Ingrédients pour 6 personnes

œufs : 6
Mayonnaise : 50 g
Brins de ciboulette : 6
Piment d’Espelette : 2 pincées
Sel

 

 

Préparation

 

1 Rincez, épongez et ciselez finement la ciboulette. Faites durcir les œufs 10 min environ dans une casserole d’eau bouillante salée. Refroidissez-les sous un filet d’eau froide.

 

2 Ecalez les œufs et séparez les jaunes des blancs. Ecrasez-les séparément à la fourchette.

 

3 Mélangez les jaunes d’œufs écrasés avec la mayonnaise, le piment d’Espelette et un peu de sel.

4 Répartissez dans 6 verrines des couches de blanc d’œufs et de jaunes, en terminant par le blanc. Servez parsemé de ciboulette ciselée.

 

 

 

Petite, partout présente, même en altitude élevée, dans les pâturage, la pâquerette fleurit dès Pâques, bien avant les autres plantes, et presque toute l'année.

 

Malgré sa taille modeste et son aspect fragile, elle est capable de surmonter des froids intenses, jusqu'à - 17° C, la nuit, ou quand il pleut, elle s'incline et se ferme, le jour, elle suit la course du soleil, lui présentant ses gracieux capitules blancs au coeur jaune.
Jolie, élégante, "bellis", et vivace, "perenis", elle est si fraîche qu'un compositeur du siècle dernier, Dupratot, a donné son nom à l'héroïne gracieuse et naïve de son opéra-comique.

 

Connue pour ses vertus médicinales depuis la Renaissance, la pâquerette a été frappée d'ostracisme en Allemagne, au XVIIIe siècle, et systématiquement détruite, car on l'accusait à tort d'être abortive.
Ses fleurs et ses feuilles fraîches, écrasées, calment la douleur des contusions et des entorses. La médecine homéopathique utilise, pour son action tonique sur la musculature des vaisseaux, une teinture tirée de la plante fleurie. On mélange la pâquerette au pissenlit et à la fumeterre dans les cas de paresse du foie. Le thé de pâquerette, pris 3 fois par jour entre les repas, réussit très bien aux enfants maigres

 

 

 

 

HABITAT

- Europe, bois, talus, gazons, jusqu'à 2 400 mètres

 

 

IDENTIFICATION

- Hauteur : 0,04 à 0,20 m. Vivace

 

- Tige souterraine

 

- Feuilles en rosette basale, pétiolées, larges, spatulées, peu et largement dentées, à poils courts

 

- Fleurs jaune et blanc rosé toute l'année, en capitules solitaires, réceptacle conique de fleurs tubuleuses jaunes, entourées de ligules blanches teintées de rose dessous

 

- Akène ovale, sec, marginé sans aigrette

 

- Souche tronquée, vivace, nombreux rejets

 

- Saveur douceâtre

- Odeur nulle

 

PARTIES UTILISEES

 

- Feuilles, fleurs (toute l'année), séchage à l'ombre

 

 

CONSTITUANTS

- Saponine, huile essentielle, tanin, mucilage, résine

 

 

PROPRIETES

- Anti-inflammatoire, sudorifique, tonique, vulnéraire

 

 

 

André Le Nôtre est né le 12 mars 1613 et décède en 1700.
Il fait partie d’une grande famille de jardiniers.
Son père,Jean Le Nôtre (1575-1655) était « Jardinier ordinaire du roi,
chargé de l’entretien du jardin des Tuileries » de Marie Médicis .
Son grand-père, était le jardinier de Catherine de Médicis.

 

 

Après un coup d’essai au jardin de la Reine à Fontainebleau (1644-1646),

 

 

André Le Nôtre réalise aux Tuileries une oeuvre entièrement remodelée sous sa seule direction,

 

dont la conception suit de peu le coup de maître de Vaux-le-Vicomte.

 

 

Les effets d’optique des Tuileries annoncent et préparent les évolutions des années 1670 et 1680 marquées par les perspectives et les canaux de Chantilly,

 

 

de Versailles

 

 

et de Sceaux

 

 

ou par la grande terrasse de Saint-Germain.

 

 

On peut également admirer les jardins conçus par Le Nôtre à Castres,

 

 

Saint-Cloud,

 

  

Strasbourg,

 

 

Jumilhac

 

 

et Ravel

 

 

 

Printemps

L'herbe éclate en pâquerettes ;
Les parfums, qu'on croit muets,
Content les peines secrètes
Des liserons aux bleuets

Les petites ailes blanches
Sur les eaux et les sillons
S'abattent en avalanches ;
Il neige des papillons.

Et sur la mer, qui reflète
L'aube au sourire d'émail,
La bruyère violette
Met au vieux mont un camail.

 

Victor Hugo

 

 

 

Les premières traces de la fondation du château de Châteaubriant remontent entre 1030 et 1042 alors que Brient, seigneur des lieux, devait laisser son nom à la ville.

 

 

Le château présente l'intérêt majeur d'offrir les caractéristiques de deux périodes historiques avec une partie médiévale correspond à la haute cour autour du donjon avec logis seigneurial et du chapelain, grande chapelle,

 

 

et une partie renaissance dans l'ancienne basse cour avec palais, escalier d'apparat et galerie de colonnes de schiste.

 

 

Cette forteresse des Marches de Bretagne est située sur un promontoire rocheux dominant la vallée de la Chère et la ville de Châteaubriant dont quelques vestiges de l'enceinte fortifiée subsistent.

 

Cette demeure féodale a été construite entre le XIe siècle et le XVe siècle, puis transformée au XIXe siècle. C’est ici que François-René de Chateaubriand trouva le souffle d’une inspiration romantique. Sa famille s’y installe en 1777 et le futur écrivain y passa douze années d’une jeunesse assez morne. Il immortalisera le lieu dans ses mémoires.

 

 

 

Fred Swan est un peintre américain qui réside à Barre, Vermont. Il est diplômé de l'Académie navale des Etats Unis, et ensuite il a enseigné les mathématiques à l'école secondaire Spaulding.

 

 

Un artiste autodidacte, Swan est surtout connu pour ses réconfortants paysages chauds qui prennent jusqu'à 500 heures à contempler.
Typique de ceux-ci est Blue Moon, qui comme beaucoup de peintures de Swan, maisons caractéristiques et très détaillées.

 

 

Son souci du détail donne à ses peintures un style immédiatement reconnaissable. Ses tableaux sont remplis de nostalgie et de chaleur. Le réalisme extrême et la beauté de ses créations amènent les autres à se retourner vers l'avenir et remarque : "Maintenant, c'est le genre calme que je veux quand je prendrai ma retraite ".

 

 

Les peintures de Fred Sawn sont très commerciales et ont été adaptées pour les calendriers et puzzles et sont vendues comme des impressions.

 

 

Swan a remporté en 1979 le Saturday Evening Concours de couverture, et son art est présenté dans plusieurs collections célèbres, y compris ceux de Johnson et Johnson, Malcom Forbes, et le Conseil des Arts du Vermont. Ses peintures ont également ét en vedette dans le Yankee Magazine et le Vermont Life Magazine

 

 

 

Dieu tient parole

"Ce que j'ai dit, je le fais arriver." Esaïe 46.11
Les amis peuvent oublier de tenir leurs promesses, mais Dieu, jamais ! Il a engagé sa réputation en promettant de réaliser chaque mot qu’il a prononcé. "Tu as magnifié ta promesse par-delà toute renommée" (Psaumes 138.2).

 

Mais attention, s’il a posé une condition, vous devez la remplir pour recevoir ce qu’il a promis. Après avoir affronté les prophètes de Baal, "Élie dit à Achab : Monte, mange et bois, car ce grondement c’est la pluie" (1 Rois 18.41). Achab s’en va manger et boire, tandis qu’Élie, au sommet du Carmel, se met à prier face contre terre. Pas la moindre averse n’est tombée depuis trois ans et demi, mais Élie vient de remplir les conditions de Dieu et la pluie tant attendue arrive enfin.

 

Souvent nous revendiquons ce que Dieu a promis sans examiner les conditions. Elles font pourtant partie intégrante de bien des promesses de Dieu, et il attend que nous les remplissions.
Dieu fera ce qu’il dit si vous suivez l’exemple d’Élie :
1. Croire en la promesse,
2. Remplir les conditions,
3. Persévérer dans la prière, avec la certitude que Dieu tiendra parole,
4. Se montrer patient(e). Sept fois de suite, Élie envoie son serviteur dehors guetter les signes de pluie, sans jamais douter de la promesse de Dieu. La septième fois, la pluie finit par tomber.

 

Une action pour aujourd'hui

Avez-vous rempli les conditions qui accompagnent la promesse que vous revendiquez ? Faites votre part et observez Dieu honorer sa parole pour vous : "Ce que j’ai dit, je le fais arriver ; ce que j’ai conçu, je l’exécute" (Esaïe 46.11).

 

 

 

Ingrédients pour 4 personnes

• 3 cuisses de canard confites
• 600 g de pommes de terre
• 5 échalotes
• 5 gousses d'ail
• 2 cuil. à soupe de persil ciselé
• 15 cl de lait entier
• 100 g de beurre
• 10 cl de bouillon de volaille
• 3 cuil. à soupe d'huile
• 1 cuil. à soupe de vinaigre de vin
• 1 cuil. à soupe de vinaigre de Xérès
• 1/2 cuil. à café de sucre
• sel, poivre

 

 

Préparation

 

1 Pelez, coupez les pommes de terre. Faites-les cuire 25 min à l'eau salée.
Emincez 3 échalotes et l'ail pelés, puis hachez finement le reste d'échalotes.

2 Dans une casserole, faites suer les échalotes émincées avec 30 g de beurre 5 min à feu doux. Versez le vinaigre de vin, le sucre et laissez réduire.

3 Retirez la peau du canard et effilochez la chair. Mettez dans la casserole avec 1 cuil. de persil, le bouillon et poivrez. Faites cuire en remuant très souvent jusqu'à réduction du bouillon.

4 Faites dorer l'ail dans 20 g de beurre. Egouttez sur du papier absorbant. Mettez les pommes de terre égouttées dans une casserole, ajoutez le lait chaud, 30 g de beurre et l'ail. Poivrez, écrasez à la fourchette. Réservez au chaud.

5 Mélangez le vinaigre de Xérès avec du sel, du poivre et l'huile. Ajoutez les échalotes hachées et le reste de persil ciselé.

6 Badigeonnez 4 moules (environ 12 cm de diamètre) de beurre fondu. Garnissez d'une couche de canard tassé, puis recouvrez de purée. Démoulez aussitôt sur les assiettes chaudes en tapotant avec le plat de la main. Entourez d'un cordon de vinaigrette et servez sans attendre.

 

 

 

Le panicaut est une plante extravagante, c'est une ombellifère déguisée en chardon, qui porte ses ombelles blanches si serrées qu'elles imitent les capitules des Composées. Ses bractées raides, ses feuilles épineuses, sa longue et profonde racine, son esprit de conquête et la ténacité avec laquelle elle s'accroche aux terrains attisent la hargne des cultivateurs.

 

Chardon roulant, chardon nomade, le panicaut abandonne à l'automne ses tiges sèches et légères au gré du vent qui les emporte pour coloniser de nouvelles terres.

 

C'est une plante vivace, vantée par les médecins de l'Antiquité pour de multiples propriétés parmi lesquelles les modernes n'ont retenu que les actions apéritives et diurétiques confirmées au cours des siècles par l'expérience, puis par l'analyse chimique des substances contenues dans ses tissus.

 

Le panicaut a aussi un rôle alimentaire et condimentaire certain , ses jeunes pousses tendes se mangent en salade, ses jeunes feuilles confites au vinaigre, se consomment comme des cornichons et confites au sucre, comme friandises. On a dit la plante aphrodisiaque, mais rien n'est moins sûr.

 

HABITAT

- Europe, plaines sauvages, sols calcaires, sableux, arides, jusqu'à 1 500 mètres

 

 

IDENTIFICATION

- Hauteur : 0,30 à 0,50 mètre. Vivace

 

- Tige dressée, robuste, très rameuse

 

- Feuilles vert blanchâtre, coriaces, épineuses, les premières entières, les autres profondément découpées en segments dentés à limbe prolongé sur le pétiole, les supérieures embrassant la tige et en involucre aux ramifications

 

- Fleurs blanches (juillet-septembre), sessiles, serrées en capitules pédonculés, ovoïdes-globuleux, à involucre épineux de 3 à 6 bractées étalées, pointues, calice à dents dressées sur le fruit, 5 pétales échancrés, 5 étamines,

 

- Diakène recouvert d'écailles pointues

 

- Souche longue, traçante

 

- Odeur musquée

- Saveur douceâtre d'abord puis amère et âcre.

 

PARTIES UTILISEES

 

- Feuilles (juillet-août) racine (printemps- automne)

 

 

CONSTITUANTS

- Sels minéraux, potassium, sodium, calcium, huile esentielle, saponine

 

 

PROPRIETES

- Apéritif, diurétique,

 

 

 

Le canal du Midi ou canal des Deux-Mers est un canal français, long de 321 km, qui relie la Garonne à la mer Méditerranée.
Il fut considéré par ses contemporains comme le plus grand chantier du XVIIe siècle.

 

 

Sous le règne de Louis XIV, Pierre-Paul Riquet supervisa ce projet aux allures d’improbable défi, et fit preuve d’une grande largesse à l’égard des ouvriers et artisans (12 000 au total), posant d’indiscutables avancées sociales (mensualisation de la paie, et avantages fiscaux).

 

 

Il ne verra pas la fin de l’oeuvre débutée en 1666, rendant l’âme en 1680.
L'ouverture du canal eu lieu le 21 mai 1681

 

 

Le canal fournit, avec le canal latéral à la Garonne, une voie navigable de l’Atlantique à la mer Méditerranée.
Il a été prolongé par le canal du Rhône à Sète. D’abord nommé canal royal en Languedoc, les révolutionnaires le rebaptisent en canal du Midi en 1789.

 

 

Prisé des vacanciers, il est l’un des plus anciens canaux d’Europe encore en fonctionnement,