Ingrédients (pour 4 personnes)

 

4 pommes 

2 oeufs 

200 g de sucre 

140 ml de lait 

70 g de beurre 

200 g de farine 

1/2 cuillère à café de levure

1 cuillère à café de vanille

jus de citron

 

 

Préparation : 

 

Éplucher les pommes, les couper en lamelles, les mettre dans un bol avec de jus de citron et laisser de coté . 

Dans un bol, battre les jaunes d’oeufs avec le sucre puis ajouter la vanille .

Ajouter ensuite le lait, le beurre ramolli, la farine et la levure. 

Battre les blancs d’oeufs en neige avec un fouet ( ajouter une pincée de sel  

Ajouter le blanc monté dans la première préparation et mélanger délicatement . 

Verser la demière quantité de la préparation dans un moule rond beurrer et fariner, puis ajouter une couche de pommes et enfin le reste de la préparation . 

Mettre au dessus les tranches de pommes restantes puis couvrir d’une fine couche de sucre .

Cuire au four préchauffé à 180 degrés pendant 30 minutes 

Saupoudrer enfin avec le sucre glace et servir.

 

 

 

En dépit du rapprochement des noms, l'origine grecque étant la même pour "melissa et melitta", abeille, la mélitte à feuille de mélisse, "Mélittis mélissophylum" et la "mélisse officinale", ont peu de ressemblance, du point de vue botanique.

En effet, pour la première les fleurs sont belles, grandes, rose vif et groupées par deux, chez la seconde, elles sont petites, blanches et en verticilles.

 

 

La mélitte croît dans les bois clairs, isolément ou en petit groupes, rarement en masse comme la mélisse. 

Notre plante est une très belle labiée qui fut cultivée pour orner les jardins. Riches en nectar, ses fleurs sont plus difficilement accessibles aux abeilles qu'aux papillons de nuit, qui pourvus d'une longue trompe, peuvent accéder à la réserve convoitée.

 

 

Les médecins de l'Antiquité ont ignoré cette plante, et la première mention qui en est faite date de 1542 sous la plume de Léonard Fuchs.

 

 

 

Plus tard, en 1715, Gardidel en fit grand éloge, car il la jugeait capable de rétablir la secrétion urinaire.

 

 

La mélitte a longtemps été un des remèdes les plus utilisés contre la goutte et la gravelle.

 

 

HABITATION

 

- Europe méridionale et centrale, sols calcaires, bois clairs, ravins, pentes boisées, haies, jusqu'à 750 mètres.

 

 

IDENTIFICATION

 

- Hauteur : 0,20 à 0,50 m. Vivace

 

 

- Tige dressée, velue, simple

 

 

- Feuilles pétiolées, dentées, grandes, à nervures bien marquées

 

 

- Fleurs rose vif et blanches (mai-juillet), très grandes, unilatérales, 2 à 5 par noeud à l'aisselle des feuilles, calice ample en cloche à 3 à 4 dents larges, corolle bilabiée, à tube saillant, 4 étamines parallèles, anthères en croix

 

 

- Tétrakène à parties lisses, globuleuses

 

 

- Souche traçante

 

 

- Odeur forte, désagréable

 

- Saveur âcre, aromatique

 

PARTIE UTILISEES

 

- Plante entière sans les racines (début de floraison)

 

 

CONSTITUANTS

- Coumarine

 

- PROPRIETES

- Antiseptique, diurétique, emménagogue, sédative

 

 

 

Qu'il s'agisse de Louis Renault ou de Von Urach, l'homme placé à la tête des usines Renault par l'administration allemande,ils n'étaient pas favorables à un tel projet.

 

  

Pour eux, l'automobile se positionnait encore nettement comme un produit de luxe. C'est pourquoi ce fut dans le plus grand secret que deux cadres supérieurs de la firme Renault ont travaillé sous l'Occupation à la conception d'une voiture populaire et bon marché pressentant qu'un tel modèle répondrait à la demande de l'après-guerre. Charles-Edmond Serre est directeur des études et recherches, Fernand Picard est l'ingénieur dirigeant le bureau d'études.

 

 

A la libération, en 1944, après l'arrestation de Louis Renault pour faits de collaboration,  les usines Renault seront nationalisées et le projet clandestin deviendra le projet phare de la Régie Renault, qui va se permettre de finaliser les prototypes existants.

 

 

La "4 Chevaux" sera présentée au public le 3 Octobre 1946, lors du 33e salon de l'Automobile.

 

 

Le succès est immédiat et l'engouement populaire considérable, notamment en raison de son prix bas et de sa faible consommation.

 

 

 

Les premières seront peintes en jaune, seule couleur disponible provenant d'un stock de peinture récupérée au titre des dommages de guerre, et la 4 CV sera vite surnommée la "motte de beurre". Les ventes vont sans cesse augmenter, jusqu'à atteindre un million d'exemplaires en 1961. La 4 CV connaîtra plusieurs versions, dont la fameuse "1063", qui remporte dans sa catégorie le rallye de Monte-Carlo, la Coupe des Alpes, le Tour de France et même les 24 Heures du Mans.

 

 

Dans l'histoire de l'automobile française, la 4 CV restera la première construite en très grande série.

 

Texte extrait du livre : Le grand almanach de la France

 

 

Les enfants qui s'aiment

 

Les enfants qui s'aiment s'embrassent debout

Contre les portes de la nuit

Et les passants qui passent les désignent du doigt

Mais les enfants qui s'aiment

Ne sont là pour personne

Et c'est seulement leur ombre

Qui tremble dans la nuit

Excitant la rage des passants

Leur rage, leur mépris, leurs rires et leur envie

Les enfants qui s'aiment ne sont là pour personne

Ils sont ailleurs bien plus loin que la nuit

Bien plus haut que le jour

Dans l'éblouissante clarté de leur premier amour

 

Jacques Prévert

 

 

 

En raison de sa taille, les habitants de l'île l'appellent "buaja darat", le crocodile terrestre. En effet, un individu adulte, en général, dépasse 3 mètres de long et ne pèse pas moins de 70 kilos. Mais le varan de Komodo n'est pas un crocodile : il appartient à la famille des varannidés dont font également partie les lézards. Il est le plus grand représentant de l'ordre des reptiles squamates et constitue une espèce d'une valeur exceptionnelle pour les experts de l'évolution. 

 

 

Walter Auffenberg, pionnier des études sur ces dragons, surprenant petits fils des dinosaures, disait : "Lorsque cet animal décide d'attaquer, rien ne peut l'arrêter." C'est peut -être pour cela, même s'il ne peut pas se déplacer à plus de 20 kilomètres à l'heure, que d'innombrables légendes ont fleuri autour des capacités de terrible prédateur du varan de Komodo.

 

 

Et c'est pour protéger cet extraordinaire héritage de l'évolution que les îles de Padar et de Rinca ont été déclarées réserves naturelles dès 1938, suivies par Komodo en 1965. En 1980, le parc national de Komodo a été crée, englobant une région de 75 000 hectares, quatre ans plus tard, la sauvegarde a été étendue à une partie de Flores et des eaux qui entourent ces îles de la Sonde,

jusqu'à atteindre une superficie protégée totale de 220 000 hectares.

 

 

La morphologie des îles reflète leur position au coeur de la plate-forme volcanique de la Sonde. Le sol rocailleux est caractérisé par des pentes abruptes qui se jettent dans la mer et forment des falaises renfermant des criques inaccessibles. La topologie de Komodo, la plus grande île, est dominée par une chaîne de collines orientées dans un axe nord-sud et qui ne dépassent pas 600 mètres d'altitude, selon une structure qui se répète dans les autres îles.

 

 

La végétation est typique d'un climat tropical moyennement pluvieux (entre 800 et 1 000 millimètres lors de la mousson de novembre-avril). Elle est dominée par une savane herbeuse souvent d'origine anthropique, couvrant environ 70% de la superficie du parc. Parmi les espèces herbeuses les plus répandues figurent Euladia leschenaultiana, Setaria adhaerens et Chloris barbata, tandis que, parmi les plantes à haut tronc, on compte des palmiers.

 

 

Outre le varan, la faune de Komodo comprend de nombreuses espèces d'oiseaux, reptiles et amphibiens et 7 espèces de mammifères terrestres, dont le rat endémique "Rattus rintjanus, le macaque Macaca fascicularis et le cerf rusa, qui représentent un certain intérêt en termes de conservation.

 

  

Le parc national de Komodo est bordé par une importante barrière corallienne qui abrite une des population de poissons les plus riche au monde, un écosysthème gravement menacé par la pêche illégale, qui ces dernières décennies, a tranquillement été pratiquée avec des moyens extrêmes comme la dynamite. On y rencontre des mammifères marins comme le rorqual bleu, en voie de disparition, le cachalot, 10 espèces de dauphins et de dugong, figurant parmi les espèces vulnérables de la Liste rouge.

 

 

La star de Komodo, le varan est également vulnérable. Selon les estimations du dernier recensement, seuls 5 700 "dragons" sont encore en vie et l'espèce semble avoir disparu de l'île de Padar, où l'on ne signale plus sa présence depuis plusieurs années. Bien souvent, la cause est imputable au braconnage de la proie de prédilection du varan, le cerf rusa, dont la population a été considérablement réduite. Il est très probable que, d'ici peu, la plus puissante machine de chasse du monde soit sur le point de disparaître.

 

 

Texte extrait du livre : Les plus beaux sites du patrimoine mondial de l'Unesco

 

 

 

Douglas. R. Laird est né à Edimbourg en Ecosse, en 1946.

 

 

Il s'est intéressé à l'art très tôt dans sa vie. A l'âge de quinze ans, il est apprenti dans une agence de publicité- studio d'art dans sa ville natale. Pendant ce temps, il a également participé à l'Edimburgh College of art où il a étudié le dessin drapé et la vie en profondeur.

 

 

Les voyages de Douglas en Amérique du Nord et en Europe après ses études ont eue une forte influence qu'il utilise désormais dans ses tableaux. C'est un dessinateur extraordinaire, Doug Laird, exerce un contrôle absolu sur les moindres détails d'un dessin. Il passe beaucoup de temps à créer et former une idée en une composition qui raconte une histoire.

 

 

Si l'aquarelle est un médium choisi, Doug dessine le croquis sur carton aquarelle.Il préfère le conseil sur le papier, car il peut travailler à un rythme continu, sans crainte de la carte de flambage et de créer les trempettes et les vallées où la peinture a tendance à former des bassins. Cela peut prendre un certain temps frustrant pour le séchage. Il aime la peinture et se sent à l'aise dans tous les milieux. Ses sujets incluent : paysage, la nostalgie, la nature morte, les enfants et les activités quotidiennes.

 

 

Douglas a émigré au Canada en 1965, et résidé actuellement en Ontario

 

 

Satan est un menteur

 

"Vous avez pour père le diable, et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il a été meurtrier dès le commencement, et il ne s’est pas tenu dans la vérité, parce que la vérité n’est pas en lui. Lorsqu’il profère le mensonge, ses paroles viennent de lui-même car il est menteur et le père du mensonge." Jean 8.44

 

 

Adolf Hitler était passé maître dans l'art de mentir. Dans son livre "Mein Kampf", il a écrit : "Au moyen de mensonges habiles et inlassablement répétés, il est possible de faire croire aux gens que le ciel est l'enfer et vice-versa. Plus le mensonge est gros, mieux il passe." Cet homme a construit sa carrière sur le mensonge et n'a jamais hésité à déformer la vérité ou à propager des informations erronées.

 

 

Mais Hitler était un amateur face à Satan. Le diable est le père du mensonge. Il ment sans cesse, constamment, de toutes les façons possibles, subtiles ou directes. Il ment en ce qui concerne Dieu et sa Parole. Il ne dit pas même la vérité à son propre sujet. Par moments, il veut nous faire croire qu'il est invincible et que nous sommes impuissants face à lui. Qu'il n'est pas si mauvais que ça, ou qu'il n'existe pas. Ou encore qu'il sait ce qui est le meilleur pour nous !

 

 

Satan et ses démons s'y entendent à merveille pour prononcer des paroles agréables et douces à entendre. C'est pourquoi il est facile d'oublier sa nature mensongère. De se laisser convaincre et de prendre ses mensonges pour la vérité. Nous pouvons aisément tomber dans ses filets… sans même nous en rendre compte.

 

 

Aujourd'hui, rappelez-vous que vous vivez dans un monde où beaucoup ajoutent foi aux mensonges de Satan. Vous les entendrez vous aussi et vous aurez peut-être du mal à discerner le vrai du faux. C'est pourquoi il est important que votre vie soit ancrée dans la Parole de Dieu. Efforcez-vous d'entrer dans une relation plus intime avec Dieu. Soyez rempli de son Esprit. Et laissez-le façonner votre intelligence.

 

 

Une prière pour aujourd'hui

 

Père, aide-moi à être vigilant face aux mensonges de mon ennemi. Aide-moi à mieux connaître les vérités de ta Parole. Je crois que tu peux me donner la victoire dans tous les domaines de ma vie. Au nom de Jésus. Amen.

 

John Roos

 

 

 

Ingrédients  ( pour 8 personne )

 

6 jaunes d’œufs

¾ tasse de sucre blanc

2/3 tasse de lait

1 ¼ tasse de crème

½ cuillère à café de vanille

1 kilo de fromage mascarpone

¼ tasse de café fort moulu, à température ambiante

2 paquets biscuits à la cuillère ou 24 biscuits à la cuillère

1 cuillère à soupe de cacao en poudre non sucré

 

 

Préparation

 

Dans une casserole moyenne, mélanger les jaunes d’œufs et le sucre jusqu’à consistance homogène. Incorporer le lait et cuire à feu     moyen, en remuant constamment, jusqu’à ébullition.

Faire bouillir doucement pendant 1 minute, retirer du feu et laisser refroidir légèrement. Couvrir et laisser refroidir au réfrigérateur 1 heure.

 

Dans un bol moyen, battre la crème et la vanille jusqu’à formation de pics fermes.

Fouetter le mascarpone dans le mélange de jaunes refroidis jusqu’à consistance lisse.

 

Dans un petit bol, mélanger le café avec peu d’eau

Tremper les biscuits à la cuillère dans le mélange de café.

 

Disposer la moitié des biscuits à la cuillère trempés dans le fond d’un plat. Étendre la moitié du mélange de mascarpone sur les biscuits, puis la moitié de la crème fouettée dessus.

Répéter les couches et les saupoudrer de cacao. 

Couvrir et réfrigérer 4 à 6 heures, jusqu’à fermeté.

 

 

 

La mélisse, dont le nom évoque le miel, est, en effet, une de nos meilleures plantes mellifères. Elle pousse en touffe dans les jardins ou aux abords de ceux-ci. Elle a des fleurs assez petites, blanches puis rosées. La plante exhale dans sa jeunesse un agréable parfum rappelant celui du citron, elle prend, ensuite, une odeur de punaise qui disparaît à la dessication. La plante sèche ne conserve guère son arôme au-delà d'une année.

 

 

Les auteurs de l'Antiquité la mentionnent, mais ne semblent pas apprécier ses vertus. Les arabes du Xe siècle vantaient son pouvoir de cordial et de remède à la mélancolie : cette idée est reprise par un phytothérapeute au début du XXe siècle, qui déclare la mélisse propre à dissiper les "crises de mauvaise humeur chez les jeunes filles et les femmes débiles".

 

 

L'essence de mélisse pure peut être considérée comme un stupéfiant, mais peu toxique, à très faible dose, elle provoque un engourdissement, un ralentissement du pouls. La mélisse entre dans la composition de la chartreuse, de la bénédictine et de l'eau de mélisse des carmes.

 

 

HABITAT

 

- Europe méridionale, échappée de cultures, haies, pied des murs, décombres, jusqu'à 1 000 mètres.

 

 

IDENTIFICATION

 

- Hauteur : 0,20 à 0,80 m. Vivace

 

 

- Tiges en touffes, ramifiées dès la base, dressées

 

 

- Feuilles grandes, ovales, pétiolées, dentées, à nervures saillantes, réticulées dessous

 

 

- Fleurs jaunâtres puis blanches ou rosées (juin-septembre), par 6 à 12, en verticiles au niveau des feuilles, calice poilu à 2 lèvres, la supérieure plate à 3 dents, plus   grande, corolle bilabiée, 4 étamines

 

 

- Tétrakène

 

 

- Odeur agréable, citronée

 

- Saveur un peu amère

 

PARTIES UTILISEES

 

- Tige fleurie, feuille (juin), séchage rapide

 

 

 

CONSTITUANTS

 

- Huile essentielle, tanin, résine

 

 

PROPRIETES

 

- Antispasmodique, carminatif, cholérétique, stomachique, tonique

 

 

 

Le toit "en poivrière" est de forme conique légèrement concave, couronnant généralement une tourelle. A l'origine la poivrière est une construction, échauguette ou guérite, couverte d'une toiture ronde et pointue.

 

 

Par extension, l'expression, "en poivrière" désigne une toiture ronde et très pointue, fréquente sur les palais gothiques.

 

 

Les plus connues sont les vieilles tours en poivrière en bordure de la Conciergerie; sur le quai de l'Horloge à Paris.

 

 

Le toit "en pavillon" désigne un toit à quatre versants en forme de pyramide, il s'applique sur une tour carrée.

 

 

Le toit "en croupe" possède lui aussi quatre pans, mais il couvre un bâtiment rectangulaire possédant un mur pignon (mur sur la largeur du bâtiment).