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Des fleurs fines et mousseuses comme l’écume
Des fleurs fines et mousseuses comme l’écume
Poussaient au bord de nos chemins
Le vent tombait et l’air semblait frôler tes mains
Et tes cheveux avec des plumes.
L’ombre était bienveillante à nos pas réunis
En leur marche, sous le feuillage ;
Une chanson d’enfant nous venait d’un village
Et remplissait tout l’infini.
Nos étangs s’étalaient dans leur splendeur d’automne
Sous la garde des longs roseaux
Et le beau front des bois reflétait dans les eaux
Sa haute et flexible couronne.
Et tous les deux, sachant que nos coeurs formulaient
Ensemble une même pensée,
Nous songions que c’était notre vie apaisée
Que ce beau soir nous dévoilait.
Une suprême fois, tu vis le ciel en fête
Se parer et nous dire adieu ;
Et longtemps et longtemps tu lui donnas tes yeux
Pleins jusqu’aux bords de tendresses muettes.
Emile Verhaeren
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Emblème depuis plus de quarante ans du World Wildife Fund (WWF) et symbole des espèces menacées d'extinction, le grand panda fait l'objet de toutes les attentions des chercheurs chinois qui mettent tout en oeuvre pour le sauver.
Si la conservation du fragile habitat dans lequel ce mammifère vit semble aujourd'hui plus ou moins garantie, malgré de nombreux retards et lacunes, le problème majeur reste le manque d'appétit sexuels des pandas. Après plusieurs tentatives de stimulations qui 'ont donné aucun résultat concluant, les experts e sont vaguement lancés dans le clonage. Maigre consolation, seule l'insémination artificielle porte tant bien que mal ses fruits.
A Wulong, par exemple, la population des pandas est désormais de 55 individus, contre 20 en 1998. Les pandas de la vallée de Jiuzhaigou, estimés à 17 individus en 1996, sont sans doute moins nombreux, tandis que, dans la réserve voisine de Huanglong, 4 communautés ont été recensées, sur 5 territoires susceptibles de les accueillir. Il ne s'agit pas de grands groupes, mais le proximité de l'autre réserve de Wanglang offre une certaine garantie pour leur survie.
Situées dans le Sichuan septentrional, "porte" de la Chine vers l'Asie intérieure, les régions d'intérêt panoramique et historique de Huanglong et de Jiuzhaigou ont des histoires parallèles.
Crées à la fin des années 1970, elles occupent respectivement 70 000 et 72 000 hectares dans une région montagneuse (dont les pics dépassent fréquemment 5 000 mètres) à la tectonique complexe.
Les deux sites sont traversés par des lignes de faille qui produisent une intense et fréquente activité sismique et sont caractérisés, d'un point de vue géologique, par la présence de roches carbonatiques paléozoïques. Ces dernières sont recouvertes de dépôts de graviers alluvionnaires et de moraines, entremêlés de dépôts de calcite formant des vasques de travertin et des massifs calcaires qui donnent naissance à des phénomènes karstiques. En altitude, de nombreux lacs glaciaires parsèment un paysage fortement marqué par des gorges et des précipices. On comprend ainsi pourquoi Jiushaigou signifie "la vallée des neuf gorges".
La proximité des deux zones se traduit également par une végétation plutôt uniforme. A basse altitude, entre 1 700 et 2 300 mètres, on trouve un étage forestier dominé par l'épicéa de Chine et les érables
Plus haut, les conifères prédominent avec diverses espèces de sapins, mélèzes et bouleaux. Entre 3 600 et 4 200 mètres, les prairies alpines s'imposent, dominées par de vastes étendues herbeuses et des arbustes. Parmi les centaines de variétés botaniques recensées, 101 espèces de Huanglong et 92 de Jiuzhaigou sont d'un grand intérêt pour leur endémisme, leur valeur ornementale ou leur utilisation dans la médecine traditionnelle chinoise.
A l'exception du grand panda, la faune comprend 59 mammifères à Huanglong comme une dizaine seulement à Jiuzhaigou, bien que cette stimation soit le résultat d'un recensement incomplet.
Parmi ces mammifères les plus intéressants figurent le singe doré à nez camus du Sichuan, menacé d'extinction en raison de la diminution progressive de son habitat, le panda roux, l'ours du Tibet et le takin du Sichuan.
Ces montagnes difficiles d'accès ont toujours été hostiles à l'homme, de sorte que, même dans la Chine moderne, les vallées du Huanglong et de Jiuahaigou abritent peu de villages comptant, tout au plus, 1 500 habitants. Cela n'empêche cependant pas l'environnement de ces régions, bercées de légendes par le rôle qu'elles jouent dans la religion et la tradition thibètaines, d'être soumis à une certaine pression anthropique aux effets préoccupants pour sa conservation.
Cette pression est, par ailleurs, accentuée par l'imposante propagande du gouvernement chinois qui souhaite encourager le tourisme intérieur, initiative qui a dangereusement fait augmenter le nombre de visiteurs, désormais supérieur à 300 000 personnes par an. Il faut également ajouter à cela l'abattage, par les populations environnantes, de vastes parcelles forestières à des fins agricoles, les feux de forêt et la pollution, autres menaces pour la tranquillité des pandas.
Texte extrait du livre : Les plus beaux sites du patrimoine mondial de l'Unesco
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Thierry Martin, Chemillois depuis une dizaine d'années, est né à Chavagnes-les Eaux, a habité la région angevine avant de venir s'installer à Chemillé. C'est un peintre autodidacte qui s'est spécialisé dans la peinture à l'huile au couteau après avoir travaillé le pastel.
« Je travaille seulement à l'huile en privilégiant le couteau qui donne une force à la peinture. Mes thèmes sont variés mais restent principalement le paysage, » explique Thierry Martin.
Il a obtenu de nombreux prix dans la région dont le prix du public au salon d'automne de Chemillé en 2012.
Les huiles de Thierry Martin brillent par leur interprétation lumineuse et riche en couleurs du monde qui nous entoure et par l'agréable quiétude qui s'en dégage. Cet amoureux de la nature nous transporte dans une douce ambiance de vacance au bord de la mer et des rivières,et nous fait voyager entre villages angevins et Marais Poitevin.
Le spectateur se promène alors sur des chemins de campagne et longe des champs fleuris aux couleurs éclatantes. Les parfums de la nature et le chant des grillons sont presque perceptibles. Au bout du chemin un petit village charmant s'ouvre sur une terrasse de café ensoleillée devant une place de marché animée.On s'y croirait presque! Le talent de cet artiste n'a pas fini de nous émerveiller.
Nathalie Gruben
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Les tempêtes de la vie
"Heureux l’homme qui endure la tentation ; car après avoir été mis à l’épreuve, il recevra la couronne de vie, que le Seigneur a promise à ceux qui l’aiment." Jacques 1.12
De nombreux tableaux de Joseph Turner ont pour thème la nature : l'eau, le ciel, la lumière, les tempêtes. En 1842, à l'âge de soixante-sept ans, il décida de modifier son approche des tempêtes. Au lieu de les contempler de loin, il voulut expérimenter personnellement la fureur des éléments.
Il se fit attacher au grand mât d'un bateau qui se dirigeait droit sur une tempête. Ce fut une expérience intense, qui lui inspira le tableau "Tempête de neige : bateau à vapeur au large d'un port". Comme le fit remarquer l'historien d'art Kenneth Clark : "ll n'existe rien d'approchant dans tout l'art européen, à part, bien entendu, d'autres tableaux de Turner." Si cette œuvre laissa certains critiques perplexes, beaucoup, comme Clark, furent plutôt admiratifs : "Le mouvement est partout. Les rafales de neige et les paquets d'eau tourbillonnent de façon totalement imprévisible."
Ce tableau permet au spectateur de ressentir ce qu'est une tempête. Comme l'a résumé Clark, il "représente l'essence de tout ce que Turner a découvert sur lui-même et sur son art en quarante années de pratique".
Dans nos vies spirituelles, Dieu peut permettre que nous essuyions des tempêtes. Nous devons alors avoir confiance en lui. Comprendre que ces tempêtes ont un but. Elles approfondissent notre foi et changent notre caractère. Et si nous persévérons dans les épreuves, nous serons bénis et recevrons "la couronne de vie".
Dans le même ordre d'idée, Paul affirme que Dieu nous invite à nous glorifier dans les tribulations. Pourquoi ? Parce qu'elles produisent la persévérance. La force de caractère. Et l'espérance (Romains 5.3-5).
Aujourd'hui, rappelez-vous que Dieu a un plan éternel pour votre vie. Si vous essuyez des tempêtes, gardez la foi. Faites-lui confiance. Laissez-le vous perfectionner, vous enseigner, vous donner un témoignage plus puissant, changer votre vie. Et manifester sa puissance !
Une prière pour aujourd'hui
Père, aide-moi à persévérer dans chacune des situations. Je ne veux pas baisser les bras, mais au contraire te faire confiance. Je crois que tu me donneras la victoire. Merci parce que tu es fidèle. Au nom de Jésus. Amen.
John Roos
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Ingrédients : pour 6 personnes
pour le gâteau :
4 oeufs
125 g de sucre
100 g de farine
pour la crème pâtissière :
4 jaunes d'oeufs
50 cl de lait
1 gousse de vanille
75 g de sucre
40 g de farine
Pour la garniture :
des fruits : ananas, pêches, kiwis, bananes
Préparation :
1 Faire bouillir le lait avec la gousse dans un saladier, mélanger les 4 jaunes au sucre et remuer jusqu'à ce que le mélange blanchisse. Puis incorporer la farine.
2 Ôter la gousse de vanille et verser le lait bouillant sur la préparation précédante. Reverser la préparation dans la casserole et faire cuire à feu doux jusqu'à ce que la crème épaississe. Laisser refroidir.
3 Pendant ce temps, préparer le gâteau : séparer les blancs des jaunes. Mélanger les jaunes avec le sucre jusu'à un mélange mousseux. Ajouter la farine doucement puis les blancs en neige montés fermes. Verser la pâte dans un moule beurré (ou avec du papier sulfurisé). Cuire 35 minutes à thermostat 5/6.
4 Lorsque le gâteau a refroidi : disposer la crème elle aussi refroidie dessus puis disposer les fruits
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La culture du lin date des premiers âges de l'humanité. Dès cette époque et jusqu'au milieu du XIXe siècle, où il fut en grande partie supplanté par le coton; les hommes le cultivaient pour ses fibres textiles, qu'ils ont filés, teintes, tissées.
Au VIe siècle av.J.C., il faisait partie de l'alimentation et fut cité comme remède, au Ve siècle av.J.C., par Théophraste dans l' "Histoire des plantes".
Les peintres au Moyen-Âge, eurent l'idée de remplacer une partie de l'oeuf dans la composition du tempera par de l'huile de lin cuite et décantée au soleil, cette opération le rendait brillant et permettait une utilisation plus souple de la matière.
L'eau de lin était très en vogue au Grand Siècle, et Mme de Sévigné en buvait pour se bien porter. Ce lin aux multiples usages fut baptisé par les botannistes "Limum usitatis-simum" lin très usité. Cultivé sur une grande échelle dans le nord de la France, il ne doit pas faire oublier son cousin sauvage. Il existe une troisième espèce de lin médicinal, le lin purgatif qui est une plante fluette aux minuscules fleurs blanches.
HABITAT
- Europe méridionale, ouest de la France, collines, pelouses, jusqu'à 800 mètres
IDENTIFICATION
- Hauteur : 0,30 à 0,60 mètre. Vivace
- Tige dressée ou ascendante, sans noeuds, glabre, fréquents rejets à la base, feuillés, stériles
- Feuilles vert tendre lancéolées, étroites, alternes marquées par 1 à 3 nervures
- Fleurs bleu clair (mai-juillet) grandes, à long pédicelle, fermées par mauvais temps, 5 sépales ovales, pointus à 3 nervures, 5 pétales denticulés, 2 fois plus longs, caducs, 5 stigmates, étroits en massue, 5 étamines fertiles et 5 avortées sans anthère
- Capsule brunâtre, à cloisons intérieures barbues, libérant 10 graines allongées, brunes, luissantes, lisses
PARTIES UTILISEES
- graines (juillet-août)
CONSTITUANTS
- Mucilage, pectine, lipides, enzymes, glucosides, vitamine F
PROPRIETES
- Adoucissant, diurétique, émollient, laxatif, vermifuge
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Au début du XXe siècle, chacun produisait et consommait ses propres alcools forts. Les bouilleurs de cru ambulants distillaient l'alcool des villageois, dans la limite de 10 litres par foyer par an.
Le "droit de bouillir", était considéré comme un privilège et il se transmettait de père en fils. Il fut maintes fois remis en cause mais maintenu pour des raisons électorales, compte tenu du poids des paysans dans la France.
Ce privilège fut finalement supprimé en 1954 par Pierre Mendès France, afin de combattre l'alcoolisme.
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Bergeronnette
Pauvre petit oiseau des champs,
Inconstante bergeronnette.
Qui voltiges, vive et coquette,
Et qui siffles tes jolis chants ;
Bergeronnette si gentille,
Qui tournes autour du troupeau.
Par les prés sautille, sautille,
Et mire-toi dans le ruisseau !
Vas, dans tes gracieux caprices,
Becqueter la pointe des fleurs,
Ou poursuivre, au pied des génisses,
Les mouches aux vives couleurs.
Reprends tes jeux, bergeronnette,
Bergeronnette au vol léger ;
Nargue l'épervier qui te guette !
Je suis là pour te protéger ;
Si haut qu'il soit, je puis l'abattre...
Petit oiseau, chante !... et demain,
Quand je marcherai, viens t'ébattre,
Près de moi, le long du chemin.
C'est ton doux chant qui me console,
Je n'ai point d'autre amis que toi !
Bergeronnette, vole, vole,
Bergeronnette, devant moi !...
Charles DOVALLE
Poète français né le 23 juin 1807 à Montreuil-Bellay en région Pays de la Loire,
Charles Dovalle est décédé en duel le 30 novembre 1829 à Paris
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A 4 750 mètres d'altitude, le Klioutchevskoï est le plus haut volcan actif d'Eurasie, un cône parfait qui, avec le Kamen, le Bezymianni et le Ploski Tolbatchik, forme la chaîne volcanique de la Kioutchevskaïa.
Sa première éruption enregistrée par l'homme remonte à 1697, lorsque l'explorateur russe Vladimir Atlasov se trouve devant son immense silhouette pour la première fois.
Depuis,les volcanologues ont signalé pour le moins une éruption tous les cinq ans, mais le Klioutchevskoï, comme les autres volcans de la péninsule du Kamtchatka, n'a jamais présenté de danger pour les populations locales.
Ce n'est toutefois pas le seul site d'intérêt de la péninsule qui s'étend entre la mer d'Okhortsk et la mer du Japon. Le volcan Kronotski, haut de 3 528 mètres a une forme conique encore plus prononcée que celle du Kioutchevskoï, même si sa taille n'est pas aussi imposante. Formée il y a 40 000 ans, la caldeira du volcan Uzon est une des caractéristiques géologiques les plus anciennes et intéressantes de la région.
Au coeur de son énorme dépression, entourée de parois hautes de 200 à 800 mètres s'étendant sur 100 kilomètres carrés, un vaste système hydrothermal s'est développé, au sein duquel sont produites en permanence de grandes quantités de minéraux.
Inscrite au patrimoine mondial en 1996, la réserve des volcans du Kamtchatka occupe une superficie de 3 696 000 hectares, divisée en six sections qui offrent un panorama complet de l'activité volcanique multiple de la région. La péninsule se trouve en effet à la rencontre de plusieurs plaques tectoniques, dans une partie de l"anneau de feu" circumpacifique soumit à une intense activité volcanique.
La réserve comprend la plupart des 29 volcans encore actifs de la péninsule, environ 300 volcans éteints, plus de 150 sources thermales et minérales, des cascades, des lacs de couleur turquoise et des champs d'algues multicolores.
La vallée des Geysers, un lieu presque irréel, féerique, abrite entre ses pics une extraordinaire collection de geysers, fumerolles et chaudrons bouillonnants.
La grande diversité climatique de la région, largement influencée par l'activité volcanique, a favorisé le développement d'une nature extrêmement riche et diversifiée.
La végétation comprend de vastes étendues de toundra et de taïga, couvertes d'herbes géantes et de baies sauvages, avec un total de 1 168 espèces, dont 10% sont endémiques.
La faune est caractérisée par 145 espèces d'oiseaux, au nombre desquels aigles, cormorans, puffins, oies, canards, mouettes et cygnes.
Parmi les 33 espèces de mammifères, on compte des ours bruns, élans, loups gris, caribous, mouflons des neiges et renards.
On peut y voir le rare "pygargue empereur" présent avec la moitié de la population mondiale
et l'ours du Kamtchatka, une sous espèce d'ours bruns, parent du grizzly, dont on ne compte plus que 10 000 individus.
Le patrimoine de la faune non migratrice est extraordinaire, mais le spectacle le plus grandiose qu'offre le Kamtchatka est saisonnier et s'observe entre le début de l'été et l'hiver, lorsque des millions de saumons -appartenant aux 5 espèces de salmonidés du Pacifique - entreprennent leur lutte avec les courants de nombreuses rivières pour atteindre leurs sites de reproduction. A cette époque de l'année, le Kamtchatka est la région du monde la plus riche en saumons.
La récente ouverture du tourisme et à l'exploitation minière risque néanmoins de devenir une sérieuse menace pour ces délicats équilibres écologiques.
Un projet d'exploitation d'une mine d'or voit le jour à quelques kilomètres du parc naturel de Bistinski. Il n'a pas encore été approuvé par le gouvernement, vraisemblablement pour des questions financières mais, s'il aboutit, il entamera inévitablement l'un des derniers écosystèmes encore préservé de cette région.
Texte extrait du livre : Les plus beaux sites du patrimoine mondial de l'Unesco
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Darrell Bush est un peintre américain né dans l'Illinois.
"Art du désert est probablement le terme qui décrit le mieux mon travail. Le désert m'a toujours fasciné par ses paysages incroyables pour les animaux qui l'habitent et même notre implication avec elle. Une fois que vous prenez cette étape, votre bagage de la vie quotidienne ne sera pas laissé pour compte, et vous serez transporté à cet endroit éternel dans la nature qui semble toujours être en attente".
Je suis particulièrement intéressé par l'histoire et les traditions riches de participation avec la nature. La vie sportive qui illustre l'interaction entre l'homme et la nature m'inspire à créer un art qui est le seul. Je suis toujours àla recherche de ce paramètre pour ma prochaine trouvaille ou des accessoires antiques qui vont m'aider à recréer ces moments dans le temps que nous appelons nostalgie".
Darrell Bush dresse une variété de sujets allant de la faune, des paysages, des marines, la nostalgie, et même une occasionnelle nature morte. Un élément résonnant à travers l'ensemble de son art, c'est la présence de la lumière luminescente. Lumière, qu'elle soit artificielle ou naturelle crée une ambiance et permet de transmettre l'histoire.
Tout en obtenant son baccalauréat aux beaux arts de l'Université de Northen Illinois, Darrell a été juré dans la prestigieuse Société de New York de la concurrence Illustrateurs étudiant annuel. Il a ensuite fait ses études pour travailler à Minneapolis, dans le Minnesota où il a travaillé comme illustrateur pendant 5 ans. Il considère cette position comme la formation continue, d'avoir l'occasion de travailler avec ces illustrateurs chevronnés qui ont des années d'expérience.
" C'est durant cette époque que j'ai commencé la poursuite d'une deuxième carrière en tant qu'artiste bien".
Sa carrière a grimpé en 1987, après avoir remporté deux concours nationaux de timbre pour l'Etat du Minnesota et de l'Idaho. Il a ensuite commencé sa carrière en tant que peintre à temps plein en 1989. Aujourd'hui, il existe près de 100 images sur papier. Le succès de Darrell a continué quand il a été nommé parmi les 12 artistes américains les plus populaires de quatre différentes publications artistiques.
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