• 30 septembre  1897   : mort de Sainte Thérèse de Lisieux

     

    Marie-Françoise Thérèse Martin, en religion sœur Thérèse de l'Enfant-Jésus et de la Sainte-Face, également connue sous les appellations sainte Thérèse de Lisieux, sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus ou encore la petite Thérèse, est une religieuse carmélite française née à Alençon dans l'Orne en France le 2 janvier 1873 et morte à Lisieux en France le 30 septembre 1897.

     

    30 septembre  1897   : mort de Sainte Thérèse de Lisieux


    Dernière née d'un couple tenant commerce d'horlogerie et de dentelles d'Alençon, Louis et Zélie Martin, Thérèse perd sa mère à quatre ans et demi.

    30 septembre  1897   : mort de Sainte Thérèse de Lisieux

    30 septembre  1897   : mort de Sainte Thérèse de Lisieux

    30 septembre  1897   : mort de Sainte Thérèse de Lisieux

    30 septembre  1897   : mort de Sainte Thérèse de Lisieux

     

    Elle est élevée par ses sœurs aînées Marie et Pauline, qui tour à tour entrent au carmel de Lisieux, faisant revivre à l'enfant le sentiment d'abandon ressenti lors de la perte de leur mère. Cependant, elle ressent très tôt un appel à la vie religieuse. Elle fait un pèlerinage à Rome pour demander l'accord d'entrer au Carmel, alors qu'elle n'en a pas encore l'âge légal. Mais le pape refuse, elle doit donc attendre.

     

    30 septembre  1897   : mort de Sainte Thérèse de Lisieux

     

    Elle entre au Carmel de Lisieux à quinze ans.

     

    30 septembre  1897   : mort de Sainte Thérèse de Lisieux

     

    Après neuf années de vie religieuse,

     

    30 septembre  1897   : mort de Sainte Thérèse de Lisieux

    30 septembre  1897   : mort de Sainte Thérèse de Lisieux 

    30 septembre  1897   : mort de Sainte Thérèse de Lisieux

    30 septembre  1897   : mort de Sainte Thérèse de Lisieux

    30 septembre  1897   : mort de Sainte Thérèse de Lisieux

    30 septembre  1897   : mort de Sainte Thérèse de Lisieux

     

    dont les deux dernières passées dans une « nuit de la foi », elle meurt de tuberculose le 30 septembre 1897 à l'âge de vingt-quatre ans.

     

    30 septembre  1897   : mort de Sainte Thérèse de Lisieux

    30 septembre  1897   : mort de Sainte Thérèse de Lisieux

    30 septembre  1897   : mort de Sainte Thérèse de Lisieux

     

    Le retentissement de ses publications posthumes, dont Histoire d'une âme publiée peu de temps après sa mort, en fait l'une des plus grandes saintes du XIXe siècle. La dévotion à sainte Thérèse s'est développée partout dans le monde.

     

    30 septembre  1897   : mort de Sainte Thérèse de Lisieux

     

    Considérée par Pie XI comme l'« étoile de son pontificat », elle est béatifiée puis canonisée dès 1925. Religieuse cloîtrée, elle est paradoxalement déclarée sainte patronne des missions et, avec Jeanne d'Arc, canonisée en 1920, proclamée « Patronne Secondaire de la France ».

     

    30 septembre  1897   : mort de Sainte Thérèse de Lisieux

    30 septembre  1897   : mort de Sainte Thérèse de Lisieux

    30 septembre  1897   : mort de Sainte Thérèse de Lisieux

     

    Enfin, elle est proclamée Docteur de l'Église par Jean-Paul II en 1997 pour le centenaire de sa mort.

     

    30 septembre  1897   : mort de Sainte Thérèse de Lisieux

    30 septembre  1897   : mort de Sainte Thérèse de Lisieux


    Édifiée en son honneur, la basilique de Lisieux est le deuxième plus grand lieu de pèlerinage de France après Lourdes.

     

    30 septembre  1897   : mort de Sainte Thérèse de Lisieux

    30 septembre  1897   : mort de Sainte Thérèse de Lisieux

     

    30 septembre  1897   : mort de Sainte Thérèse de Lisieux

     

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  • Gâteau aux noix

     

    Ingrédients :

     

    200 g de sucre cristal
    2 œufs
    200 g de cerneaux de noix
    50 g de farine

     

    Gâteau aux noix

     

    Préparation :

     

    Mélanger le sucre avec les œufs et fouetter jusqu’à obtention d’une pâte souple et mousseuse.

    Ajouter la farine et mélanger soigneusement.

    Piler ou mixer les cerneaux de noix et les incorporer à la pâte.

    Beurrer et fariner un moule dans lequel on verse la pâte.

    Enfourner à four doux (180 °) et laisser cuire environ 30 mn.

     

    Gâteau aux noix

     

    Gâteau aux noix

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  • Fleurs cultivées : Brug

     

    Les brugmansias sont des plantes arbustives de la famille des Solanacées. Le genre Brugmansia a longtemps été confondu avec le genre Datura, dont il était considéré comme une espèce (Datura arborea). Comme le datura, le brugmansia possède en effet des fleurs ayant la forme de trompettes (d'où son nom familier de trompette des anges). La principale distinction entre les deux genres vient du fait que les fleurs de datura sont érigées, alors que celles du brugmansia sont tombantes, en clochettes.

     

    Fleurs cultivées : Brugmansias

    Fleurs cultivées : Brugmansias

    Fleurs cultivées : Brugmansias

    Fleurs cultivées : Brugmansias

    Fleurs cultivées : Brugmansias

    Fleurs cultivées : Brugmansias

     

    De plus, les brugmansias sont des arbustes, tandis que la plupart des daturas sont des plantes herbacées. Les deux plantes sont cependant très voisines, et elles ont les mêmes caractéristiques toxiques : on note en particulier la présence de scopolamine, de hyoscyamine et d'atropine, principalement dans leur sève.

     

    Fleurs cultivées : Brugmansias

    Fleurs cultivées : Brugmansias

    Fleurs cultivées : Brugmansias

    Fleurs cultivées : Brugmansias

    Fleurs cultivées : Brugmansias

    Fleurs cultivées : Brugmansias

     

    La plante fut découverte par Alexander von Humboldt et Aimé Bonpland pendant leur exploration de l'Amérique du Sud au début du XIXe siècle.

     

    Fleurs cultivées : Brugmansias

    Fleurs cultivées : Brugmansias

     

    Elle doit son nom à Sebald Justinus Brugmans (1763-1819), professeur d'histoire naturelle à l'université de Leyde.

     

    Fleurs cultivées : Brugmansias

     

    Elle serait originaire des Andes, mais pousse actuellement à l'état spontané dans les Antilles et en Océanie. Aux États-Unis et en Europe, elle a été acclimatée et marque une nette préférence pour les climats et les sols à la fois humides et chauds. De nombreuses variétés botaniques ont été créées pour les jardins d'agrément.

    Les fleurs sont le plus souvent blanches ou jaunes (B. candida),

     

    Fleurs cultivées : Brugmansias

    Fleurs cultivées : Brugmansias

     

    mais des espèces ou des variétés à teintes plus colorées existent aussi, tout comme des espèces à fleurs doubles, ou triples. Elles atteignent facilement de vingt à trente centimètres en longueur et en diamètre.

     

    Fleurs cultivées : Brugmansias

    Fleurs cultivées : Brugmansias

    Fleurs cultivées : Brugmansias

    Fleurs cultivées : Brugmansias

    Fleurs cultivées : Brugmansias

    Fleurs cultivées : Brugmansias

    Fleurs cultivées : Brugmansias

     

    Leur parfum, qui ne se révèle qu'en soirée, est très intense et attire de préférence les insectes nocturnes (et les chauve-souris, principaux pollinisateurs de la plante dans son habitat originel).

     

    Fleurs cultivées : Brugmansias

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  • Château d'Oricourt (Franche-Comté)

     

    Édifié vers le milieu du XIIe siècle sur le bord d’un plateau, face à la plaine de Lure, le château d’Oricourt est un château fort à double enceinte.

     

    Château d'Oricourt (Franche-Comté)

    Château d'Oricourt (Franche-Comté)

    Château d'Oricourt (Franche-Comté)

    Château d'Oricourt (Franche-Comté)

     

    La première enserre la basse cour (cour de ferme) et la seconde, la haute cour (cour d’habitation).

     

    Château d'Oricourt (Franche-Comté)

    Château d'Oricourt (Franche-Comté)

     

    Dans cette dernière, vous découvrirez un ensemble de bâtiments du XIIe et du XVe siècle,

     

    Château d'Oricourt (Franche-Comté)

    Château d'Oricourt (Franche-Comté)

    Château d'Oricourt (Franche-Comté)

    Château d'Oricourt (Franche-Comté)

    Château d'Oricourt (Franche-Comté)

    Château d'Oricourt (Franche-Comté)

    Château d'Oricourt (Franche-Comté)

    Château d'Oricourt (Franche-Comté)

    Château d'Oricourt (Franche-Comté)

    Château d'Oricourt (Franche-Comté)

    Château d'Oricourt (Franche-Comté)

    Château d'Oricourt (Franche-Comté)

     

    le puits,

     

    Château d'Oricourt (Franche-Comté)

    Château d'Oricourt (Franche-Comté)

     

    la boulangerie,

     

    Château d'Oricourt (Franche-Comté)

    Château d'Oricourt (Franche-Comté)

    Château d'Oricourt (Franche-Comté)

     

    des caves

      

    Château d'Oricourt (Franche-Comté)

    Château d'Oricourt (Franche-Comté)

     

    et une grande salle à manger et une autre salle.

     

    Château d'Oricourt (Franche-Comté) 

    Château d'Oricourt (Franche-Comté)


    Deux tours carrées de 25 mètres de haut dominent les courtines et de profonds fossés.

     

    Château d'Oricourt (Franche-Comté)

    Château d'Oricourt (Franche-Comté)

    Château d'Oricourt (Franche-Comté)

    Château d'Oricourt (Franche-Comté)

    Château d'Oricourt (Franche-Comté)

    Château d'Oricourt (Franche-Comté)

     

    À l’extérieur, côté village, a été érigé un imposant colombier.

     

    Château d'Oricourt (Franche-Comté)

    Château d'Oricourt (Franche-Comté)

     

    Oricourt est actuellement le château fort le mieux conservé en Franche-Comté

     

    Château d'Oricourt (Franche-Comté)

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  • " Trois escargots " poème de Maurice Carême

    " Trois escargots " poème de Maurice Carême

     

    " Trois escargots " poème de Maurice Carême

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  • Monastère royal de Brou

    Monastère royal de Brou

     

    Édifié au début du XVIe siècle par Marguerite d'Autriche, duchesse de Savoie, pour perpétuer l'amour qu'elle portait à son défunt époux, Philibert le Beau, le monastère royal de Brou, situé sur la commune de Bourg-en-Bresse, constitue un chef-d'œuvre de l'art gothique flamboyant.

     

    Monastère royal de Brou

    Monastère royal de Brou

    Monastère royal de Brou

    Monastère royal de Brou

    Monastère royal de Brou

    Monastère royal de Brou

     

    Surmontée d'un toit de tuiles vernissées polychromes, son église, véritable mausolée princier, renferme en son chœur les tombeaux de Philibert II de Savoie, de Marguerite d'Autriche et de Marguerite de Bourbon. Un splendide ensemble, aux détails finement sculptés, réalisé par les meilleurs artistes régionaux et flamands de l'époque !

     

    Monastère royal de Brou

    Monastère royal de Brou

    Monastère royal de Brou

    Monastère royal de Brou

     

    Près du chœur, la chapelle de Marguerite d'Autriche est tout aussi remarquable, avec son vitrail de l'Assomption, et son retable en marbre blanc des Sept Joies de la Vierge. Tel une dentelle de pierre, ce dernier est agrémenté de sept niches qui représentent respectivement l'Annonciation, la Visitation, la Nativité, l'Adoration des Mages, l'Apparition du Christ à la Vierge, la Pentecôte et l'Assomption.

     

    Monastère royal de Brou 

    Monastère royal de Brou

    Monastère royal de Brou

    Monastère royal de Brou

    Monastère royal de Brou

    Monastère royal de Brou

     

    À admirer également, les vitraux anciens du chœur réalisés par des maîtres-verriers lyonnais, ainsi que les stalles en bois et le jubé de pierre, deux ensembles magnifiquement sculptés, dont la beauté laisse contemplatif…

     

    Monastère royal de Brou

    Monastère royal de Brou

    Monastère royal de Brou

     

    La découverte des lieux se poursuit par la visite des trois cloîtres du monastère - que sont le premier cloître,

     

    Monastère royal de Brou

    Monastère royal de Brou

    Monastère royal de Brou

    Monastère royal de Brou

    Monastère royal de Brou

    Monastère royal de Brou

    Monastère royal de Brou

    Monastère royal de Brou

    Monastère royal de Brou

    Monastère royal de Brou

    Monastère royal de Brou

    Monastère royal de Brou

     

    le grand cloître

     

    Monastère royal de Brou

    Monastère royal de Brou

    Monastère royal de Brou

    Monastère royal de Brou

     

    et le cloître des communs

     

    Monastère royal de Brou

    Monastère royal de Brou

    Monastère royal de Brou

    Monastère royal de Brou

    Monastère royal de Brou

    Monastère royal de Brou

     

    Monastère royal de Brou

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  • Peinture de : N

     

    Nelda Pieper est née au Texas. C’est une artiste peintre américaine en grande partie autodidacte.

     

    Peinture de : Neldia Pieper

    Peinture de : Neldia Pieper

    Peinture de : Neldia Pieper

    Peinture de : Neldia Pieper

    Peinture de : Neldia Pieper

    Peinture de : Neldia Pieper

     

    L'art de Nelda Pieper est dynamique et a été décrit comme le réalisme romantique. Exécuté avec des traits étincelants de couleur cassée et précisément détaillés, ses paysages impressionnistes et ses portraits d'enfants attrayants sont lumineux, accueillants et intemporels. Ses portraits élogieux nous fournissent plus d'un coup d'œil à leur monde.

     

    Peinture de : Neldia Pieper

    Peinture de : Neldia Pieper

    Peinture de : Neldia Pieper

    Peinture de : Neldia Pieper

    Peinture de : Neldia Pieper

    Peinture de : Neldia Pieper

    Peinture de : Neldia Pieper

     

    Ils nous donnent l'occasion de voir le monde à travers leurs yeux - les couleurs semblent plus lumineuses, les plus petits détails plus fascinants. L'art irrésistible de Nelda Pieper est à la fois unique et universel. Elle sait capter et immortaliser l’essence, la grâce et l’importance des lieux et des personnes.

     

    Peinture de : Neldia Pieper

    Peinture de : Neldia Pieper

    Peinture de : Neldia Pieper

    Peinture de : Neldia Pieper

    Peinture de : Neldia Pieper

    Peinture de : Neldia Pieper

    Peinture de : Neldia Pieper

     

    Elle a une profonde dévotion pour les impressionnistes européens et américains. Elle peint à l’huile sur toile .Son art a été longtemps comparé avec les œuvres de Mary Cassat.

     

    Peinture de : Neldia Pieper

    Peinture de : Neldia Pieper

    Peinture de : Neldia Pieper

    Peinture de : Neldia Pieper

    Peinture de : Neldia Pieper

    Peinture de : Neldia Pieper

    Peinture de : Neldia Pieper

     

    Plus d'un millier de ses peintures et de portraits figurent dans des collections privées, des entreprises et des musées à travers le monde .Nelda Pieper réside actuellement en Californie.

     

    Peinture de : Neldia Pieper

    Peinture de : Neldia Pieper

    Peinture de : Neldia Pieper

    Peinture de : Neldia Pieper

    Peinture de : Neldia Pieper

    Peinture de : Neldia Pieper

     

    Peinture de : Neldia Pieper

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  • 23 septembre 1964

     

    Georges Brassens, né à Cette le 22 octobre 1921 et mort à Saint-Gély-du-Fesc le 29 octobre 1981, est un poète auteur-compositeur-interprète français.

     

    23 septembre 1964

    23 septembre 1964

    23 septembre 1964

    23 septembre 1964

    23 septembre 1964

     

    L’année de ses 33 ans, le chanteur poète, Georges Brassens, se produit pour la toute première fois sur la scène de l’Olympia.

    Pour l’occasion Pierre Nicolas l’accompagnera à la contrebasse, marquant ainsi le début d’une collaboration de presque trente ans.

    Brassens montera sur scène, dans une économie totale d’artifices, avec pour seuls accompagnements sa guitare et son bassiste : ce sera un triomphe.

    Auteur-compositeur-interprète, Brassens sort de l’anonymat, connait un succès populaire et devient un grand Monsieur de la chanson française.

     

    23 septembre 1964

    23 septembre 1964

    23 septembre 1964


    Sa carrière de chanteur ne commencera toutefois véritablement qu'en 1952, lorsque après une audition pour la chanteuse Patachou, il réussit à impressionner celle-ci tellement qu'elle le convainc de chanter ses propres chansons. Brassens surmonte alors sa timidité pour monter sur scène en compagnie de Pierre Nicolas, bassiste présent à l'audition et qui l'accompagnera pendant toute sa carrière.

     

    23 septembre 1964

    23 septembre 1964

     

    Avec l'aide de Patachou, il rencontre Jacques Canetti, directeur artistique chez Polydor, chez qui il enregistrera ses premiers disques. « Le gorille » déclenchera une forte polémique pour son plaidoyer anti-peine de mort et sera banni des ondes jusqu'en 1955.

     

    23 septembre 1964

     

    L'année suivante, il sort son premier 33 tours, « La mauvaise réputation »,

     

    23 septembre 1964

    23 septembre 1964

     

    et propose son premier grand concert à Bobino. En 1954, il gagne le prestigieux prix de l'académie Charles Cros pour son 45 tours « Le parapluie ».

     

    23 septembre 1964 : première de Georges Brassens à Bobino

     

    Dans les années suivantes, malgré des problèmes rénaux qui l'amenèrent à plusieurs hospitalisations, il fait ses débuts au cinéma dans « La porte des Lilas » (1956)

     

    23 septembre 1964 : première de Georges Brassens à Bobino

    23 septembre 1964 : première de Georges Brassens à Bobino

    23 septembre 1964 : première de Georges Brassens à Bobino

     

    et continue à créer des chansons, comme « Le pornographe »

     

    23 septembre 1964 : première de Georges Brassens à Bobino

     

    ou « Les trompettes de la renommée ».

     

    23 septembre 1964 : première de Georges Brassens à Bobino

     

    En 1964, il écrit « Les copains d'abord », qui deviendra un monument de la chanson française, pour le film « Les copains » d'Yves Robert et sort un album du même nom.

     

    23 septembre 1964 : première de Georges Brassens à Bobino

     

    Sa santé et les drames personnels (la mort de ses parents et des époux Planche) ralentirent le rythme de ses compositions vers la fin de la décennie. Son oeuvre continue toutefois à être acclamée et récompensée, notamment par le Grand Prix de poésie de l'Académie française, la récompense la plus importante en poésie, en 1967.

     

    23 septembre 1964 : première de Georges Brassens à Bobino

     

    Dans les années 70, il compose plusieurs musiques de films, fait une série de concerts à Bobino et sort le 33 tours, « Fernande » (1972).

     

     

    23 septembre 1964 : première de Georges Brassens à Bobino

     

    Il fait une dernière tournée en 1973, sort un 33 tours, « Don Juan » (1976)

     

    23 septembre 1964 : première de Georges Brassens à Bobino

     

    et fait ses adieux à Bobino en 1977.

     

    23 septembre 1964 : première de Georges Brassens à Bobino

    23 septembre 1964 : première de Georges Brassens à Bobino

    23 septembre 1964 : première de Georges Brassens à Bobino

     

    Il meurt le 29 Octobre 1981 à Saint-Gely-du-Fesc et est enterré à Sète, sa ville natale.

     

    23 septembre 1964 : première de Georges Brassens à Bobino

     

    Auteur de plus de deux cents chansons populaires françaises — parmi lesquelles : Chanson pour l'Auvergnat, La Mauvaise Réputation, Le Gorille, Les Amoureux des bancs publics, Les Copains d'abord, Supplique pour être enterré à la plage de Sète, Les Trompettes de la renommée… —, il met en musique et interprète ses poèmes en s’accompagnant à la guitare. Outre ses propres textes, il met également en musique des poèmes de François Villon, Victor Hugo, Paul Verlaine, Paul Fort, Antoine Pol, ou encore Louis Aragon.

     

    23 septembre 1964 : première de Georges Brassens à Bobino

     

    23 septembre 1964 : première de Georges Brassens à Bobino

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  • Crème dessert au spéculoos

     

    Ingrédients

    200 ml de crème liquide

    260 ml de lait

    3 cuillères a soupe de sucre

    50 gr de spéculons réduits en poudre

    120 gr de pâte a spéculoos

    1 cuillère a café de maïzena

    2 oeufs

    Pour la décoration

    140 gr de spéculoos réduits en poudre

     

    Crème dessert au spéculoos


    Préparation


    Mettre dans une casserole, la crème, le lait, le sucre,les oeufs et les 50 gr de spéculoos.

    Très bien mélanger avec le fouet.

    Rajouter la pate a speculoos, et mettre la casserole sur feu doux.

    Faites épaissir la crème, en remuant constamment.

    Retirer du feu, et laisser tiédir.

    Repartir ce dernier mélange dans 5 verrines individuelles.

    Décorer avec une couche de spéculoos réduits en poudre, ou selon votre goût.

     

    Crème dessert au spéculoos

     

    Crème dessert au spéculoos

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  • Fleur cultivée : Daphné

     

    Les daphnés (genre Daphne), avec environ 50 à 95 espèces, sont des arbustes ou sous-arbrisseaux de la famille des Thyméléacées, à feuilles caduques ou sempervirentes. Ils sont originaires d'Asie, d'Europe et d'Afrique du Nord.

     

    Fleur cultivée : Daphné

    Fleur cultivée : Daphné

    Fleur cultivée : Daphné

    Fleur cultivée : Daphné

    Fleur cultivée : Daphné

     

    Le nom fait référence à la nymphe Daphné métamorphosée en laurier, l'espèce Daphne laureola ayant des feuilles ressemblant fortement à celles du laurier.

     

    Fleur cultivée : Daphné

     

    Ces plantes sont connues pour leurs fleurs odorantes avec un hypanthium tubulaire ou campanulé, et pour leurs drupes toxiques (en raison de la présence d'un hétéroside, la daphnine (en) et d'une résine âcre, irritante, la mézéréine (en)) à l'exocarpe succulent, rarement coriacé.

     

    Fleur cultivée : Daphné

    Fleur cultivée : Daphné

    Fleur cultivée : Daphné

    Fleur cultivée : Daphné

    Fleur cultivée : Daphné

     

    Les fleurs sont dépourvues de pétales et ont quatre, rarement cinq, sépales pétaloïdes de diverses couleurs. La plupart des espèces sempervirentes ont des fleurs verdâtres, tandis que les espèces à feuilles caduques auraient des fleurs roses.

     

    Fleur cultivée : Daphné

    Fleur cultivée : Daphné

    Fleur cultivée : Daphné

    Fleur cultivée : Daphné

     

     

    Plusieurs espèces fleurissent tard en hiver ou très tôt au printemps.

     

    Fleurs roses ou rouges développées avant les feuilles : Daphné Bois-joli (Daphne mezereum) - Europe et Sibérie

     

    Fleur cultivée : Daphné

    Fleur cultivée : Daphné

    Fleur cultivée : Daphné

    Fleur cultivée : Daphné


    Fleurs roses ou rouges contemporaines des feuilles : Daphné camélée (Daphne cneorum) - Europe moyenne et méridionale

     

    Fleur cultivée : Daphné

    Fleur cultivée : Daphné

    Fleur cultivée : Daphné

    Fleur cultivée : Daphné


    Fleurs blanches, feuilles minces, molles, caduques : Daphné des Alpes (Daphne alpina) - Montagnes de l'Europe moyenne et méridionale

     

    Fleur cultivée : Daphné

    Fleur cultivée : Daphné

    Fleur cultivée : Daphné

    Fleur cultivée : Daphné


    Fleurs blanches, feuilles épaisses, persistantes : Daphné Gnidium (Daphne gnidium) - Zone méditerranéenne et Canaries

     

    Fleur cultivée : Daphné

    Fleur cultivée : Daphné

    Fleur cultivée : Daphné

    Fleur cultivée : Daphné


    Fleurs d'un jaune verdâtre : Daphné Lauréole (Daphne laureola) - Zone méditerranéenne, atlantique et régions proches

     

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