• Avril : poème de François Coppée

     

    Avril

     

    Lorsqu'un homme n'a pas d'amour,

    Rien du printemps ne l'intéresse ;

    Il voit même sans allégresse,

    Hirondelles, votre retour ;

    Avril : poème de François Coppée

    Et, devant vos troupes légères

    Qui traversent le ciel du soir,

    Il songe que d'aucun espoir

    Vous n'êtes pour lui messagères.

    Avril : poème de François Coppée

    Chez moi ce spleen a trop duré,

    Et quand je voyais dans les nues

    Les hirondelles revenues,

    Chaque printemps, j'ai bien pleuré.

    Avril : poème de François Coppée

    Mais depuis que toute ma vie

    A subi ton charme subtil,

    Mignonne, aux promesses d'Avril

    Je m'abandonne et me confie.

    Avril : poème de François Coppée

    Depuis qu'un regard bien-aimé

    A fait refleurir tout mon être,

    Je vous attends à ma fenêtre,

    Chères voyageuses de Mai.

    Avril : poème de François Coppée

    Venez, venez vite, hirondelles,

    Repeupler l'azur calme et doux,

    Car mon désir qui va vers vous

    S'accuse de n'avoir pas d'ailes.

     

    François Coppée. 

     

    Avril : poème de François Coppée

     

    Avril : poème de François Coppée

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  • Château de Raray  ( Oise )

    Château de Raray  ( Oise )

    Château de Raray  ( Oise )

     

    C’est une première dans la longue histoire de ce très vieux monsieur.  Le château de Raray, hérité du XVIIe siècle, ouvre ses portes au public tous les dimanches,

    avec une visite guidée proposée par la société Aquilon, spécialisée dans les études archéologiques et historiques.

     

    Château de Raray  ( Oise ) 

    Château de Raray  ( Oise )

    Château de Raray  ( Oise ) 

    Château de Raray  ( Oise )

    Château de Raray  ( Oise )

    Château de Raray  ( Oise )

    Château de Raray  ( Oise )

    Château de Raray  ( Oise )

    Château de Raray  ( Oise )

    Château de Raray  ( Oise )

    Château de Raray  ( Oise )

      

     Raray, c’est l’écrin de « La Belle et la Bête ». Le château qui tapa dans l’œil de Cocteau au détour d’une promenade. Cet édifice « mystérieux et envoûtant » où il posa sa caméra à l’automne 1945 pour y tourner les scènes d’extérieur de son chef-d’œuvre et immortaliser la performance d’acteur du légendaire Jean Marais.

     

    Château de Raray  ( Oise )

    Château de Raray  ( Oise )

    Château de Raray  ( Oise )

    Château de Raray  ( Oise )

    Château de Raray  ( Oise )

     

    Raray, propriété de Jean-Marc de La Bédoyère, le maire du village, c’est aussi quatre siècles d’histoire, depuis Nicolas de Lancy, un proche d’Henri IV, qui acquit le domaine pour en faire un pavillon de chasse avant d’y bâtir l’édifice tel qu’on le découvre aujourd’hui, avec les deux haies cynégétiques qui font sa renommée,

     

    Château de Raray  ( Oise )

    Château de Raray  ( Oise )

    Château de Raray  ( Oise )

    Château de Raray  ( Oise )

    Château de Raray  ( Oise )

     

    son immense parc,

     

    Château de Raray  ( Oise )

     

    son golf, 

     

    Château de Raray  ( Oise )

     

    ses cabanes dans les arbres

     

    Château de Raray  ( Oise )

    Château de Raray  ( Oise )

    Château de Raray  ( Oise )

    Château de Raray  ( Oise )

    Château de Raray  ( Oise )

     

    Lorsque vous aurez terminé cette visite, vous pourrez également vous promener du côté de la ferme, vous y trouverez les communs du château, l'orangerie, le colombier, la tour belvédère et l'enceinte du château.... 

     

    Château de Raray  ( Oise )

    Château de Raray  ( Oise )

    Château de Raray  ( Oise )

    Château de Raray  ( Oise )

     Château de Raray  ( Oise )

     Château de Raray  ( Oise )

    Château de Raray  ( Oise )

    Château de Raray  ( Oise )

      

    Château de Raray  ( Oise )

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  • Peintures de : Serge Delmas

    Peintures de : Serge Delmas

     

    "Dans ton pays, il y a tant de merveilles que ta vie sera trop courte pour seulement les compter toutes."

    Serge Delmas semble avoir adopté ce mot de Rembrandt.

     

    Né à Carmaux dans le Tarn , il quitte très jeune cette belle région et se retrouve à l'Estaque, prés de Marseille, immortalisée par de nombreux peintres dont Cézanne.

    En 1969, il part vivre à Aubagne et dés son arrivée, il aime parcourir les collines du célèbre Garlaban décrit par Marcel Pagnol dans ses romans.

     

    Peintures de : Serge Delmas

     

    Peintures de : Serge Delmas

    Peintures de : Serge Delmas

    Peintures de : Serge Delmas

    Peintures de : Serge Delmas

    Peintures de : Serge Delmas

    Peintures de : Serge Delmas

     

    Peintre figuratif autodidacte, il maitrîse plusieurs techniques dont la peinture à l'huile, aquarelles, gouaches, fusain et encre de chine. Il consacre depuis plus de quarante ans ses loisirs à parcourir la Provence à la recherche de paysages où dominent oliviers et cyprès qu'il transpose sur ses toiles. Son chevalet et peintures font partis de sa vie, où qu'il aille son matériel ne le quitte jamais, toujours à la traque d'un paysage, d'un bord de mer, d'un village au détour d'un chemin.

     

    Peintures de : Serge Delmas

     

    Peintures de : Serge Delmas

    Peintures de : Serge Delmas

    Peintures de : Serge Delmas

    Peintures de : Serge Delmas

    Peintures de : Serge Delmas

    Peintures de : Serge Delmas

    Peintures de : Serge Delmas

     

    Il a réalisé plus de 2000 tableaux de même source d'inspiration et obtenu de nombreux prix et distinctions. Nombre de ces oeuvres ont été appréciées et achetées par de nombreux connaisseurs en France et à l'étranger.

    Au regard et à l'écoute du monde actuel, il ne manque pas à chaque fois qu'il en a l'occasion de faire don d'une ou plusieurs oeuvres à des associations humanitaires ou caritatives.

     

    Peintures de : Serge Delmas

     

    Peintures de : Serge Delmas

    Peintures de : Serge Delmas

    Peintures de : Serge Delmas

    Peintures de : Serge Delmas

    Peintures de : Serge Delmas

    Peintures de : Serge Delmas

    Peintures de : Serge Delmas

    Peintures de : Serge Delmas

     

    Peintures de : Serge Delmas

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  • 31 mars 1855 : décès de Charlotte Brontë

     

    Charlotte Brontë est une romancière anglaise,

    née le 21 avril 1846 à Thorton, décèdée le 31 mars 1855 à Haworth

     

    31 mars 1855 : décès de Charlotte Brontë

    31 mars 1855 : décès de Charlotte Brontë

     

    Elle passe son enfance à Haworth, où son père, pasteur, officie. Elle perd sa mère en 1821 puis ses deux sœurs aînées, Maria et Elisabeth, de la tuberculose. Ces morts vont durablement marquer sa vie.

     

    31 mars 1855 : décès de Charlotte Brontë

     

    Elle part en pension afin de suivre des études en vue de devenir institutrice. Mais obnubilée par son besoin d'écrire, elle ne parvient pas à s'investir dans ses nouvelles fonctions d'enseignante puis de préceptrice auprès de particuliers.

     

    31 mars 1855 : décès de Charlotte Brontë

     

    Dans l'idée d'ouvrir un pensionnat, elle part avec Emily à Bruxelles pour apprendre le français. Les deux sœurs vivent chez leur mentor, M. Héger, avec lequel Charlotte entretient des relations difficiles. Elle va devenir professeure d'anglais et rester à Bruxelles après le retour de sa sœur à Haworth.

     

    31 mars 1855 : décès de Charlotte Brontë

     

    Quelques années plus tard elle rentre en Angleterre.

     

    31 mars 1855 : décès de Charlotte Brontë

     

    Admirative devant les écrits d'Emily, elle la pousse à publier un recueil commun réunissant leurs poèmes sous le nom d'Ellis et Currer Bell.

     

    31 mars 1855 : décès de Charlotte Brontë

     

    Son deuxième roman, "Jane Eyre", publié en 1847 sous le pseudonyme de Currer Bell, rencontre un succès considérable.

     

    31 mars 1855 : décès de Charlotte Brontë

    31 mars 1855 : décès de Charlotte Brontë

     

    Après les décès de son frère, d'Emily en 1848 et d'Anne en 1849, elle connait une période très difficile. C'est aussi à cette époque qu'elle abandonne son anonymat et va être introduite par son éditeur dans la haute société londonnienne.

     Charlotte Brontë écrivit 4 romans : Jane Eyre en 1847,

     

    31 mars 1855 : décès de Charlotte Brontë

    31 mars 1855 : décès de Charlotte Brontë

    31 mars 1855 : décès de Charlotte Brontë

      

    Shirley en 1849,

     

    31 mars 1855 : décès de Charlotte Brontë

    31 mars 1855 : décès de Charlotte Brontë

    31 mars 1855 : décès de Charlotte Brontë

     

    Villette en 1853

     

    31 mars 1855 : décès de Charlotte Brontë

    31 mars 1855 : décès de Charlotte Brontë

     

    et The Professor en 1857 à titre posthume.

     

    31 mars 1855 : décès de Charlotte Brontë 

    31 mars 1855 : décès de Charlotte Brontë

    31 mars 1855 : décès de Charlotte Brontë

     

    En 1853, le vicaire de son père, Arthur Bell Nicholls, se déclare et la demande en mariage. M. Brontë s'y oppose violemment. Nicholls persiste. Ils se marient en 1854 et connaissent un grand bonheur conjugal.

     

    31 mars 1855 : décès de Charlotte Brontë

    31 mars 1855 : décès de Charlotte Brontë

    31 mars 1855 : décès de Charlotte Brontë

    31 mars 1855 : décès de Charlotte Brontë

     

     

    Malheureusement, Charlotte tombe malade et meurt peu après. Les causes exactes de sa mort n'ont jamais été déterminées. Il est quasiment certain qu'elle était enceinte.

     

    31 mars 1855 : décès de Charlotte Brontë

     

    31 mars 1855 : décès de Charlotte Brontë

     

    31 mars 1855 : décès de Charlotte Brontë

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  • Gâteau à la rhubarbe

     

    Ingrédients

     

    500 gr de rhubarbe

    50 gr de sucre roux

    1/2 citron

    4 oeufs

    80 gr de sucre

    1 sachet de sucre vanillé

    100 gr de farine

    1 sachet de levure

    1 pincée de sel

    75 gr de poudre d'amande

    50 gr de beurre

     

    Préparation

        

        Coupez les extrémités de la rhubarbe nettoyée, puis coupez des tronçons de la taille du moule. Pelez ces tronçons.

    Gâteau à la rhubarbe   

      Saupoudrez le fond de votre moule beurré de sucre roux.

    Gâteau à la rhubarbe   

        Placez les morceaux de rhubarbe sur le sucre, puis arrosez de jus de citron.

    Gâteau à la rhubarbe    

        Mélangez les oeufs avec le sucre et le sucre vanillé.

    Gâteau à la rhubarbe

       Ajoutez la farine, la levure, le sel et la poudre d'amande et mélangez bien.

    Gâteau à la rhubarbe

       Ajoutez enfin le beurre fondu.

    Gâteau à la rhubarbe

      Versez cette pâte sur la rhubarbe, et lissez le dessus.

    Gâteau à la rhubarbe

      Faites cuire 30 minutes à 180°C

    Gâteau à la rhubarbe

      Démoulez après avoir laissé refroidir. Et voilà, votre gâteau à la rhubarbe est prêt !

    Gâteau à la rhubarbe

     

    Gâteau à la rhubarbe

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  • Fleurs cultivées : Gaillarde

    Fleurs cultivées : Gaillarde

     

    Le genre Gaillardia compte 8 espèces originaires d'Amérique du Nord et centrale, certaines annuelles ou bisannuelles et d'autres vivaces. Il fait partie de la vaste famille des Astéracées comme les asters ou les marguerites.

     

    Fleurs cultivées : Gaillarde

    Fleurs cultivées : Gaillarde

    Fleurs cultivées : Gaillarde

    Fleurs cultivées : Gaillarde

     

    Poussant rapidement, les gaillardes forment des touffes (de 0,30 à 0,80 m de haut environ) érigées de feuilles vertes au-dessus desquelles se détachent de nombreuses fleurs solitaires au bout de longues tiges (de 0,40 à 1 m). Ces touffes disparaissent plus ou moins complètement en hiver pour réapparaître et pousser rapidement au printemps pour les variétés vivaces.

     

    Fleurs cultivées : Gaillarde

    Fleurs cultivées : Gaillarde

    Fleurs cultivées : Gaillarde

    Fleurs cultivées : Gaillarde

    Fleurs cultivées : Gaillarde

    Fleurs cultivées : Gaillarde

    Fleurs cultivées : Gaillarde

     

    Les feuilles vert foncé, vert pâle, vert grisé ou vert argenté, légèrement velues, de formes variables, sont surtout lancéolées, quelquefois légèrement dentées et parfois profondément multilobées. Elles sont directement attachées, sans pétiole, sur de longues tiges ramifiées.

     

    Fleurs cultivées : Gaillarde

    Fleurs cultivées : Gaillarde

    Fleurs cultivées : Gaillarde

    Fleurs cultivées : Gaillarde

     

    Les fleurs apparaissent dès mai ou juin, solitaires au bout de longues tiges droites et la floraison peut durer jusqu'aux premières gelées d'octobre. Chez beaucoup de vivaces et chez les bisannuelles, elles n'éclosent que la deuxième année, mais d'autres vivaces, telle que Gaillarda picta, ont une mise à fleur rapide dès la première année, ce qui permet de les cultiver comme des annuelles.

     

    Fleurs cultivées : Gaillarde

    Fleurs cultivées : Gaillarde

    Fleurs cultivées : Gaillarde

     

    Les fleurs forment de gros capitules colorés allant de 7 à 15 cm de diamètre. Les fleurons du centre sont regroupés en un large plateau marron à pourpre et ceux de la périphérie forment une couronne de faux pétales rouges ou orangé et bordées de jaune le plus souvent.

     

    Fleurs cultivées : Gaillarde

    Fleurs cultivées : Gaillarde

    Fleurs cultivées : Gaillarde

     

    Selon les cultivars, ces fleurs peuvent être simples ou doubles (Gaillardia picta 'Red Plume').

     

    Fleurs cultivées : Gaillarde

     

    Les fruits sont de tout petits akènes (fruits secs) munis de soies.

     

    Fleurs cultivées : Gaillarde

     

    Fleurs cultivées : Gaillarde

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  • Buswiller  ( Bas-Rhin )

    Buswiller  ( Bas-Rhin )

     

    Le village fut mentionné pour la première fois dans un document de l'abbaye de Wissembourg en 784 sous la dénomination "Buusso vilare". Cette appellation semble avoir comme origine la plus probable celle d'un riche Franc qui construisit une ferme (villa) en ces lieux. Plus tard, le nom du village se déclina en Busselwilre, Bussenwiller, Bossweiler avant de devenir Bueswiller puis finalement Buswiller à partir de 1961.

     

    Buswiller  ( Bas-Rhin )

    Buswiller  ( Bas-Rhin )

    Buswiller  ( Bas-Rhin )

     

    Après être passé successivement entre les mains des seigneurs de Mittelhausen, Lichtenberg, Hanau, Berstett, von Sultz et von Böcklin qui n'en possédaient souvent qu'une moitié, le village devint la propriété des barons Gayling von Altheim, originaires de la région de Babenhausen en Allemagne vers la fin du XVIIe siècle. Ceux-ci en restèrent les seuls maîtres jusqu'à la période trouble de la Révolution français.

    Quant au château en pierre de taille que les barons Gayling avaient fait ériger dans la première partie du XVIIIe siècle à l'emplacement de la maison située au n° 57 de la rue Principale et que la famille occupa jusqu'à la Révolution, il fut détruit en 1793. Il n'en reste que quelques vestiges d'importance négligeable, intégrés dans des bâtiments actuels.

     

    Buswiller  ( Bas-Rhin )

    Buswiller  ( Bas-Rhin )

    Buswiller  ( Bas-Rhin )

    Buswiller  ( Bas-Rhin )

    Buswiller  ( Bas-Rhin )

    Buswiller  ( Bas-Rhin )

     

    Située au centre du village, l’église protestante de Buswiller fut construite dans la deuxième moitié du XVIIIe siècle dans un style néo-classique, et modifiée au cours du XIXe siècle. Les archives nous renseignent sur la présence d’un édifice religieux à cet emplacement dès le milieu du XVe siècle ; une chapelle médiévale dédiée à saint Sixte. A partir de 1545, suite à l’introduction de la Réforme, l’édifice est réservé au culte protestant.

     

    Buswiller  ( Bas-Rhin )

    Buswiller  ( Bas-Rhin )

    Buswiller  ( Bas-Rhin )

    Buswiller  ( Bas-Rhin )

    Buswiller  ( Bas-Rhin )

    Buswiller  ( Bas-Rhin )

     

    Si vous entrez dans l’église, vous y découvrirez en son chœur, un trésor historique : six pierres tombales des anciens seigneurs de Buswiller, les barons Gayling von Altheim, qui possédaient le village au XVIIIe siècle. Ces épitaphes représentent un cas assez rare en Alsace. Leur très bonne conservation tient de l’initiative du maire en place lors de la Révolution de recouvrir entièrement les pierres d’une couche de plâtre.

    Ces six épitaphes gravées de textes à importante valeur documentaire, fixées sur les murs du chœur, sembleraient indiquer que l’église aurait servi de lieu de sépulture aux membres de la famille seigneuriale. 

     

    Buswiller  ( Bas-Rhin )

    Buswiller  ( Bas-Rhin )

    Buswiller  ( Bas-Rhin )

    Buswiller  ( Bas-Rhin )

     

    Nommée Ferme Jacob depuis le XIXe siècle, en référence à ses propriétaires, cette exploitation indique la date de 1599 sur le poteau cornier du logis. Elle fait partie des six fermes datées du XVIe siècle encore visibles aujourd’hui sur le territoire Hanau – La Petite Pierre.

     

    Buswiller  ( Bas-Rhin )

    Buswiller  ( Bas-Rhin )

    Buswiller  ( Bas-Rhin )

    Buswiller  ( Bas-Rhin )

    Buswiller  ( Bas-Rhin )

    Buswiller  ( Bas-Rhin )

     

    Peu remanié, à l’exception des fenêtres du rez-de-chaussée surélevé et de la balustrade en bois du perron sur cour, le logis illustre bien la maison paysanne de son époque, possédant un étage en léger encorbellement.

     

    Buswiller  ( Bas-Rhin )

    Buswiller  ( Bas-Rhin )

     

    Cette ferme est l’une des rares protégées par les Monuments Historiques. Elle a fait l’objet de relevés à l’époque allemande, publiés dans les « Images du Musée Alsacien ».

     

    Buswiller  ( Bas-Rhin )

    Buswiller  ( Bas-Rhin )

     

    Quelques éléments architecturaux sont à remarquer :

    - Les encadrements saillants, richement sculptés de motifs géométriques, sur les fenêtres de la pièce principale du premier étage qui caractérisent les chambranles Renaissance.

    - La loggia à poteau central. Le garde-corps est formé de losanges et de chaises curules.

    - À l’étage, le traitement des guettes qui sont découpées en « crête de coq ».

    - Un ensemble de dépendances très intéressantes dont des étables de 1731, le corps de passage de 1804 et la grange de 1836.

     

    Buswiller  ( Bas-Rhin )

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  • "  Voici quinze ans déjà que nous pensons d’accord " poème d'Emile Verhaeren

     

    Voici quinze ans déjà que nous pensons d’accord

     

     

    Voici quinze ans déjà que nous pensons d’accord ;

    Que notre ardeur claire et belle vainc l’habitude,

    Mégère à lourde voix, dont les lentes mains rudes

    Usent l’amour le plus tenace et le plus fort.

    "  Voici quinze ans déjà que nous pensons d’accord " poème d'Emile Verhaeren

    Je te regarde, et tous les jours je te découvre,

    Tant est intime ou ta douceur ou ta fierté :

    Le temps, certes, obscurcit les yeux de ta beauté,

    Mais exalte ton coeur dont le fond d’or s’ entrouvre.

    "  Voici quinze ans déjà que nous pensons d’accord " poème d'Emile Verhaeren

    Tu te laisses naïvement approfondir,

    Et ton âme, toujours, paraît fraîche et nouvelle ;

    Les mâts au clair, comme une ardente caravelle,

    Notre bonheur parcourt les mers de nos désirs.

    "  Voici quinze ans déjà que nous pensons d’accord " poème d'Emile Verhaeren

    C’est en nous seuls que nous ancrons notre croyance,

    A la franchise nue et la simple bonté ;

    Nous agissons et nous vivons dans la clarté

    D’ une joyeuse et translucide confiance.

    "  Voici quinze ans déjà que nous pensons d’accord " poème d'Emile Verhaeren

    Ta force est d’être frêle et pure infiniment ;

    De traverser, le coeur en feu, tous chemins sombres,

    Et d’avoir conservé, malgré la brume ou l’ombre,

    Tous les rayons de l’aube en ton âme d’enfant.

     

    Émile Verhaeren

     Les Heures d’après-midi

     

    "  Voici quinze ans déjà que nous pensons d’accord " poème d'Emile Verhaeren

     

    "  Voici quinze ans déjà que nous pensons d’accord " poème d'Emile Verhaeren

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  •  

    Nozeroy (Jura)

    Nozeroy (Jura)

     

    Petite cité comtoise de caractère, Nozeroy, charmante ville perchée, a conservé de jolis vestiges de son passé comme en témoignent la porte de l'Horloge, la collégiale Saint-Antoine ou encore les ruines du château.

     

    Nozeroy (Jura)

    Nozeroy (Jura)

    Nozeroy (Jura)

    Nozeroy (Jura)

    Nozeroy (Jura)

     

    La tour de l'horloge était l'entrée principale de la ville forte, qui comptait 3 portes fortifiées dont une a disparu

    Elle se situe au nord de la ville, du côté où l'accès à la ville est le plus aisé. Son porche débouche sur la Grande Rue, qui est centrale.

    Elle était surmontée d'un joli clocher flèche qui fut détruit lors de l'incendie de la ville en 1815, et fut remplacé par une bulbe comtois.

     

    Nozeroy (Jura)

    Nozeroy (Jura)

    Nozeroy (Jura)

    Nozeroy (Jura)

    Nozeroy (Jura)

    Nozeroy (Jura)

    Nozeroy (Jura)

    Nozeroy (Jura)

    Nozeroy (Jura)

    Nozeroy (Jura)

    Nozeroy (Jura)

    Nozeroy (Jura)

     

    La collégiale Saint Antoine fut construite au 15 e siècle à la place d'une chapelle datant du 13 e, sur l'initiative de Jean de Chalon-Arlay III (premier Prince d'Orange). Assise sur les remparts, elle faisait partie du système défensif de la ville forte. Ici se trouvait la 3 ème porte fortifiée de Nozeroy, aujourd'hui disparue.

    L'édifice a été surmonté, jusqu'à l'incendie de la ville en 1815, d'un clocher central à flèche pyramidale. En 1830, il a été remplacé par un clocher plus modeste, en même temps qu'on été réalisés le prolongement des collatéraux et le remaniement de la façade. Elle est de style gothique.

     

    Nozeroy (Jura)

    Nozeroy (Jura)

    Nozeroy (Jura)

    Nozeroy (Jura)

    Nozeroy (Jura)

    Nozeroy (Jura)

    Nozeroy (Jura)

    Nozeroy (Jura)

    Nozeroy (Jura)

     

    Le château de Nozeroy ou palais de Nozeroy est un ancien luxueux palais en ruine du XVe siècle, surnommé à l'époque la « perle du Jura », construit sur un château fort du XIIIe siècle à Nozeroy (capitale durant 300 ans du fief jurassien de la Maison de Chalon-Arlay, Franche-Comté). Les ruines sont inscrites aux monuments historiques depuis le 15 juillet 1927 

     

    Nozeroy (Jura)

    Nozeroy (Jura)

    Nozeroy (Jura)

    Nozeroy (Jura)

    Nozeroy (Jura)

    Nozeroy (Jura)

    Nozeroy (Jura)

    Nozeroy (Jura)

    Nozeroy (Jura)

     

    Nozeroy (Jura)

     

    Nozeroy (Jura)

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  • Aquarelles de : Blanche Odin

    Aquarelles de : Blanche Odin

    Blanche Odin est née le 25 février 1865 à Troyes.  Elle meurt à Bagnères-de-Bigorre le 3 août 1957

    Aquarelles de : Blanche Odin

     

    Enfant, elle est pensionnaire au couvent des Ursulines.

    Elle décide vers l'âge de vingt ans de se consacrer à la peinture et devient vers 1890 l'élève de l'aquarelliste Madeleine Lemaire à Paris, à une époque où l'école des beaux-arts est fermée aux femmes. Elle suit en 1895 les cours d'Ulpiano Checa.

     

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    À partir de 1902, elle ouvre à Paris un atelier, au 21, rue du Vieux-Colombier, qui connaît un grand succès. Elle expose ses œuvres à la galerie Petit à Paris et réalise de nombreuses œuvres de commande, en particulier des bouquets de fleurs.

     

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    En 1934, elle décide de s'installer à Bagnères-de-Bigorre. Son atelier se situe au 6, rue Gambetta.

    En 1938, elle fait don de quarante-huit aquarelles au musée Salies.

     

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    Un critique de l'époque a écrit : « Sous son pinceau, qui a à la fois de la grâce et de la virilité, les fleurs dans leur infinie variété s'épanouissent avec autant de généreux éclats de saveur. Elles sont telles qu'elles sont présentées, un enchantement pour le regard, qui va des unes aux autres, sans arriver à se fixer ici ou là. »

     

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    Après sa mort, elle garde la faveur de nombreux admirateurs de son art. Peu à peu, l'apparition régulière de nombre de ses œuvres sur le marché participe à une nouvelle notoriété. Elle est aujourd'hui reconnue comme une des plus grandes aquarellistes de sa génération. 

     

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