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    D'une ville aux rues étroites et cernées de maisons insalubres Bordeaux en Aquitaine, devient au XVIIe siècle, sous l'influence de

    Louis XIV, l'une des plus belles villes de France.

     


    Trois places y occupent les sommets d'un triangle :

    la place circulaire de Tourny,

     

      

    la place Dauphine ( actuelle place Gambetta )

     

     

    et la place de la Comédie sur l'ancien forum romain.

     


    De même, l'hôtel Saige offre un aperçu des plus belles réalisations du XVIIIe siècle.

     

     

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  • Peinture de : Jean Marc Guillaume

    Peinture de : Jean Marc Guillaume

     

    Peinture de : Jean Marc Guillaume

    Peinture de : Jean Marc Guillaume

    Peinture de : Jean Marc Guillaume

    Peinture de : Jean Marc Guillaume

    Peinture de : Jean Marc Guillaume

    Peinture de : Jean Marc Guillaume

     

    Peintre autodidacte né en 1968 à Marseille ,il expose pour la première fois à l'âge de 16 ans.Guillaume puise son inspiration dans la nostalgie des paysages de Provence dans les endroits les plus secrets.,A coup de couteau le peintre fait jaillir la lumière dans ses scènes rurales pour tuer l'oubli du temps qui passe

     

    Peinture de : Jean Marc Guillaume

    Peinture de : Jean Marc Guillaume

    Peinture de : Jean Marc Guillaume

    Peinture de : Jean Marc Guillaume

    Peinture de : Jean Marc Guillaume

    Peinture de : Jean Marc Guillaume

    Peinture de : Jean Marc Guillaume

    Peinture de : Jean Marc Guillaume

    Peinture de : Jean Marc Guillaume

    Peinture de : Jean Marc Guillaume 

    Peinture de : Jean Marc Guillaume

     

     

    Peinture de : Jean Marc Guillaume

     

    Peinture de : Jean Marc Guillaume

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    L'un des Douze, Thomas (dont le nom signifie : Jumeau), n'était pas avec eux quand Jésus était venu.
    Les autres disciples lui disaient : « Nous avons vu le Seigneur ! » Mais il leur déclara : « Si je ne vois pas dans ses mains la marque des clous, si je ne mets pas mon doigt dans la marque des clous, si je ne mets pas la main dans son côté, non, je ne croirai pas ! »

     


    Huit jours plus tard, les disciples se trouvaient de nouveau dans la maison, et Thomas était avec eux. Jésus vient, alors que les portes étaient verrouillées, et il était là au milieu d’eux. Il dit : « La paix soit avec vous ! »

     


    Puis il dit à Thomas : « Avance ton doigt ici, et vois mes mains ; avance ta main, et mets-la dans mon côté : cesse d’être incrédule, sois croyant. »

     


    Alors Thomas lui dit : « Mon Seigneur et mon Dieu ! »
    Jésus lui dit : « Parce que tu m’as vu, tu crois. Heureux ceux qui croient sans avoir vu. »

     

     

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  • Recette de cuisine : Gâteau à l'ananas

     

    Ingrédients
    pour un moule de 20 à 22 cm

     

    150 gr de farine
    110 g de sucre
    3 œufs
    1 sachet de levure chimique
    90 g de beurre à température ambiante
    1 boite d’ananas au sirop

    Caramel :

    100 gr de sucre
    30 ml d'eau
    ½ jus de citron


    décoration:


    jus de la boite d'ananas
    cerises confites ( facultatif)

     

    Recette de cuisine : Gâteau à l'ananas


    Etape de réalisation

     

    Préchauffez le four à 180°.
    Dans une casserole, mettre le sucre avec l'eau et le jus de citron, laisser cuire pendant 15 minutes jusqu'à obtention d'un caramel.
    Dans un moule à manqué légèrement beurré, tapissez le fond du moule avec le caramel liquide.
    Mettez sur le caramel les rondelles d’ananas (réservez le jus pour la décoration) .
    fouettez le beurre, le sucre et la vanille pour avoir une belle crème 
    ajoutez les oeufs un par un tout en fouettant.
    ajoutez la farine et la levure tamisée,
    Versez la préparation sur les rondelles d’ananas

    Enfournez pour 40 min.

     

    Recette de cuisine : Gâteau à l'ananas



    Sortez le gâteau du four, laissez refroidir sur une grille de refroidissement, un moment. 

    Décorez avec les cerises confites et arrosez du jus d'ananas

     

    Recette de cuisine : Gâteau à l'ananas

     

     

    Recette de cuisine : Gâteau à l'ananas

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  • Vertus médicinales des plantes sauvages : Reine-des-prés

    Vertus médicinales des plantes sauvages : Reine-des-prés

     

    La reine-des-prés est une plante altière et raffinée, reconnaissable entre toutes, qui aime les terres humides.

     

    Vertus médicinales des plantes sauvages : Reine-des-prés


    Dans son roman épistolaire "Le songe d'une femme", Rémy de Gourmont la place, en compagnie des iris et des aulnes, le long d'une rivière tranquille.

     

    Vertus médicinales des plantes sauvages : Reine-des-prés

    Vertus médicinales des plantes sauvages : Reine-des-prés


    Elle était déjà connue des botannistes médiévaux, mais c'est seulement à la Renaissance que furent découvertes ses propriétés médicinales. S'ensuivirent une époque de célébrité, puis un oubli total, jusqu'à ce qu'un curé de campagne la réhabilite au début du XIXe siècle. Dès lors, l'importance thérapeutique de la plante ne s'est jamais démentie. Des études poussées ont révélé la présence dans la plante fraîche de produits salicyclés qui lui confèrent une action bienfaisante contre les douleurs articulaires. Elle dilate aussi les vaisseaux, tonifie le coeur et accélère la diurèse. Ses nombreuses propriétés en font un excellent remède pour combatte la cellulite et l'obésité graisseuse. La reine-des-près doit être employée fraîche ou récemment récoltée et séchée. Ses fleurs très parfumées communiquent au vin ordinaire un bouquet rappelant les crus de Frontignan.

     

    Vertus médicinales des plantes sauvages : Reine-des-prés

     

    HABITAT

     

    - Europe, sauf région méditerranéenne, terrains humides, jusqu'à 1 800 mètres

     

    Vertus médicinales des plantes sauvages : Reine-des-prés

    Vertus médicinales des plantes sauvages : Reine-des-prés

    Vertus médicinales des plantes sauvages : Reine-des-prés

    Vertus médicinales des plantes sauvages : Reine-des-prés

     

    IDENTIFICATION


    - Hauteur : 1 à 1,50 mètre. Vivace

     

    Vertus médicinales des plantes sauvages : Reine-des-prés


    - Tige robuste, raide, sillonnée

     

    Vertus médicinales des plantes sauvages : Reine-des-prés


    - Feuilles grandes vert foncé dessus, blanc dessous, composées de 5 à 17 folioles, inégales, dentées, la terminale trilobées, stipules en demi-couronne dentées

     

    Vertus médicinales des plantes sauvages : Reine-des-prés

    Vertus médicinales des plantes sauvages : Reine-des-prés


    - Fleurs blanc crème ( juin-août ) petites en corymbes irréguliers, 5 sépales, 5 pétales arrondis, étamines dépassant, 5 à 9 carpelles glabres

     

    Vertus médicinales des plantes sauvages : Reine-des-prés

    Vertus médicinales des plantes sauvages : Reine-des-prés


    - Graine brune

     

    Vertus médicinales des plantes sauvages : Reine-des-prés


    - Souche noueuse, racines fibreuses

     

    Vertus médicinales des plantes sauvages : Reine-des-prés

     

    - Odeur et saveur agréables, aromatiques

     

    PARTIES UTILISEES


    - Sommités fleuries (avant épanouissement), feuilles, racines, séchage rapide, ne pas conserver plus d'un an.

     

    Vertus médicinales des plantes sauvages : Reine-des-prés

    Vertus médicinales des plantes sauvages : Reine-des-prés

    Vertus médicinales des plantes sauvages : Reine-des-prés

    CONSTITUANTS


    - Tanin, sels minéraux, salicylate de méthyle, glucosides flavoniques, vitamine C

     

    Vertus médicinales des plantes sauvages : Reine-des-prés

     

    PROPRIETES


    - Antispasmodique, astringente, cicatrisante, diurétique, sudorifique, tonique

     

    Vertus médicinales des plantes sauvages : Reine-des-prés

    Vertus médicinales des plantes sauvages : Reine-des-prés

     

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  • Provins, promenade au Moyen-Âge

     


    Entre la Marne, au Nord, et la Seine, au Sud, Provins porte les traces d'un Moyen-Âge vivant et prospère.


    La collégiale Saint-Quiriace

     

    Provins, promenade au Moyen-Âge

    Provins, promenade au Moyen-Âge

    Provins, promenade au Moyen-Âge

    Provins, promenade au Moyen-Âge

    Provins, promenade au Moyen-Âge

    Provins, promenade au Moyen-Âge

    Provins, promenade au Moyen-Âge

    Provins, promenade au Moyen-Âge

    Provins, promenade au Moyen-Âge

     

    et la Tour Cesar rappellent combien la ville était alors puissante.

     

    Provins, promenade au Moyen-Âge

    Provins, promenade au Moyen-Âge

    Provins, promenade au Moyen-Âge

    Provins, promenade au Moyen-Âge

    Provins, promenade au Moyen-Âge

    Provins, promenade au Moyen-Âge

    Provins, promenade au Moyen-Âge

    Provins, promenade au Moyen-Âge

    Provins, promenade au Moyen-Âge

    Provins, promenade au Moyen-Âge

    Provins, promenade au Moyen-Âge


    La Grange aux Dames est, elle, une somptueuse maison de marchands : sa salle basse, aux allures gothiques, servait pour le stockage pendant les foires.

     

    Provins, promenade au Moyen-Âge

    Provins, promenade au Moyen-Âge

    Provins, promenade au Moyen-Âge

    Provins, promenade au Moyen-Âge

    Provins, promenade au Moyen-Âge

    Provins, promenade au Moyen-Âge

    Provins, promenade au Moyen-Âge

    Provins, promenade au Moyen-Âge

    Provins, promenade au Moyen-Âge

    Provins, promenade au Moyen-Âge


    De nombreuses autres salles souterraines, aux entrées beaucoup plus discrètes, sont disséminées dans le sous-sol de Provins. Ce furent d'abord des carrières, dont les roches étaient utilisées pour le dégraissage de la laine.

     

    Provins, promenade au Moyen-Âge

    Provins, promenade au Moyen-Âge

    Provins, promenade au Moyen-Âge

    Provins, promenade au Moyen-Âge

    Provins, promenade au Moyen-Âge

    Provins, promenade au Moyen-Âge

     

     

    Puis ces souterrains servirent également d'entrepôts ou de refuges lors des guerres, et, enfin, de lieux de réunion des sociétés secrètes, qui y laissèrent de mystérieuses inscriptions.

     

    Provins, promenade au Moyen-Âge

    Provins, promenade au Moyen-Âge

    Provins, promenade au Moyen-Âge

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    Provins, promenade au Moyen-Âge

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  • " Sensation " poème d'Arthur Rimbaud

     

    Sensation


    Par les soirs bleus d’été, j’irai dans les sentiers,
    Picoté par les blés, fouler l’herbe menue :
    Rêveur, j’en sentirai la fraîcheur à mes pieds.
    Je laisserai le vent baigner ma tête nue.

    " Sensation " poème d'Arthur Rimbaud

    Je ne parlerai pas, je ne penserai rien :
    Mais l’amour infini me montera dans l’âme,
    Et j’irai loin, bien loin, comme un bohémien,
    Par la Nature, – heureux comme avec une femme.

     

    Arthur Rimbaud

     

    " Sensation " poème d'Arthur Rimbaud

     

    " Sensation " poème d'Arthur Rimbaud

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  • Luçon : son jardin et sa cathédrale

     

    Magnifique parc de 4ha, cité parmi les plus beaux de France, ouvert à la visite librement et toute l'année Ce jardin de 4 hectares, légué à la ville en 1872 par Pierre Hyacinthe Dumaine en même temps que les bâtiments qui abritent aujourd'hui l'hôtel de ville est accessible gratuitement aux visites selon les vœux de Mr Dumaine.

     

    Luçon : son jardin et sa cathédrale

    Luçon : son jardin et sa cathédrale

    Luçon : son jardin et sa cathédrale

    Luçon : son jardin et sa cathédrale

    Luçon : son jardin et sa cathédrale

     

    L'allée des Ifs menant vers le théâtre de verdure date de 1830. A quelques pas de là, un bassin octogonal et un kiosque à musique construits en 1907 grâce à Julien David, offrent un espace rafraîchissant et accueillant à ses visiteurs. Un peu plus bas , se logent : un étang, sa grotte et ses rocailles. Au détour de différentes allées, on débouche sur une large pelouse décorée de motifs en art topiaire représentant, pour certains, quelques unes des Fables de La Fontaine. Une orangerie complète le tout.

     

    Luçon : son jardin et sa cathédrale

    Luçon : son jardin et sa cathédrale

    Luçon : son jardin et sa cathédrale

    Luçon : son jardin et sa cathédrale


    Arbres remarquables, arbres d'alignement, arbustes, plantes vivaces et fleurs annuelles sont les atouts charme de ce jardin.
    Tout au long de l'année, le Jardin est le théâtre de nombreuses manifestations.

     

    Luçon : son jardin et sa cathédrale

    Luçon : son jardin et sa cathédrale

    Luçon : son jardin et sa cathédrale

     

    Centre religieux depuis la fin du VIIe siècle,

     

    Luçon : son jardin et sa cathédrale

     

    la ville doit également une grande partie de sa célébrité au Cardinal de Richelieu, qui en fit restaurer sa cathédrale.

     

    Luçon : son jardin et sa cathédrale

    Luçon : son jardin et sa cathédrale

    Luçon : son jardin et sa cathédrale

    Luçon : son jardin et sa cathédrale

    Luçon : son jardin et sa cathédrale

    Luçon : son jardin et sa cathédrale

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    Luçon : son jardin et sa cathédrale

    Luçon : son jardin et sa cathédrale

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  • Peinture de :

    Peinture de :

     

    John George Brown est né le 11 novembre 1831 à Durham en Angleterre.

     

    Peinture de :

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    Très tôt, la peinture l’attire mais ses parents veulent l’en dissuader en tentant de le faire entrer comme apprenti verrier, peine perdue.
    En Angleterre, Brown étudie sous William B. Scott et poursuit ses études à la National Academy of Design à New York. Il étudie à Newcastle-on-Tyne, dans l’Académie d’ Edimbourg.
    En 1853, ses parents et lui déménagent à New York City, il étudie avec Thomas Seir Cummings à la National Academy of Design où il est académicien national de 1861 à 1863.Il devient vice président de l’Academy de 1899 à 1904.Pour payer ses études il devient souffleur de verre dans Brooklyn.

     

    Peinture de :

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    En 1855, John épouse la fille de son employeur, son beau-père encourage ses talents artistiques en le soutenant financièrement pour qu’il puisse peindre à plein temps.
    En 1866, il devient l’un des membres fondateurs de la Société des Eaux-Color.

     

    Peinture de :

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    John George Brown est célèbre pour ses peintures de gamins qu’il a vu dans les rues de New York, comme les cireurs de chaussures, les vendeurs de journaux ou musiciens des rues dont les collectionneurs fortunés sont friands. Cependant, Brown a falsifié ses sujets comme toujours heureux et en bonne santé avec juste une touche de crasse pour les cosmétiques. Ces scènes étaient vraiment en dessous de sa capacité artistique car le but de Brown était de ne pas provoquer l'inquiétude sociale parmi les clients. Beaucoup de peintures de Brown ont été reproduites dans la lithographie et largement distribué avec des thés emballés.

     

    Peinture de :

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    Brown a affirmé ne jamais oublier ses origines pauvres, en disant: «Je ne peins pas les pauvres garçons uniquement parce que le public aime ces images et me paie pour eux, mais parce que, moi aussi, j’étais autrefois un pauvre garçon comme eux ».
    Brown essaie de capturer l'esprit des enfants des rues comme des personnes qui «se tirent vers le haut par leurs propres moyens."
    Brown fut l'un des peintres de genre les plus réussis de la fin du 19e siècle.

     

    Peinture de :

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    Le succès financier de Brown lui permet de peindre des paysages pour son plaisir.
    Il expose une grande partie de ses tableaux à la National Academy of Design de 1858 à 1900 où il a également enseigné pendant de nombreuses années.
    Il décède le 8 février 1913 à New York.

     

    Peinture de :

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    Sur le chemin de la croix, le Sauveur n'est pas seul, et il n'est pas entouré que d'ennemis qui le harcèlent. Il y a aussi la présence des êtres qui le soutiennent : la Mère de Dieu, modèle de ceux qui, en tout temps, suivent l'exemple de la croix ; Simon de Cyrène, symbole de ceux qui acceptent une souffrance imposée et qui, dans cette acceptation, sont bénis ; et Véronique, image de ceux que l'amour porte à servir le Seigneur.

     

     

    Chaque homme qui, dans la suite des temps, a porté un lourd destin en se souvenant de la souffrance du Sauveur ou qui a librement fait œuvre de pénitence a racheté un peu de l'énorme dette de l'humanité et a aidé le Seigneur à porter son fardeau. Bien plus, c'est le Christ, Tête du Corps mystique, qui accomplit son œuvre d'expiation dans les membres qui se prêtent de tout leur être, corps et âme, à son œuvre de rédemption.

     

     

    On peut supposer que la vision des fidèles qui allaient le suivre sur son chemin de souffrance a soutenu le Sauveur au jardin des Oliviers. Et l'appui de ces porteurs de croix lui est un secours à chacune de ses chutes. Ce sont les justes de l'Ancienne Alliance qui l'accompagnent entre la première et la deuxième chute.

     

     

    Les disciples, hommes et femmes, qui se rallièrent à lui pendant sa vie terrestre sont ceux qui l'aident de la deuxième à la troisième station. Les amants de la Croix, qu'il a éveillés et qu'il éveillera encore tout au long des vicissitudes de l'Église combattante, sont ses alliés jusqu'à la fin des temps. C'est à cela que, nous aussi, nous sommes appelées.

     

    Sainte Thérèse-Bénédicte de la Croix [Édith Stein] (1891-1942), carmélite, martyre, copatronne de l'Europe

     

     

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