Peintre né à Ornans en 1819 de parents agriculteurs, Gustave Courbet fit des études d'art dans sa ville natale puis à Besançon, mais n'était pas considéré comme très doué. Il part à Paris à 20 ans afin de faire son droit : c'est là qu'il découvre réellement le monde de la peinture, grâce à des visites aux grands musées parisiens.

 

 

Les premières oeuvres de Courbet datent de 1841, et étaient essentiellement des autoportraits, exposés à Paris.

 

 

Mais les premiers vrais chefs d'oeuvre du peintre ont été réalisés à Ornans, où il revient en 1849. Là-bas son style réaliste se développe, inspiré par la vie rurale de la campagne franc-comtoise. L'Enterrement à Ornans sera son premier scandale,

 

 

suivit par les Baigneuses en 1853. Cette représentation d'une femme nue, pas idéalisée, choqua énormément.

 

 

D'autres tableaux célébrant la femme suivirent, le plus célèbre étant L'origine du monde en 1866.

 

 

La carrière de Courbet ne fut cependant pas qu'artistique. Il s'investit également beaucoup dans la politique pendant la Commune. Condamné à six mois de prison et à une forte amende pour avoir voulu enlever la colonne Vendôme à Paris,

 

 

Courbet est ruiné, ses toiles confisquées, et il s'exile en Suisse en 1873, où il passera les dernières années de sa vie. Courbet peint beaucoup durant cet exil, ses réalisations sont toujours de qualité

 

 

mais il meurt en 1877 considéré comme un paria.

Il est enterré à Ormans.

 

 

 

 

 

Ingrédients :

 

600 g d'abricots.
1 CC de margarine à 60%.
100 g de farine + 1 CC pour le moule.
2 œufs
100 g de sucre
1 sachet de levure chimique.
150 ml de lait écrémé.
1 CC de cassonade.
sel.

Préparation :

 

Préchauffer le four à 180°.

Rincer, éponger et dénoyauter les abricots, les couper en 4.
Graisser un plat carré en verre culinaire de 18 cm de côté avec 1 CC de margarine puis saupoudrer d'une CC de farine.
Casser les œufs en séparant les blancs des jaunes.
Monter les blancs en neige avec une pincée de sel.
Dans un petit saladier , fouetter les jaunes avec le sucre .
Tamiser la farine restante et la levure dans un autre saladier.
Creuser un puits.
Y verser le mélange au jaune d’œuf-sucre et délayer peu à peu avec le lait jusqu'à obtenir une pâte bien homogène.
Incorporer délicatement les blancs en neige.
Verser la pâte obtenue dans le plat

Répartir les abricots coupés sur le dessus.

 

Saupoudrer d'un peu de cassonade.

 

Enfourner pour 35 min.

 

Déguster tiède ou froid.

 

 

 

Le Brachycome à feuilles d’ibéride est une plante herbacée de la famille des Astéracées. Originaire d’Australie, Brachycome iberidifolia est une vivace à vie brève du point de vue botanique, mais elle est plutôt cultivée et considérée comme une annuelle. Peu rustique, elle disparait avec le gel, mais est capable de vivre plus d’une année en climat méditerranéen.

 

 

Cette plante est très facile de culture, généreuse avec sa multitude de petites fleurs en forme de marguerite. Elle est idéale pour les bordures basses ou en couvre-sol annuel, en plein soleil associée avec quelques vivaces plus hautes..

 

 

Brachycome iberidifolia est de croissance rapide, c’est une plante qui se montre particulièrement rameuse et forme une touffe arrondie de 30 cm à 45 cm en tous sens.

 

 

Les feuilles sont très découpées, bien vertes, de texture un peu molle.

 

 

Les tiges portent de nombreux bourgeons de fleurs.

 

 

La floraison dure environ 2 mois. Les inflorescences sont regroupées en capitule,

 

 

et forme une petite marguerite aux ligules bleues, lavandes, blanches ou roses. Le cœur, composé de minuscules fleurs fertiles est souvent de couleur contrastée.

 

 

Ces plantes attirent les insectes pollinisateurs, et produisent ensuite de nombreuses petites graines que l’on peut récolter.

 

 

 

 

Les maisons sur l'Agout, avec leurs couleurs (ocre, rose, jaune, vert ou bleu), sont l'image emblématique de la ville. Reposant sur des caves en pierre qui s'ouvrent directement sur l'eau de l'Agout, l'alignement de façades de bois et de torchis forme un ensemble très homogène. Autrefois, ces rives formaient une sorte de zone industrielle où étaient installés teinturiers, tanneurs, parcheminiers et meuniers.

 

 

Parmi cet ensemble, la maison Gamel, du XVIIe siècle, offre un bon exemple puisqu'elle fut durant 400 ans une maison de tanneurs, avec au sous-sol, son caoussino, atelier où étaient traitées les peaux dans des cuves de chaux. Au rez-de-chaussée et au premier étage était la demeure du maître, et au second étage, le séchoir ou " solelier ", avec ses petites ouvertures pour laisser passer l'air. Une restauration soignée a redonné à ses façades une nouvelle jeunesse.

 

 

Édifié au XVIIe siècle à la demande de Monseigneur de Tuboeuf, le Palais épiscopal est classé par les Monuments historiques le 18 juin 1927. Il fut construit entre 1669 et 1673 par Jules Hardouin-Mansart. Cet ancien évêché sert désormais de décor à l'Hôtel de Ville

 

 

et au musée Goya, qui rassemble une importante collection de peintures espagnoles. Une fois dans la cour, passez sous le porche pour accéder soit au musée, grâce à l'escalier à voûte sur pendentifs,

 

 

soit au jardin de l'évêché, dessiné par Le Nôtre, paysagiste de Louis XIV. Il a fallu patienter jusqu'en 1992 pour qu'il soit, à son tour, inscrit à l'inventaire supplémentaire des Monuments historiques. Il est classé Jardin remarquable (label du ministère de la Culture et de la Communication) depuis 2004. Conçus à partir d'un plan trapézoïdal, ces jardins sont dessinés en quatre parterres autour d'un bassin. La broderie de buis, d'origine, dessine deux fleurs de lys. Les ifs ont l'âge du jardin, soit plus de 300 ans. Ils étaient autrefois taillés par les pensionnaires de l'hospice. Chacun choisissait le sien et laissait libre cours à son inspiration. Leur entretien est assuré aujourd'hui par la Ville.

 

 

 

 

Vizille, berceau de la révolution.

Le Domaine du Château de Vizille est aux portes de Grenoble, sur la Route Napoléon, un parc paysager, jardin remarquable, au magnifique plan d'eau.
Ici est née la Révolution Française, et le Musée national,
la raconte à travers une riche collection d'œuvres d'art.

 

Vizille, ville résistante.
Autrefois station militaire sur une voie romaine, le bourg devient, de part sa position stratégique,le théâtre de nombreux conflits sanglants durant de longues périodes de son histoire.
Pendant les guerres de religions durant plusieurs décennies,
Vizille passe et repasse des mains des catholiques aux mains des protestants.

 

Le duc de Lesdiguières, chef des protestants du Dauphiné, y devient le seigneur

 

en achetant les terres de Vizille en 1593 et fait construire le château actuel.
Lorsque en 1788 Grenoble se révolte, la Journée des Tuiles, c'est au château que les représentants des 3 Ordres du Dauphiné se réunissent pour définir un nouvel ordre politique.

C’est encore à Vizille que débute, pendant la restauration de la monarchie,une conspiration pour favoriser le retour de Napoléon.

 

 

Un château dans l'histoire.
L’éperon rocheux de Vizille fut occupé par un château dont les textes attestent l’existencedès 996, date à laquelle il appartenait à Humbert d’Albon, évêque de Grenoble.
Avec l’influence grandissante de la famille d’Albon, à l’origine de la création du Dauphiné,le château devint une résidence permanente où vivait une partie de la famille delphinale, puis il entra dans le domaine royal en 1349.
"Le 28 juin 1593, François de Bonne, Seigneur des Diguières ou de Lesdiguières, conseiller du roi en son conseil privé et d'Etat, capitaine de cent hommes d'armes et ses ordonnances, commandant en chef de l'armée de Piémont et Savoie, acquit aux commissaires préposés à l'aliénation du domaine royal, "la châtellenie, mistralie et juridiction de Vizille", pour la somme de 2000 écus d'or."
Lesdiguières, gouverneur de la province delphinale, compagnon d'armes d'Henri IV et dernier connétable de France, fait construire le château entre 1600 et 1619.
Dominant les pentes du rocher, architecture de styles médiéval et renaissance il présente un caractère presque militaire.

Au XIIIème siècle, le château devient une résidence permanente de la famille delphinale.
Au XVIème siècle, les guerres de religions font de Vizille une place convoitée.
À la fin du XVIIIème siècle, un entreprenant bourgeois de la région, Claude Perier,achète le château aux descendants des Lesdiguières et y installe une manufacture d’impression sur tissu.
L'entreprise connait un développement fulgurant, et s’étend à l'ensemble du domaine.
Les plus grandes salles du château de Vizille sont utilisées comme ateliers.
Les jardins deviennent des étendages destinés au séchage des tissus.

 

 

En 1788 l'Histoire scelle son destin: de la Journée des Tuiles à l'Assemblée des Trois Ordres.

 

 

Propriété jusqu’en 1895 de l’influente famille Perier connue pour son engagement politique au sein de la bourgeoisie libérale, le domaine passe ensuite entre plusieurs mains privéesavant d’être acquis par l’État en 1924, conformément à un vœu national.
Le château devient résidence présidentielle jusqu'en 1971.

 

Peu utilisée, la propriété est cédée au Conseil général de l'Isère en 1973.
Depuis 1984, les salles du château sont transformées en Musée de la Révolution française.

 

Témoin dans notre siècle.

Témoignage de deux mille ans d'histoire Vizille réunit sur un même site,un patrimoine culturel prestigieux et un cadre naturel propice à la détente.
Une diversité complémentaire:

parc,

 

 

château,

 

 

musée

 

 

et une capacité permanente à précéder la modernité.
Ce qui fut jadis le terrain de chasse du duc de Lesdiguières est un parc champêtreun espace privilégié de rencontre avec la nature et la faune sauvage.

 

 

                   

Mikhaïl Satarov est né à Moscou en 1963.

 

 

Il a reçu une formation professionnelle classique à l'Institut d'art de la Moscow State Academy, qui porte le nom de V.I. Surikov. Maintenant, il est difficile de surestimer le degré de popularité de ses peintures. Les photos de ce maître remarquable ont une place digne dans les collections des Présidents de Russie, de Géorgie, du Kazakhstan, du Prince de Monaco Albert. Ils ont été dans les collections privées des puissants du monde pendant longtemps. Le cercle des admirateurs de son talent est plutôt large - des représentants de l'élite commerciale et politique aux noms les plus connus dans le monde artistique et le show business.

 

 

La grande demande d'œuvres créatives de Mikhaïl Satarov nous permet de le nommer légitimement comme l'un des maîtres les plus remarquables de l'école nationale d'art. Il n'est pas étonnant que des copies de ses œuvres puissent être vues dans des endroits très différents - dans les galeries privées fermées, les jours de vernissage des expositions célèbres et même dans les remblais des villes de villégiature. Il n'y a rien de surprenant dans cette popularité. Les connaisseurs de l'art moderne ont apprécié le don d'art de ce maître, considérant que les œuvres d'art de ce niveau sont de précieux témoins de leur temps pour les générations futures.

 

 

Mikhail Satarov possède un talent rare - son talent de maître d'art à la peinture se révèle à un degré égal d'excellence dans des genres très différents. Il est difficile de définir ce que le maître a de mieux: un portrait, une nature morte ou un paysage. Ils sont tous si talentueux. Étant un digne disciple des plus grands accomplissements de l'école nationale de peinture réaliste, l'auteur a réussi à trouver son propre langage unique des images d'art qui comprend organiquement des éléments de styles différents qui font ressentir l'harmonie et l'unité à ceux qui regardent ses œuvres. Les portraits occupent une place particulière parmi les œuvres créatives de l'artiste peintes de manière unique où des images absolument réalistes sont d'une manière créative originale combinée à des éléments de symbolisme et de surréalisme.

 

 

La raison de l'intérêt accru pour les œuvres de Michael Satarov n'est pas seulement dans la performance magistrale et l'art habile de la technique de ses peintures. Le secret du charme de cet artiste réside dans la beauté raffinée de ses tableaux. La magnificence de la nature et l'harmonie de la vie ont toujours attiré les meilleurs artistes et les connaisseurs les plus sophistiqués. Notre temps intense et précipité nous prive fréquemment de la possibilité de voir la beauté de ce monde et c'est alors qu'un artiste vient nous aider - une personne bénie par Dieu avec un sens aigu de la beauté. Michael Satarov est ce genre d'artiste inné que Dieu a donné, dans les peintures duquel tout ce qui est cher au coeur capable de sentir délicatement la véritable beauté du monde et de l'être humain prend vie

 

 

 

 

Joséphine Baker est née le 3 juin 1906 à Saint-Louis, Missouri (États-Unis), décédée le 12 mars 1975 à Paris

 

 

Joséphine Baker est née dans une famille pauvre descendant d'esclaves africains à Saint-Louis, dans le Missouri, au sud des États-Unis, le 3 juin 1906. Elle connaît la misère et la ségrégation raciale mais à 13 ans monte sur scène et commence à gagner un cachet d'artiste. À 19 ans, elle débarque à Paris et, le 2 octobre 1925, entame un nouveau spectacle au théâtre des Champs-Élysées : La Revue nègre, avec 12 musiciens et 8 danseuses.

 

 

Elle acquiert la célébrité avec son refrain : « J'ai deux amours, Mon pays et Paris. Par eux toujours, mon coeur est ravie » et devient la coqueluche des Parisiens dans les « Années folles ».

 

 

Elle leur révèle un monde nouveau qui associe l'exotisme, l'érotisme et la négritude.

 

 

Joséphine Baker se marie une première fois en 1937 et acquiert la nationalité française. Fidèle à son pays d'adoption, elle entre dans la Résistance pendant l'Occupation.

 

 

 Après la Seconde Guerre mondiale, tandis que son étoile décline, elle achète le château des Milandes, sur la Dordogne et y accueille douze enfants adoptifs de toutes les régions du monde. Cela lui vaut bientôt la ruine.Elle est expulsée des Milandes.

 

 

Cela lui vaut bientôt la ruine.Elle est expulsée des Milandes.

 

 

Ruinée et malgré le secours de la princesse Grace de Monaco,

 

 

elle est contrainte à soixante-cinq ans de remonter sur scène.

 

 

 

Le 10 avril 1975, le lendemain de sa dernière représentation, elle est victime d’une attaque cérébrale. Transportée à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris, elle décède le 12 avril 1975 à l’âge de soixante-huit ans.

 

 

 

Ingrédients :

 

150 gr de biscuit finement moulu
500 ml de lait
4 cuillères a soupe de maïzena
6 cuillères a soupe de sucre
vanille
7 cuillères a soupe de beurre
1 grosse boite de pêche en sirop
noix de coco pour décorer (facultatif)

 

Préparation :

 

Mélangez le biscuit avec 3 cuillères a soupe de beurre fondu et sabler le tout entre vos mains.
Repartir ce dernier mélange dans 6 verrines.
Mettre dans une casserole le lait, 3 cuillères de sucre, 3 cuillères de maïzena, la vanille et mélanger.
Faites épaissir le tout sur feu doux en remuant de temps en temps.
Une fois la crème est épaisse, retirez du feu, rajoutez le reste du beurre et mélanger.
Couvrir, laissez tiédir et la repartir dans vos verrines.
Réduire vos pêches en purée, et réservez quelques unes pour décorer.
Ajoutez le reste du sucre et la cuillère a soupe de maïzena a la purée des pêches.
Placez sur feu doux pendant 5 minutes en remuant.
Retirez du feu, laisser refroidir et versez dans vos verrines.
Décorez avec la noix de coco