• Château et Eglise de Billy (Allier)

    Château et Eglise de Billy (Allier)

     

    Érigée à la fin du XIIe siècle - début du XIIIe, sur un piton calcaire dominant l'Allier, entrée un siècle plus tard dans le patrimoine des Bourbons, la forteresse de Billy au centre du village est l'archétype du château à cour fermée où les habitations s'appuient sur les murailles. Autrefois l'une des plus importantes des dix sept châtellenies du Bourbonnais, cette forteresse unique comptait trois enceintes protectrices.

     

    Château et Eglise de Billy (Allier)

    Château et Eglise de Billy (Allier)

    Château et Eglise de Billy (Allier)

     

    Le chemin de ronde offre une vue panoramique sur la vallée de l'Allier et les collines qui protègent le village médiéval.

     

    Château et Eglise de Billy (Allier)

     

    En en faisant le tour on peut deviner ces enceintes à la fois dans le maillage des rues du village et parmi les vestiges intégrés au bâti.

     

    Château et Eglise de Billy (Allier)

    Château et Eglise de Billy (Allier)

    Château et Eglise de Billy (Allier)

    Château et Eglise de Billy (Allier)

    Château et Eglise de Billy (Allier)

    Château et Eglise de Billy (Allier)

     

    La visite s'effectue aujourd'hui principalement à ciel ouvert ; pour autant le château n'a rien perdu de sa majesté. La cité blottie autour de la forteresse a conservé tout son charme.

     

    Château et Eglise de Billy (Allier)

    Château et Eglise de Billy (Allier)

    Château et Eglise de Billy (Allier) 

    Château et Eglise de Billy (Allier)

    Château et Eglise de Billy (Allier) 

    Château et Eglise de Billy (Allier)

    Château et Eglise de Billy (Allier)

     

    On peut voir les vestiges de la chapelle du château lors de la visite guidée.

     

    Château et Eglise de Billy (Allier)

     

    D'origine très ancienne, antérieure au château, l'église paroissiale contient divers objets classés. Les visiteurs peuvent descendre dans la crypte romane du XIème siècle, la "Cave Saint Georges", du nom du saint attaché à la source qui jaillissait au pied de l'église et parce que les vignerons y entreposaient le vin. L'église de Billy adhère au réseau européen des sites casadéens qui dépendaient autrefois de l'abbaye de la Chaise-Dieu.

     

    Château et Eglise de Billy (Allier)

    Château et Eglise de Billy (Allier)

    Château et Eglise de Billy (Allier)

    Château et Eglise de Billy (Allier)

    Château et Eglise de Billy (Allier)

    Château et Eglise de Billy (Allier)

    Château et Eglise de Billy (Allier)

    Château et Eglise de Billy (Allier)

    Château et Eglise de Billy (Allier)

    Château et Eglise de Billy (Allier)

    Château et Eglise de Billy (Allier)

    Château et Eglise de Billy (Allier)

    Château et Eglise de Billy (Allier)

     

    Château et Eglise de Billy (Allier)

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  •  

    " Printemps " poème de Victor Hugo

     

    " Printemps " poème de Victor Hugo

     

    " Printemps " poème de Victor Hugo

     

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  • Château de Villeconin (Essonnes)

    Château de Villeconin (Essonnes)

     

    Le château de Villeconin a été construit à la fin du 14ème siècle par

    Jean de Montagu, surintendant des finances du roi Charles VI. Il est transformé à la Renaissance par les Cochefilet, belle-famille de Sully. A la Révolution,il est décrété bien national .Au début du 19 eme siècle, il devient  une ferme inscrite  à l'inventaire des monuments historiques en 1926. Il est acquis par Henri de Jouvencel en 1932. Son petit fils Roland de Longevialle, propriétaire actuel,  et sa famille vous font découvrir cette demeure de charme.

     

    Château de Villeconin (Essonnes)

    Château de Villeconin (Essonnes)

    Château de Villeconin (Essonnes)

    Château de Villeconin (Essonnes)

    Château de Villeconin (Essonnes)

    Château de Villeconin (Essonnes)

    Château de Villeconin (Essonnes)

    Château de Villeconin (Essonnes)

    Château de Villeconin (Essonnes) 

    Château de Villeconin (Essonnes)

    Château de Villeconin (Essonnes)

     

    Au cours de votre visite, vous admirerez la salle des gardes avec sa magnifique charpente, la bibliothèque et les souvenirs de famille,

     

    Château de Villeconin (Essonnes)

    Château de Villeconin (Essonnes)

    Château de Villeconin (Essonnes)

    Château de Villeconin (Essonnes)

    Château de Villeconin (Essonnes)

    Château de Villeconin (Essonnes)

     

     le parc riche en essences choisies par la maîtresse des lieux

     

    Château de Villeconin (Essonnes)

    Château de Villeconin (Essonnes)

    Château de Villeconin (Essonnes)

    Château de Villeconin (Essonnes)

    Château de Villeconin (Essonnes)

    Château de Villeconin (Essonnes)

    Château de Villeconin (Essonnes)

    Château de Villeconin (Essonnes)

    Château de Villeconin (Essonnes)

    Château de Villeconin (Essonnes)

     

    Château de Villeconin (Essonnes)

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  • Peinture de : PierreJouffroy

     

    Pierre Jouffroy est né le 21 septembre 1912 à Voujeaucourt, il est le 13e enfant (sur 14) d'une famille de menuisiers-charpentiers originaire de la vallée de la Loue .Il est décédé en 2000

     

    Peinture de : PierreJouffroy

    Peinture de : PierreJouffroy

     

    Son grand-père François accompagnait Gustave Courbet « sur le motif » en lui portant son matériel. Attiré très jeune par la peinture, autodidacte, il expose dès 1931 au Salon des indépendants à Paris où il est très vite reconnu. Lauréat de plusieurs grands prix (dont celui de La Critique en 1944), ses œuvres sont acquises par de nombreux musées français et internationaux ainsi que de grands collectionneurs.

     

    Peinture de : PierreJouffroy

    Peinture de : PierreJouffroy

    Peinture de : PierreJouffroy

    Peinture de : PierreJouffroy

    Peinture de : PierreJouffroy

     

    Dans son atelier de Montbéliard puis dans son Château de Belvoir , Pierre Jouffroy a peint de nombreuses toiles Sa dernière exposition à Paris a lieu à la galerie Daber en 1976 et à Besançon en 1980.

     

    Peinture de : PierreJouffroy

    Peinture de : PierreJouffroy

    Peinture de : PierreJouffroy

    Peinture de : PierreJouffroy

    Peinture de : PierreJouffroy

     

    Le Un livre retraçant sa vie et son œuvre lui sera consacré, écrit par Michèle Haddad, préfacé par André Besson, sous le titre Pierre Jouffroy, la passion de la réalité au XXe siècle.

     

    Peinture de : PierreJouffroy

      

    Lui-même amateur d'art et collectionneur, il deviendra un spécialiste reconnu de l'œuvre de Gustave Courbet et mènera de front sa carrière artistique et la restauration du Château de Belvoir de 1955 à 2000, date de sa disparition.

     

    Peinture de : PierreJouffroy

    Peinture de : PierreJouffroy

    Peinture de : PierreJouffroy

    Peinture de : PierreJouffroy

      

    Il sera également un ardent défenseur du patrimoine, tant civil que religieux, noble ou paysan, urbain ou campagnard.château abrite, outre les œuvres du peintre, une collection de meubles tableaux anciens et d'objets d'art.

     

    Peinture de : PierreJouffroy

    Peinture de : PierreJouffroy

    Peinture de : PierreJouffroy

    Peinture de : PierreJouffroy

    Peinture de : PierreJouffroy

    Peinture de : PierreJouffroy

     

    Peinture de : PierreJouffroy

     

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  •  

    Jacqueline Lee Bouvier est née le 28 juillet 1929 à Southampton dans une famille fortunée et morte le 19 mai 1994 à New York.

     

       19 mai 1994 : décès de Jacqueline Kennédy

       19 mai 1994 : décès de Jacqueline Kennédy

     

    Passionnée d'équitation, de littérature et de poésie, elle étudie à la Sorbonne à Paris en 1949.

     

       19 mai 1994 : décès de Jacqueline Kennédy

    La propriété de ses parents

       19 mai 1994 : décès de Jacqueline Kennédy

     

     Elle épouse John Fitzgerald Kennedy en 1953

     

       19 mai 1994 : décès de Jacqueline Kennédy

       19 mai 1994 : décès de Jacqueline Kennédy

       19 mai 1994 : décès de Jacqueline Kennédy

     

    et devient la première dame des Etats-Unis de 1961 à 1963.

     

       19 mai 1994 : décès de Jacqueline Kennédy

       19 mai 1994 : décès de Jacqueline Kennédy

       19 mai 1994 : décès de Jacqueline Kennédy

       19 mai 1994 : décès de Jacqueline Kennédy

     

     Ils connaissent plusieurs difficultés pour avoir des enfants et en auront finalement deux: Caroline et John Fitzgerald Kennedy Junior. 

     

       19 mai 1994 : décès de Jacqueline Kennédy

     

    En 1963, son mari est assassiné à Dallas, à l'arrière d'une voiture. 

     

       19 mai 1994 : décès de Jacqueline Kennédy

       19 mai 1994 : décès de Jacqueline Kennédy

       19 mai 1994 : décès de Jacqueline Kennédy

       19 mai 1994 : décès de Jacqueline Kennédy

       19 mai 1994 : décès de Jacqueline Kennédy

     

    En 1968, elle devient Jackie Onassis en épousant le milliardaire grec Aristote Onassis.

     

       19 mai 1994 : décès de Jacqueline Kennédy

       19 mai 1994 : décès de Jacqueline Kennédy

       19 mai 1994 : décès de Jacqueline Kennédy

       19 mai 1994 : décès de Jacqueline Kennédy

       19 mai 1994 : décès de Jacqueline Kennédy

     

    Durant les dernières années de sa vie, elle vit à New York aux côtés de Maurice Tempelsman; 

     

       19 mai 1994 : décès de Jacqueline Kennédy

       19 mai 1994 : décès de Jacqueline Kennédy

       19 mai 1994 : décès de Jacqueline Kennédy

       19 mai 1994 : décès de Jacqueline Kennédy

      

    Elle meurt en 1994 des suites d'un cancer, à l'âge de 64 ans. 

     

       19 mai 1994 : décès de Jacqueline Kennédy

     

       19 mai 1994 : décès de Jacqueline Kennédy

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  • Framboisine

     

    Ingrédients

     

    4 oeufs

    120 g de sucre

    120 g de farine

    1/2 sachet de levure chimique

     

    Pour la mousse de framboise :

     

    500 g de framboises surgelées 

    20 cl de crème fraîche entière liquide

    4 cuillères à soupe de sucre semoule

    2 cuillères à soupe de sucre glace

    1 cuillère à café d'agar agar 

     

    Framboisine

    Framboisine

     

    Préparation

     

        Séparer les blancs des jaunes.

        Mélanger la levure à la farine.

        Dans le bol du robot, mettre les blancs d’œufs et les monter en neige.

        Quand ils commencent à bien mousser ajoutez le sucre et fouetter jusqu'à obtention d'une meringue brillante et ferme.

        Ajouter aussitôt les jaunes d’œufs et de suite la farine.

        Ne laissez pas tourner trop longtemps le robot.

        Verser la pâte dans un moule ou un cercle et mettre au four 20 minutes à 180°C (th.6).

        Démouler et laisser refroidir sur une grille.

     

    Framboisine

     

      Pour la mousse de framboise :

     

        Faire décongeler les framboises au micro-ondes.

        Écraser les framboises grossièrement pour en extraire un maximum de jus en les passants dans un tamis.

        Garder la moitié du jus ainsi obtenu et réserver.

        Passer le jus restant et la purée de framboises au blender et ajouter l'Agar-Agar, verser la purée de framboise dans une casserole, ajouter le sucre, bien mélanger et porter à ébullition, laisser bouillir environ 1 minute.

        Pendant ce temps monter la crème liquide en chantilly et lorsque ça commence à prendre ajouter le sucre glace.

        Laisser tiédir la purée de framboise et mélanger à la chantilly verser sur la génoise (que vous aurez préalablement coupée en deux et remise dans le cercle à pâtisserie ).

        Mettre au congélateur pour 1 heure environ.

        Sortir le gâteau du congélateur et porter a ébullition le jus de framboise restant en oubliant pas d'ajouter 1/2 cuillère à café d'Agar-agar.

        Laisser tiédir la préparation et ajouter sur la mousse de framboise, remettre au congélateur pour une demi-heure.

        Sortir le gâteau, décercler minutieusement et avec précaution et ensuite place à la déco .

     

    Framboisine

     

    Framboisine

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  • Fleurs sauvages et cultivées  : Genêt

    Fleurs sauvages et cultivées  : Genêt

     

    Les genêts appartiennent à plusieurs genres dont les plus connus sont Cytisus, Genista mais aussi Spartium poussant spontanément dans les pays du pourtour de la méditerranée, sauf pour les genêts à balais (Cytisus scoparius) que l'on trouve surtout dans les landes de Bretagne, du Sud-Ouest ou sur les flancs du Massif central… Tous sont rattachés à la famille des Fabacées (ex Légumineuses) aux fleurs et aux fruits caractéristiques.

     

    Fleurs sauvages et cultivées  : Genêt

    Fleurs sauvages et cultivées  : Genêt

    Fleurs sauvages et cultivées  : Genêt

    Fleurs sauvages et cultivées  : Genêt

    Fleurs sauvages et cultivées  : Genêt

    Fleurs sauvages et cultivées  : Genêt

    Fleurs sauvages et cultivées  : Genêt

    Fleurs sauvages et cultivées  : Genêt

    Fleurs sauvages et cultivées  : Genêt

     

    Leurs fleurs ressemblent à des papillons et leurs fruits sont des gousses (comme pour les petits pois) qui sèchent à maturité et s'ouvrent en fin d'été en projetant au loin les graines. Tous ont une floraison particulièrement abondante le plus souvent sur des tons de jaune vif, mais aussi parfois de blanc, de rose ou teintés d'orange ou de pourpre qui égaie les jardins dès le début du printemps pour les Cytisus et en été pour les Genista.

     

    Fleurs sauvages et cultivées  : Genêt

    Fleurs sauvages et cultivées  : Genêt

    Fleurs sauvages et cultivées  : Genêt

    Fleurs sauvages et cultivées  : Genêt

    Fleurs sauvages et cultivées  : Genêt

    Fleurs sauvages et cultivées  : Genêt

     

    Enfin, quelle que soit leur taille, ils poussent en touffes plus ou moins rondes ou buissonnantes pouvant atteindre en culture 1 à 2 m de haut et autant de large. À l'état sauvage dans leurs zones de prédilection, leur taille peut être nettement supérieure. Il existe cependant des espèces et variétés de tailles inférieures, telles Cytisus scoparius ssp maritimus au port ne dépassant pas plus de 20 cm de haut ou rampantes comme Genista lydia aux feuilles caduques et à la croissance assez lente atteignant au maximum 30 cm de haut.

     

    Fleurs sauvages et cultivées  : Genêt

    Fleurs sauvages et cultivées  : Genêt

    Fleurs sauvages et cultivées  : Genêt

    Fleurs sauvages et cultivées  : Genêt

     

    Les rameaux de l'année sont souples et verts et les autres deviennent fréquemment ligneux. Ils sont souvent entièrement recouverts de fleurs. Les feuilles de Cytisus sont composées de 3 folioles alors que celles de Genista sont simples.

     

    Fleurs sauvages et cultivées  : Genêt

    Fleurs sauvages et cultivées  : Genêt

    Fleurs sauvages et cultivées  : Genêt

    Fleurs sauvages et cultivées  : Genêt

     

    Rustiques et résistants aux maladies comme à la sécheresse, ils sont très faciles à cultiver au jardin où ils vous permettront de constituer de magnifiques massifs, bordures ou haies coupe-vent florifères et odorants. À noter cependant que leur durée de vie ne dépasse pas les 4 ou 5 ans ce qui peut vous amener à les remplacer s'ils ne se sont pas reproduits spontanément.

     

    Fleurs sauvages et cultivées  : Genêt

     

    À retenir également l'usage traditionnel comme plante médicinale du genêt à balais pour ses propriétés tonicardiaques et diurétiques principalement. Attention toutefois aux troubles digestifs possibles provoqués par leur ingestion à trop forte dose. Mais les genêts à balais contiennent peu de spartéine cet alcaloïde qui, à fortes doses comme dans le genêt d'Espagne, est toxique pour le cœur.

     

    Enfin, le genêt à balais, comme son nom l'indique, était utilisé il n'y a pas si longtemps que cela dans les zones rurales pour la confection des « escoubes », ces balais rustiques et grossiers mais très résistants.

     

    Fleurs sauvages et cultivées  : Genêt

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    Fleurs sauvages et cultivées  : Genêt

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  • Levroux

    Levroux

     

     Ville vieille de plus de 2 000 ans, Levroux est le fief d’un savoir-faire ancestral qui a transformé la charmante cité en capitale artisanale du cuir.

     

    On entre dans Levroux par la porte de Champagne, ainsi nommée car elle ouvre sur les étendues céréalières de la Champagne Berrichonne alentours.La porte de Champagne est le dernier vestige des 7 portes , elle témoigne des fortifications qui entouraient la ville par un mur d'enceinte. Elle date du XVe siècle, à cette époque le roi Charles VII avait autorisé sa construction, en utilisant notamment une taxe pour son financement.

     

    Levroux

    Levroux

    Levroux

    Levroux

    Levroux

    Levroux

     

    Ses ruelles médiévales conduisent jusqu’à la sublime Collégiale Saint-Sylvain, Magistrale, elle date de la fin de l’époque romane et du début de l’époque gothique. Ne pas manquer son superbe buffet d'orgues (1502), ses stalles classées de la fin du XVème siècle et ses statues en bois polychrome du XVIème siècle et ses vitraux

     

    Levroux

    Levroux

    Levroux

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    Levroux

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    Levroux

    Levroux

    Levroux

    Levroux

    Levroux

     

     la maison à pan de bois du 15ème siècle,

    Maison gothique dont le 1er étage est construit en encorbellement. Cette maison servait de halte aux pèlerins qui se rendaient à Saint Jacques de Compostelle.

    Cette maison, construite entre 1492 et 1495, aurait appartenu à Catherine de Médicis qui, l'aurait offerte aux pèlerins de Saint Jacques.

    Les poteaux d'huisserie, traités comme des colonnettes torsadées, sont couronnés de bustes de personnage sur fond d'écailles portant des écus où l'on reconnaît un dauphin et trois fleurs de lys.

     

    Levroux

    Levroux

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    Levroux

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    Levroux

    Levroux

     

     les ruines du Château des Seigneurs de Levroux, Il ne reste plus grand-chose du château féodal de Levroux. Seul le châtelet montre encore ses deux grosses tours qui entourent l'entrée principale, où se trouvait le pont levis. Les fenêtres renaissances percées dans les tours, ainsi que les blasons posés au dessus de la porte montrent que le château avait été transformé en résidence. Ces blasons sont ceux de Jacquette de Peschin et de Bertrand V de la Tour d'Auvergne, propriétaires du château au XVème siècle. 

     

    Levroux

    Levroux

    Levroux

    Levroux

    Levroux

    Levroux

    Levroux

    Levroux

    Levroux

     

     et le quartier des mégissiers. Aujourd’hui, Levroux produit essentiellement pour l’industrie du luxe qui a gardé son allure typique, employait plus de 800 personnes à la fin du 19ème siècle. Des 53 mégissiers, parcheminiers, tanneurs et négociant d’avant 1914, il n’en reste aujourd’hui que 3, dont Bodin Joyeux, seul mégissier en France à suivre toutes les étapes de fabrication, de la peau brute au produit fini.

     

    Levroux

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  • Cologne (Gers)

    Cologne (Gers)

     

    La bastide de Cologne, ville nouvelle du Moyen Âge, fondée en 1284, présente un caractère pittoresque, avec sa place centrale entourée de maisons typiques aux façades alternant brique toulousaine et pierre de Lomagne.

     

    Cologne (Gers)

    Cologne (Gers)

    Cologne (Gers)

    Cologne (Gers)

    Cologne (Gers)

    Cologne (Gers)

    Cologne (Gers)

    Cologne (Gers)

    Cologne (Gers)

    Cologne (Gers)

    Cologne (Gers)

    Cologne (Gers)

    Cologne (Gers)

      

    Au milieu de la place, la superbe halle du XIVe siècle, surmontée d'un clocheton, abrite une mesure à grains en pierre datant du XVe siècle.

     

    Cologne (Gers)

    Cologne (Gers)

    Cologne (Gers)

    Cologne (Gers)

    Cologne (Gers)

    Cologne (Gers)

    Cologne (Gers)

    Cologne (Gers)

    Cologne (Gers)

    Cologne (Gers)

    peinture de Serge Delfau

     

    L'église Notre-Dame de l'Assomption est érigée au cours du 14e siècle, quelques années après la fondation de la bastide en 1284 par Philippe le Bel et Odon de Terride. Elle semble participer au système défensif de la ville dont on sait l'édification autour de 1350

     

    Cologne (Gers)

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