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Ingrédients pour 6 personnes :
Pâte à crêpes :
250 g de farine de sarrasin
sel
2 œufs
50 cl d'eau froide
40 g de beurre fonduGarniture classique :
beurre salé
œuf frit au plat
jambon blanc
fromage râpé (emmental)Pour réaliser cette recette de galette bretonne commencer par préparer tous les ingrédients.
Dans un cul de poule, mélanger la farine de sarrasin, le sel, les œufs, l'eau froide et le beurre fondu. Laisser reposer la pâte 2 heures. Cuire les crêpes dans une poêle à crêpe anti-adhésive ou sur une crêpière, afin d'obtenir des galettes aussi fines que possible.Les garnir selon votre convenance, de sauce béchamel aux champignons, de viande hachée, de saucisses, de roquefort, etc. Façon classique : beurre salé + œuf frit + jambon blanc + fromage râpé. Commencer par faire fondre une noix de beurre dans le fond de la poêle.
Y déposer une crêpe afin de la réchauffer.Parsemer dessus des dés de jambon blanc et du fromage râpé.
Y déposer un œuf préalablement frit...
...et laisser cuire jusqu'à ce que le fromage soit fondu.
Replier les bords de la moitié de la galette bretonne et servir chaud
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Cette plante curieuse croît sur les vieux murs, sur les talus siliceux et bien orientés, où elle peut constituer un peuplement assez dense.
Son nom d'Umbilicus ou de nombril de Vénus lui vient de l'aspect particulier des feuilles qui partent toutes de la base et dont le pétiole se rattache au limbe par le centre de la face inférieure. La feuille se trouve déprimée en forme de cratère, d'où sa ressemblance avec un ombilic.La tige, bien droite, est garnie sur presque toute sa longueur de fleurs et de boutons pendants formant de longues grappes d'un blanc jaunâtre, les fleurs prêtes à éclore sont horizontales, sitôt l'anthèse accomplie, elles retombent vers le sol.
La plante se perpétue plus encore par le bourgeonnement de sa racine renflée en tubercule que par ses graines.
Déjà employée comme diurétique, le nombril de Vénus s'est montré, au XIXe siècle, si l'on en croit les auteurs, efficace dans certains cas d'epilepsie rebelles à d'autres traitements. De nos jours, il ne connaît que des indications en usage externe.HABITAT
- Europe méridionale, Grande Bretagne, vieux murs, talus raides, rochers ombragés, jusqu'à 500 mètresIDENTIFICATION
- Hauteur : 0,15 à 0,50 mètre. Vivace, plante grasse, hampe florale presque sans feuille- Feuilles à la base charnues longuement pétiolée, peltées, rondes, déprimées, en cratère au centre
- Fleurs blanc crème ou rougeâtres (mai-juillet) pendantes, court pédoncule, en long épi terminal, corolle en tube allongé à 5 dents, 10 étamines,
- Souche épaisse en tubercule perpétuant la plante par ses bourgeons- Odeur nulle
PARTIES UTILISEES
- feuilles fraîches, suc
CONSTITUANTS
- Sels minéraux (surtout de calcium, potassium et de silicium), fer, tanin- PROPRIETES
- Détersif, émollient, résolutif
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Aux XIIIe et XIVe siècles, les conflits d'intérêts qui opposent Français et Anglais font surgir des villes fortifiées, qui sont autant de places stratégiques.
Ces bastides sont le fruit de décisions prises par les comtes de Toulouse, puis par les rois de France et d'Angleterre.
De forme généralement carrée ou rectangulaire, elles adoptent un plan en damier, avec une place publique en leur centre.
Les bastides de Villefranche-du-Périgord,Domme,
Monflanquin,
Montpazier,
Beaumont-du-Périgord,
Villeréal,
Castillonnès,
Sainte-Livrade-sur-Lot,
Saint-Pastour,
Tournon d'Agenais
et Vianne
font aujourd'hui partie du prestigieux patrimoine de la région.
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Il fait froid
L’hiver blanchit le dur chemin
Tes jours aux méchants sont en proie.
La bise mord ta douce main ;
La haine souffle sur ta joie.
La neige emplit le noir sillon.
La lumière est diminuée…
Ferme ta porte à l’aquilon !
Ferme ta vitre à la nuée !
Et puis laisse ton coeur ouvert !
Le coeur, c’est la sainte fenêtre.
Le soleil de brume est couvert ;
Mais Dieu va rayonner peut-être !
Doute du bonheur, fruit mortel ;
Doute de l’homme plein d’envie ;
Doute du prêtre et de l’autel ;
Mais crois à l’amour, ô ma vie !
Crois à l’amour, toujours entier,
Toujours brillant sous tous les voiles !
A l’amour, tison du foyer !
A l’amour, rayon des étoiles !
Aime, et ne désespère pas.
Dans ton âme, où parfois je passe,
Où mes vers chuchotent tout bas,
Laisse chaque chose à sa place.
La fidélité sans ennui,
La paix des vertus élevées,
Et l’indulgence pour autrui,
Eponge des fautes lavées.
Dans ta pensée où tout est beau,
Que rien ne tombe ou ne recule.
Fais de ton amour ton flambeau.
On s’éclaire de ce qui brûle.
A ces démons d’inimitié
Oppose ta douceur sereine,
Et reverse leur en pitié
Tout ce qu’ils t’ont vomi de haine.
La haine, c’est l’hiver du coeur.
Plains-les ! mais garde ton courage.
Garde ton sourire vainqueur ;
Bel arc-en-ciel, sors de l’orage !
Garde ton amour éternel.
L’hiver, l’astre éteint-il sa flamme ?
Dieu ne retire rien du ciel ;
Ne retire rien de ton âme !
Victor Hugo.
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Le 17 janvier 1871, quatre enfants de la commune de Pontmain, dans le département de la Mayenne, affirment avoir été témoins d'un miracle.
Vêtue d'une robe bleue parsemée d'étoiles, la Vierge Marie serait apparue dans le ciel et les aurait laissés la contempler pendant plusieurs heures.
Après une enquête, l'évêque de Laval reconnaît l'apparition divine. Une nouvelle église est bâtie à Pontmain,et la petite ville devient un lieu de pèlerinage.
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Eugenio Eduardo Zampighi (1859 -1944) était un peintre italien et photographe. Il était un artiste «Genre» en utilisant des sujets de tous les jours pour son art.
Il a été influencé dès son jeune âge par le peintre Modenese, Giovanni Muzzioli qui a été apprécié par les critiques pour son approche «verite» pour objet.
En 1880, il a remporté le prix Poletti qui lui a assuré la chance de poursuivre ses études à Rome, puis Florence, où en 1884, il a décidé de régler définitivement. scènes Ses «Genre» lui apporta un grand succès international avec beaucoup de commissions internationales.
Sa photographie a été principalement axée sur la production de sujets à peindre et il habille ses modèles dans des costumes paysans ou des gens comme communs. Il a utilisé pour peindre ces œuvres qui dépeint une image idyllique et romantique de la vie rurale italienne qui a été tellement apprécié par les touristes étrangers qu'il a continué à produire les mêmes stéréotypes bien dans les premières décennies du 20e siècle.
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Qu'y a-t-il dans un nom ?
"Et tu lui donneras le nom de Jésus" Matthieu 1.21
Connaissez-vous l'histoire de Roméo et Juliette écrite par W. Shakespeare ? C'est le drame de deux jeunes personnes qui s'aiment : Juliette Capulet et Roméo Montaigu. Leur amour est impossible à cause de la haine que les deux familles nourrissent l'une contre l'autre. Juliette est triste et réalise que la seule barrière à leur amour est liée à leur nom de famille. C'est pourquoi Juliette va dire à son bien-aimé : "Ton nom seul est mon ennemi. Tu n'es pas un Montaigu, tu es toi-même. Qu'est-ce qu'un Montaigu ? (...). Qu'y a-t-il dans un nom ? Ce que nous appelons une rose embaumerait autant sous un autre nom." En réalité, le problème ne résidait pas dans qui était Roméo mais plutôt dans ce que son nom de famille inspirait.Cette histoire m'amène à réfléchir sur ce qu'évoque le nom de Jésus et sur l'idée que les gens s'en font. Finalement, beaucoup de gens haïssent le christianisme sans vraiment comprendre qui est le Seigneur. À cause d'un mauvais témoignage, de prise de position violente ou de jugement hâtif... Au fond, les gens détestent-ils vraiment Jésus ou bien l'idée qu'ils ont de lui ?
Les lettres composant "Jésus" sont avant tout l'expression de son être. Jésus est venu sauver, aimer, pardonner, relever ceux qui sont abattus. Qu'y a-t-il dans un nom ? Dans ce cas précis il y a l'espérance, la puissance, l'autorité, le courage et la consolation.
Peut-être êtes-vous en colère contre le témoignage peu reluisant d'un chrétien, du clergé, d'une dénomination, d'une assemblée, d'une façon de faire ? Je vous invite à regarder à Jésus car lui seul est digne de recevoir la louange et l'adoration. Ne haïssez pas Jésus à cause des autres mais regardez simplement qui il est.
Une réflexion pour aujourd'hui
Est-ce que mon témoignage honore ou salit le nom de Jésus ?
Patrice Martorano
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Ingrédients (2 personnes)
5 cl de vin blanc
Sel, poivre
20 cl de crème liquide
1 oignon
2 blancs de poulet
10 champignons de Paris
2 feuilletés à garnir type bouchée à la reinePréparation
Étape 1 :Préchauffez le four à 180°C.
Lavez, épluchez et coupez le champignons en morceaux.
Coupez en lamelles les blancs de poulet.
Epluchez et émincez l'oignon.Étape 2 :
Faites revenir les blancs de poulet, les champignons et l'oignon dans un peu d'huile d'olive à la poele jusqu'à ce que cela soit doré.Étape 3 :
Versez cette préparation dans une casserole et recouvrez de crème liquide. Ajoutez le vin blanc ( juste pour donner du goût ). Salez et poivrez.Étape 4 :
Retirez du feu quand ça bout.
Placez la préparation dans des pâtes feuilletées et enfournez pendant quelques minutes.A déguster très chauds accompagnés de riz.
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Cet arbrisseau de forme contournée et touffue, aux rameaux terminés par des épines, croît dans les haies et les taillis.
Ses feuilles sont opposées ou apparemment opposées, larges, à nervures arquées. Les fleurs sont peu visibles en raison de leur petitesse et de leur couleur vert-jaune, les fruits sont des drupes, noires à maturité.
Une tradition veut que la couronne d'épines du Christ ait été faîte de rameaux de nerprun, mais d'autres traditions citent d'autres arbustes plus épineux.
Inconnu dans l'Antiquité en tant que plante médicinale, le nerprun est cité au XVIe siècle comme purgatif.
Avec les drupes, on fabrique depuis plusieurs siècles un sirop de nerprun, médication purgative, aujourd'hui d'usage surtout vétérinaire, mais qu'Alibert conseille "aux hommes robustes, difficiles à émouvoir", c'est en effet une médication violente à laquelle il vaut mieux préférer une plante de la même famille, la bourdaine.
Le bois est employé pour le tournage de petits objets et pour la marquetterie.
Des fruits, traités par la chaux ou par l'alun, on extrait une matière colorante, "le vert de vessie".HABITAT
- Europe sauf littoral de la mer du Nord, forêts, taillis, haies, tous terrains, toute exposition, jusqu'à 1 200 mètresIDENTIFICATION
- Hauteur : 2 à 4 mètres. Arbrisseau
- Ramure très irrégulière, rameaux terminés par une épine, recouverte d'une écorce brun noirâtre et lisse dans le jeune âge, puis crevassée
- Feuilles presque opposées larges de 2 à 5 cm longues de 3 à 6 cm, finement dentées à nervures arquées et saillantes, stipulées
- Fleurs vert-jaune (avril-juin), petites à l'aisselle des jeunes rameaux ou de leurs premières feuilles, 4 sépales, 4 pétales, 4 étamines
- Drupes à 3 ou 4 noyaux parcheminés.
- Odeur nauséabonde
- Saveur douceâtre puis amèrePARTIES UTILISEES
- écorce, fruit noir (septembre-octobre), jus
CONSTITUANTS
- dérivés anthracéniques, hétérassides, vitamine CPROPRIETES
- dépuratif, diurétique, laxatif, purgatif, révulsif
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Le 12 janvier 1833 s'éteint à Paris l'illustre chef cuisinier Antonin Carême. Issu d'une famille très modeste, il apprit l'art de la cuisine et la pâtisserie en autodidacte.
La confection de superbes pièces montées fit sa gloire, et il attira l'attention du diplomate Charles-Maurice Talleyrand-Perigord ainsi que des têtes couronnées de toute l'Europe.
Inventeur du vol-au-vent, des sauces légères et d'autres mets raffinés, il rédigea de nombreux traités de cuisine et jeta ainsi les bases de la gastronomie moderne.Egalement inventeur de la toque,
Antonin Carême fut le premier cuisinier à se faire appeler "chef"....
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