tout ce que vous faisiez,
Ce matin, dans le champ planté de cerisiers
Où seule vous étiez, nu-tête, en robe blanche.
Caché par le taillis, j'observais. Une branche,
Lourde sous les fruits mûrs, vous barrait le chemin
Et se trouvait à la hauteur de votre main.
Or, vous avez cueilli des cerises vermeilles,
Coquette ! et les avez mises à vos oreilles,
Tandis qu'un vent léger dans vos boucles jouait.
Alors, vous asseyant pour cueillir un bleuet
Dans l'herbe, et puis un autre, et puis un autre encore,
Vous les avez piqués dans vos cheveux d'aurore ;
Et, les bras recourbés sur votre front fleuri,
Assise dans le vert gazon, vous avez ri ;
Et vos joyeuses dents jetaient une étincelle.
Mais pendant ce temps-là, ma belle demoiselle,
Un seul témoin, qui vous gardera le secret,
Tout heureux de vous voir heureuse, comparait,
Sur votre frais visage animé par les brises,
Vos regards aux bleuets, vos lèvres aux cerises.

 

François Coppée

 

 

 

 

Johannes Rebmann dut être très surpris en 1848, de se retrouver au pied d'un mont enneigé majestueusement dressé sur le haut plateau de l'Afrique centrale, à 300 kilomètres à peine de l'équateur. Les chaga, qui vivaient sur ses pentes, l'appelaient "Kilimandjaro" et pour eux ils était sacré.

 

 

Mais le géologue allemand Hans Mayer - le premier à atteindre la cime en octobre 1889 - allait le rebaptiser "Kaser Wilhem Spitze", en hommage à son souverain.

 

 

Bien des années plus tard, le gouvernement de la Tanzanie indépendante le renomma pic Uhuru, mot swahili signifiant "liberté", mais pour tout le monde, ce sommet solitaire est finalement redevenu le Kilimandjaro. L'origine de ce nom demeure mystérieuse : Rebmann pensait qu'il signifiait " montagne de la grandeur ", mais d'autres l'interprétèrent "montagne lumineuse", "montagne blanche", ou encore "montagne de l'eau". Quoi qu'il en soit, le Kilimandjaro reste auréolé par l'émerveillement qui frappa les premiers visiteurs européens et, souvent, par une épaisse couverture nuageuse qui empêche de voir sa cime éternellement enneigée.

 

Le plus haut sommet d'Afrique est un massif d'origine volcanique dans lesquels s'ouvrent trois cratères : le Shira, à 3 962 mètres, le Mawensi à 5 149 mètres, et le Kibo, tout en haut, à 5 895 mètres.

 

Le Kilimandjaro couvre globalement une superficie de 388 500 hectares - ce qui en fait l'un des plus grands volcans du monde - et, bien que ces dernières éruptions datent du pléistocène, une fumerolle, au centre du Kibo, montre encore de faibles traces d'activité

 Transformé en réserve naturelle par l'administration coloniale britannique en 1921, l'actuel parc national du Kilimandjaro couvre une superficie de 75 353 hectares, entourés d'une autre réserve forestière de 92 906 hectares.

 

 

Entre la Marangu Gate, à 1 830 mètres d'altitude, où commence la zone protégée, et le sommet se succèdent 5 écosystèmes végétaux : la forêt de montagne, la bruyère, la bruyère d'altitude, le marais alpin et le désert alpin.
A partir de 4 600 mètres, on ne rencontre que des mousses et des lichens, tandis qu'en descendant vers la strate de bruyère d'altitude, la végétation est essentiellement constituée de bruyères et d'arbustes.

 

 

 

En dehors de deux espèces de cinéraires et d'une lobéliacée géante endémique, répandue en altitude, les espèces les plus intéressantes se trouvent dans la zone forestière comprise entre 830 et 2 700 mètres, où poussent divers Podocarpus et le camphre. En revanche, on note l'absence de bambou assez répandus dans d'autres régions d'Afrique centrale.

 

En ce qui concerne la faune, le parc du Kilimandjaro abrite de nombreux mammifères, parmi lesquels différentes antilopes comme l'éland, le guib harnaché et deux espèces de céphalophes, le buffle, environ 220 éléphants, divers primates cercopithèques, galagos et colobes) et des léopards. En revanche, le rhinocéros noir a complètement disparu.

 

 

Bien que le parc soit parfaitement protégé et que le gouvernement ait mis fin à toutes les concessions d'abatage des arbres, les ressources mises à la disposition du personnel sont insuffisantes. En effet, une récente reconnaissance aérienne de l'ensemble de la région, effectuée par le Programme des Nations unies pour l'environnement et les autorités locales, a descélé les traces de nombreuses activités humaines, de l'abattage d'espèces précieuse comme le camphre et le cèdre aux incendies volontaires pour produire du charbon de bois, de l'agriculture à l'élevage. Les dégâts sont si importants que l'on ne trouve plus de forêt de montagne intacte en dessous de 2 500 mètres.

 

Texte extrait du livre : Les plus beaux sites du patrimoine mondial de l'Unesco

 

 

Dauphinoise d’origine, installée depuis 1977, dans le petit village de St Romans dans le Royans – Isère, tout près de St Marcellin, pays des noix et du fromage du même nom. Elle y exerce son activité de peintre et donne des cours et stages auprès de particuliers et au sein d’associations et en particulier à « l’Atelier des Arts à St Romans » dont elle fut la co- fondatrice en 1988, avec Marie-Thérèse Rosiak.

 

 

Enrichie des cours aux Beaux Arts de Grenoble et des différents stages auprès de peintres célèbres, elle a maintenant à son actif, de nombreuses expositions personnelles et collectives en Rhône Alpes, bien sûr, mais aussi dans les autres régions de France et à l’étranger : Allemagne,Tchéquie, Belgique, Italie.

 

 

Principalement aquarelliste, bien qu’elle s’adonne aussi à l’huile et un peu au pastel sec, elle est aussi l’auteur d’un carnet d’aquarelles sur sa région : « St Romans Rive Gauche ».

 

 

 

Courage, je viens bientôt !

 

"Sa venue est aussi certaine que celle de l’aurore. Il viendra pour nous comme la pluie, comme la pluie du printemps qui arrose la terre." Osée 6.3

 

En Belgique, vers 1900, dans une mine de charbon, 40 mineurs furent ensevelis à 600 mètres sous terre. Le plafond de la galerie principale s'étant effondré, toute délivrance paraissait impossible. Les lampes s'éteignaient les unes après les autres. Effrayés par le spectre de la mort, les emmurés commençaient à jurer, à maudire Dieu et à se quereller pour un croûton de pain.

 

 

Mais un galibot (nom qui était donné aux enfants employés aux travaux souterrains dans les mines du nord de la France), plus entêté et plus agile que les autres, partit à tâtons. Il chercha un trou d'aération (long tuyau vertical trop étroit pour laisser passer un homme). Il rampa, s'écorcha les genoux, s'égara, s'arrêta, repartit. Et il arriva à un endroit qu'il supposa être le bon. Il appela en direction d'en haut, cria, pria... et attendit.

 

 

Le miracle se produisit. La voix de l'ingénieur lui parvint : "Courage ! dit la voix. J'ai envoyé une équipe de sauvetage pour vous percer un passage. Ce sera long, mais : courage ! Je viens bientôt. J'arriverai à temps. Ne désespérez pas !"

Après des heures d'effort, le galibot rejoignit ses camarades et leur transmit le message "Courage : je viens bientôt !" ?Mais quelle déception ! Tous se moquèrent de lui. C'est la faim qui les rendait fous.??Quand l'ingénieur réussit enfin à se frayer un passage, il arriva au milieu de cadavres... Seuls le jeune galibot et trois de ses camarades qui avaient été soutenus par ses paroles étaient demeurés en vie...??

 

 

Dans ce monde où toutes les valeurs s'effondrent et où tant de gens sont comme emmurés, Jésus dit à tous ceux qui veulent espérer en lui : "courage ! Je viens bientôt". Il veut intervenir en leur faveur et les sauver maintenant de toute détresse, quelle qu'elle soit.??

 

 

La toute dernière parole qu'il nous adresse dans la Bible c'est qu'il va venir prendre avec lui pour les emmener au ciel, tous ceux qui croient en lui et qui se préparent en vue de son retour. Apocalypse 22.12-20.?

 

 

Une prière pour aujourd'hui

 

Merci Seigneur pour ton amour pour moi qui t'a fait aller jusqu'au bout, à la croix, pour me sauver. Je sais que tu viens bientôt nous chercher pour être avec toi pour l'éternité. Donne-moi du courage pour finir ma course en restant toujours attaché à toi, avec foi et espérance. Merci Seigneur !

 

Jean Louis Gaillard

 

 

Ingrédients

 

- 750 gr de poitrine d'agneau
- 2 oignons
- 5 carottes
- 2 tomates
- 1 c. à s. de concentré de tomate
- un verre de vin blanc sec
- beurre
- 5 gousses d'ail
- sel - poivre - curry
- thym frais
- 2 feuilles de sauge

 

 

Préparation :

 

Faites fondre 40 gr de beurre dans une sauteuse. Emincez les oignons et faites-les revenir dans le beurre. Ajoutez les morceaux de poitrine d'agneau. Quand ils sont bien dorés, ajoutez les carottes coupées en rondelles, les tomates coupées en morceaux et la cuillère de concentré de tomates, salez, poivrez, mettez une demi cuillère à café de curry et mouillez avec le vin.

 

 

Mélangez bien et couvrez. Laissez mijoter 30 minutes à feu doux. Ajoutez alors un ou deux verres d'eau, l'ail haché, le thym frais et les feuilles de sauge ciselées. Continuez la cuisson à feu doux et à couvert durant 30 minutes.

 

 

Décorez avec un peu de persil haché et quelques branches de thym frais et servez.