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Par chezmamielucette le 24 Juin 2018 à 00:00
Pour la Saint-Jean, les nuits campagnardes s'illuminent de gigantesques brasiers. A Paris, c'était autrefois le roi qui allumait lui-même le feu le soir de la Saint-Jean. Ce genre de tradition, qui a aujourd'hui totalement disparu des villes, perdure dans certaines communes où on érige un bûcher de bois de plusieurs mètres de haut en vue de la fête.C'est le cas de la Bretagne.
En Alsace, où la tradition de la Saint-Jean est restée très vivace, le bûcher de Bourbach-le-Bar mesure 18 mètres de haut ! Dans cette région, on appelle le bûcher une "gackel". Dans les Vosges et dans le sud de Meurthe-et-Moselle, on parle d'une "chavande".
Les herbes de la Saint-Jean étaient des herbes médicinales, cueillies autrefois par les sorciers dans la nuit du 23 au 24 juin pour préparer remèdes, philtres et maléfices. On en comptait une trentaine : le millepertuis (ou sang de la Saint-Jean, puisqu'il chasse le diable)
l'armoise, l'orpin (ou poivre de muraille), l'immortelle, la verveine, la fougère, la feuille de noyer ou le lierre terrestre.
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Par chezmamielucette le 23 Juin 2018 à 00:00
Ingrédients pour 4 pers.
4 abricots
1 pêche ou 1 kiwi
4 fraises
1 orange
quelques groseilles ou framboise
un peu de sucre
1 pot de 250 g de MascarponePréparation
Laver et sécher délicatement tous les fruits
Presser l’orange et en répartir le jus dans les 4 verres.
Couper en morceaux dans chaque verre: 1/2 abricot, 1 fraise, 1/4 de pêche.Mélanger le Mascarpone à 4 ou 5 cuillers à soupe de sucre. Le répartir dans chaque verre sur les fruits.
Mettre sur le mascarpone les fruits restants: 1/2 abricot et les groseilles.
Mettre au frais 1 à 2 h, et saupoudrer à nouveau un tout petit peu de sucre au moment de servir.
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Par chezmamielucette le 22 Juin 2018 à 00:00
Le camélia est un arbuste qui mesure entre 2 m et 4 m. Il est apprécié pour son feuillage persistant et sa floraison hivernale. En effet, cette plante offre des fleurs simples ou doubles qui ne sont pas sans rappeler les roses ou les pivoines.
Selon les variétés, elles varient entre le rouge, le rose, le blanc ou le jaune et sont parfois parfumées. Certaines fleurs sont panachées comme celles du Camélia ‘Margaret Davis’ qui apparaissent de février à mai.
Les feuilles ovales ont un élégant coloris vert sombre verni. Cet arbuste au port buissonnant a une silhouette compacte grâce à son feuillage persistant. Le Camellia se plaît en situation ombragée ou semi ombragée, dans un sol drainé et acide. C’est une plante rustique qui peut supporter jusqu’à -15°C.
Les fleurs joliment ciselées sont solitaires ou groupées par 2 ou 3 à l'extrémité des pousses. Certaines sont même parfumées. Elles peuvent mesurer de 6 à 17 cm de diamètre. On remarque que les camélias à fleurs simple sont souvent plus résistants au gel. Les fleurs, simples, semi-doubles ou doubles, ont la pointe des étamines jaune d’or.
Origine : Chine, Japon (île de Ryukyu).
Habitat : le camélia d'automne craint le calcaire. Si le sol est trop compact, apporter de la terre de bruyère.Exposition : pleine lumière. Éviter cependant l'exposition plein sud qui brûle le feuillage. Le climat océanique doux et humide convient parfaitement aux Camélias.
Rusticité : zone 6-7 (il supporte le froid jusqu'à -20°). Il est conseillé de protéger avec un voile d'hivernage et de pailler les racines car elles sont superficielles.
Taille maximale : 3 m (5 m pour certaines espèces).
Croissance : lente.
Port : érigé, ramifié, avec des branches assez emmêlées.
Écorce de couleur brunâtre et lisse.
Feuillage persistant. Une feuille de camélia persiste environ 3 à 4 ans sur l'arbuste. Feuilles alternes, simples, de forme allongée, elliptique, longues de 4 à 8 cm, sur 2 à 4 cm de large. Elles sont brillantes, claires et souples, avec une texture assez épaisse. Pétiole très court. Dessus brillant, vert foncé.
Fleurs en hiver. Couleur : rouge, rose avril-mai. La fleur est odorante particulièrement si le temps est doux.
Fruit : capsule de 2-3 cm de long (ressemblant à une petite noix dans sa bogue) contenant des graines. Le fruit n'a aucun intérêt ornemental.
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Par chezmamielucette le 21 Juin 2018 à 00:00
Voici ce qu'ils nous écrivent :
Nous avons traversé des terres inhabitées vertes de pâturages, de magnifiques (et interminables) fjords dans le nord, des falaises spectaculaires et la mer à perte de vue. Nous avons randonné sur des volcans et dans des champs de lave magnifiques, nous avons même vus des grottes de glace. Nous avons profité des "baths" islandais : les sources d'eau chaudes, un régal d'être dans une eau à 36-38 degrés quand le froid et le vent règnent en maître à l'extérieur !!! Beaucoup de paysages ne seront pas immortalisés physiquement par des photos car mauvaise luminosité mais dans nos coeur c'est certain !!!!
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Par chezmamielucette le 19 Juin 2018 à 00:00
Situé dans les Corbières, le village de Périllos dont le nom vient du catalan « perelloner », poirier sauvage, est l’un des sites les plus mystérieux des Pyrénées-Orientales.
Si la première citation du village date du XIIe siècle, il semblerait qu’il ait été occupé dès l’époque romaine. En 1246, fut rédigée la Charte de fondation du village.
Selon certaines sources, ce serait Jean 1er d’Aragon qui fit construire le château fort et l’enceinte.
Au XIVe siècle, Périllos devint une véritable seigneurie. Il connut de nombreux désagréments comme la peste, le phylloxéra, fut ravagé par les guerres…
La dernière naissance dans le village fut enregistrée en 1916.
Le dernier habitant, un berger, s’en alla en 1970.
Le 19 novembre 1971, Périllos est rattachée à Opoul pour former la commune d’Opoul-Périllos.A voir à Périllos deux édifices religieux, l'église anciennement paroissiale, et la chapelle Sainte Barbe, un peu à l'écart du village.
L'église est typiquement romane, voûtée en berceau plein cintre, avec une nef unique. L'abside est semi-circulaire, légèrement plus grand que la nef. Elle est dotée d'un clocher-mur. Aujourd'hui encore elle contient un Christ de la fin du XIXe siècle, une statue de l’enfant Jésus du XVIIIe, une autre de St Joseph également du XVIIIe siècle et au plat de quête antérieur, du XVIIe.
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Par chezmamielucette le 18 Juin 2018 à 00:00
Lucien Potronat était un peintre français surtout connu pour ses représentations de villas pittoresques dans la campagne de la Côte d'Azur.
L'artiste a peint avec une palette chaude et sourde, et a utilisé des coups de pinceau lâches comme ceux de l'impressionniste Claude Monet . Ceci est illustré dans le travail Côte d'Azur .
Né en 1889 à Lyon, en France, il y étudie l'art, puis s'installe à Paris où il commence à exposer son travail au Salon.
L'amour de Potronat pour la Côte d'Azur l'a amené à s'y installer définitivement dans les années 1930. Son travail est dans la collection du Southport Arts Centre au Royaume-Uni.
Potronat est mort en 1974.
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Par chezmamielucette le 17 Juin 2018 à 00:00
Né à Paris le 17 juin 1818, mort à Saint-Cloud le 17 octobre 1893.
la maison où il vécut à Paris
Elève d'Halévy, de Lesueur et de Paer, Prix de Rome,
Charles Gounod séjourne d'abord en Italie où il découvre la musique de Palestrina et de Bach, mais aussi celle de Lully, Gluck, Mozart et Rossini. L'amitié qui le lie à Lacordaire, le futur grand orateur dominicain, et à Charles Gay, le futur évêque de Poitiers, déclenche chez lui une crise mystique, qui lui fait un temps envisager de devenir prêtre.
Son voeu ne se réalise pas, mais il reste imprégné d'un profond sentiment religieux qui marque toute son oeuvre et, en particulier, ses messes et ses oratorios (Messe solennelle de Sainte Cécile,
Messe du Sacré-Coeur,
le retour de Tobie,
Mors et vita
Avé Maria....
"La plupart des commentateurs font de Gounod un des principaux représentant du style musical du SecondEmpire, ce que la chronologie ne saurait démentir. Le raffinement extrême de son langage, son souci du détail, l'éclectisme de son inspiration, une suavité mélodique et harmonique parfois dépourvue de fermeté se rapportent assez volontiers aux critères esthétiques grâce auxquels les historiens d'aujourd'hui tentent de définir les arts sous le règne de Napoléon III." Paul Prévost Maître de conférences à l'Université de Metz.
Œuvres :
Romeo et Juliette
Faust
Mireille
Cinq-Mars
La Nonne sanglante
La maison où il vécut à Saint-Cloud
sa tombe au cimetière d'Auteuil
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Par chezmamielucette le 16 Juin 2018 à 00:00
Voici les abords du volcan Kafla et de ses alentours
Avec une hauteur de 45 m pour une largeur de 100 m,
la chute d’eau Dettifoss est la plus puissante d’Europe.
Pour terminer la journée, ils se sont arrêté à Akureyri
dans ce café pour y prendre une bière et un burger
et regarder le match Portugal-Espagne..
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Par chezmamielucette le 15 Juin 2018 à 00:00
Palmier aux feuilles en éventail, Brahea armata est surnommé le palmier bleu du Mexique du fait de sa remarquable teinte gris-bleu. D’autres palmiers du genre Brahea sont cultivés en France, ayant tous une bonne rusticité.
Tous les palmiers du genre Erythea portent désormais le nom de Brahea. Les 15 ou 16 espèces du genre sont endémiques d'Amérique Centrale (Californie du Sud, Honduras, Guatemala, Salvador) et en particulier du Mexique pour 12 d'entre elles.Les Brahea sont tous des palmiers de bonne rusticité, hermaphrodites, à feuilles en éventail, dont la croissance est assez lente excepté chez les espèces Brahea edulis et Brahea brandegeei. On trouve ces 2 espèces en culture sur le littoral méditerranéen.
Brahea armata pousse dans les canyons et les gorges des zones désertiques du Mexique (Basse-Californie, Sonora), parfois associé aux Washingtonia filifera et robusta (dans le site près de Catavina Arroyo), et aux grands cactus des westerns appelés saguaro (Carnegiea gigantea). On le cultive au bord de la Méditerranée, dans les zones chaudes de l'Europe et même dans le Tessin (Suisse) en tant que plante ornementale.
Son tronc vigoureux gris marron possède un fort diamètre dès la base (45 cm) et pousse lentement jusqu'à 6, parfois plus de 10 m de haut.
Lorsque les bases foliaires tombent, le stipe devient annelé. La couronne se compose d'une soixantaine de palmes s'étalant sur 3 m de diamètre. Les pétioles d'environ 1 m de long, gris argenté sur le dessous et recouvert d'un duvet brun au revers, sont armés de solides épines crochues jaune clair. Les feuilles légèrement costapalmées sont coriaces et couvertes d'une cire qui leur donne un aspect bleu argenté à gris bleu sur les deux faces. Les limbes sont déchirés en segments jusqu'au centre dans toute la couronne. L'extrémité des segments est elle même bifide et parfois légèrement retombante. Les vieilles feuilles restent longtemps attachées, formant un « jupon » au sommet du stipe.
Après plusieurs décennies, de spectaculaires panicules couleur ivoire, de 4 à 6 m de long, surgissent d'entre les feuilles et retombent gracieusement sous la couronne. Elles sont composées d'une multitude de petites fleurs hermaphrodites.
Les fruits comestibles sont des drupes sphériques marron rouge de 2,5 cm de long qui prennent d'abord une teinte jaune. Ils arrivent à maturité au bout d'une année lorsque la nouvelle floraison apparaît. La graine marron mesure 1 cm de long.
Les palmes s'utilisent comme couvertures pour les habitations.
Elles servent aussi à faire des chapeaux tressés
et des couffins.
Les fruits sont consommés.
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