Ingrédients

Pommes caramélisées :

    4 belles pommes type pink lady
    100 g de sucre
    Vanille
    1 cuil. à café de jus de citron

Crumble :

    50 g de beurre
    75 g de farine
    75 g de poudre d'amande
    50 g de cassonade

Biscuit japonais :

    100 ml de lait
    70 g de beurre
    100 g de farine
    2 oeufs entiers + 4 jaunes
    4 blancs restants + 80 g de sucre
    zeste d'un demi citron

Crème chantilly

    50 cl de crème liquide entière à 30 ou 35% de Mat grasse
    50 g de sucre glace
    Vanille

 

Etapes de la recette :

 1   Faites caraméliser le sucre dans une grande poêle à sec à feu moyen, puis ajoutez y les pommes épluchées coupées en quart, laissez caraméliser doucement les pommes 10 à 20 minutes à feu très doux en les retournant. Laissez refroidir


 2   Réalisez le crumble en mélangeant les ingrédients dans un bol avec vos mains, étalez sur une plaque de cuisson recouverte de papier cuisson et enfournez à 180°C pour 12 minutes, laissez refroidir


 3   Réalisez le biscuit : commencez comme pour une pâte à choux en faisant bouillir le lait et le beurre. Ajoutez la farine hors du feu en une fois, mélangez vigoureusement pour obtenir une pâte lisse qui se décolle des bords, puis mettez la dans le bol d'un robot.
    Ajoutez le zeste de citron et les oeuf progressivement, en battant bien, réservez dans un bol
    Montez les blancs (4 blancs) en neige, en ajoutant le sucre progressivement lorsqu'ils commencent à mousser. Battez bien pour avoir des blancs bien montés et brillants, puis ajoutez les à la pâte précédente délicatement
Versez sur une plaque de cuisson, lissez pour avoir une épaisseur de 1 cm environ, et enfournez à 180°C pendant 12 minutes. Laissez refroidir


 4  Fouettez la crème avec la vanille, puis ajoutez le sucre quand elle est presque montée en chantilly
Imbibez le biscuit japonais de sirop simple ou aromatisé, puis étalez une fine couche de chantilly, disposez des lamelles de pommes, un peu de crumble et roulez la bûche

  5  Décorez la bûche qui peut se préparer 1 jour avant

 

 

 

Hosta est un genre de plantes de la famille des Asparagacées originaire d'Asie de l'Est (Corée, Chine, Japon, Russie orientale), où on le rencontre dans les bois, les régions herbeuses, le long des rivières ainsi que dans les régions montagneuses.

 

La plupart des espèces répandues dans les jardins occidentaux ont été introduites en Europe au début du XIXe siècle par Philipp Franz von Siebold, médecin et naturaliste bavarois travaillant au Japon.

 

De nouvelles espèces ont depuis été découvertes sur la péninsule coréenne et l'introduction d'hostas depuis leurs pays d'origine continue de nos jours. Le genre en comprend 70 actuellement.

 

Mais c'est aux États-Unis que l'hosta a déclenché une véritable fièvre et que de nombreux hybrides et cultivars ont été créés. On en compte aujourd'hui environ 2 000

 

Cultivé surtout pour son feuillage, l'hosta est une plante vivace caduque d'une hauteur de 0,10 à 1,20 m, poussant en touffe arrondie, dont les racines charnues forment rapidement de grands groupes.

 

D'abord enroulées en cornet, lorsqu'elles sortent de terre, les feuilles se déroulent progressivement montrant une quantité de formes, de couleurs et de textures : rondes, en forme de cœur, allongées, lancéolées, ondulées, plus ou moins nervurées, lisses ou gaufrées… Elles peuvent être bleu vert ou dorées et mêler ces tons à l'infini dans des panachures plus ou moins larges. La masse ou l'épaisseur de la feuille peut varier considérablement, et plus elle est épaisse, moins elle est susceptible d'être attaquée par les limaces.

 

Mais l'hosta offre aussi une très belle floraison estivale, parfois parfumée, en grappes compactes de fleurs en trompette blanches, violettes ou mauves, apparaissant sur de longs pédoncules bien dressés au-dessus du feuillage. La floraison n'intervient souvent que la troisième année.

 

Plantez l'hosta en bordure ou en couvre-sol, en larges touffes de même ou de différentes variétés. La combinaison de diverses formes de feuilles peut produire de jolis contrastes.

 

 

Mens est une commune française, située dans le département de l'Isère en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Située à 55 km au sud de Grenoble, Mens est la capitale du Trièves, grand plateau glaciaire situé entre les massifs du Vercors (à l'ouest) et du Dévoluy (à l'est).

 

 

Dans le vieux bourg vous découvrirez :

- sur la place de la Halle, la halle de Mens du XVe siècle et la fontaine sont inscrites au titre des monuments historiques par arrêtédu 23 mai 1961.

 

- la fontaine de la place de la Mairie est inscrite au titre des monuments historiques par arrêté du 23 mai 1961

ainsi que la fontaine de la place Paul-Brachet.

 

 -  l'église de l'Assomption de Mens, bâtie en XIe et XIIe siècles et modifiée en XIXe siècle, est inscrite au titre des monuments historiques par arrêté du 19 mai 1987.

 

-  les deux devantures et le décor intérieur du café des Arts sont partiellement inscrits au titre des monuments historiques par arrêté du 23 janvier 1989.

 

 
- le temple protestant : ancienne maison de Lesdiguières, aménagée en temple en 1825-1826.

 

 
- et pour terminer allez faire un tour dans les rues

 

 

 

Décembre


Le hibou parmi les décombres
Hurle, et Décembre va finir ;
Et le douloureux souvenir
Sur ton coeur jette encor ses ombres.

Le vol de ces jours que tu nombres,
L’aurais-tu voulu retenir ?
Combien seront, dans l’avenir,
Brillants et purs ; et combien, sombres ?

Laisse donc les ans s’épuiser.
Que de larmes pour un baiser,
Que d’épines pour une rose !

Le temps qui s’écoule fait bien ;
Et mourir ne doit être rien,
Puisque vivre est si peu de chose.

François Coppée

 

 

 

Belvédère sur la Méditerranée perché à près de 800m d'altitude, cet ancien poste de défense de la frontière franco-italienne sur la ligne Maginot a longtemps été un site militaire convoité. Aujourd'hui, le village offre aux visiteurs avides d'authenticité, ses ruelles pavées de galets, sa vue imprenable sur la Côte d'Azur et son climat ensoleillé.

 

Fort

Ultime bastion sud de la ligne Maginot, le fort de Sainte-Agnès servit à repousser les Italiens en 1940. Plus 2 000 m² de galeries et de salles à l'équipement ultra moderne pour l'époque, sont aujourd'hui scénographiés pour le plus grand plaisir des visiteurs.

 

Parc et jardin

Derrière les remparts restaurés de ce château en ruines, une association entretient le jardin médiéval qui offre, depuis les 800 m d'altitude où il se trouve, une vue exceptionnelle sur la Méditerranée.

 

Eglise

Eglise du XVIème siècle abritant un autel en bois doré, un bénitier en pierre du XVIème siècle, une statue de Sainte-Agnès du XVIIème siècle, des tableaux des XVIème et XVIIIème siècles, ainsi que des lustres de la cathédrale de Monaco.

 

 

 

Bernard Bertrand est un artiste peintre autodidacte installé en Lorraine, à quelques kilomètres de Nancy.

 

Il utilise la technique de la peinture au couteau qui associe spontanément la couleur et la matière.

 

Ses oeuvres sont inspirées de ses coups de coeur pour des lieux qu'il affectionne tout particulièrement.

 

 

La tour de Pise, célèbre pour son inclinaison, est de moins en moins penchée.

Le monument italien de 58 mètres s'est redressé tout seul de 4 centimètres ces 17 dernières années, selon un rapport publié ce mercredi.

Un résultat obtenu grâce à des travaux achevés en 2001.

 

Lors de sa fermeture au public, en 1990, le plus célèbre campanile du monde penchait de 4,50 mètres par rapport à son axe vertical.
Elle n'a jamais été droite

 

La mise en place d'un contrepoids souterrain, avait permis de redresser l'édifice de 40 centimètres au moment des travaux.

De toute évidence, ils ont aussi permis une stabilisation de l'édifice, allant jusqu'à un petit redressement qui se produit tout seul.

 

Mais il est improbable que la tour se redresse complètement, d'autant qu'elle n'a jamais été droite. Sa construction a débuté en août 1173 et elle a commencé à pencher dès les premiers étages terminés, pour s'affaisser encore plus après son achèvement en 1372.
Construite dans le style roman, la tour est haute de 55,86 mètres côté sud et de 56,71 m côté nord, du fait de son inclinaison, et a un diamètre externe de 15,5 mètres à la base. Sa masse estimée est de 14 500 tonnes.

 

Cette tour creuse, de diamètre interne de 7,4 mètres (4,2 m au sommet), est composée de deux cylindres de pierre concentriques entre lesquels court un escalier en colimaçon de 293 marches. Les murs de la partie affaissée de la tour ont été affinés afin d’en freiner la chute. Entre chacun des 8 étages, des colonnes de marbre de Carrare servent de support, et de nombreuses sculptures sont visibles. La porte est décorée de sculptures d’animaux et autres grotesques de style roman.

 

 

 

 

Ingrédients

    500 g de farine
    1 sachet de levure chimique
    200 g de sucre
    1 sachet de sucre vanillé
    4 gouttes d’essence d’amandes amères
    1/2 cuil. à café de sel
    30 g de rhum
    le zeste râpé d’1 citron
    1 pincée de cardamome
    1 pincée de muscade râpée
    2 oeufs
    175 g de beurre tempéré
    250 g de fromage blanc en faisselle, très bien égoutté
    70 g de raisins de Corinthe
    70 g de sultanines
    50 g d’écorce de citron confite, coupée en tout petits dés
    50 g d’écorce d’orange confite, coupée en tout petits dés
    80 g d’amandes grossièrement hachées
    50 g de beurre fondu et 50 g de sucre glace pour la finition

Préparation :

    Tamisez la farine avec la levure, puis ajoutez les sucres, les aromates et les épices
    Incorporez les oeufs à une partie de la farine pour obtenir une bouillie épaisse
    Ajoutez le beurre mou, le fromage blanc, les raisins secs, les amandes (ou les noisettes) et l’écorce de citron confite
    Recouvez les fruits du reste de farine et mélangez rapidement tous ces ingrédients pour obtenir une pâte homogène
    Farinez vos mains et donnez à la pâte une forme de lange replié que vous disposerez sur une plaque de cuisson
    Mettez votre Christsollen dans un four préchauffé à 250° C, puis baissez la température à 170° C et laissez cuire 50 à 60 min
    Sortez votre christsollen de Noël du four et enduisez- le de beurre fondu, puis saupoudrez-le généreusement de sucre glace

Le Christsollen se déguste à toute heure au petit déjeuner avec du café, comme au dessert ou au goûter avec du vin chaud

 

 

 

L’hortensia est un arbuste à fleurs très ornemental, originaire de l’est de l’Asie et d’Amérique du Nord.

 

 Les inflorescences plates, en boule ou en panicule sont composées de petites fleurs fertiles et de fleurs stériles entourées de bractées. Il atteint sa taille adulte en 6 ans.

 

Ses feuilles de 10 à 30 cm de long sont dentelées et entières, certaines variétés possèdent un feuillage panaché.

 

Sa floraison abondante s’effectue de juin à septembre. La couleur des fleurs est en relation avec le sol dans lequel le sujet est installé :

    Plantées dans un sol basique ou calcaire, les variétés naturellement bleues virent au violet à rose ou rouge.
    Elles restent bien bleues en sol acide.L'apport de sulfate de fer ou d'ardoise pilée permet d'acidifier le sol.

 

 

Attention : l'hortensia est une plante toxique, pensez à éloigner les enfants.

 

 

 

Juste au dessus de Saint-Amour se trouve Cuiseaux en Saône-et-Loire.

 

La ville qui entra dans le Duché de Bourgogne en 1284, ne devenant française qu’en 1482, fut florissante au Moyen-Âge. Place forte ceinturée de remparts, Cuiseaux fut maintes fois assiégée et pillée par ses voisins franc comtois, mais a su protéger au cours des siècles la majeure partie de son patrimoine en conservant les bases médiévales. Son bâti s’échelonne du XVI au XXème siècle, ce qui lui valut d’être inscrite à l’inventaire des sites pittoresques du département de Saône et Loire en novembre 1984. Arcades, fontaines et maisons Renaissance sont particulièrement remarquables.

 

Les deux tours, dont la tour de Balerne à gauche de la porte du verger et un fragment de courtine partiellement crênelée ; c'est à peu près tout ce qui subsiste de l'enceinte médiévale percée de quatre portes qui enserrait la ville et la dominait du haut de ses 36 tours. Deux très belles archères sont visibles dans le mur à droite de la porte dont la voute a été surhaussée en 1845 afin de permettre le passage des voitures agricoles.

 

Ce château, dont on ignore la date de construction, a subi beaucoup de transformation notamment à la Renaissance. Les balcons et la porte d'entrée datent du XVIème siècle. Les principales modifications des façades datent du XIXème siècle. A la fin du XIXème siècle, la ville l'acheta et le transforma en école de filles. Depuis 1977, il est le siège du centre culturel et social de la ville.

 

D'une facture contemporaine, datant de la rénovation complète de 1865, l'église de Cuiseaux abrite de nombreux objets d'art sacré et de culte classés Monuments historiques au titre objet. Les stalles en bois et statues polychromes du XVe siècle et une Vierge noire du XIIIe siècle renforcent le charme de l'endroit.