Issu d’une famille d’artistes du côté paternel, Michel Trapezaroff est né à Thonon en 1947. C’est à l’âge de douze ans qu’il s’intéresse à la peinture et commence à peindre.

 

 

Autodidacte, il se forme essentiellement dans les musées par l’observation et l’étude des maîtres. Instinctivement attiré par l’art classique, il est fortement marqué par les paysagistes hollandais et français du XVIIème et du XIXème siècle, par le classicisme, par l’école de Barbizon et surtout par les écoles naturalistes russes et nordiques.

 

 

Bien que la peinture l’attire et le passionne, Michel Trapezaroff est formé par son père à l’art du dessin pour le textile. Dans ce domaine, il se spécialise dans les motifs précis et miniaturistes. Il acquiert ainsi le sens du détail et du travail soigné… La maîtrise de la technique picturale, la précision d’un travail lent et méthodique ainsi qu’une vision étonnement lucide de la réalité, confèrent à la peinture de Michel pleine de sensibilité, une note profondément personnelle et vraie

 

 

Capable d'une grande intensité d'observation et de sensation, il "raconte" des paysages familiers empreints de paix et d'harmonie.
Eprouvant le besoin constant de rester fidèle à la nature observée dans la vraie lumière, il parvient, grâce à une palette raffinée, une touche précise et une étonnante souplesse dans la modulation des tons, à évoquer l'atmosphère spécifique du site, la saison, l'heure, sans que les details ne viennent rompre l'équilibre général.

 

 

Fruit d'une sensibilité peu commune et d'une solide maîtrise de la technique picturale, chaque tableau de Trapezaroff constitue une précieuse pièce de collection qui procure une émotion et une rêverie de rare qualité.

 

 

 

 

La Pentecôte marque la venue de l’Esprit Saint sur les apôtres et la naissance de l’Eglise. Cet événement est survenu cinquante jours après Pâques (en grec, pentêkostê signifie « cinquantième »).

 

 

L’événement de la Pentecôte ne peut être compris qu’en lien avec Pâques et l’Ascension. Jésus est mort pour le salut du monde (le Vendredi Saint), ressuscité (le jour de Pâques) et parti rejoindre le Père (à l’Ascension). À la Pentecôte, Dieu le Père envoie aux hommes l’Esprit de son Fils. Cette fête clôt le temps pascal, qui dure sept semaines, et dont elle est le couronnement.

 

Le vent et le feu

Le 50ème jour après Pâques, alors qu’une foule s’est rassemblée pour Chavouot (fête juive commémorant le don de la Loi à Moïse), les Apôtres, Marie et quelques proches entendent un bruit « pareil à celui d’un violent coup de vent » qui remplit la maison ; c’est un premier signe. Le deuxième signe ne se fait pas attendre : « une sorte de feu qui se partageait en langues et se posa sur chacun d’entre eux ». Et voici le troisième prodige : remplis de l’Esprit Saint, signifié par le vent et le feu, « ils se mirent à parler en d’autres langues ». La foule qui festoie est stupéfaite « parce que chacun d’eux les entendait parler sa propre langue ». À tel point que certains les croient « pleins de vin doux » (Ac 2, 1-14) !

 

 

Ainsi se réalise la promesse faite par le Christ aux apôtres au moment de son Ascension, une dizaine de jours plus tôt : « vous allez recevoir une force, celle du Saint-Esprit qui viendra sur vous. Alors vous serez mes témoins à Jérusalem, dans toute la Judée et la Samarie, et jusqu’aux extrémités de la terre » (Ac 1, 8).

 

 

En effet, les apôtres, ayant reçu la force de l’Esprit, ont alors le courage de sortir de la salle du Cénacle où ils étaient craintivement enfermés. Ils commencent aussitôt à témoigner de la résurrection du Christ, à faire connaître son enseignement et à baptiser. Lors de la Pentecôte, l’Eglise est constituée non par une volonté humaine, mais par la force de l’Esprit de Dieu. À la suite de cet événement, naissent les premières communautés chrétiennes qui se sont ensuite organisées, développées et propagées.

 

 

Don pour tous les hommes

 

Ce récit des Actes des Apôtres est très significatif : le vent et le feu manifestent – comme dans bien d’autres récits de la Bible – la présence de Dieu. Les langues de feu témoignent de la venue de l’Esprit Saint sur ceux qui étaient présents.

 

 

La Bonne Nouvelle ayant vocation à rejoindre tous les hommes, le don de l’Esprit permet aux apôtres de répondre à l’appel du Christ : être ses témoins « jusqu’aux extrémités de la terre » (Ac 1, 8). Comme les apôtres, les chrétiens sont appelés à ne pas rester seulement entre eux, hors de la vie et du monde, mais, au contraire, à proclamer clairement et librement la Bonne Nouvelle du salut.

 

 

Parce qu’il trouve sa source dans l’événement de la Pentecôte, le sacrement de la confirmation est souvent célébré le jour de cette fête. Au cours de la célébration, l’évêque impose les mains sur chacun des confirmands, manifestant par ce geste le don de l’Esprit.

 

 

Samedi 12 mai place aux épreuves par équipes de 3, 5 ou 9 pour effectuer 3 000 m, 5 000 m ou 9 000 m par catégories

La compétition a lieu sur une autre plage, nous prenons la route

Quelques photos avant les compétitions

Et maintenant voici Maud, Pascale et Jérémy sur la ligne de départ pour un 8 000 mètres

 

Les voici dans l'eau l'épreuve va durer plus de 2 heures

ils ont effectué 6 000 mètres

 et ils repartent dans l'autre sens 

 les voici qui arrivent après 2 heures 

En attenant leur retour, j'ai profité de la mer

 l'eau était bonne et transparente, un délice !

 Mais les épreuves continuent et c'est au tour de Florence, Gérard, Sylvie et Marc de s'élancer pour faire 3 000 mètres

 

 

Les compétions sont terminées.

La distribution des récompenses aura lieu le soir

à l'hotel San Pellegrino, suivi d'un repas et danse

Ils ont remporté 12 coupes..

 

 

Ce vendredi ont lieu les épreuves de qualifications régionales pour le championnat de France : le 1 000 m (en équipe tierce /quinte) et 100m en solo et en catégories homme, femme, junior, sénior, vetéran 1 & 2.

Les compétiteurs, environ 120, viennent de Corse bien sûr mais aussi de clubs de Marseille, Mandelieu, Antibes et Saint Laurent du Var.

 

Voici Maud, Jérémy et Pascale avant la compétition 

 l'équipe au complet de Saint-Laurent du Var

Voici Maud et Jérémy qui s'élancent pour les 1 000 mètres

 on les aperçoit dans la mer, ils font 500 mètres et ils reviennent.

Voici Jérémy sur la ligne de départ pour un cent mètres

 Et maintenant sur les derniers 50 mètres 

 

 Il arrive, il a battu son record, il sera 2eme de cette épreuve

Maintenant c'est au tour de Maud

Les 50 mètres sont franchis, elle revient

 Jérémy va la chercher à l'arrivée, elle sera classée et aura une coupe

  

Un beau sourire après la compétition.

A demain pour les dernières épreuves

 

C'est dans ce camping que nous sommes arrivés 

et voici notre bungalow

il comprenait : 3 chambres, salle à manger

avec coin cuisine, salle d'eau et WC.

Il se trouvait dans un parc aménagé en bordure de mer,

nous étions situés à une centaine de mètres de la plage.

Un aperçu de la plage, rien que du sable et un eau transparente

Et maintenant un peu d'entraînement.

Maud est le coach d'une petite équipe à la plage

de Saint Laurent du Var et 6 participants sont venus la rejoindre ...

Voici le programme des deux jours à venir

C'est mon petit fils Jérémy qui est sur l'affiche.

 

 

 

Après 4 heures de traversée nous quittons le salon afin de découvrir les côtes de la Corse qui se dessinent à l'horizon, malheureusement il y a de la brume. En premier c'est le Cap Corse.

 Voici le bateau pilote qui va nous guider vers le port

 

Puis au bout d'une demie-heure nous commençons à voir Bastia

Le bateau tourne afin de rentrer dans le port

 

Nous découvrons les quais bordés de maisons

Voici la place Saint-Nicolas, nous voici arrivés , il est 19 heures

Nous mettons 15 minutes pour quitter le bateau

En passant nous voyons l"église Notre Dame de Lourdes

Nous voici partis en direction de Talasani où aura lieu les compétitions de longe-côte que Jérémy et sa femme vont faire.

 

Le mois de mai.

Lorsqu'Éole a, dans leur caverne,
Renfermé les tristes autans,
Quand l'oiseau qui chez nous hiverne
S'en va regagner ses étangs,
Ô doux printemps, ta jeune épouse,
En souriant à tes amours,
Pour tes pieds nus sur la pelouse
Tisse un vert tapis de velours.

Le cerf en amour cherche et rôde
À l'entour des fourrés épais ;
Le lézard, couvert d'émeraude,
Au soleil vient dormir en paix ;
Au sein des forêts reverdies
Les nids de mousse et de duvet
Se remplissent de mélodies
Comme Cimarose en rêvait.

Sous les amoureuses baleines
Des zéphirs qui rident les flots,
Le muguet au bord des fontaines
Agite ses petits grelots ;
Et pour que, plus belle, elle éclate,
La main d'un sylphe printanier
Vient, dans son corset écarlate,
Lacer la fleur du grenadier.

L'eau habille dans les cascades
En faisant tourner les moulins,
Et donne ainsi des sérénades
Aux nymphes des bosquets voisins ;
Et le rêveur qui se promène
Entend parfois le chalumeau
Qui fait, dans un pauvre domaine,
Danser les filles du hameau.

Robert Dutertre

 

 

 

Le Grand Théâtre de Bordeaux, superbe édifice de style néo-classique, est considéré comme le chef d'oeuvre de l'architecte parisien Victor Louis.

 

 

Il fut construit à la fin du XVIIIème siècle sur l'ordre du Duc de Richelieu, gouverneur de la Guyenne. Inauguré le 7 avril 1780 par une représentation d'Athalie de Racine, le grand théâtre s'élève à l'emplacement des Piliers de Tutelle gallo-romains.

 

 

Long de 88 mètres, le péristyle de la façade,

 

 

inspiré de l'antiquité, est supporté par 12 colonnes corinthiennes, solidement maintenues par une armature métallique invisible, le "clou" de Louis.

 

 

Au dessus de la corniche, douze statues de Berruer et Van Den Drix, représentant les neuf muses (Euterpe, Uranie, Calliope, Terpsichore, Melpomène, Thalie, Polymnie, Érato, Clio), et les trois déesses (Junon, Vénus et Minerve).

 

On accède au premier étage par un escalier à trois volées d'une grande noblesse, et dont Garnier s'inspirera pour son opéra, à Paris.

 

Cet imposant bâtiment abrite une salle pouvant accueillir 1 114 personnes. Le Grand-Théâtre offre toujours au public des spectacles d'art lyrique, des ballets et des concerts. La scène occupe le tiers du volume du bâtiment. Elle abrite un équipement de plus de deux siècles mais avec des technologies de pointe qui rendent possible des créations scénographiques complexes, plaçant la scène du Grand Théâtre parmi les plus prestigieuses d'Europe.

 

De style Napoléon III, la salle de concert est ornée d'un plafond de William Bouguereau (1869).

 

 

Il est 13 heures et nous arrivons sur le port de Nice 

En avançant dans la file nous apercevons le ferry

Encore quelques mètres à parcourir

Nous arrivons sur l'arrière  du ferry, nous embarquons

Descendus de voiture nous grimpons les étages pour parvenir

en haut du bateau afin de découvrir Nice

Le bateau se met en route, nous quittons Nice

Maud m'a prise en photo 

La côte s'éloigne nous allons dans le salon

pour faire la traversée qui dure 5 heures

A demain pour le suite de mes petites vacances

 

 

Michael Malm, est né en 1972, Salt Lake City, UT (États-Unis)

 

Michael vit dans la belle vallée de Cache, dans le nord de l'Utah, avec sa femme, Juanita, et leurs quatre enfants. Les communautés rurales environnantes et le cadre fournissent des toiles de fond pour ses peintures de figure et l'inspiration pour ses paysages. Bien qu'il peint une variété de sujets, son premier amour est de peindre la figure.

 

 

"La figure humaine, dans mon esprit, est la plus belle de toutes les créations de Dieu. Tellement peut être communiqué par l'inclinaison de la tête, ou le geste d'une main. Je m'efforce de capturer des choses subtiles comme celles-ci dans l'espoir de créer quelque chose d'émouvant et émouvant "

 

 

Les paysages pastoraux que Malm peint sont le reflet de ses sentiments à propos de l'Utah rural, dont il dit: «J'aime les vieilles communautés agricoles, les animaux de pâturage et les grands champs. Il y a quelque chose de paisible dans ces réglages ". Bien qu'il aime peindre la belle vallée qui l'entoure, il ne s'est pas limité aux paysages, et inclut souvent des figures, des animaux brouteurs et des natures mortes dans son travail.

 

 

Originaire de l'Utah, Michael Malm est un peintre de sujets figuratifs, en particulier les femmes dans le paysage occidental, souvent avec des chevaux. Il a rapidement acquis sa réputation d'artiste professionnel, n'ayant que 22 ans quand il a commencé et a été immédiatement accepté dans des galeries prestigieuses et a remporté le concours Arts for the Parks.