-
Nous prenons la route qui descend vers la mer
Pour aller jusqu'à la plage nous traversons le terrain de camping qui est planté d'oliviers et nous avons la surprise de voir des croates faire la cueillette de ces fruits afin d'en faire de l'huile, sera-t-elle bonne cette année, pas sûr les olives n'ont pas noirci..
Vous avez derrière moi une vue du camping
En arrivant au bord de la mer
nous avons la surprise de voir des cygnes
Nous nous arrêtons au café qui borde la plage
Quelques vues du café
La journée se termine par un beau coucher de soleil
23 commentaires -
Arthur Rimbaud naît le 20 octobre 1854 à Charleville dans une famille bourgeoise, traditionnelle et conservatrice. Il est le deuxième de cinq enfants. Son père est militaire et sa mère est fille de propriétaires ruraux. Son père quitte la famille en 1861. Sa mère, figure rigide, très dévote et peu affectueuse élève seule, selon des principes éducatifs très stricts, Arthur et ses autres enfants.
Le jeune Arthur est un élève modèle durant ses années d’école. Il obtient plusieurs prix d’excellence en littérature. En 1870, il fait une rencontre capitale dans sa vie future de poète. Cette année là, Georges Inzambrard est nommé professeur de rhétorique au Collège de Charleville. C’est grâce à l’influence libératrice de ce jeune professeur que Rimbaud découvre les parnassiens (Leconte de Lisle, Banville, Verlaine) et commence à écrire des vers en français.
En août 1870, la France entre en guerre contre la Prusse et Arthur fait ses premières fugues à Paris. Il est attiré par l’esprit révolutionnaire qui empreigne la capitale. A Paris, ayant quitté ses études, il fréquente le café Dutherme où il connait l’homme qui le recommande à Paul Verlaine.
Verlaine reçoit avec enthousiasme ses poèmes et il devient son ami. Rimbaud s’installe alors dans le cercle familial de Verlaine. A partir de 1871, la relation entre les deux poètes devient de plus en plus intime. Verlaine abandonne femme et enfants et ils commencent ensemble une vie d’errance et de bohème entre drogue et alcool. Pendant cette période, il écrit « Les Illuminations » et « Une saison enfer », Ma Bohème et Le Dormeur du Val en 1870, Le Bateau ivre et Voyelles en 1871.
Leur relation tumultueuse a une issue tragique. Le 10 juillet 1873 Verlaine achète un pistolet et tire sur Rimbaud, le blessant au poignet. Verlaine est emprisonné et leur histoire se termine.
Rimbaud décide par la suite d’abandonner la poésie. Il commence à voyager d’abord en Europe en vivant de petits boulots, puis, insatisfait de cette vie, il va en Afrique où il gagne sa vie en faisant du commerce.
En mai 1891 son retour en France est précipité par une synovite au genou qui obligera les médecins à lui amputer la jambe droite. Il meurt à Marseille le 10 novembre 1891 à l’âge de 37 ans.
Son œuvre poétique est profondément marquée par sa vie surprenante et pleine d’aventures. Ses vers découlent de son expérience de vie. Ils sont imprégnés d’idées anti-bourgeoises et libertaires.
15 commentaires -
Par un bel après-midi ensoleillé nous allons jusqu'à Plomin.
Pour atteindre notre destination nous allons d'abord passer le petit village qui se trouve sur la colline...
Nous arrivons au sommet
où se trouve un hôtel d'où l'on a une vue superbe
sur l'île de CRESS
Nous entrons dans le café
et dégustons un gâteau accompagné d'un café
Nous ressortons et nous nous trouvons sur la terrasse
la route part vers Opatija, mais nous la prendrons en sens inverse.
Voici quelques photos prises pendant la descente
15 commentaires -
Pas de chance pour notre deuxième journée, il pleut...
Nous décidons de descendre jusqu'à la mer
Mais il ne pleut pas tous les jours et le lendemain le ciel était redevenu clément, j'ai pris des photos de la rue où nous habitons.
19 commentaires -
Il est 9 heures 30 et nous prenons la route pour un voyage de 850 kms par autoroute jusqu'à Trieste , et ensuite 2 heures de routes sinueuses à parcourir pour atteindre Rabac.
Nous mettrons 10 heures...
Première partie du voyage qui va d'Antibes jusqu'à la frontière italienne à Vintimile, ensuite nous longeons la côte jusqu'à Gêne et ensuite nous traversons l'Italie en passant à côté de Milan et de Venise jusqu'à Trieste, là nous passons la frontière pour entrer en Slovénie pendant quelques kilomètres et ensuite nous entrons en Croatie....
Voici quelques vues et vidéos du trajet
21 commentaires -
La mort n'est rien
La mort n’est rien, je suis simplement passé dans la pièce à côté.
Je suis moi, vous êtes vous.
Ce que nous étions les uns pour les autres,
Nous le sommes toujours.
Donnez-moi le nom que vous m’avez toujours donné,
Parlez-moi comme vous l’avez toujours fait,
N’employez pas un ton solennel ou triste,
Continuez à rire de ce qui nous faisait rire ensemble,
Priez, souriez, pensez à moi,
Que mon nom soit prononcé comme il l’a toujours été,
Sans emphase d’aucune sorte, sans trace d’ombre,
La vie signifie tout ce qu’elle a toujours signifié,
Elle est ce qu’elle a toujours été.
Le fil n’est pas coupé,
Simplement parce que je suis hors de votre vue.
Je vous attends. Je ne suis pas loin.
Juste de l’autre côté du chemin.
Vous voyez : tout est bien.
Charles Péguy
En hommage à mon fils et à mon mari décédés
un 15 et un 16 octobre....
21 commentaires -
Savennières est une commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire.
Savennières fait partie du vaste ensemble “Val de Loire” inscrit depuis l’an 2000 au patrimoine mondial de l’humanité par l’UNESCO. Cette inscription est la reconnaissance d’une valeur exceptionnelle du paysage ligérien dont Savennières est un exemple remarquable. Du bourg ancien aux bords de la Loire, des coteaux viticoles au plateau bocager, le village offre une vaste palette de paysages où se rencontrent petits hameaux, somptueux châteaux et vieux moulins, tous témoins d’une longue histoire et d’un riche patrimoine naturel et culturel.
L’église Saint-Pierre-et-Saint-Romain de Savennières a été construite en plusieurs étapes à différentes époques et en porte les marques dans son architecture. Initialement bâtie sur un plan basilical, l’église se transforme par différents ajouts : au XIIe siècle un transept et une abside, à la fin du XIVe le bas-côté nord et au XVIIIe la sacristie. Cet ensemble de transformations lui donne ainsi son plan cruciforme actuel.
La présence de murs construits en arête-de-poisson, particularité remarquée par Arcisse de Caumont, a fait penser que cette partie de l'église pouvait remonter au VIe ou VIIe siècle. Pour les historiens du XXIe siècle cette datation est très incertaine et ne peut être révélée que par des méthodes scientifiques comme le carbone 14, la thermoluminescence, ou l'archéomagnétisme. De même, on peut remarquer que les Monuments historiques ne font remonter la construction de cette église qu'au Xe siècle.
L'église a fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques par la liste de 1840.
10 commentaires -
Hammershøi a été au centre d'une belle exposition au Musée Jacquemart-André, du 14 mars au 22 juillet 2019. Cette rétrospective du peintre danois, considéré pour certains comme le Vermeer du XXe siècle, est une belle occasion de se questionner sur l'art danois.
Vilhelm Hammershøi (1864 – 1916) était peu sociable et taciturne, restant sa vie entière dans un cercle restreint qu’il n’a eu de cesse de représenter. Sa mélancolie fait toute la force de ses portraits : quand il peint sa fiancée Ida en 1890, elle semble absente et il est impossible de lire dans le vidage de son modèle, une hérésie pour l’époque qui met à l'honneur les compositions détaillées.
Tout au long de sa carrière, ses œuvres vont prendre comme modèles sa mère, sa femme, sa soeur, son frère, son beau-frère et quelques amis proches, seuls ou réunis, mais toujours figés et effacés.
Hammershøi considère son grand format "Cinq portraits" (Stockholm, Thielska Galleriet), comme son œuvre maîtresse : immortalisant des artistes proches autour d'une table, dans un silence de mort, dans un tableau en clair-obscur, cette toile fera scandale lors de sa première exposition en 1902.
Autres thèmes représentés dans l'exposition, la nature, les paysages citadins, mais surtout les intérieurs de ses appartements, que Hammershøi va immortaliser dans ses œuvres : on y trouve alors des salles sobres, avec du mobilier posé avec parcimonie et les tableaux, objets et livres choisis avec attention, les prémices du hygge d'aujourd'hui
11 commentaires -
Les plus anciens menhirs connus se dressent dans la péninsule Ibérique ( ci-dessous en Espagne, dans la région de la Corogne) et notamment au Portugal.
L'art des mégalithes suit ensuite le littoral atlantique. Il pénètre parfois profondément dans les terres. Il trouve en Bretagne une patrie d'élection, conquiert l'Irlande, l'Angleterre.
Ainsi se dresse à Stonehenge , dans le Wittshire, un des plus beaux monuments mégalithiques d'Europe. Sa signification demeure incertaine mais on l'interprète aujourd'hui le plus souvent comme un sanctuaire du culte notoire.
Enfin cet art des mégalithes atteint le Jutland et la Scandinavie vers 1500 av.J.C.
Il laisse en outre, dans le Golfe du Lion, comme en Corse, en Sardaigne et surtout à Malte, d'impressionnants ensembles que l'on date du IIe millénaire av.J.C.
Les préhistoriens estiment à 100 000 le nombre des mégalithes que l'on rencontre hors d'Europe.
L'Afrique du Nord, la Palestine en sont riches, comme le Caucase ou la Crimée.
La Corée compte plus de 300 dolmens.
Ceux de l'Inde peuvent se comparer à ceux d'Europe.
Tous ces mégalithes n'ont pas le même âge. Il remontent, au Proche-Orient, au IIIe millénaire av.J.C, mais datent seulement du IIe siècle apr.J.C.en Inde....
8 commentaires -
Pour la pâte (recette Felder) :120 g de beurre mou
80 g de sucre glace
30 g de poudre de noisettes (torréfiées*)
1 pincée de sel
1 œuf entier (légèrement battu)
200 g de farineTamisez le sucre glace sur le beurre. Ajoutez la poudre de noisettes et le sel. Mélangez bien jusqu’ à obtention d’une texture bien homogène. Incorporez l’œuf en remuant doucement. Versez la farine, mélangez bien et lissez pour avoir une pâte bien homogène. Enveloppez dans du film alimentaire et placez au frais au min. 2 heures.
Abaissez la pâte sur une épaisseur d’env. 2-3 mm en petits disques d’env. 11 à 12 cm. (env. 2 cm de plus que le moule/cercle utilisé). Foncez des petits moules à tartelettes (beurrés et farinés) ou des cercles à pâtisserie (env. 8 à 9 cm de diamètre) avec la pâte sablée. A l’aide d’un couteau ou au rouleau à pâtisserie, coupez l’excédent de pâte sur les bords. Piquez les fonds à la fourchette, puis placez-les sur une plaque recouverte de papier cuisson.
Faites cuire à blanc (sans garniture) env. 15-20 minutes à 180 °C (th. 6) jusqu’à ce que les fonds soient bien dorés (surveillez la cuisson). Laissez refroidir sur une grille.
Pour la garniture:125 g de sucre
35 g de beurre demi-sel
7,5 cl de crème liquide
env. 250 g de cerneaux de noixTorréfiez* les cerneaux de noix quelques minutes au four à 180 °C (th. 6), puis hachez l’ensemble grossièrement (gardez quelques gros morceaux).
Faites fondre le sucre dans une poêle. Réalisez un caramel assez foncé. Incorporez le beurre en petits dés pour déglacer le caramel. Hors du feu, incorporez la crème fraîche.
Mélangez délicatement la crème caramel avec les cerneaux de noix hachés, enrobez bien les noix avec le caramel. Répartissez les noix au caramel sur les fonds précuits et laissez refroidir avant de déguster.
10 commentaires