Croyant ou pas, la plus ancienne église de France, celle de Saint-Martin se situe à Moissac dans le Tarn et Garonne et permet de remonter 18 siècles d’histoire !

 

 

Ce bâtiment a été construit au III ème siècle de notre ère. Il s’agit d’une ancienne villa romaine qui a été transformée en église au XI ème siècle. Cette modeste construction de briques et de pierres de taille est située à la sortie de Moissac (Tarn et Garonne).

 

 

Cette église, la plus vieille de France a abrité une église wisigothe édifiée sur d'anciens thermes romains, eux même construits sur des lieux de culte dont l’origine se perd dans la nuit des temps.Suite à la persécution de Dèce en 303 et avant la conversion de l’empereur Constantin en 313, les premiers lieux de culte chrétiens étaient pour la plupart installés dans des maisons particulières. C’est l’époque de la "Domus Ecclesia" dont Saint-Martin est représentative.

 

 

Plusieurs pièces de maison-églises étaient aménagées pour le culte, dont une pour le baptême et une autre pour l’assemblée des fidèles. Au quotidien, le propriétaire terrien vivait dans les autres pièces en compagnie de sa famille et de la domesticité.

L’église de Moissac a été classée en 1922, ce qui l’a sauvée des pelleteuses de la Compagnie des chemins de fer du Midi, qui voulait la détruire pour la remplacer par une gare.

Lors d’une campagne de fouilles menée en 2012, le sol de circulation antique de l’église a été mis à jour ainsi que les bains de l'ancienne villa gallo-romaine, chauffés par un "hypocauste", un système de chauffage au sol.

 

 

Les habitants de la villa y prenaient des bains de températures différentes allant du chaud (caldarium) au froid (frigidarium) avant d’aller se recueillir dans la partie religieuse de la villa.

 

 

 

C'est vers le XIe siècle que le site devient une église paroissiale, composée d'une chapelle et d'une nécropole, statut qu'elle conservera jusqu'au XVIIIe siècle. Depuis, elle est devenue un des lieux touristiques les plus courus du Tarn et Garonne

 

 

 

Née en 1951, Mary Jane réside à Newport NH avec son mari Mark Cross. En 1970-1973, des études à l'école du Worcester Art Museum à Worcester MA ont commencé son appétit insatiable pour les musées, les galeries, les biographies, les peintures, puis leur narration. dans la peinture. Cross a trouvé la saison de l'expressionnisme des années 70 à court de compétences académiques qui ont été souhaitées. Ainsi, peu de temps après l'obtention du diplôme, elle a conçu un programme pour elle-même et quelques étudiants après les peintres académiques français, et les préraphaélites. Étudier comment d'autres artistes ont été formés lui a donné le courage de trouver ce que sa propre voix serait.

 

 

Quelques ateliers en cours avec Daniel Green, puis 15 ans de mentorat en traitement de la couleur atmosphérique avec Fran Hoyt, un élève de Vincent Dumond de la Arts Students League, elle a commencé à compléter une «transpiration» studieuse. Gerome, Bouguereau, Lefebvre, les préraphaélites, Jules Bastian LePage, Mary Cassatt, Lord Leighton ont laissé leurs thèmes somptueux romantiques, leurs modèles et leur capacité technique exquise à raconter des histoires de manière captivante, complétant ainsi l '«inspiration» qui continue de la captiver et de l'incarner travail.

 

 

Le travail de Q Cross embrasse la beauté personnifiée dans les sujets principalement féminins sur un niveau émotif et intimement respectueux. Les esprits et les âmes des modèles sont animés sous ses doigts. Ceci est littéral, car l'artiste peint avec ses doigts en raison d'un grave tremblement qui restreint l'utilisation des pinceaux. La carrière de l'artiste ne s'est pas arrêté.

 

 

Dans les années 1990, Mary Jane a passé cinq ans à réapprendre sa profession en tant que peintre à l'huile après avoir développé un tremblement de la main qui a rendu le brossage difficile. Toutes ses peintures sont peintes à 95-98% avec ses doigts. Les touches de raffinement restantes sont obtenues à l'aide d'un pinceau, en utilisant des dispositifs de prothèse de sa propre invention et d'adaptation

 

 

 

Voici quelques photos prises dimanche après-midi

 

 

Voici quelques grosses vagues

 

 

Le vent soufflait très fort, nous avions du mal à marcher..

 

 

Nous ne sommes pas restées bien longtemps...

Le temps de faire des photos

 

 

 

Hana Matsuri, ou fête des fleurs, est un service commémoratif qui se déroule dans tous les temples du Japon pour célébrer la naissance du Bouddha historique le 8 avril.

 

 

Cet événement est également appelé Kanbutsue. Ce jour-là, de petites constructions décorées de fleurs sont fabriquées dans les temples et une tanjobutsu (statuette du Bouddha enfant) est placée à l'intérieur.

 

 

Cette figurine est aspergée de ama-cha, un breuvage de feuilles de thé dans de l'eau chaude, par les fidèles à l'aide d'une louche. Certaines personnes ramènent du ama-cha chez elles pour boire de cette eau bénite.

 

 

 

 

 

 

Ingrédients

2 bananes
100g de sucre + 100g + un peu pour le moule
2 CS d'eau
1 citron vert
2 oeufs
120g de farine
100g de beurre fondu + un peu pour le moule
1/2 sachet de levure
1 CC d'extrait de vanille
2 CS de rhum (facultatif)

 

 

Préparation

Préchauffer le four à 180°C.

Beurrer le moule et saupoudrer les bords de sucre roux. Peler les bananes, les détailler en rondelles et les répartir au fond du moule.

 

 

Râper le zeste du citron vert et presser son jus.

Faire un caramel avec 100g de sucre et les cuillères à soupe d'eau, ajouter le jus du citron à la fin et verser le caramel sur les rondelles de bananes.

 

 

Mélanger la farine, 100 g de sucre, la levure et les oeufs. Ajouter ensuite le beurre fondu, le zeste de citron vert, la vanille liquide et le rhum.

 

 

Verser la pâte au dessus des bananes

Faire cuire le gâteau pendant environ 35 minutes. Pour vérifier la cuisson du gâteau, planter un couteau dedans, il doit ressortir sec.

 

 

À la sortie du four, retourner le gâteau sur une assiette et laisser refroidir. Déguster tiède ou froid.

 

 

 

Originaires d'Afrique du Sud où ils poussent généralement au bord des ruisseaux et des pièces d'eau, les arums sont des plantes bulbeuses très racées et élégantes qui fleurissent abondamment.

 

 

Le plus courant, le plus rustique et le plus facile à cultiver est l'arum d'Ethiopie blanc, aux grandes feuilles vernissées en forme de pointes de flèche, vert foncé, très décoratives, mettant en valeur les belles fleurs composées d'une grande spathe blanc d'environ 20 cm, entourant un long spadice jaune. Il peut atteindre 80 cm à 1 m de haut.

 

Les autres arums, dit "colorés", ont une végétation plus compacte, au feuillage vert plus ou moins moucheté d'argent, et aux fleurs moyennes aux spathes richement et diversement colorés, dans les tons de rose, de jaune, d'orangé, de pourpre et de lavande, parfois bicolores. Ils atteignent 40 à 60 cm de haut.

 

Tous les arums fleurissent en vagues successives de mai-juin à septembre

  

 

Les arums sont des plantes à bulbes idéales pour la réalisation de massifs fleuris. Ils s'associent à de nombreuses plantes annuelles et vous pouvez en inclure dans les bordures et massifs de plantes vivaces. L'arum blanc peut être considéré comme une plante vivace, s'associant aux lupins, delphiniums, fuchsias, hémérocalles, pivoines, etc.

 Détails de la fleur et des feuilles :

 

Du fait de son origine semi-aquatique, l'arum blanc se cultive aisément en bordure de bassin, voire carrément les pieds dans l'eau, de la berge jusqu'à une profondeur d'eau de 20-30cm. Les arums colorés, plus compacts, forment de jolies bordures et de belles potées fleuries.

 

 

Ils forment également de jolis bouquets pour les vases, et des bouquets de mariées.

  

 

Et pour terminer des arums peints

par Michael Humphries (artiste peintre)...

 

 

Le château a trouvé sa place au-dessus d'un éperon rocheux d'une trentaine de mètres, aujourd'hui, complètement enfoui par la construction. Il se situe à l'emplacement de la première cité ibère datant du VIème siècle avant J.C et témoignant de la présence d'un port de pêche. A partir du XIIème siècle, le château sera occupé tour à tour par différents rois de différents royaumes. Le Château Royal était une pièce maîtresse du dispositif défensif de la ville, port marchand et place forte s'unissent en effet dans les murailles de ce château. Il y aura trois grandes phases de constructions.

 

 

Le château est entièrement reconstruit par les rois de Majorque au XIIIème siècle pour devenir leur résidence d'été. Au XIVème siècle, les rois d'Aragon réorganisent les fortifications pour en faire une fortification militaire. Au XVIIe, Vauban élève l'enceinte extérieure, rase le village qui se trouve dans les remparts et aménage les glacis. En 1939, la forteresse est transformée en prison.

 

 

Le donjon fait partie de la première phase de construction du château de Collioure. Elle comprenait en plus du donjon, la chapelle et les appartements royaux construits autour d'une cours d'honneur. A cette époque, le château n'avait aucune vocation militaire ou défensive, il servait seulement de résidence d'été aux rois de Majorque

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L'histoire du château royal est à l'image de celle de Collioure, une histoire riche et mouvementée.

S'il est d'abord une simple résidence, au XIVème siècle, Ferninand II, roi d'Aragon en fait une place forte qui sera sans cesse modifiée et agrandie. C'est Vauban qui achèvera ce long travail en faisant élever une enceinte fortifiée et en créant le glacis, pour cela il ordonne la destruction du village qu'il fait reconstruire à son emplacement actuel.

Le palais des rois de Majorque est remarquablement bien conservé et on peut le visiter dans sa quasi totalité. Il faut prévoir deux à trois heures de visite si l'on veut tout voir. Le chemin de ronde offre en tout points une vue magnifique sur les environs de Collioure.

 

 

 

L'église Notre Dame des Anges, à Collioure, date XVIIIe siècle. Elle fut construite en 1684 suite à la destruction ordonnée par Vauban en 1672 de l'ancienne église Ste Marie située au centre de la ville. Le village s'est ainsi déplacé de quelques centaines de mètres sur son emplacement actuel.

 

 

C'est une des églises les plus connues du département, elle a été peinte par des artistes mondialement connus un nombre incalculable de fois et on la trouve sur tous les objets représentant Collioure. Elle est l'un des symbole fort des Pyrénées-Orientales, au même titre que le château de Salses, le palais des rois de Majorque ou le train jaune montant en Cerdagne.

Cette église est de style gothique méridional à nef unique.

 

 

Le dôme du clocher, si caractéristique, n'a été rajouté qu'en 1810, soit relativement récemment. Il faut dire que le clocher servait auparavant de fanal pour les marins désireux de rentrer au port.

 

 

La nef est flanquée de chapelles et se termine par une abside semi-circulaire. Elle contient un très important mobilier : Retable de St Jean (1697), du maître-autel (1698-1702), du Saint Sacrement (1700), du Précieux Sang (1708), de St Vincent (1714), de St Eloi (1716), de Ste Lucie (1719), de Notre Dame de Lourdes (1902) et du Rosaire (XXe siècle, avec des éléments de statuaire du XVIIIe). Elle possède également des panneaux primitifs du XVe. Elle a également un trésor, dit "Trésor de Collioure" : Deux croix processionnelles, des chandeliers, des ostensoir, un ciboire, deux encensoirs, deux burettes, des plats de quête du XVIe siècle, des reliquaires, quatre bourdons du XVIIe et des ornements du XVIIe siècle également.

 

 

 

 

 

 

Avril

Aux rayons rutilants d’Avril la neige fond,
Chaque route s’effondre et tout sentier s’efface,
Les vastes flots grondants du Fleuve écumeux font
Voler en lourds éclats ses entraves de glace.

Pas un nuage au ciel ! pas un souffle dans l’air !
Les baisers du soleil argentent les ramures,
Et des pins, dont les vents tordaient la cime hier,
Vers l’éther lumineux montent de gais murmures.

Dans les bois le dégel vernal clôt les chantiers.
Le sol n’y tremble plus des chocs de l’abattage.
Les voyageurs d’en haut, aussi joyeux qu’altiers,
Sac au dos, en chantant, reviennent au village.

De retour avec eux, ivres de liberté,
Autour de nos logis s’ébattent les corneilles.
Des aspects et des bruits nouveaux de tout côté
Émerveillent nos yeux, enivrent nos oreilles.

Les frais ruisseaux d’argent, où le ciel transparaît,
Roucoulent dans le creux des combes embaumées.
En spirales d’azur, à travers la forêt,
De mille feux ardents s’élèvent des fumées.

Sous les éclats couvrant leurs huttes en bois ronds,
Comme perdus au sein du désert insondable,
Les vaillants sucriers, penchés sur leurs chaudrons,
Surveillent la cuisson du blond sucre d’érable.

Déjà sous l’outremer des grands cieux éclatants
La terre sent frémir en elle les pervenches,
Déjà vaguement flotte une odeur de printemps,
Et les premiers bourgeons éclatent sur les branches.

 

William Chapman

 

 

 

 

Comme vous montez la colline vers le village perché de Loubressac, vous êtes accueillis par la vue des maisons de pierre avec des belle petite jardins fleuris et des toits brune en terre cuite et des volets peints - souvent dans des tons de bourgogne - délicieux! Les maisons sont construites dans un pierre d’orée, presque blanc.

 

 

Les rues montent vers le haut et la place ombragé avec son église datant du 12e au 16 e siècle.

 

 

Loubressac possède un château mais il est presque impossible de voir quoi que ce soit d'autre que son imposante porte. Le château date du 15-17 ème siècles et son Maison des Gardes du 15ème siècle.

 

 

Loubressac est l'un des «plus beaux villages de France». Il est aussi à juste titre, fiers de ses efforts floraux et a remporté le prix du «village de floraison la plus belle du lot» et «village le mieux fleuries de la région Midi-Pyrénées».

  

 

 

L’artiste peintre Marty Bell, est née en 1931.

 

 

Son dynamisme, sa vision créative et sa passion pour la beauté unique, l'ont poussé à produire une des plus grandes expressions artistiques, faisant appel à une grande variété de goûts contemporains et traditionnels. Marty devint peintre professionnelle à partir de 1968.

 

 

Bien que largement autodidacte, au début de sa carrière, elle a partagé ses talents pendant onze ans, par l'enseignement, jusqu'à 40 élèves par semaine. La grande popularité de ses peintures originales l’obligea à fermer son école d'art afin de se concentrer sur son propre travail.

 

 

Avec la demande croissante du marché, elle a commencé à produire des reproductions à tirage limité et plus tard a formé le "Bell Marty Fine Art, Inc" en 1987 sa société d'édition. Marty a été honorée par plus de 200 prix, a vendu plus de 100 reproductions en édition limitée et vendu à plus de 2400 peintures originales.

 

 

Marty Bell est décédée le 15 octobre 2003, après un an et demi de lutte contre le cancer.

 

 

Depuis le décès de Marty et la retraite de Steve son mari, son fils Mark Bell a gardé l'entreprise familiale. Il est maintenant le producteur de son travail, et de plusieurs autres artistes.