Ingrédients (pour 2 coupes) :

 

– 2 bananes bien mures

– 4 speculoos + 1 pour la décoration

– 4 cuil à soupe de fromage blanc

 

 

Préparation des Coupe de banane spéculoos :

 

Epluchez les bananes et les écraser avec une fourchette. Mixez 4 spéculoos pour les réduire en poudre.

Prendre vos coupes mettre la banane, de la poudre de spéculoos, du fromage blanc et recommencer en ajoutant une couche de banane et de spéculoos.

 

Au moment de servir couper un spéculoos en 2 et mettre une moitié dans chaque verre pour la décoration

 

 

 

Le lotier corniculé est une des herbes les plus communes de nos prairies et une des plus jolies par sa simplicité. Ses feuilles sont trifoliées comme celles du trèfle, ses fleurs sont en verticilles jaune-orangé, les fruits en forme de gousse sont terminés par une sorte de petite corne, ce détail nous est confirmé par son nom latin : "corniculatus derive du latin cornu, corne".

 

 

H. Leclerc a découvert fortuitement les propriétés antispasmodiques du lotier : à une paysanne qui souffrait de conjonctivite d'une part, et de troubles nerveux entraînant insomnies et palpitations d'autre part, il conseilla de soigner ses yeux par une lotion de melilot. La malade, distraite, cueillit du lotier corniculé et en fit une tisane. Huit jours après, ses troubles nerveux avaient disparus et le sommeil lui était rendu. Heureuse méprise !...

 

Le lotier corniculé est un très bon fourrage, souvent inclus dans les mélanges semés dans les prairies, il est très nourrissant. En altitude, c'est un excellent mellifère, en plaine les abeilles n'y vont que par très grande miellée.

 

 

 

HABITAT 

 

-  Europe, prairies de fauche, champs, bois clairs, talus, rocher,

jusqu'à 3 000 mètres.

 

 

IDENTIFICATION

 

- Hauteur : 0,15 à 0,30 m. Vivace

 

 

- Tige un peu couchée, ascendante, pleine, glabre, peu rameuse

 

 

- Feuilles trifoliées, pétiole court, 2 grandes stipules

 

 

- Fleurs jaune-orangé, souvent lavées de pourpre (mai-août) par 3 à 6 en couronne incomplète sur un long pédoncule

 

 

- Gousse allongée, terminée par une petite corne, s'ouvre et se tord en spirale lorsqu'elle est mûre,

 

 

- Souche dure

 

 

PARTIES UTILISEES 

 

- Fleurs (mai-août)

 

 

CONSTITUANTS

 

- Substances cyanogénétiques, flavonoïdes

 

 

PROPRIETES 

 

- Antispasmodique, sédatif

 

 

 

Dans la mythologie grecque, Cerbère est le gardien des Enfers. Il empêchait de s'enfuir tous ceux qui passaient le Styx. Il était enchaîné à l'entrée des Enfers et terrorisait les morts eux mêmes, qui devaient l'apaiser en lui apportant le gâteau de miel qu'on avait placé dans leur tombe.

Ce chien à trois têtes possédait aussi une crinière de serpents et une queue de dragon.

 

 

 

Dans la plupart des oeuvres, les trois têtes voient et représentent respectivement le passé, le présent et le futur. Se nourrissant de chair vivante, il avait cependant un faible pour le miel et les nourritures sucrées : aussi plusieurs héros parvinrent à déjouer sa vigilance. Il avait aussi un petit côté sentimental : Orphée, lorsqu'il tenta de faire sortir Eurydice des Enfers, parvient à le charmer en chantant et en jouant de la lyre.

 

 

Sortir Cerbère des enfers est le douzième et dernier travail que Héraclès (Hercule pour les Romains) dut faire à la demande du roi de Mycènes. Mais le roi, pris de panique à la vue de ce monstre lui ordonna de la ramener aux enfers.

 

 

Le monstre fut donc ramené aux enfers, mais Cerbère se débattait et bavait de rage. Au contact du sol sa bave donna naissance à une plante très toxique. Comme elle poussait sur un sol rocheux, les paysans la nommèrent aconit (en grec, aconit veut dire rocailleux).

 

 

 

Voici que la saison décline

 

Voici que la saison décline,

L'ombre grandit, l'azur décroît,

Le vent fraîchit sur la colline,

L'oiseau frissonne, l'herbe a froid.

Août contre septembre lutte ;

L'océan n'a plus d'alcyon ;

Chaque jour perd une minute,

Chaque aurore pleure un rayon.

La mouche, comme prise au piège,

Est immobile à mon plafond ;

Et comme un blanc flocon de neige,

Petit à petit, l'été fond.

Victor Hugo

 

 

Le respect du passé, des anciens et des traditions caractérise le peuple japonais. C'est grâce à l'admirable propension des autochtones à prodiguer des soins, consacrés par de rigoureuses règles de conservation, que la dernière forêt de hêtres qui subsiste au Japon survit.

 

 

Les arbres appartenant à l'espèce "Fagus crenata" recouvrent la chaîne montagneuse de Shirakami, dans le nord de l'île de Honshu. Dénommée "Shirakami-Sanchi", s'étendant sur 16 971 hectares et protégée depuis 1992, la précieuse hêtraie se trouve dans une région éloignée, entre 1 000 et 1 200 mètres d'altitude, caractérisée par des hivers rigoureux, avec d'abondantes précipitations à caractère neigeux.

 

 

D'un point de vue géomorphologique, les montagnes de Shirakami, composées de roches sédimentaires et intrusives sur une base de granit, sont nées à la suite d'intenses mouvements télurgiques survenus au quaternaire. Le paysage se présente comme une vertigineuse succession de gorges et de déclivités, caractérisées pour la plupart par une pente de 30°. Les rares sentiers disparaissent souvent entre les roches et, bien que d'anciens documents attestent d'activité minière dès le début du IXe siècle (il semble que le célèbre grand Bouddha de Nara ait été coulé avec du cuivre provenant de Shikarami), les vestiges de présence humaine sont presque nuls. Les habitants des villages situés au pied des montagnes se rendent de temps à autre dans la forêt pour ramasser des champignons et des plantes médicinales.  

 

 

Tous les ans par ailleurs, près de 3 000 sportifs et chasseurs escaladent la montagne de Huatsamori, à la frontière de la zone protégée. Ceux qui fréquentent le mont pour chasser le font pour perpétuer le "matagi", une ancienne chasse cérémoniale à l'ours.

 

 

Outre les hêtres, 500 espèces végétales ont été identifiées dans la forêt de Shirakami-Sanchi. Comparée aux autres régions montagneuses du Japon, ce chiffre n'est pas très élevé : néanmoins la flore présente un intérêt certain grâce à la présence de nombreuses espèces endémiques, de quelques plantes considérées en danger à l'échelle mondiale - comme Hylotelephium tsugaruense et Poa ogamontana - et une abondance insolite d'orchidées diverses...  

 

 

Les arbres et les éperons rocheux inaccessibles sont des sites privilégiés pour la nidification des oiseaux. Des 87 espèces qui ont fait de la forêt leur habitat, certaines - comme le pic noir, l'aigle royal et le spizaète montagnard - font partie de la liste rouge de l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN).

 

 

Elles ont au Japon le statut de "monument national". Cet anoblissement a également été réservé à deux mammifères qui vivent à Shirakami : le "serow" grand herbivore à l'aspect primitif, et le lérot, un rongeur nocturne qui tombe de torpeur dans les cavités des arbres, pelotonné en boule.

 

 

Considérer les animaux et les plantes  - au même titre que les pagodes de Kyoto - monuments nationaux est une attitude issue des philosophes d'Extrême-Orient.

Au Japon, la sauvegarde de la nature est un impératif inhérent à la conscience collective : en 1981, bien avant la création de la région protégée, les habitants avaient gagné une bataille contre les autorités, coupables d'avoir approuvé un plan pour la construction d'une route qui, de fait, aurait mis en danger l'équilibre environnemental.

 

 

 Texte extrait du livre : Les plus beaux sites du patrimoine mondial de l'Unesco.

 

René Richard est né à Chaux-de-Fonds, en Suisse, le 1er décembre 1895. 

 

 

Il arrive au Canada avec sa famille en 1909. Ils habitent à Montréal deux ans avant de s'établir à Cold Lake en Alberta, où son père ouvre un magasin général et poste de traite. Richard devient trappeur, chasseur et coureur des bois. Vivant littéralement de la forêt, il se lance dans l'écriture et la peinture de ses expériences. 

 

 

En 1927, il part étudier à Paris où il rencontre Clarence Gagnon et les deux artistes deviennent de grands amis. Il suit des cours de peinture à l'Académie de la Grande Chaumière et à l'Académie Colarossi, à Paris, de 1927 à 1930. Clarence Gagnon l'encourage à se consacrer entièrement à son art. En 1930 il quitte la France pour revenir en Alberta et poursuivre sa vie de trappeur. Il rapporte de ses randonnées des centaines de dessins qu'il a faits sur du papier à emballage. 

 

 

Entre 1938 à 1942, René Richard visite l'Île d'Orléans et la Gaspésie, il fait le tour de Charlevoix, et il parcourt la Mauricie et l'Abitibi. En 1942, il épouse Blanche Cimon et s'installe à Baie St-Paul, dont les paysages lui rappellent ceux de la Suisse et de certaines parties du Grand Nord Canadien. Il y peint de nombreux paysages et expose régulièrement à Québec et à Montréal. En 1952, il retourne en expédition dans le Grand Nord. Il passe les trente prochaines années de sa vie à Baie St-Paul.

 

 

En 1973, il reçoit l'Ordre du Canada, et en 1980 il devient membre de l'Académie Royale des Arts du Canada. Des rétrospectives lui sont consacrées en 1967 et en 1978 par le Musée national des beaux-arts du Québec. En 1982, une de ses toiles est reproduite sur un timbre-poste pour la Fête du Canada.

 

 

Il meurt à Baie St-Paul à l'âge de 86 ans.

 

 

 

La victoire par lui

 

"Mais dans toutes ces choses nous sommes plus que vainqueurs par celui qui nous a aimés." Romains 8.37

 

 

 

Quels que soient les défis auxquels vous êtes confronté aujourd'hui – au travail, à la maison, dans votre santé ou dans vos relations – Dieu promet que même au milieu de "toutes ces choses", vous pouvez avoir la victoire. 

 

 

 Comment ? La victoire commence dans votre cœur et votre esprit. La victoire commence aussi par une paix qui surpasse toute intelligence. Cela signifie que vous pouvez avoir la paix même dans une situation totalement incongrue. Quand le reste du monde est dans l'angoisse et l'inquiétude, vous pouvez vivre dans la paix. Être plus que vainqueurs "dans toutes ces choses" signifie aussi que vous pouvez ressentir de la joie tout au fond de votre âme. Cette joie peut être si grande que vous ne parvenez même pas à l'expliquer. En fait, elle est surnaturelle. C'est une joie ineffable et remplie de la gloire et de la puissance divines.

 

 

Lorsque vous commencerez à vous appuyer sur la promesse de victoire de Dieu, quelque chose changera en vous. Cinq minutes plus tôt, vous aviez peut-être l'impression de perdre pied, mais maintenant vous êtes capable de saisir la victoire qu'il vous a promise. 

 

 

 Ouvrez-lui votre cœur et recevez la joie et la paix qu'il aspire à vous donner. Souvenez-vous que la joie de l'Éternel est votre force. Lorsque vous prendrez possession de sa joie, vous recevrez la capacité de vous élever au-dessus de vos défis afin de vous emparer de la victoire qu'il a prévue pour vous.

 

 

Une prière pour aujourd'hui

 

 Père céleste, merci pour ta promesse de victoire. Merci pour ta paix pendant les tempêtes de la vie. Remplis-moi de ta joie et de ta force alors que je place ma confiance en toi. Au nom de Jésus. Amen.

Joël Osteen

 

 

Ingrédients

 

1 - Tomates rouges (coeur de boeuf) et vertes (green zebra)

 

2 - carottes râpées

 

3 - concombre

 

4 - radis

 

5 - champignons de Paris

 

6 - oeufs durs

 

7 - bâtonnets de surimi

 

8 - ciboulette

 

9 - sauce vinaigrette, mayonnaise maison, sauce fromage blanc-ciboulette

 

Installation :

 

Suivre les dessins...

 

 

 

Plante grimpante à grandes fleurs blanches en forme d'entonnoir, le liseron des haies envahit les buissons, les haies, et même les clôtures de treillage de fil de fer : il n'a pas de vrilles, mais il s'enroule autour de ses supports, et il n'est pas rare de le voir s'enlacer avec un de ces congénères.

 

 

Ainsi le nom savant de la plante s'explique bien puisque "Convolvulus" dérive du latin convolvere, s'enrouler, "septum", haies, précise son habitat préféré. Quand à liseron, c'est probablement le diminutif de lis, car leurs fleurs se ressemblent.

 

 

Bien que peu apprécié par les jardiniers, c'est une plante très décorative dont sont issues plusieurs variétés horticoles. Depuis des temps très anciens, le liseron des haies semble être recherché pour les qualités laxatives de ses racines et de ses feuilles.

 

 

 

En outre, les médecins arabes au Moyen-Age employaient ses racines contre la jaunisse. Un auteur du XIe siècle y voyait un remède contre les fièvres putrides et bileuses. Et actuellement, les Allemands utilisent encore les feuilles pour combattre la leucorrhée, celles-ci, même séchées et réduites en poudre, conservent longtemps leurs vertus.

 

 

HABITAT

 

- Europe, sauf l'extrême Nord, endroits frais, jardins, bosquets des berges, buissons, haies vives, treillages, jusqu'à 1 500 m

 

 

IDENTIFICATION 

 

- Hauteur : 1 à 5 m. Vivace

 

 

- Tige volubile, dextre, grimpante, glabre, anguleuse

 

 

- Feuilles grandes, en coeur, oreillettes anguleuses, long pétioles

 

 

- Fleurs blanches (juin-septembre), axillaires, solitaires, 2 stigmates, calice à 5 sépales, caché par 2 bractées opposées,   large corolle 4 fois plus longue, en grand entonnoir à 5 plis

 

 

- Capsule subglobuleuse, contenant 3 à 4 graines

 

 

 

 

- Rhizome long, blanc charnu, de la grosseur de la tige aérienne.

 

 

PARTIES UTILISEES

 

- Racine, feuilles (juin- septembre) séchage à l'ombre

 

 

 

CONSTITUANTS 

 

- Résine, tanin, sels minéraux, glucosides

 

 

PROPRIETES 

 

- Cholérétique, laxatif