Dieu nous donne de bonnes choses

 

"Tout cadeau de valeur, tout don parfait, nous vient d’en haut, du Père qui est toute lumière." Jacques 1:17

 

 

Quand quelque chose se passe mal dans votre vie, vous est-il déjà arrivé de vous écrier : "Pourquoi, Seigneur ?" Certains pensent que Dieu envoie des problèmes à ses enfants – la maladie, une affection chronique, la pauvreté – pour leur enseigner une leçon. Mais ce n'est pas ce que la Bible dit !

 

 

La Bible dit que Dieu nous donne de bonnes choses, pas des problèmes ! Je suis père de trois enfants adultes et grand-père de trois jeunes petits-enfants. Il ne me viendrait jamais à l'idée de les rendre délibérément malades pour leur enseigner une leçon ! Je ne leur refuserais jamais des choses dont ils ont besoin comme la nourriture, un abri ou des vêtements !

 

 

Dieu est le Père parfait. Il ne donne que de bonnes choses. Aussi, quand il vous arrive un malheur, n'accusez pas Dieu. Regardez plutôt à lui pour être secouru. Il n'est pas la cause de vos problèmes ; il est la solution !

 

 

Une action pour aujourd'hui

 

Quand ça va mal dans votre vie, ne rejetez pas la faute sur Dieu ! Criez plutôt à lui. Il vous aime et n'a que de bonnes choses pour vous !

Keith Butler

 

 

Ingrédients  :

- 1 kg de petit salé (échine, travers, éventuellement palette)

- 600 grammes de lentilles vertes

- 4 saucisses de Montbéliard

- 2 carottes

- 2 gros oignons

- clous de girofle

- 1 bouquet garni

- sel, poivre

 

 

Préparation de la recette :

 

Si nécessaire (certains bouchers fournissant la viande déjà dessalée), faire dessaler la viande (la tremper pendant 2 heures dans l'eau froide, en changeant l'eau de temps en temps). L'égoutter. La mettre dans un faitout, couvrir d'eau, poivrer. Faire cuire à petits bouillons pendant deux heures.

Eplucher les carottes et les oignons. Planter les clous de girofle dans les oignons.

Mettre carottes, oignons, bouquet garni et lentilles dans une cocotte minute, bien recouvrir d'eau, saler légèrement et poivrer. Faire cuire sous pression entre un quart d'heure et une vingtaine de minutes.

A la fin de la cuisson de la viande, la sortir du faitout, l'égoutter, et la découper en gros morceaux. Mettre ces morceaux, ainsi que les saucisses préalablement piquées à la fourchette, dans la cocotte-minute contenant déjà les lentilles. Rajouter 2 verres du bouillon du faitout (pour donner le goût de la viande).

Faire cuire (sans pression, avec la cocotte ouverte) pendant 20 à 30 minutes à petit feu, en faisant attention que les lentilles n'attachent pas.

 

 

 

Qui ne connaît la moutarde, condiment recherché de notre cuisine moderne

 

 

 La plante dont elle provient est une grande Crucifère aujourd'hui très commune dans toute l'Europe, elle ne devait exister, avant que l'homme ne favorise son extension, que dans les pays méridéterranéens et l'ouest de l'Asie.

 

 

Quatre siècles avant notre ère, Théophraste mentionne déjà sa culture, c'est le "senevé" de l'Evangile, Columelle en mentionne l'usage comme condiment, mais il s'agissait alors de feuilles confites dans le vinaigre.

 

 

L'emploi de la pâte condimentaire obtenue en broyant ses graines dans du verjus ou du moût de raisin se répandit vers le XIIIe siècle, et le nom de moutarde, "mostarde" : moût ardent, c'est à dire brûlant, apparut pour la première fois dans un texte de 1288.

 

 

La moutarde est aujourd'hui le condiment répandu en Occident, l'espèce voisine : moutarde blanche, de saveur moins forte, est cultivée pour l'industrie alimentaire.

 

 

A dose modérée ce condiment stimule la digestion, irritante, elle doit être exclue de l'alimentation des dyspeptiques.

 

 

HABITAT 

 

 - Europe centrale, occidentale et méridionale, presque toute la France, cultivée ou adventrice, bord des chemins, jusqu'à 1 000 mètres.

 

 

IDENTIICATION 

 

- Hauteur : 0,20 à 1 mètre. Annuelle

 

 

- Tige dressée, rameaux étalés

 

 

- Feuilles pétiolées, lyrées

 

 

- Fleurs jaunes (avril-juin), grappes terminales en corymbes, s'ouvrant une à une, précédant la croissance de la hampe lorale quise couvre tôt de siliques appliquées à bec court contenant des graines brun-noir.

 

PARTIES UTILISEES

 

- Graines (à pleine maturité)

 

 

 

CONSTITUANTS

 

- Hétéroside azoté, mucilage, alcaloïdes, enzime

 

PROPRIETES

- Moutarde noire : résulsive, vomitive

- Moutarde blanche : purgative

 

 

 

Les dragons sont présents partout dans le monde et la croyance en leur existence viendrait de l'observation de grands serpents. Ils font partie des légendes depuis les temps les plus reculés puisqu'ils sont mentionnés 5 000 ans avant J.C.. Il existe des dragons de toutes sortes, en fonction des régions du monde.

 

 

 

Le dragon oriental n'et pas toujours mauvais il représente les forces de la nature,

 

 

à l'inverse; dans la tradition occidentale, les dragons sont des créatures redoutables, mais ils sont aussi souvent de fidèles gardiens d'un trésor. Dans beaucoup de mythes occidentaux, les héros se distinguent en sortant victorieux d'un combat contre un dragon.

 

 

Le christianisme a intégré le mythe du dragon en faisant l'incarnation du mal et du péché : Saint Georges terrassant le dragon symbolise la victoire de la foi sur le démon du mal.

 

 

Les dragons occidentaux sont des créatures ailées munies de puissantes pattes griffues, ils aiment vivre dans des grottes.

 

 

Texte extrait du livre : Le plus grand almanach de la France

 

 

Femme et chatte

 

Elle jouait avec sa chatte,

Et c'était merveille de voir

La main blanche et la blanche patte

S'ébattre dans l'ombre du soir.

Elle cachait - la scélérate ! -

Sous ces mitaines de fil noir

Ses meurtriers ongles d'agate,

Coupants et clairs comme un rasoir.

L'autre aussi faisait la sucrée

Et rentrait sa griffe acérée,

Mais le diable n'y perdait rien...

Et dans le boudoir où, sonore,

Tintait son rire aérien,

Brillaient quatre points de phosphore.

Paul Verlaine

 

 

 

 

La protection de la nature est née dans les superbes paysages de Yellowstone, quand le président des Etats-Unis, Ulysse Grant,

 

 

 

a signé le 1er mars 1872 le décret créant le premier parc national du monde. 

 

 

 

En 1870, alors que les Etats-Unis n'étaient pas encore pleinement remis de la guerre de Sécession, le fils du sénateur du Montana organisa une expédition à Yellowstone, menée par le général Washburn, pour vérifier les récits des premiers explorateurs de la région.

 

 

En effet, en 1807, John Colter était revenu d'une mission dans ces territoires inexplorés en parlant de vallées où l'on voyait des lacs de boue bouillonnants, des fumerolles, des jets de vapeur et des sources chaudes, bref un paysage évoquant la description de l'enfer de Dante.

 

 

Wahburn et ses compagnons purent vérifier les assertions de Colter : juste après avoir franchi une crête, ils se trouvèrent brusquement devant un jet de vapeur projeté à plus de 30 mètres de haut par une fontaine d'eau bouillante : il s'agissait de ce qui allait devenir le plus célèbre geyser de Yellowstone, baptisé de Old Faithful -le vieux fidèle- à cause de la régularité avec laquelle il projette ses jets de vapeur, toutes les 74minutes.

 

 

Ce n'était que le premier des surprenants phénomènes naturels qu'ils allaient découvrir au cours de leur expédition. Car les 900 000 hectares environ de ce parc de Yellowstone renferment plus de 10 000 pénomènes géothermique homonyme qui, avec une superficie de 35 400 hectares et un périmètre de 177 kilomètres, est l'un des plus grands lacs alpins du monde.

 

 

Pour ce qui est de la flore, le parc est couvert à 80% de forêts; où prédominent les pins. L'étagement du parc entre 1 710 et 3 463 mètres d'altitude a toutefois favorisé l'apparition de différents milieux végétaux, de steppe semi-aride à la toundra alpine, comportant en tout 1 100 espèces de plantes vasculaires. 

 

 

En plus de près de 200 grizzlis et de très nombreux ours noirs,

 

 

8 espèces d'ongulés vivent à Yellowstone, comme le cerf, le cerf-mulet, l'élan, le mouflon du Canada,  le pronghorn, la chèvre des montagnes rocheuses et le cerf de virginie.

 

 

Parmi les autres espèces remarquables, il faut mentionner le pyguargue à tête blanche, le faucon pèlerin et le cygne trompette, le plus grand de son genre.

 

 

Depuis 1995, on a réintroduit avec succès le loup, éliminé dans les années 1930 avec l'aval des autorités à cause de la menace qu'il constituait pour le bétail. Mais au bout de quelques décennies, on s'est rendu compte qu'il jouait un rôle irremplaçable dans l'équilibre naturel de l'écosystème de Yellowstone car c'et le principal prédateur des ongulés de la région. 

 

 

Malheureusement c'est aussi en 1995 que l'Unesco a du inscrire Yellowstone sur la liste du patrimoine mondial en péril. Cette décision a été motivée par l'intervention   d'une société canadienne d'ouvrir une mine d'or, d'argent et de cuivre. Située à faible distance de la limite nord-est du parc, elle se serait trouvée en amont des torrents qui confluent à l'intérieur de Yellowstone, menaçant de polluer les eaux et donc de mettre tous les animaux sauvages en danger. L'administration Clinton a réussi à parvenir à un accord avec la société concernée : le parc a été sauvé, moyennant une indemnité de 65 millions de dollars. Les démocrates ont toutefois été accusés à cette occasion par certains groupes de pression d'avoir cédé le contrôle d'une partie du sol américain aux Nations-Unies.

En dépit de tout cela, le parc naturel de Yellowstone a été et demeure le symbole mondial de l'histoire de la protection de la nature.

 

 

Texte extrait du livre : Les plus beaux sites du patrimoine mondial de l'Unesco.

 

 

     Daniel Van der Putten est né dans un petit village agricole près de Leyde en Hollande. Au départ, il a travaillé pour son père dans l'entreprise horticole familiale, mais a constaté que son désir de peindre était trop forte pour être ignorée. Cette volonté et la capacité, sans aucun doute, a été hérité de sa mère, et aussi sa tante qui était un artiste de portrait professionnel et expose principalement en Hollande et en Amérique.

 

 

     Lors d'une visite en Australie Daniel a rencontré son épouse écossaise et à leur retour est allé vivre en Ecosse. Ils ont travaillé ensemble depuis le début et de recherches et étudié diverses techniques de peinture principalement celles des grands maîtres hollandais, en accordant une attention à l'observation du paysage naturel où ils ont voyagé.

 

 

     Daniel Van der Putten a été particulièrement inspiré par le paysage britannique et peu de temps après le déplacement vers le bas pour l'Angleterre est devenu un peintre à temps plein. Son désir était de dépeindre fidèlement la campagne britannique dans ses saisons différentes. Les peintures de Daniel révèlent un style unique de son propre. Il est intéressé à montrer la vaste gamme de couleurs, des lumières et des ombres qui apparaît dans la nature et sa technique détaillée atteint la perfection dans son traitement des ciels et des arbres.

 

 

     Daniel est complètement autodidacte, et bien qu'il admire beaucoup le travail d'un autre artiste de Leyde, à savoir Rembrandt, il a été vraiment inspiré par les meilleurs peintres paysagistes hollandais de la période romantique néerlandais. Il est encourageant de noter qu'un artiste contemporain peut traduire cette inspiration dans le travail original de son propre et d'atteindre un tel niveau élevé de réussite.

 

 

     Il est un artiste de réputation internationale. Son travail a été présenté à Londres, l'Ecosse, l'Institut royal des peintres à l'huile et un homme d'expositions à travers l'Angleterre, le Canada, Taiwan et régulièrement dans divers états des États-Unis Daniel Van der peintures de Putten couvrent un large éventail de différentes humeurs et des saisons et ont une lumière et de l'intensité que très peu d'artistes peuvent réaliser. Son travail a toujours révélé être une source constante de plaisir pour les collectionneurs privés du monde entier.

 

 

 

Ayez foi. Dieu entend vos prières !

 

"Daniel, ne crains rien ; car dès le premier jour où tu as eu à cœur de comprendre, et de t'humilier devant ton Dieu, tes paroles ont été entendues […] Le chef du royaume de Perse m'a résisté vingt et un jours ; mais voici, Micaël […] est venu à mon secours." Daniel 10.12-13

 

 

Daniel pria et chercha Dieu, mais pendant des jours il ne reçut aucune réponse. Qu'a-t-il pu penser ? Pourquoi ses prières demeuraient-elles sans réponse ? Avait-il déplu à Dieu ? Était-il coupable de péché ?

 

Il reçut finalement une réponse. Ses prières avaient été entendues. D'ailleurs, elles avaient été entendues dès le premier jour. Alors, pourquoi, n'avait-il reçu aucune réponse ? Parce qu'il y avait un combat spirituel dans le monde céleste. Dieu avait envoyé une réponse mais Daniel ne l'avait pas reçue. La réponse finit par lui parvenir… vingt et un jours après sa prière, et seulement parce que l'archange Micaël aida le messager à passer.

 

Aujourd'hui, souvenez-vous que vous aussi êtes engagé dans une bataille spirituelle. Le diable et ses démons sont des voleurs qui cherchent à dérober votre joie (Jean 10.10), à vous voler les bénédictions de Dieu, à détruire l'œuvre de Dieu dans votre vie, à vous bloquer par tous les moyens possibles et à retarder les réponses de Dieu à vos prières.

 

 

La bataille est réelle. Il s'agit de combats intenses. Rappelez-vous que Dieu vous a donné une autorité spirituelle. Revêtez-vous de "toutes les armes de Dieu" afin de pouvoir "tenir ferme contre les ruses du diable" (Éphésiens 6.11). Rappelez-vous que "les armes avec lesquelles nous combattons ne sont pas charnelles". Si vous combattez par l'Esprit, vous pouvez renverser les forteresses de l'ennemi (2 Corinthiens 10.4).

 

 

Mais rappelez-vous aussi que vous devez être persévérant. Priez avec ferveur, passion. et audace. Si vous ne recevez pas de réponse immédiatement, n'abandonnez pas. Ayez foi. Dieu entend vos prières. Il vous répondra !

 

 

Une prière pour aujourd'hui

 

Père, aide-moi à mener le combat spirituel. Je crois en toi pour la victoire ! Merci d'entendre mes prières. Je n'abandonnerai pas ! Merci parce que je peux te faire confiance. Au nom de Jésus. Amen.

 

John Roos

 

  

 

 Ingrédients :

 

1 kilo de pommes de terre, 

1/2 reblochon, 

1 boite de lardons, 

1 oignon, 

de la crème liquide.

 

Préparation :

 

ETAPE 1 : Faire cuire les lardons sans gras, puis ajouter les oignons coupés en lamelles 

ETAPE 2 : Faites cuire les pommes de terre

ETAPE 3 : Disposez dans un plat allant au four les pommes de terre coupées en 4, puis mettez les lardons et oignons bien cuits. Versez le pot de crème liquide

ETAPE 4 : Coupez en 2 dans le sens de la largeur le reblochon. Disposez le côté croûte vers le haut.

Préchauffez votre four à 200

 

Etape 5 : Enfournez jusqu'à ce que le dessus sois bien gratiné (mettre le grill si besoin!)

 

 

L’armistice, signé le 11 novembre 1918, à 5 h 15, marque la fin des combats de la Première Guerre mondiale (1914-1918), la victoire des Alliés et la défaite totale de l'Allemagne, mais il ne s'agit pas d'une capitulation au sens propre.

 

 

 

Le cessez-le-feu est effectif à onze heures, entraînant dans l'ensemble de la France des volées de cloches et des sonneries de clairons annonçant la fin d'une guerre qui a fait plus de 18 millions de morts et des millions d'invalides ou de mutilés. Les généraux allemands et alliés se réunissent dans un wagon-restaurant aménagé provenant du train d'État-Major du maréchal Foch, dans la clairière de Rethondes, en forêt de Compiègne. Plus tard en 1919, à Versailles, ils signeront le traité de Versailles.

 

 

Tableau représentant la signature de l’Armistice de 1918 dans le wagon-salon du maréchal Foch. Derrière la table, de droite à gauche, le général Weygand, le maréchal Foch (debout) et les amiraux britanniques Rosslyn Wemyss et G. Hope. Devant, le ministre d’État allemand Matthias Erzberger, le général major Detlof von Winterfeldt (avec le casque) de l’Armée impériale, le comte Alfred von Oberndorff des Affaires étrangères et le capitaine de vaisseau Ernst Vanselow de la Marine impériale.

 

 

 

  Cette photographie a été prise après la signature de l'armistice à la sortie du « wagon de l'Armistice » du train d'État-Major1 du maréchal Ferdinand Foch (deuxième à partir de la droite).