-
BONIFACIO (Corse du Sud) 2eme partie
AU HASARD DES
RUELLES
Composée de la vieille ville et de la citadelle, la haute ville est jalonnée d'émouvants monuments évoquant son passé guerrier ou religieux. Ouverte par Napoléon III, la route d'accès domine le
goulet de Bonifacio, où se nichent les ports de plaisance, de peche et de commerce. Elle conduit à la porte de France, qui donne sur la vieille ville : les ruelles à l'atmosphère médiéval sont
parfois si étroites que les balcons des maisons se touchent presque, notamment autour de l'église Sainte-Marie-Majeure, batie au XIIe siècle et maintes fois remaniée. Al'époque génoise, la loggia
qui en constitue le porche servait à rendre la justice. Il faut arpenter les ruelles le nez en l'air pour découvrir les blasons sculptés, arcades et autres détails architecturaux qui enjolivent les
façades. Rue Saint-Dominique, l'église du meme nom compte parmi les rares sanctuaires de style gothique de Corse. A l'estémité de la presqu'ile se dresse le Bosco, ancien bois qui encerclait le couvent Saint-François. Les batiments du
XIIIe siècle abritent aujourd'hui une école de musique. Non loin, le cimetière marin constitue une véritable petite ville avec ses chapelles funéraires hautes comme des maisons.
A LA DECOUVERTE DE BONIFACIO
Visitez la ville haute à pied. Une fois passé le Bastion, perdez-vous dans les étroites ruelles, notamment dans la rue des Deux Empereurs qui abrite la maison de Napoléon 1er, la rue du Portonone
qui longe le jardin des Vestiges, la place du marché, haut lieu des parties de boules qui donne accès à un belvédère dominant les falaises et la mer; puis la rue Saint Dominique et l'extrémité de
la presqu'ile.
-
ce matin, j'ai mis plus d'une heure pour accéder à l'hopital pour le travail..
grosses bises