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Par chezmamielucette le 10 Février 2020 à 00:00
Alexander Zavarin, 1954 ~ Peintre paysagiste
Alexander vit et crée la plupart de ses œuvres à Moscou, en Russie. Il est diplômé de l'Université des Arts et de l'Industrie de Stroganov Moscou ( Stroganovka ) et membre actif de l'Union russe des artistes. Il participe fréquemment à diverses expositions d'art collectives et individuelles en Russie. Alexander s'est en fait passionné pour le dessin pendant son service dans l'armée russe.
Pendant quelques années après son service militaire, il a été concepteur artistique associé à Mosfilm, le studio de cinéma d'État russe. Malgré de longues heures de travail, il a continué à étudier le dessin à l'école du soir. À 26 ans, il entre à l'Université d'art de Stroganov. Alors qu'un étudiant Alexander travaillait principalement sur la maîtrise de ses compétences en dessin tandis que sa passion pour la peinture à l'huile est venue plus tard quand il a appris lui-même à peindre.
Alexander peint dans différents styles avec les bordures de style jouant et s'entrelaçant les uns avec les autres. Le pinceau, sous sa main magistrale, joue avec les tons et les demi-tons, ainsi qu'avec la lumière, les effets d'ombre et les touches de couleurs douces exactes, créant des images magiques dans son paysage, nature morte, portrait ou peinture abstraite.
Ses œuvres antérieures de paysages et de natures mortes ont été réalisées dans un style réaliste, avec une tendance plus tardive à l'expressionnisme abstrait, qu'Alexandre appelle les « déviations vers le réalisme ». Ses peintures sont accrochées dans des collections privées en Russie et à l'étranger dans des pays tels que; Allemagne, Slovénie, Serbie et France. Il s'agit de la première exposition de ses peintures en Amérique et il participera au deuxième festival annuel From Russia With Arts and Culture au Newton Cultural Center du 19 au 21 avril.
Outre des expositions d'huile et de graphisme, il a participé à plusieurs peintures de décoration intérieure d'églises à Moscou et en banlieue. La nature l'a comblé de cadeaux - une personne talentueuse est talentueuse en tout - les couteaux autoproduits et les bijoux en bois d'Alexandre sont très demandés par les collectionneurs et les amis.
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Par chezmamielucette le 9 Février 2020 à 00:00
Margaret du Royaume-Uni (Margaret Rose), née le 21 août 1930 à Glamis en Écosse et morte le 9 février 2002 à Londres, est un membre de la famille royale britannique, sœur cadette de la reine Élisabeth II.
La princesse Margaret naît au château de Glamis, la demeure ancestrale de son grand-père maternel, Claude Bowes-Lyon, 14e comte de Strathmore et Kinghorne.
Elle est la seconde fille d'Albert, duc d'York (futur roi George VI), et d'Elizabeth Bowes-Lyon (dite plus tard « the Queen-Mum », « la reine mère »).
Elle est baptisée dans la chapelle privée du palais de Buckingham et a pour parrain son oncle le prince de Galles, futur Édouard VIII, et pour marraine la princesse Ingrid de Suède, devenue reine de Danemark quelques années plus tard.
En 1936, son oncle Édouard VIII abdique et le père de Margaret devient roi. Durant toute son enfance, elle est éduquée avec sa sœur par des précepteurs. Pendant la Seconde Guerre mondiale, elle reste avec sa famille au château de Windsor en dépit des nombreux bombardements à Londres et dans sa banlieue.
En 1952, son père décède et sa sœur aînée devient la reine Élisabeth II.
En 1953, Élisabeth II est couronnée.
Margaret et sa mère quittent le palais de Buckingham laissé au nouveau couple royal, et s'installent à Clarence House.
C'est à cette époque que la princesse Margaret se lie avec le group-captain Peter Townsend, pilote de chasse à la Royal Air Force, héros de la Seconde Guerre mondiale. Quoique roturier, l'homme est écuyer de l'ancien roi George VI et de la reine Élisabeth II. Il est donc admis à Buckingham Palace et dans le cercle de la famille royale. Cependant, il est divorcé et père de famille, ce qui rend tout projet de mariage impossible avec la princesse Margaret : l'Église anglicane, Église d'État, ne permet pas à l'époque le remariage d'une personne divorcée.
Pour se marier avec le group-captain, la princesse Margaret aurait dû, conformément aux règles de la cour, attendre d'avoir 25 ans, renoncer à son titre royal et à sa liste civile, puis obtenir l'autorisation du gouvernement.
Au bout de plusieurs années de romance reprise par les journaux de l'époque, Margaret annonce publiquement sa rupture avec Peter en raison de « ses devoirs envers son pays ».
Margaret devient une figure de la jet set londonienne et la cible des paparazzi de l'époque, en raison de son physique avantageux et de ses fréquentations inhabituelles pour un membre de la famille royale. Après plusieurs aventures, notamment avec John Turner qui devient par la suite Premier ministre du Canada,
elle épouse le 6 mai 1960 Antony Armstrong-Jones, photographe de métier, anobli et titré à cette occasion comte de Snowdon et vicomte Linley. Ce mariage est considéré comme le premier mariage moderne de la famille royale car parmi les invités figurent de nombreux artistes et chanteurs à la mode. Le couple s'installe dans un appartement du palais de Kensington.
De ce mariage naissent deux enfants :
David Armstrong-Jones, 2e comte de Snowdon, vicomte Linley, né le 3 novembre 1961 ;
Sarah Armstrong-Jones, née le 1er mai 1964.
En 1978, en raison des infidélités supposées de la princesse, le comte et la comtesse de Snowdon divorcent.Très vite surnommée la « princesse rebelle » en raison de ses fréquentations et de ses excès, la princesse Margaret devient une habituée des clubs londoniens et se montre volontiers en compagnie de rockeurs à la mode, notamment Mick Jagger
et les Beatles.
Elle s'installe une partie de l'année sur l'île Moustique, à Saint-Vincent-et-les-Grenadines dans les Caraïbes, où elle possède une villa. À partir des années 1980,
elle connaît de nombreux ennuis de santé en raison de son tabagisme et son alcoolisme (la presse déclare qu'elle fume 60 cigarettes par jour et boit plusieurs bouteilles de gin) ; elle doit subir l'ablation partielle d'un poumon.
Elle meurt le 9 février 2002 à l’hôpital King Edward VII à Westminster à Londres, à la suite de plusieurs accidents vasculaires cérébraux, précédant sa mère d’un peu moins de deux mois. Selon ses dernières volontés, ses funérailles sont célébrées dans l'intimité au château de Windsor, son corps est incinéré et ses cendres sont enterrées dans la chapelle Saint-Georges près de son père.
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Par chezmamielucette le 8 Février 2020 à 00:00
Ingrédients :
2 oeufs blanc et jaune séparés
40 g de sucre en poudre
250 g de mascarpone
3-4 pommes selon leur taille
15 g de beurre
1 cuillère à soupe de sucre
une vingtaine de spéculoos
1 peu de jus de pomme ou autre jus de fruitPréparer les pommes fondantes :
Eplucher les pommes et les découper en petits cubes.
Dans une poele faire fondre le beurre, faire dorer les cubes de pommes et ajouter la cuillère à soupe de sucre à mi cuisson. laisser dorer et caraméliser le tout. Les pommes doivent être fodantes mais pas réduites en compote.
Réserver.Préparer la mousse mascarpone :
Fouetter les deux jaunes d'oeuf avec 40 g de sucre pendant 4-5 minutes. Le mélange doit être blanc et doubler de volume.
Ajouter ensuite le mascarpone et fouetter encore pendant 5 minutes.
Monter les blancs en neige avec une pincée de sel. Ajouter les blancs délicatement au mascarpone en soulevant le tout avec une maryse.Dressage en verrines :
Tremper très brièvement un biscuit dans le jus de pomme, le déposer au fond de la verrine (découper auparavant le speculoos si nécessaire pour qu'il soit à la bonne taille) Déposer quelques morceaux de pomme sur le biscuit. Mettre un peu de crème sur le tout.
Mettre un autre biscuit trempé une couche de pommes, une couche de crème et ainsi de suite jusqu'à ce que la verrine soit remplie. Terminer par quelques morceaux de pomme.
Réaliser ainsi toutes les verrines. Filmer avec du film alimentaire.
Laisser au frais au moins 4 heures.
Au moment de servir, émietter un peu de biscuits sur le dessus des verrines.
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Par chezmamielucette le 7 Février 2020 à 00:00
Le genre Ismene fait partie de la famille des Amaryllidacées qui comporte également les genres Amaryllis, Clivia, Galanthus, Narcissus, Nerine… pour les plus connus.
Les ismènes, souvent encore appelées à tort hymenocallis, sont communément nommées lis araignée ou jonquilles du Pérou. Elles regroupent quelques espèces vivaces bulbeuses (et de nombreux hybrides parfois naturels) originaires des Andes (Pérou, Équateur, Bolivie).
Elles se distinguent par une floraison magnifique et insolite aux pétales arachnéens et au délicieux parfum. Leur feuillage évoque celui du clivia ou des amaryllis. Les ismènes font preuve d'une faible rusticité, appréciant un climat doux où les gelées sont rares et de courte durée. Ailleurs, il est préférable de les cultiver en pot, à l'abri dans une serre ou dans la véranda.
Les ismènes les plus couramment commercialisés sont Ismene x festalis, des hybrides naturels nés du croisement entre I. narcissiflora x I. longipetala. Leur période de végétation se situe du printemps jusqu'en automne (avril à début novembre). Hors cette période, les bulbes se plaisent au sec. En fleurs, Ismene x festalis peut atteindre 80 cm de hauteur pour un étalement de 30 à 40 cm. Le feuillage basal forme une touffe évasée constituée de larges rubans vert tendre luisant d'où émergent les tiges florales cylindriques de la fin du printemps à la fin de l'été selon le climat.
Chacune des tiges porte une ombelle d'une demi-douzaine de grandes fleurs, de 10 à 15 cm de diamètre, blanches légèrement teintées de vert au centre et délicieusement parfumées. Autour d'une couronne staminale en trompette s'étirent six longs pétales récurvés donnant à la fleur une allure de grosse araignée (à 6 pattes au lieu de 8 !).
Profitez de la beauté et du parfum des ismènes en les plantant près de la maison ou sur la terrasse, en pleine terre ou en pot. Offrez-leur la compagnie de fleurettes légères (gaura, gypsophile) ou de feuillage vert ou pourpre comme celui du fenouil qui leur servira d'écrin
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Par chezmamielucette le 6 Février 2020 à 00:00
Dans la région d'Arles, les habitations font chanter toute la gamme des teintes provençales avec leurs façades ocre jaune ou orange profond, leurs volets bleus ou verts et leurs toits rouges, elles offrent un contraste saisissant, encore plus accentué lorsque le soleil brille haut au zénith. Un paradis de couleurs qui, conjugué aux paysages et à la lumière si particulière de la Provence, a fait rêver des générations de peintres.
Des murs blanchis à la chaux.
A Paris, Toulouse Lautrec avait vanté à Van Gogh les paysages et la luminosité de la Provence. Vincent y succombe dès qu'il arrive à Arles en février 1888. En mars, il écrit à son ami le peintre Emile Bernard : "Il y aurait peut-être un réel avantage pour bien des artistes amoureux de soleil et de couleur d'émigrer dans le Midi." A Arles, il loge d'abord dans le petit hôtel Carrel de la rue de la Cavalerie, qu'il quitte en mai car l'hôtelier lui demande un prix exorbitant pour entreposer ses toiles. Il s'installe alors au numéro 2 de la place Lamartine, au bas de l'Avenue de la Gare, dans la "Maison jaune" dont il occupe l'aile droite, comportant quatre pièces dont deux petites. "C'est peint en jaune dehors, blanchit à la chaux à l'intérieur, en plein soleil, je l'ai loué à raison de 15 francs par mois", écrit-il à son frère Théo.Devant se trouve un jardin public qu'il apprécie et dont il fera le sujet de plusieurs de ses toiles.
Jaune soufre et bleu Cobalt
Dans cette maison où il croit trouver la sérénité Van Gogh rêve d'installer une coopérative d'artistes. La réalité sera toute autre.. Mais entre-temps, il la peint, en déployant des trésors de talent et de patience. Car bien qu'il réalise cette oeuvre en septembre, il lui faut batailler avec l'absence d'ombre et la dureté de la lumière dus à ce soleil toujours implacable. " Un soleil de soufre, sous un ciel de cobalt pur. Le motif est dur !. Mais justement je veux le vaincre. Car c'est terrible ces maisons jaunes dans le soleil, et puis l'incomparable fraîcheur du bleu. Tout le terrain est jaune aussi." Son séjour arlésien sera malgré cela le plus producteur en tableaux et en dessins, plus trois cents oeuvres en quinze mois !
La maison jaune elle, disparaîtra sous les bombardements le 25 juin 1944.
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Par chezmamielucette le 5 Février 2020 à 00:00
Mois de février.
Hélas ! dis-tu, la froide neige
Recouvre le sol et les eaux ;
Si le bon Dieu ne les protège,
Le printemps n'aura plus d'oiseaux !Rassure-toi, tendre peureuse ;
Les doux chanteurs n'ont point péri.
Sous plus d'une racine creuse
Ils ont un chaud et sûr abri.Là, se serrant l'un contre l'autre
Et blottis dans l'asile obscur,
Pleins d'un espoir pareil au nôtre,
Ils attendent l'Avril futur ;Et, malgré la bise qui passe
Et leur jette en vain ses frissons,
Ils répètent à voix très basse
Leurs plus amoureuses chansons.Ainsi, ma mignonne adorée,
Mon cœur où rien ne remuait,
Avant de t'avoir rencontrée,
Comme un sépulcre était muet ;Mais quand ton cher regard y tombe,
Aussi pur qu'un premier beau jour,
Tu fais jaillir de cette tombe
Tout un essaim de chants d'amour.François Coppée.
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Par chezmamielucette le 4 Février 2020 à 00:00
C’est à 28 km au nord de Rouen que se situe la localité de Clères. Celle-ci s’est créée autour de son château dont l’édification remonte au XIe siècle.
Sans doute, simple motte féodale à l’origine, c’est au XIIIe siècle qu’il serait devenu une véritable place forte. La Normandie fut un théâtre privilégié de la guerre de cent ans et c’est pendant cette période que, victime des aléas guerriers, le château de Clères fut détruit par les troupes anglaises ou leurs alliés bourguignons en 1418. Flanqué de trois tours, c’est sur des voûtes datant du XIIIe siècle, que fut érigé au XVIe siècle un élégant manoir alliant colombages, grès et damiers de briques et de silex, jouxtant, le château, reconstruit par le seigneur du lieu, Georges III de Clères, fut victime de nouvelles destructions de la part des armées du duc de Bourgogne Charles le Téméraire.
Le Parc de Clères est un parc zoologique fondé en 1919 par l’ornithologue et naturaliste Jean Delacour sur un site exceptionnel.
1400 animaux vivent dans ce parc animalier, donc près d'un millier sont en liberté. Les collections animales sont à dominante ornithologique: différentes espèce de grues, flamants, ibis, bernache, touracos ou faisans y sont conservées.
De nombreux mammifères sont présents également : Antilopes, wallabies, gibbons, pandas roux, tamarins, ouistitis et deux espèces de lémuriens (makicattas et hapalémurs d'alaotra) .
Côté jardin, Henry Avray-Tipping, architecte paysagiste anglais issu de la mouvance « Arts and Crafts », a créé des jardins devant le château à la demande de Jean Delacour. Ces terrasses restaurées depuis 2012 présentent une grande variété de vivaces aux teintes pastel (pivoines, géraniums vivaces)
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Par chezmamielucette le 3 Février 2020 à 00:00
Je m'appelle Joe Cartwright et je vous souhaite la bienvenue sur mon site Web de peinture à l'aquarelle.
Je suis un aquarelliste australien et je peins et enseigne le sujet depuis plus de 20 ans. «Painting With Watercolors» est une ressource pour mes étudiants et autres aquarellistes intéressés à approfondir leurs compétences et leur carrière artistique.
Les articles incluent, mon blog , des démonstrations de peinture à l'aquarelle , des conseils et des techniques , ainsi que des conseils sur le commerce de l'art et la vente de peintures.
Des exemples de mon art de l'aquarelle peuvent être vus dans la galerie . Mes œuvres couvrent un large éventail de sujets - paysages, paysages marins, scènes de rivière, Venise, les gens et la faune, les fleurs, les scènes de rue, ainsi que la plume et le lavage.
Je ne me sens pas enclin à me spécialiser dans une seule catégorie car presque n'importe quel sujet peut faire une œuvre d'art intéressante.
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Par chezmamielucette le 2 Février 2020 à 00:00
Philippe Claudel est né le 2 février 1962 à Dombasle-sur-Meurthe en France. Diplômé en lettres modernes, l’écrivain se passionne pour la littérature et le cinéma.
Il commence sa carrière littéraire dès 1999 avec son premier roman, Meuse l’oubli.
Avant de devenir également scénariste et réalisateur de films pour le grand écran, il publie d’autres livres, tels que Quelques-uns des cent regrets (1999),
Le Café de l’Excelsior (1999),
J’abandonne (2000) récompensé par le prix Roman France Télévision,
Barrio Flores (2000)
et Le Bruit des trousseaux (2001).
S’il connait un certain succès avec ces nombreux ouvrages, il est finalement reconnu par ses pairs du milieu littéraire en 2003 avec Les Âmes grises, qui raconte l’histoire d’un meurtre durant la Première Guerre mondiale.
En 2002, il scénarise sa première production cinématographique, Sur le bout des doigts.
Ensuite, il s’attèle à l’adaptation de son roman Les Ames grises qui parait dans les salles en 2005.
Alors qu’il se passionne pour ce nouveau milieu, il réalise et écrit le scénario de quatre autres films : Il y a longtemps que je t’aime (2008),
qui se voit récompensé du César du meilleur premier film,
Tous les soleils (2011),
Avant l’hiver (2013)
et Une enfance (2015).
Depuis, il est maitre conférence dans l’Institut Européen du Cinéma et de l’Audiovisuel à l’université de Lorraine et enseigne également à des enfants handicapés physiques et à des prisonniers. Parallèlement, il poursuit sa carrière de romancier en publiant plusieurs livres : La Petite Fille de Monsieur Linh (2005),
Le Rapport de Brodeck (2007),
lauréat du prix Goncourt des lycéens, L’Enquête (2010),
Parfums (2012), récompensé par le prix Jean-Jacques Rousseau de l’autobiographie,
Jean-Bark (2013),
Rambétant (2014)
et L’Arbre du pays Toraja (2016).
Depuis janvier 2012, Philippe Claudel siège également à l’Académie Goncourt.
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Par chezmamielucette le 1 Février 2020 à 00:00
Ingrédients : Pour 4 personnes
450 g de mangue
2 feuilles de gélatine bovine (Halal)
1 cuillère à soupe de jus de citron
50 g de sucre semoule
2 blancs d’œufs
10 cl de crème fraîchePréparation :
Monter les blancs d’œufs en neige en ajoutant le sucre peu à peu jusqu’à obtention d’un mélange homogène.
Couper la mangue en morceaux. À l’aide d’un robot, réduire les morceaux de mangues en fine purée.
Faire tremper les 2 feuilles de gélatine dans un peu d’eau.
Prélever un peu de purée de mangue et chauffer la avec le jus de citron, puis faites-y dissoudre la gélatine égouttée. Incorporer ce mélange à la purée de mangue puis ajouter la crème fraîche et mélanger.
Incorporer délicatement les blancs montés à la préparation à la mangue.
Répartir la mousse à la mangue dans des verrines de votre choix puis les laisser prendre au moins 4 h au réfrigérateur.
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