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    « La colère de l'homme n'accomplit pas la justice de Dieu » (Jc 1,20)

    Le saint et illustre patriarche Joseph, renvoyant ses frères d'Égypte en la maison de son père, leur donna ce seul avis : « Ne vous courroucez point en chemin » (Gn 45,24). Je vous en dis de même : cette misérable vie n'est qu'un acheminement à la vie bienheureuse ; ne nous courrouçons donc point en chemin les uns avec les autres, marchons avec la troupe de nos frères et compagnons doucement et paisiblement. Mais je vous dis nettement et sans exception, ne vous courroucez point du tout, s'il est possible, et ne recevez aucun prétexte quel qu'il soit pour ouvrir la porte de votre cœur au courroux. Car saint Jacques dit tout court et sans réserve que « la colère de l'homme n'opère point la justice de Dieu » (1,20).

     

    « La colère de l'homme n'accomplit pas la justice de Dieu »

     

    Il faut vraiment résister au mal et réprimer les vices de ceux que nous avons en charge, constamment et vaillamment, mais doucement et paisiblement... On ne prise pas tant la correction qui sort de la passion, quoique accompagnée de raison, que celle qui n'a aucune autre origine que la raison seule. Que si la colère gagne la nuit et que « le soleil se couche sur notre ressentiment » (Ep 4,26), se convertissant en haine, il n'y a quasi plus moyen de s'en défaire. Car elle se nourrit de mille fausses persuasions, puisque jamais nul homme courroucé ne pensa son courroux être injuste.

     

    « La colère de l'homme n'accomplit pas la justice de Dieu »

     

    Il est donc mieux d'entreprendre de savoir vivre sans colère que de vouloir user modérément et sagement de la colère, et quand par imperfection et faiblesse nous nous trouvons surpris par elle, il est mieux de la repousser promptement que de vouloir marchander avec elle.

     

    « La colère de l'homme n'accomplit pas la justice de Dieu »

    « La colère de l'homme n'accomplit pas la justice de Dieu »

    Saint François de Sales (1567-1622), évêque de Genève et docteur de l'Église

     

    « La colère de l'homme n'accomplit pas la justice de Dieu »

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  • Recette de cuisine : Tiramisu à l'ananas

     

    Pour 4 personnes

    – 600 gr d’ananas
    – 250 gr de mascarpone
    – 3 oeufs
    – 50 gr de sucre
    – 8 speculoos
    – 4 cuil. à soupe de miettes de speculoos


    Sirop
    – 10 cl d’eau
    – 30 gr de sucre
    – 5cl de rhum brun
    – 1 cuil. à café d’extrait de vanille liquide

     

    Recette de cuisine : Tiramisu à l'ananas

     

    Préparation

     

    Peler l’ananas, puis le découper en petits morceaux. Faire chauffer une poêle antiadhésive, et le faire revenir avec les 4 cuillerées à soupe de sucre pendant environ 5 minutes, le temps pour le sucre de fondre et de cuire légèrement l’ananas. Mettre de côté et laisser refroidir.

    Préparer le sirop. Faire chauffer l’eau avec le sucre et la vanille. Amener à ébullition jusqu’à complète dissolution du sucre. Hors du feu, rajouter le rhum. Réserver.

    Casser les oeufs, séparer les jaunes des blancs. Réserver les blancs dans un saladier. Mélanger le mascarpone avec les jaunes d’oeufs. Monter au fouet les blancs en neige ferme et y rajouter le sucre en poudre. Incorporer délicatement les blancs en neige au mélange mascarpone/jaunes d’oeufs.

    Procéder au montage des coupes. Tremper rapidement les speculoos dans le sirop, les émietter et disposer l’équivalent de 2 biscuits dans le fond de chaque coupe. Mettre par-dessus une couche du mélange au mascarpone, une couche d’ananas et encore une couche de mascarpone.

    Placer au frais pendant au minimum deux heures.

    Au moment de servir, rajouter quelques morceaux d’ananas sur le dessus ainsi que les miettes de speculoos. Bon appétit !!

     

    Recette de cuisine : Tiramisu à l'ananas

     

    Recette de cuisine : Tiramisu à l'ananas

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  • Vertus médicinales des plantes sauvages : Quintefeuille

    Vertus médicinales des plantes sauvages : Quintefeuille

     


    La pentaphillon des disciples d'Hippocrate et de Discoride est bien notre vivace quintefeuille, cette mauvaise herbe, envahissante et tenace, couvre les talus et les plates-bandes, mal défendues du lacis enraciné de ses tiges teintées de rouge.

     

    Vertus médicinales des plantes sauvages : Quintefeuille


    Très commune, on la trouve partout en Europe et elle a pratiquement colonisé le monde.

     

    Vertus médicinales des plantes sauvages : Quintefeuille


    Cette plante est, comme disent les botanistes, du type 5 : son calicule possède 5 divisions, plus longues que les 5 sépales de son calice, et sa corolle, comporte 5 pétales jaune pâle. Ses feuilles sont aussi découpées en 5 folioles ovales, allongées. Les fleurs persistent tout l'été, souvent jusqu'à l'automne, et savent prédire la pluie en étalant leurs pétales.

     

    Vertus médicinales des plantes sauvages : Quintefeuille

    Vertus médicinales des plantes sauvages : Quintefeuille


    Les phytothérapeutes utilisent la racine de la plante. On peut la récolter en toutes saisons, l'utiliser fraîche ou séchée, en usage externe comme en usage interne. C'est un excellent remède, doué de propriétés astringentes, que l'on associe souvent à la bistorte ou au chardon béni. Pulvérisée, mélangée à un jaune d'oeuf frais jusqu'à consistance de pâte, cette racine appliquée sur un panaris peut en interrompre le développement.

     

    Vertus médicinales des plantes sauvages : Quintefeuille

     

    HABITAT


    - Europe, sols riches, jusqu'à 1 700 mètres

     

    Vertus médicinales des plantes sauvages : Quintefeuille ou Potentille

    Vertus médicinales des plantes sauvages : Quintefeuille ou Potentille

    Vertus médicinales des plantes sauvages : Quintefeuille ou Potentille

     

    IDENTIFICATION


    - Hauteur : jusqu'à 1 mètre. Vivace

     

    Vertus médicinales des plantes sauvages : Quintefeuille ou Potentille


    - Tige couchée, rampante, mince, velue, souvent rougeâtre

     

    Vertus médicinales des plantes sauvages : Quintefeuille ou Potentille

    Vertus médicinales des plantes sauvages : Quintefeuille ou Potentille


    - Feuilles longuement pétiolées, à 5 folioles ovales ou lancéolées, peu velues, dentées, stipules entières ou à 2 dents

     

    Vertus médicinales des plantes sauvages : Quintefeuille ou Potentille

    Vertus médicinales des plantes sauvages : Quintefeuille ou Potentille


    - Fleurs jaune clair (juin-octobre), isolées, pédonculées, grandes, calice à 5 sépales, calicule à 5 grands lobes, 5 grands pétales en coeur, nombreuses étamines, nombreux carpelles à tubercules

     

    Vertus médicinales des plantes sauvages : Quintefeuille ou Potentille

    Vertus médicinales des plantes sauvages : Quintefeuille ou Potentille

    Vertus médicinales des plantes sauvages : Quintefeuille ou Potentille


    - Rhizome ligneux, rampant, brun foncé, donnant des tiges rampantes, radicantes aux noeuds,

     

    Vertus médicinales des plantes sauvages : Quintefeuille ou Potentille


    - Racine rougeâtre à la coupe

     

    Vertus médicinales des plantes sauvages : Quintefeuille ou Potentille


    - Saveur acerbe, astringente

     

    PARTIES UTILISEES


    - Rhizome, racine (automne), séchage à l'ombre

     

    Vertus médicinales des plantes sauvages : Quintefeuille ou Potentille

    Vertus médicinales des plantes sauvages : Quintefeuille ou Potentille

     

    CONSTITUANTS


    - Tanin, alcool, glucides

     

    Vertus médicinales des plantes sauvages : Quintefeuille ou Potentille

     

    PROPRIETES


    - Astringente, dépurative, fébrifuge

     

    Vertus médicinales des plantes sauvages : Quintefeuille ou Potentille

     

    Vertus médicinales des plantes sauvages : Quintefeuille ou Potentille

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  • Leçon de peinture en Bretagne

    Leçon de peinture en Bretagne

     

    En 1888, sous la direction de Paul Gauguin, Paul Sérusier (1864-1927) peint Le Talisman, toile fondatrice du groupe des nabis, qui exprime l'esthétique du mouvement : formes synthétiques, peinture plane, couleurs pures, refus des codes du réalisme et de la perspective.

     

    Leçon de peinture en Bretagne

     

    De retour à Paris, il montre à ses jeunes collègues, les futurs "nabis" ("prophètes" en Hébreu), ce qui va devenir leur "Talisman".

     

    Leçon de peinture en Bretagne

     

    L'observation du tableau permet de retrouver certains éléments du paysage représenté : le bois, en haut à gauche, le chemin transversal, la rangée de hêtres au bord de la rivière, et le moulin, au fond sur la droite. Chacun de ces éléments est une tache de couleur. Selon Maurice Denis, Gauguin avait tenu à Sérusier les propos suivants : "Comment voyez-vous ces arbres ? Ils sont jaunes. Eh bien, mettez du jaune ; cette ombre, plutôt bleue, peignez-la avec de l'outremer pur ; ces feuilles rouges ? mettez du vermillon"

    Photos de Sérusier avec ses amis en Bretagne  

     

    Leçon de peinture en Bretagne

    Leçon de peinture en Bretagne

    Leçon de peinture en Bretagne

     

    Et maintenant quelques toiles peintes après 1888....

     

    Leçon de peinture en Bretagne

    Leçon de peinture en Bretagne

    Leçon de peinture en Bretagne

    Leçon de peinture en Bretagne

    Leçon de peinture en Bretagne

    Leçon de peinture en Bretagne

    Si vous aimez ce style je ferais un autre article..

     

    Leçon de peinture en Bretagne

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  • " Juillet " poème de Dominique Sagne

     

    Juillet (La ronde des mois)

     

    Il vient d'arriver, ce fichu mois de Juillet
    Avec son cortège de journées ensoleillées
    Et, de longues soirées, où la chaleur
    Omniprésente, nous donne des envies d'ailleurs.
    Le moindre souffle d'air, amène le bien être,
    Et, pour l'emprisonner, on croise fenêtres
    Et volets, vivant dans la douce pénombre
    Juste, égayée des rais de lumière et d'ombres
    Que créent les persiennes ajourées.
    Et si certains, arrivent à aimer et savourer
    Ces longues heures qui s'étirent, surchauffées
    Je préfère de loin l'automne ébouriffé
    Avec ses nuits fraîches et ses coups de vents
    Laissant la plage et la chaleur aux estivants.

     

    Dominique Sagne

     

    " Juillet " poème de Dominique Sagne

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    Tout près de Gordes, dans le Vaucluse, au coeur d'un vallon solitaire tapissé de lavande, l'abbaye cistercienne de Senanque, fondée au XIIe siècle et toujours en activité, constitue un joyau de pureté architecturale.

     

    Les abbayes du Luberon

    Les abbayes du Luberon

    Les abbayes du Luberon

    Les abbayes du Luberon

    Les abbayes du Luberon

    Les abbayes du Luberon


    Ses vitraux sont d'une grande simplicité, sans aucune représentation figurée ni de couleurs soutenues. Le verre a été réalisé par cueillages successifs de verre de couleur en fusion et plaqué par soufflage à la bouche sur une base de vert clair, elle même en fusion.

     

    Les abbayes du Luberon

    Les abbayes du Luberon

    Les abbayes du Luberon

    Les abbayes du Luberon

    Les abbayes du Luberon

    Les abbayes du Luberon


    Les moines vivant à Senanque ont choisi de dédier leur vie, entre autres tâches, à la culture du lavandin, variété hybride entre la lavande et la lavande aspic.

     

    Les abbayes du Luberon

    Les abbayes du Luberon

    Les abbayes du Luberon

    Les abbayes du Luberon

    Les abbayes du Luberon


    Plus au nord, en Haute-Provence, le monastère de Ganagobie, chef d'oeuvre d'art roman,

     

    Les abbayes du Luberon

    Les abbayes du Luberon

    Les abbayes du Luberon

    Les abbayes du Luberon

     

    l'abbaye de Lure, très dépouillée,

     

    Les abbayes du Luberon

    Les abbayes du Luberon

    Les abbayes du Luberon

    Les abbayes du Luberon

      

    et le prieuré de Salagon complètent magnifiquement ce paysage architectural religieux.

     

    Les abbayes du Luberon

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  • Peinture de : Jim Carson

     

    Jim Carson est né le 8 juillet 1942 à Little Rock, en Arkansas et a grandi à Memphis, dans le Tennessee. Il a obtenu un baccalauréat en sciences de l'Université d'État de Memphis en 1964. En 1970, il a obtenu un doctorat. En chimie théorique et physique moléculaire de l'Université de New York, et a ensuite accepté une bourse postdoctorale à l'Université de Princeton pour continuer la recherche en physique moléculaire. Sa thèse de doctorat et plusieurs autres articles de recherche ont été publiés au Journal of Chemical Physics au cours des deux prochaines années. De l'automne 1971 au printemps 1973, il était à la faculté de l'Université de Princeton. Au cours de ces deux années, il s'est également déplacé à New York tous les soirs pour étudier le dessin de vie, la peinture de vie et la composition à la Ligue des étudiants en art. Il avait décidé de changer sa carrière de la science à l'art, sa passion de la vie.

     

    Peinture de : Jim Carson

    Peinture de : Jim Carson

    Peinture de : Jim Carson

    Peinture de : Jim Carson

    Peinture de : Jim Carson

    Peinture de : Jim Carson

    Peinture de : Jim Carson

    Peinture de : Jim Carson

    Peinture de : Jim Carson

    Peinture de : Jim Carson

     

    Après deux ans à l'Art Student's League, il a poursuivi ses études artistiques en étude privée avec plusieurs illustrateurs et peintres bien connus et, en 1974, a commencé une carrière illustrant des couvertures de romans occidentaux pour les grandes maisons d'édition à New York. Il s'est rencontré et s'est marié avec Marguerite Wilson en 1976, et ils ont fait leur maison à Baldwin, à New York, à Long Island. Ils ont deux enfants, Sarah et Miles. En mai 1980, il a fondé Hankins et Tegenborg, Ltd, à New York City, une agence représentant des illustrateurs commerciaux. Cette même année, il a rejoint la May Gallery of Scottsdale, AZ et a commencé à peindre et à vendre des peintures historiques occidentales.

     

    Peinture de : Jim Carson

    Peinture de : Jim Carson

    Peinture de : Jim Carson

    Peinture de : Jim Carson

    Peinture de : Jim Carson

    Peinture de : Jim Carson

    Peinture de : Jim Carson

    Peinture de : Jim Carson

    Peinture de : Jim Carson

    Peinture de : Jim Carson

    Peinture de : Jim Carson

     

    Au cours des 21 prochaines années, il a divisé ses énergies parmi ses agences, ses carrières illustrées et artistiques. En 1984, il a été nommé pour le prix Spur pour la meilleure couverture occidentale. De 1983 à 1998, il a participé à de nombreux spectacles de groupe à la May Gallery et, en 1999, il a rejoint deux autres artistes pour un spectacle à trois hommes. À partir de 1990, il a été sélectionné chaque année en tant qu'évaluateur de la médaille d'or de la Galerie de mai, ce qui représente une forte popularité et une popularité chez les collectionneurs. Stuart Johnson l'a invité en 1997, et chaque année depuis, à participer à son prestigieux spectacle de miniatures américaines à Settler's West Gallery à Tucson. Il a eu son premier spectacle d'un seul homme en octobre 2000, et ce spectacle est devenu un événement annuel. En 2001, il a déplacé son studio à Saluda, en Caroline du Nord, dans les montagnes de la Caroline Smokey pour consacrer plein temps à sa peinture historique.

     

    Peinture de : Jim Carson

    Peinture de : Jim Carson

    Peinture de : Jim Carson

    Peinture de : Jim Carson

    Peinture de : Jim Carson

    Peinture de : Jim Carson

    Peinture de : Jim Carson

    Peinture de : Jim Carson

    Peinture de : Jim Carson

    Peinture de : Jim Carson

     

    Lui et sa femme ont récemment acheté une deuxième maison / studio à Cave Creek, en Arizona. Ils prévoient de passer les mois chauds en Caroline du Nord et les mois frais en Arizona.

     

    Peinture de : Jim Carson

    Peinture de : Jim Carson

    Peinture de : Jim Carson

    Peinture de : Jim Carson

    Peinture de : Jim Carson

    Peinture de : Jim Carson

    Peinture de : Jim Carson

    Peinture de : Jim Carson

    Peinture de : Jim Carson

    Peinture de : Jim Carson

    Peinture de : Jim Carson

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    Deuxième lettre de saint Paul Apôtre aux Corinthiens 4,7-15.

     

    Frères, nous portons un trésor comme dans des vases d'argile ; ainsi, on voit bien que cette puissance extraordinaire appartient à Dieu et ne vient pas de nous.
    En toute circonstance, nous sommes dans la détresse, mais sans être angoissés ; nous sommes déconcertés, mais non désemparés ;
    nous sommes pourchassés, mais non pas abandonnés ; terrassés, mais non pas anéantis.
    Toujours nous portons, dans notre corps, la mort de Jésus, afin que la vie de Jésus, elle aussi, soit manifestée dans notre corps.

     

    Deuxième lettre de saint Paul Apôtre aux Corinthiens


    En effet, nous, les vivants, nous sommes continuellement livrés à la mort à cause de Jésus, afin que la vie de Jésus, elle aussi, soit manifestée dans notre condition charnelle vouée à la mort.
    Ainsi la mort fait son œuvre en nous, et la vie en vous.
    L’Écriture dit : ‘J’ai cru, c’est pourquoi j’ai parlé.’ Et nous aussi, qui avons le même esprit de foi, nous croyons, et c’est pourquoi nous parlons.

     

    Deuxième lettre de saint Paul Apôtre aux Corinthiens


    Car, nous le savons, celui qui a ressuscité le Seigneur Jésus nous ressuscitera, nous aussi, avec Jésus, et il nous placera près de lui avec vous.
    Et tout cela, c’est pour vous, afin que la grâce, plus largement répandue dans un plus grand nombre, fasse abonder l’action de grâce pour la gloire de Dieu.

     

    Deuxième lettre de saint Paul Apôtre aux Corinthiens

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  • Recette de cuisine : Verrine de fruits d'été

     

    Ingrédients (pour 4 verrines) :

    – 2 nectarines
    – 2 pêches jaunes
    – quelques grappes de groseille
    – 1 c. de sirop de rose

     

    Recette de cuisine : Verrine de fruits d'été

     

    Préparation :

     

    1. Épluchez les pêches et découpez les en brunoise, faites de même pour les nectarines sans les éplucher.
    2. Ajoutez le sirop de rose qui donne une petite touche sucrée et parfumée supplémentaire, assez subtile je l’admet. Mélangez et laissez reposer 1h au frais. Ajoutez éventuellement un trait de citron pour éviter l’oxydation des fruits.
    3. Au moment de servir, dressez les fruits dans les verrines et décorer d’une grappe de groseille qui apportera une jolie touche d’acidité.

     

    Recette de cuisine : Verrine de fruits d'été

     

    Recette de cuisine : Verrine de fruits d'été

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  • Vertus médicinales des plantes sauvages : Pulmonaire officinale

    Vertus médicinales des plantes sauvages : Pulmonaire officinale

     

    Parente du myosotis, de la cynoglose et de la bourrache, la pulmonaire est couverte de poils rude et cherche l'ombre et la fraîcheur. Ses clochettes rouges virant au bleu-violet, rappellent celles de la primevère et lui doivent son appellation de coucou bleu.

     

    Vertus médicinales des plantes sauvages : Pulmonaire officinale

    Vertus médicinales des plantes sauvages : Pulmonaire officinale


    Vers juillet, la tige florale se flétrit et disparaît, remplacée par une rosette de feuilles basales tachées de blanc, qui lui ont donné son nom, car elles évoquent, pour les partisans de la médecine des signatures, l'image de poumons malades.

     

    Vertus médicinales des plantes sauvages : Pulmonaire officinale


    La pulmonaire a joui jadis d'une réputation surfaite et a déçu d'autant plus qu'il a fallu attendre la seconde moitié du XXe siècle pour vaincre la tuberculose qu'elle prétendait soigner. Dans les campagnes, on l'appelle herbe du lac, car il suffit, dit-on, de poser un tampon de ses feuilles fraîches écrasées sur la région du coeur pour en appaiser le rythme.

     

    Vertus médicinales des plantes sauvages : Pulmonaire officinale

    Vertus médicinales des plantes sauvages : Pulmonaire officinale


    Après la salicaire, la pulmonaire a été dotée par la nature d'une suprême ingéniosité qui constitue à offrir aux insectes la visitant trois sortes de fleurs munies d'étamines inégales, et de trois longueurs de styles, soit dix-huit possibilités de dissémination du pollen.

     

    Vertus médicinales des plantes sauvages : Pulmonaire officinale

    Vertus médicinales des plantes sauvages : Pulmonaire officinale

     

    HABITAT


    - Europe, bois clairs, terrains calcaires, jusqu'à 1 000 mètres

     

    Vertus médicinales des plantes sauvages : Pulmonaire officinale

    Vertus médicinales des plantes sauvages : Pulmonaire officinale

     

    IDENTIFICATION


    - Hauteur : 0,15 à 0,30 mètre. Vivace

     

    Vertus médicinales des plantes sauvages : Pulmonaire officinale


    - Tige simple, velue

     

    Vertus médicinales des plantes sauvages : Pulmonaire officinale


    - Feuilles tachées de blanc, plus claires dessous, les radicales pétiolées, poilues, rudes, ovales, aïgues ou en coeur, les caulinaires sessiles, ovales, un peu décurrentes, poilues

     

    Vertus médicinales des plantes sauvages : Pulmonaire officinale


    - Fleurs rouge au début puis virant au bleu (mars-mai) réunies en cymes terminales unilatérales, calice à 5 lobes, corolle tubulaire à 5 pétales, 5 écailles, 5 étamines, ovaire à 1 style et 4 carpelles

     

    Vertus médicinales des plantes sauvages : Pulmonaire officinale

    Vertus médicinales des plantes sauvages : Pulmonaire officinale

    Vertus médicinales des plantes sauvages : Pulmonaire officinale


    - Rhizome grêle

     

    Vertus médicinales des plantes sauvages : Pulmonaire officinale


    - Saveur mucilagineuse

     

    PARTIES UTILISEES


    - Sommité fleurie (mars-avril), feuilles de la rosette (fin de l'été), séchage à l'ombre et à l'ai, les feuilles deviennent noires.

     

    Vertus médicinales des plantes sauvages : Pulmonaire officinale

    Vertus médicinales des plantes sauvages : Pulmonaire officinale

     

    CONSTITUANTS


    - Mucilage, tanin, sels minéraux

    Vertus médicinales des plantes sauvages : Pulmonaire officinale

     PROPRIETES


    - Astringente, diurétique, émolliente, expectorante, sudorifique

     

    Vertus médicinales des plantes sauvages : Pulmonaire officinale

     

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