• 2914 Pont AvenCHARMES DISCRETS
    En se vouant à l'art, Pont-Aven n'a pas perdu pour autant sa vieille ame celtique. Il suffit de quitter le centre du village pour découvrir ses monuments mégalithiques (en particulier des blocs énigmatiques appelés "Tombeaux des Géants"), ses pittoresques chapelles anciennes et les charmes agrestes du Bois d'amour, il faut aussi suivre les rives de l'Aven, la rivière qui traverse le bourg pour découvrir quelques-uns des anciens moulins qui assuraient jadis sa prospérité et, vers le sud, un joli port de plaisance qui commence là où l'Aven s'épanouit en une belle ria aux contours capricieux. Car, bien que situé à 7 km de la mer ouverte, Pont-Aven a toujours senti l'appel du large et fut longtemps un port de commerce. Aujourd'hui, on y voit une foule de barques pimpantes, amarrées devant des jardins ornés d'hortensias et de tamaris. pont-aven  0102PontAven
    UN TOURNANT DANS L'HISTOIRE DE LA PEINTURE
    Lors des quatre séjours qu'il fait à Pont-Aven de 1886 à 1889,Gauguin est frappé par les audaces picturales d'Emile Bernard, son cadet de vingt ans. De leurs discussions et de leur émulation nait un style privilégiant l'usage ses couleurs pures et la technique des aplats, qui aboutira à une schématisation symbolique. C'est ce qu'on appelle l'Ecole de Pont-Aven, dont les innovations ont influencé bien des peintres, notamment les nabis Maurice Denis et Paul Sérusier, et ont préfiguré l'art moderne.Pontaven4pontaven2

















    LA FETE DES FLEURS D'AJONC
    Le premier dimanche d'Aout, Pont-Aven est en ébullition ! On y célèbre la première fete instituée en Bretagne pour valoriser le patrimoine. C'est en effet en 1905 que Théodore Botrel, le fameux auteur de la "Paimpolaise" créa cette fete des fleurs d'ajonc au bénéfice des pauvres de la région. Chaque année depuis lors, un grand "fest noz" avec défilés, spectacles folkloriques, danses, concets attire ici une foule énorme dans cette atmosphère de gaité et de ferveur dont les bretons ont le secretgauguin-pont-avenpontaven

















    A LA DECOUVERTE DE PONT-AVEN
    Si vous arrivez en voiture, garez-vous tout de suite . Dirigez-vous d'abord vers le centre, marqué par le pont principal, qui a donné son nom à la localité. Vous découvrirez la place Paul Gauguin, puis celle de l'Hotel de Ville. Suivez alors la promenade le long de la rivière. Redescendez vers le centre en flanant dans les galeries d'art et visitez le musée. Dirigez vous ensuite vers le port et ne vous privez pas des galettes locales.washerwomen at pont-aven-400
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  • rochefort-en-terre  LE COEUR SPIRITUEL DE LA CITE
    Fondée au XIIe siècle, l'église Notre-Dame-de-la-Tronchaye conserve de cette époque
    un clocher roman. Erigée en collégiale à la fin du XV siècle , l'église se transforme au XVIe siècle, puis s'agrandit les deux siècles qui suivent. Beau témoignage de l'architecture religieuse bretonne, elle renferme notamment un remarquable jubé, servant aujourd'hui de cloture à la tribune, dont les panneaux sculptés d'un réseau d'arcatures flamboyantes, s'encadrent entre des traverses ornées de motifs végétaux.

    PIC 0473

    ENVAHIE PAR LES FLEURSRochefort-en-terre Rue Ot Rochefort-en-terre

    En 1913, Alfred Klots offrit à chaque habitant du village des boutures de géraniums cultivées dans les serres du chateau, afin qu'ils décorent leurs fenetres. Cette initiative a eu une belle postérité et Rochefort s'énorgueillit aujourd'hui de l'abondance de ses lierres, de ses géraniums et de ses glycines qui, jetant une touche de couleur sur ses vénérables façades, valent à la petite cité la réputation flatteuse de village particuliérement fleuri. 




    UNE CITE D'ART ET DE TOURISME
    Les enseignes en métal peint, qui signaient, à la mode médiévale, boutiques, ateliers d'artisans et galeries, illustrent l'attraction touristique de la cité, fréquentée dès le milieu du XIX e siècle  par des artistes. L'un d'eux, un Américain nommé Alfred Klots, qui séjourna réguliérement à l'hotel Lecadre, s'éprend de Rochefort  au point d'acquérir les anciens communs du chateau, qu'ils transforma en un beau manoir de style Renaissance. Acquise en 1976 par le Conseil général du RochefortSignA2003Morbihan, la demeure, point de départ idéal pour une visite de la ville, abrite un musée de la vie locale.
    RochefortStreet2003
    A LA DECOUVERTE DE ROCHEFORT-EN-TERRE
    Après avoir visité le chateau et son musée, descendez vers la ville par le chemin des Douves qui longe les remparts et gagnez sur la droite la place du Puits, le long de laquelle vous admirerez la maison du Sénéchal (XVIIIe siècle) et l'Hostellerie du Lion d'Or (XVIe siècle). Par la rue du Porche, obliquez vers la Place des Halles qui vous conduira vers l'ancien lavoir et la Porte de l'Etang. Revenant sur vos pas vous arriverez à la Collégiale Notre-Dame.......rochefort08   
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  • roche

    Autrefois dominé par son chateau, détruit à la Révolution, Rochefort étage aux flancs d'un éperon schisteux ses pittoresques maisons anciennes. Riches de son patrimoine et de ses traditions, le petit bourg incarne, à sa manière, la Bretagne éternelle.

    Chaque année, le Dimanche qui suit la fete du 15 Aout, Rochefort célèbre le pardon. Arborant bannières et statues, la foule recueillie parcourt les rues escarpées de la cité au son des cantiques et des clochettes, avant de se rassembler dans la collégiale Notre-Dame pour y entendre la messe. En ce jour de dévotion, passé et présent semblent se rejoindre par la grace de ce cérémonial immuable.....

    AU PIED DU CHATEAU
    Aujourd'hui disparu, le chateau de Rochefort est intimement lié à l'histoire de la cité. Un donjon de pierre est irigé dès le XIIe siècle au sommet de la colline, surplombant un petit villge situé en bordure de la Grée. A l'ombre des murailles de la forteresse, et à proximité d'une église dédiée à Notre-Dame, se développe bientot le bourg neuf, résidence des officiers seigneuriaux et du clergé. La ville basse, dédiée à l'artisanat et au commerce, est intégrée au XVe siècle dans une ceinture de remparts qui protège la ville. Le chateau, passé aux Rieux, turbulents seigneurs bretons, puis aux Coligny, grande dynastie protestante , est démantelé à deux reprises, en 1488 et 1594, avant d'etre démoli presque intégralement par les Républicains en 1793. rochefort en terre 051 op 337x600UNE ARCHITECTURE PRESERVEE
    Dans la ville haute, massée au pied des remparts de l'ancien chateau, les étroites rues pavées et les escaliers montant à l'assaut de la colline invitent à la flanerie. Maisons à pans de bois, demeures gothiques et Renaissance de schiste et de granit aux délicates ciselures de pierre, élégants hotels particuliers de style Louis XV prennent un caractère féerique, à la nuit tombée, lorsque, durant les mois d'été, la ville vit à l'heure des "Chemins de Lumière".RochefortStreet2003  

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  • candes-int
    LA COLLEGIALE SAINT-MARTIN
    Batie à partir de 1175 sur l'emplacement exact où Saint-Martin rendit son dernier soupir, la collégiale résulte de plusieurs campagnes de travaux. La chapelle Saint-Martin, le choeur et le transept couverts de voutes ogivales de style angevin datent de cette époque. Au début du  XIIIe siècle, le nouveau maitre d'oeuvre, baptisé Maitre de Candes, modifie le programme : il réalise une nef composée de trois vaisseaux 'sculptures et décor polychrome) sur ce qui était à l'origine un unique vaisseau central. La façade principale est alors enrichie d'un porche monumental richement sculpté.

    LA DOUCEUR DE VIVRE
    candes2Dans ce village de Loire, tout respire la douceur : les lignes floues des bancs de sable s'étirant sur le fleuve, la subtile lumière du ciel, les reflets argentés de l'eau.
    Séduits par ce cadre paisible plusieurs artisans (céramistes, orfèvre, potier) se sont installés dans le bourg. Chaque deuxième dimanche de novembre, jour de la Saint-Martin, ils exposent leurs oeuvres dans la rue avec d'autres artisans venus de toute la région. Concerts de musique et dégustations de produits locaux se succèdent tout au long de la journée. En été également, la fete champetre du deuxième dimanche d'aout attire de nombreux visiteurs qui se melent aux 300 habitants de Candes, notamment pour la course d'anes. Toute l'année enfin, la collégiale abrite des concerts de musique en tout genre (classique, jazz...)candes-saint-martin-7 
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  • candes1
    Aux confins de la Touraine et de l'Anjou, Candes-Saint-Martin s'est développé entre Loire et Vienne. Ses maisons de Tuffeau blotties au pied d'une vaste collégiale rivalisent de beauté, au coeur d'un paysage ligérien qui respire la douceur et l'harmonie.0000000487 2
    En 397, Martin, éveque de Tours tombe malade et meurt à Candes, entouré de ses disciples. Un pélerinage en l'honneur de celui qui a fait triompher le christianisme dans l'ouest de la Gaule va faire la renommée de ce petit village des bords de Loire.

    UN VILLAGE DE MARINIERS
    Si le pélerinage a disparu sous la Révolution, l'élégante silhouette de la collégiale construite au XIIe siècle à l'emplacement de la maison du saint domine toujours la bourgade. Remaniée au XIIIe siècle et fortifiée au XVe siècle, elle doit son cachet à sa riche décoration et au mariage d'éléments anciens (chapelle Saint Martin, choeur) et plus récents (porche monumental, triple nef). Au pied du sanctuaire, les maisons, dont certaines remontent au XVe siècle, composent une belle harmonie d'ardoises bleutées et de pierre blanche. Ce tuffeau tendre, qui a servi à construire nombre de chateaux du Val de Loire, a permis de réaliser des façades très ouvragées. Dans le haut du village, les habitations troglodytiques creusées dans la falaise rappellent l'origine très ancienne du bourg. On y jouit d'un magnifique panorama sur la Loire et la Vienne. collegialecandes3
    Dans le bas de Candes, les vieilles maisons de mariniers bordent les anciennes cales. Elles rappellent l'époque où le village alors fortifié, était un port actif, animé par la peche et la batellerie. Les cris des mariniers ont cessé et le fleuve, qui fait toujours le bonheur des pecheurs, a retrouvé sa quiétude. Amarrés le long des cales, les bateaux traditionnels de la Loire, gabares et toues, sont désormais destinés aux promenades sur le fleuve.Chinon----Candes-Saint-Martin-1 
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  • 26-09-05@08h28656957544
    DES MARINIERS AUX CARRIERS
    Depuis la place du Mail, toujours aussi animéee avec ses cafés et son marché du dimanche matin, on accède aux anciens quais. Ici débue également la route qui mène à la célèbre abbaye de Fontevraud qui eut pour première abbesse une dame de Montsoreau. Le long des ruelles qui mènent vers l'église, lieu des concerts de la "saison musicale", roses trémières et lierres envahissent murets et maisons pour certaines troglodytiques, qui s'encastrent dans la falaise. Les plus anciennes d'entre elles (XVe siècle) bordent le chemin des Caves et la ruelle des Perreyeurs. Ce nom évoque les carriers qui, au XIXe siècle, profitèrent de l'engouement pour cette pierre miraculeuse. Aujourd'hui, les anciennes carrières ont été converties en champignonnières ou servent à l'élaboration des vins de Saumur-Champigny et des Blancs de Saumur, issus des précieux vignobles qui s'étirent au sommet des coteaux. 
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    LA DAME DE MONTSOREAU
    Du chateau à la ruelle Bussy-d'Amboise, les lieux et les ruelles ne se lassent pas d'évoquer l'histoire tragique de Françoise de Maridor, la célèbre Dame de Montsoreau. Dans la nuit du 18 Aout 1579, son amant, Bussy d'Amboise, est assassiné au chateau de la Coutancière, victime du complot fomenté par son époux Charles de Chambes, seigneur de Montsoreau. Au XIXe siècle, Alexandre Dumas s'empare de la légende dans un roman qui immortalisera cette Dame de Montsoreau.
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  • Mongolfiere Anjou

    Entre coteaux et fleuve, Montsoreau sommeille au pied de son imposant chateau, immortalisé par Alexandre Dumas. Les lumières de Loire et le tendre tuffeau qui habille ses maisons participent au charme de ce petit bourg posé au seuil de la Touraine;

    Les gabares et les mariniers ont depuis longtemps quitté le port fluvial, et ce sont désormais les chineurs et les antiquaires qui donnent vie aux berges.
    Chaque second dimanche du mois, été comme hiver, les quais de Loire accueillent depuis dix huit ans les Puces de Montsoreau. Célèbres dans toute la région, elles rassemblent une soixantaine d'exposants et de nombreux visiteurs.

    UN ANCIEN PORT DE COMMERCE
    Sublimépar son élégant chateau, qui mele architecture défensive et élégance Renaissance. Montsoreau étale ses maisons de tuffeau et d'ardoise sur la rive gauche du fleuve. Au Moyen-Age, on distinguait encore le port de Rest-sous-Montsoreau, village pecheur situé autour de l'église actuelle, et les maisons plus nobles qu'enserrait l'enceinte du chateau. C'est dans ce vieux quartier que négociants et armateurs, enrichis grace au commerce du port où transitaient jusqu'au XIXe siècle des milliers de bateaux remplis de denrées en tous genres, se sont fait édifier leurs demeures. Près du chateau, les ruelles pavées qui s'élèvent à flanc de coteau sont bordées de ces maisons anciennes pour la plupart classées, ornées de fenetres à meneaux, de tourelles et de colombages.manoir-routeentree

    LES IMAGINAIRES DE LOIRE
    Des remparts et des douves protégeaient autrefois le chateua de Montsoreau, profondément remanié au XVe Siècle dans le style de la Renaissance. Longtemps laissé à l'abandon, la demeure a fait l'objet d'importantes restaurations. Elle accueille désormais les "imaginaires de Loire", un parcours - spectacle animé qui retrace l'histoire de la Marine de Loire, évoque la dame de Montsoreau immortalisée par Alexandre Dumas ou encore la vie troglofytique. Tout au long de l'année, des expositions, des concerts et des spectacles sont organisés dans le chateau.montsoreau1 slide
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    UN VILLAGE - MUSEE
    Aujourd'hui, chacune des dix-huit chaumières du village, chaque jardin, chaque meuble est un témoignage des traditions bretonnes. Plusieurs lieux d'accueil y ont été installés, ainsi qu'un centre d'éducation à l'environnement. Des stages sont organisés tout au long de l'année pour les scolaires et les adultes, favorisant la découverte des milieux naturels du bocage et des marais, et mettant l'accent sur la photiographie ou la peinture. Le succès est au rendez-vous : entre mai et septembre, ce sont plus de trois cent mille personnes qui viennent découvrir Kerhinet, avec ses jardinets fleuris et ses coquettes chaumières aux volets colorés, parcourent son petit musée ou fréquentent la chaumière des Saveurs et de l'Artisanat. De juin à début septembre, le grand marché aux produits du terroir, organisé chaque jeudi, attire également une foule nombreuse. kerhinet 2 large

    A LA DECOUVERTE DE KERHINET
    Douze tableaux disséminés dans le village évoquent l'histoire de Kerhinet. Passé le petit parking, suivez l'allée principale et commencez par la visite du musée qui présente un intérieur breton typique des années 1900 et qui vous permettra de mieux saisir les détails architecturaux des chaumières. Parmi les différentes maisons vous identifierez le gite et le centre de documentation réservés à l'accueil des enfants, l'auberge et le récent petit hotel situé à l'arrière ; ainsi que la chaumière des Saveurs. A gauche, un petit chemin s'enfonce sous les arbres et conduit à la mare. A la sortie du village, jetez un oeil à la croix, l'une des plus anciennes de Brière (XVII ou XVIIIe siècle)......kerhinet 1 large 
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    Dépendant du bourg de Saint-Lyphard; à deux pas des marais, le hameau de Kerhinet est un superbe témoignage de l'architecture bretonne traditionnelle. Rebaties par le parc naturel régional de Brière; ses chaumières sont devenues une véritable attraction.

    Les marais sont à deux pas; les roselières bruissent dès l'aube de l'envol rapide des sarcelles ou de celui, plus lent, du héron. Les paysans de Kerhinet venaient autrefois y récolter les jons et les roseaux qui, une fois séchés, fournissaient le chaume de leurs toitures. Mais, avec le dépeuplement du village, le marais a recouvré son calme.

    UNE RECONSTRUCTION A L'IDENTIQUEvillage-kherinet-007.jpg 

    Dès sa création en 1970, l'un des objectifs du premier parc naturel régional de Brière fut de mettre en valeur le patrimoine bati des marais et de redonner vie à un village emblématique des traditions bretonnes. Ainsi fut choisi Kerhinet, minuscule hameau situé au coeur du bocage, entre marais salants de Guérande et de la Brière. Autrefois peuplé de paysans et de tisserands, progressivement délaissé après la Seconde Guerre mondiale; le village était abandonné et ses maisons, en ruine. Le parc racheta en 1974 la plupart des terrains et les maisons du bourg -deux d'entre elles sont toutefois restées la propriété de personnes privées - et entreprit la restauration du village. Le chantier s'étendit sur une dizaine d'années, car, outre les chaumières, rénovées avec les gestes et les techniques d'autrefois, il fallut aussi relever les dépendances (écuries et granges); les puits et fours communs, nettoyer la mare (ancien abreuvoir pour les betes, réserve d'eau, lavoir....). Il fallut enfin redonner au boccage son visage en redessinant les haies et en replantant les essences locales : chene, osier, saule, aubépine, sorbier...... 
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  • alure.1151071080.03 port-de-joinville
    UN VILLAGE DE PECHEURS
    A Port-Joinville, les couleurs des bateaux font écho à celles des volets des maisons de pecheurs, blanchies à la chaux et coiffées de tuiles creuses, que l'on aperçoit tout au long des quais et des ruelles du bourg, bordées de coquettes boutiques. Des jardinets où fleurissent les roses trémières se blotissent derrière les façades entourées de cours. Sur les hauteurs , l'église au gros clocher carré rappelle que le sanctuaire devint le siège du doyenné au milieu du XIXe siècle. Sur le port se succèdent les terrasses des cafés, une halte s'impose pour prendre un verre , déguster des "patagos", ces coquillages que l'on ne trouve qu'à l'ile d'Yeu, et s'imprégner de l'atmosphère vivante des quais avant d'aller faire un tour au marché quotidien.maison1Un coup d'oeil attentif à la statue de la Norvège qui orne la place rapelle que les Islais envoyèrent des sauveteurs à un bateau norvégien, torpillé en 1917  par vaisseau allemand. On peut également aller faire un tour au Musée de l'Historial qui relate les dernières années du Maréchal Pétain sur l'ile : condamné à mort en 1945, il fut incarcéré à la citadelle et mourut à l'ile d'Yeu à l'age de quatre-vingt-quinze  ans. On voit toujours sa tombe dans le cimetière de Port-Joinville.nuit
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