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Par chezmamielucette le 30 Avril 2019 à 00:10
Ceci est la première vidéo que je fait avec Kisoa...
Elle ne comporte que quelques photos,
je vais essayer d'en refaire d 'autre ....
15 commentaires -
Par chezmamielucette le 30 Avril 2019 à 00:00
AUX CONFINS DE TROIS PROVINCES… UN LIEU UNIQUE
L’Abbaye Royale de Fontevraud, située aux confins des trois provinces du Poitou, de l’Anjou et de la Touraine, est l’une des plus vastes cités monastiques héritées du Moyen Âge. Classée Monument Historique dès 1840, elle est, depuis 2000, inscrite au Patrimoine Mondial de l’Unesco avec l’ensemble du Val de Loire. Dans une vallée verdoyante à quelques kilomètres de la Loire, proche de Saumur, Fontevraud est une étape incontournable du tourisme ligérien. Une étape, mais aussi une destination… Pour un lieu par essence unique !
UNE « FONDATION BIEN SINGULIÈRE »
QUATRE PRIEURÉS DIRIGÉS PAR UNE FEMME
Dès sa création, il y aura bientôt un millénaire par un moine excentrique, l’Abbaye est une « fondation bien singulière ». Un lieu de mixité sociale mais aussi… sexuelle ! C’est une abbesse qui dirige l’Abbaye Royale, qui abrite femmes et hommes répartis entre les quatre prieurés : Sainte-Marie pour les « contemplatives », Sainte-Marie-Madeleine pour les sœurs converses, Saint-Jean de l’Habit pour les moines et Saint-Lazare pour les sœurs qui soignent les lépreux.
D’UNE ABBAYE CHÉRIE DES ROIS
À UNE PRISON DES PLUS REDOUTÉES
Les 13 hectares sur lesquels s’étendent les différents bâtiments, aujourd’hui lieux de vie frétillants (artistes, visiteurs et congressistes s’y croisent), témoignent de l’importance d’une Abbaye qui fût directement rattachée à la royauté. Les gisants d’Aliénor d’Aquitaine, de son mari Henri II Plantagenêt et de leur fils Richard Cœur de Lion, exposés dans l'église abbatiale, rappellent ce glorieux passé.
Marcher le long du cloître, visiter la salle capitulaire
ou les cuisines de l’Abbaye Royale, c’est aussi comprendre ce qu’était le quotidien des religieuses qui l’ont habitée.
C’est enfin, imaginer que ces lieux ont laissé place, au 19 ème siècle, à l’une des plus dures prisons de France
Après cet article vous pouvez regarder la première vudéo que j'ai faite avec Kisoa... Dites-moi ce que vous en pensez.. Merci
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Par chezmamielucette le 29 Avril 2019 à 00:00
Claire Basler est née en 1960 à Vincennes... de 1975 à 1976 elle fréquente l'Ecole Alsacienne à Paris, ensuite elle passe une année à l'atelier Delarue et en 1978 elle entre à l'Ecole Nationale des Beaux Arts à Paris
Aussi loin que remonte son souvenir, Claire Basler n’a jamais posé ses crayons. Elle a toujours voulu, sans forcément le formuler clairement, « être peintre », ce qui, en soi, est un pari osé à l’âge où l’on se cherche. Renoncer aux Beaux-Arts après quelques mois, pour dire non au totalitarisme de l’art conceptuel qui seul a droit de cité dans les années 80, peut sembler un acte fou.
Ou simplement, l’expression de la liberté, de sa liberté. « Peindre la nature » ne peut se concevoir dans le carcan intellectuel de cette époque qui interdit de peindre « hors du moule », mais c’est pour Claire une question de survie pour ne pas être « abîmée » !
Mais Claire a toujours un projet d’avance et suit son instinct. Et de lieu en lieu, elle se « pose » au Château de Beauvoir à Échassières dans l’Allier. Le défi est immense. Tout est à créer. Mais le lieu est magique et Claire le rend inoubliable : une parenthèse enchantée, un instant volé au quotidien.
Vous déambulez dans le château et les communs et vous êtes dans un décor de film : la Belle et la Bête, Peau d’Âne… Les murs sont peints, les bouquets surdimensionnés se mélangent aux toiles qui tapissent les murs.
De courtes nuits, une vision claire du projet à mener, un geste vif et par dessus tout de la volonté alliée à l’énergie naturelle et de l’émerveillement : « Je n’en suis jamais revenue d’être peintre et, pour moi, c’est une fête tous les jours et pour toute la vie ».
Un conseil : ne ratez rien de son actualité. Elle partage avec ses visiteurs ce que la nature lui a offert : la force et la joie, l’émotion et la douceur. Poussez jusqu’à Échassières à l’occasion de ses portes ouvertes, vous ne le regretterez pas.
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Par chezmamielucette le 28 Avril 2019 à 00:00
Oskar Schindler (1908-1974), un industriel allemand, originaire de la région des Sudètes, créa une fabrique d'outils en émail à l'extérieur du ghetto de Cracovie et sauva de la déportation les ouvriers juifs qui y travaillaient.
À la suite de l'invasion nazie de la Pologne, Oskar Schindler, un industriel allemand catholique, s'installa à Cracovie et dirigea deux usines d'ustensiles de cuisine en émail qui avaient appartenu à des Juifs. Il créa ensuite sa propre usine à Zablocie, dans la banlieue de Cracovie. Cette usine constitua un havre de paix pour environ 900 ouvriers juifs, qui étaient protégés de la brutalité du camp de travail de Plaszow, non loin de là. Schindler protégeait ses ouvriers juifs en falsifiant les registres de son entreprise. Il jouait sur l'âge des employés et leurs professions et indiquait des métiers essentiels à l'effort de guerre.
En octobre 1944, Schindler fut autorisé à déplacer son ancienne fabrique d'objets émaillés à Bruennlitz, en Tchécoslovaquie, cette fois en tant qu'usine d'armement, et à prendre avec lui des ouvriers juifs de Zablocie. Il réussit à transférer à Bruennlitz environ 800 hommes juifs du camp de Gross-Rosen et 300 femmes juives d'Auschwitz, leur assurant ainsi un traitement humain et leur sauvant la vie
.
En 1962, Yad Vashem decerne à Schindler le titre de "Juste des Nations" en reconnaissance de sa contribution humanitaire
et en 1993, le Conseil du Musée - Mémorial de l'Holocauste à Washington, lui attribua à titre posthume la Médaille du Souvenir du Musée. Cette décoration, très rare, est destinée à honorer les récipiendaires qui en sont dignes, pour leurs actes exceptionnels durant la Shoah et pour la cause de la Mémoire. Emilie Schindler reçut la médaille au nom de son mari lors d'une cérémonie qui s'est tenue dans le Hall du Souvenir du Musée.
Sa vie a été le sujet d'un roman de Thomas Keneally (La Liste de Schindler) en 1982
et d'un film (du même nom) de Steven Spielberg en 1993.
Schindler est mort en Allemagne en octobre 1974. Il est enterré en Israël.
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Par chezmamielucette le 27 Avril 2019 à 00:00
Ingrédients pour 6 à 8 personnes
250 g de pâte sucrée
40 cl de crème pâtissière
5 à 10 cl de rhum
Garniture :
1 barquette de fraises
1 barquette de framboises
2 kiwis
1 mangue
1/4 d'ananas
1 orange
2 bananes
Préparation
Pour réaliser cette recette de tarte aux fruits frais, commencer par préparer tous les ingrédients.
Abaisser la pâte sucrée au rouleau à pâtisserie.
Foncer un cercle à tarte forme fleur.
Couper l'excédent de pâte avec le rouleau à pâtisserie...
...et le retirer
Disposer sur la pâte une feuille de papier sulfurisé et la recouvrir de noyaux de cuisson.
Cuire à blanc, à four préchauffé à 180°C pendant 15 minutes environ.
Au terme de la cuisson (lorsque la pâte est bien dorée), retirer la feuille de papier sulfurisé avec les noyaux de cuisson et laisser refroidir.
Puis retirer délicatement le cercle à tarte
Faire fondre à feu très doux le nappage blond avec une ou deux cuillères à soupe d'eau.
Lorsque le nappage est bien fondu, vous pouvez appliquer une couche de ce nappage au pinceau pâtissier, sur toute la surface du fond de tarte. Celui-ci aura pour effet d'éviter au fond de pâte de se détremper trop rapidement et donc de conserver à la pâte tout son croquant.
Verser le rhum dans la crème pâtissière froide qui aura été préparée au préalable. Bien mélanger au fouet jusqu'à l'obtention d'une crème bien lisse.
Verser cette crème sur le fond de tarte et bien l'étaler...
...sur toute la surface.
Ranger les fruits délicatement sur la crème, variété par variété. Ici nous commençons par les framboises.
Éplucher et tailler tous les fruits en morceaux. Équeuter les fraises et les laver rapidement sous l'eau claire.
Continuer à répartir les fruits en les piquant dans la crème.
Faire en sorte de ne pas mettre deux fruits de couleur similaire côte à côte.
Faire ainsi avec tous les fruits.
À l'aide du pinceau pâtissier, abricoter les fruits d'une fine couche de nappage blond. Celui-ci a pour but de protéger les fruits, de les coller entre eux et de donner un aspect brillant à la tarte. Réserver au frais jusqu'au moment du dessert.
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Par chezmamielucette le 26 Avril 2019 à 00:00
Les gazanias appartiennent à la famille des Astéracées. Dans les régions à climat doux, ils sont cultivés en vivaces. Partout ailleurs, ils seront cultivés comme des annuels car ils ne résistent pas à des températures inférieures à -5 °C.
En raison de leur floraison continue, ce sont des plantes idéales pour les massifs et les compositions estivales. Vous pouvez les semer au chaud en février mais le semis est délicat et le choix limité. Il est plus aisé de se procurer des plants prêts à fleurir en godets.
En général, la plante est de petite taille (15 à 30 cm). Les feuilles vert brillant sont parfois argentées.
Les « pétales » (en réalité des ligules) présentent le plus souvent une macule foncée à leur base. Ainsi, le cœur de la fleur semble entouré d’un halo.
Le nom de gazania viendrait du philosophe Théodore de Gaza (1393-1478) qui a traduit les noms botaniques grecs en latin.
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Par chezmamielucette le 25 Avril 2019 à 00:00
Chanaz est une commune française située dans le département de la Savoie, en région Auvergne-Rhône-Alpes.
La commune est surnommée la Petite Venise savoyarde en raison de la présence du canal de Savières.
Le canal de Savière d'une longueur d'environ 4 kms relie le lac du Bourget au Rhône (Chanaz étant entre les deux). Canalisé entre le XIXè et le XXè siècle , il ne sert plus aujourd'hui qu'à la navigation de plaisance et touristique. Sa configuration actuelle date de 1985 dont l'écluse de Chanaz et le barrage de Savière. La passerelle qui relie les deux berges du canal à Chanaz, entièrement conçue et fabriquée par les professeurs et élèves d'un lycée de Chambéry a été installé en 1989. Les eaux du lac du Bourget se déversent vers le Rhône et s'inversent lorsque celui ci est en crue. C'est une particularité car il y a peu de rivières dont le courant s'inverse.
Le moulin de Chanaz
Édifié en 1868 sur les hauteurs du village et mis en mouvement par l'eau d'un canal (le Biez), il fut abandonné en 1960, puis restauré dans les années 1990 à l'initiative de la municipalité et avec le concours des élèves du lycée technique Monge de Chambéry et de la section "Savoie" de l'association des amis des moulins savoyards . Depuis lors, il a retrouvé la fonction qui fut la sienne dans les années 1950 : le pressage de noix et noisettes pour la fabrication d'huiles23. Cet artisanat d'exception (ne subsiste aujourd'hui qu'une dizaine de pressoirs à huile de noix traditionnels en France), couplé à la dimension historique du lieu, en font un emblème du patrimoine savoyard.
Maison forte de Chanaz ou Grande Maison de Boigne.
L'ancienne maison forte de Chanaz dite « Grande Maison de Boigne » est une ancienne maison forte, du XIIIe, remaniée au XVIIe siècle. Elle se dresse au cœur du bourg, face au canal de Savières, et abrite aujourd'hui les services de la mairie de la commune. La maison forte fut au Moyen Âge le siège de la seigneurie de Chanaz, élevée en marquisat. Elle doit son nom de « Maison de Boigne » en raison du nom de son ancien propriétaire le comte de Boigne.
La maison de Boigne, les façades et les toitures, la terrasse, le four à pain, l'escalier intérieur à volées droites, les trois cheminées, fait l’objet d’une inscription partielle au titre des monuments historiques depuis le 22 août 1980.
L'église Sainte Oppoline est du XIVème siècle.Elle a subi de profonds remaniements dans les siècles suivants.Le toit a été refait en 1842, le clocher édifié en 1867 en remplacement des deux cloches logées dans deux fenêtres en pignon.
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Par chezmamielucette le 24 Avril 2019 à 00:00
Mignonne, allons voir si la rose
A Cassandre
Mignonne, allons voir si la rose
Qui ce matin avoit desclose
Sa robe de pourpre au Soleil,
A point perdu ceste vesprée
Les plis de sa robe pourprée,
Et son teint au vostre pareil.
Las ! voyez comme en peu d’espace,
Mignonne, elle a dessus la place
Las ! las ses beautez laissé cheoir !
Ô vrayment marastre Nature,
Puis qu’une telle fleur ne dure
Que du matin jusques au soir !
Donc, si vous me croyez, mignonne,
Tandis que vostre âge fleuronne
En sa plus verte nouveauté,
Cueillez, cueillez vostre jeunesse :
Comme à ceste fleur la vieillesse
Fera ternir vostre beauté.
Pierre de Ronsard, Les Odes
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Par chezmamielucette le 23 Avril 2019 à 00:00
Au coeur du parc naturel régional de l'Avesnois, Liessies se révèle aussi un charmant village bordé par l'Helpe Majeure.
Riche d'un patrimoine historique, culturel et religieux toujours fascinant, il continue à charmer le visiteur par les jolies briques rouges qui animent murs et façades.
L’église paroissiale Saint Jean (XVIème siècle) et son petit clocheton qui ne devait pas faire d’ombre à l’imposante Abbaye, détruite à la révolution. L’église marquait l’entrée de l’Abbaye. Elle est inscrite aux Monuments Historiques depuis 1944.
L'abbaye de Liessies est une abbaye bénédictine. Elle a été fondée en 751 par Wilbert, comte de Poitou
En 1791, l’abbaye fut détruite en partie et vendue. L'église paroissiale conserve des objets et des œuvres d'art provenant de l'abbaye
Et pour terminer la journée vous pouvez aller au Château de la Motte qui fait hotel restaurant...
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