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Par chezmamielucette le 16 Août 2016 à 00:00
Construite par les Romains au IIe siècle av.J.C., "la plateia", longue voie à arcades de 13 mètres de large autour de laquelle gravitait la vie de Hiérapolis, est entièrement pavée d'énormes blocs de travertin, provenant des environs de la ville.
Fondée au IIe siècle av.J.C., par le roi de Pergame Eumène II, à l'endroit où, des siècles au paravent, s'était installée une communauté prospère, cet important centre thermal de l'Antiquité est né à 20 kilomètres de Denizli, dans le sud-ouest de la Turquie.
C'est une insolite ressource du sous-sol qui a fait de Hiérapolis, la "ville sacrée", l'objet de tant d'attentions. Une eau particulière, riche en calcite -sel dont elle se charge en traversant une couche calcaire lors de son parcours vers la surface- a donné vie aux sources thermales douées selon les Anciens, de pouvoirs curatifs.
Elle est aussi à l'origine des formations rocheuses blanches qui expliquent le nom de la localité, Pamukkale, ou "château de coton" en turc. Descendant du plateau de Cal Dagi, l'eau jaillit à 35°C avant de s'arrêter dans de vasques où elle se refroidit, libérant le carbonate de calcium en solution. Parce que la chaleur s'atténue plus rapidement sur les bords extérieurs des vasques, le travertin s'y précipite plus facilement, ainsi au fil des ans, la calcite en s'accumulant crée des bassins calcaires disposés en couches toujours plus épaisses.
Les sources de Pamukkale déposent en moyenne, plus de 4 000 mètres cubes de travertin par an : 14 000 ans ont été nécessaires à la nature pour modeler ce paysage irréel de forêts minérales, de cascades pétrifiées, d'aiguilles et de terrasses qui attirent depuis toujours la curiosité des habitants de la région.
Quand à l'eau, ses pouvoirs thérapeutiques ont alimenté les légendes depuis l'époque romaine. Ils sont mentionnés par le géographe Strabon évoquant l'existence à Hiérapolis, du platonium, une salle pavée où était recueillie l'eau dégageant des gaz toxiques, irrespirables pour les hommes et les animaux.
Aujourd'hui, la population de la vallée exploite les propriétés chimiques des eaux pour nettoyer le coton - autre association expliquant le nom de Pamukkale - et fixer la teinture des tissus. La valeur thérapeutique des sources thermales provient de leur teneur en minéraux - carbonate et sulfate de calcium, sels de fer, soufre et magnésium.
Les sources de Pamukkale est les ruines romaines de Hiérapolis restent une attraction touristique majeure. Afin de préserver la double valeur du site, les autorités turques ont lancé une série d'interventions de conservation dès 1976, dans le cadre d'un accord entre les pays qui bordent la Méditerranée
Texte extrait du livre : Les plus beaux sites du patrimoine mondial de l'Unesco
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Par chezmamielucette le 15 Août 2016 à 00:00
Maurice Utrillo, né Maurice Valadon le 26 décembre 1883 à Paris XVIIIe et mort le 5 novembre 1955 à Dax, est un peintre français de paysages animés, paysages urbains, peintre à la gouache, aquarelliste, illustrateur, peintre de décors de théâtre.
L'enfance de Maurice se déroule auprès de sa grand-mère, à qui sa mère l'a confié, Villa Auchat à Pierrefitte-sur-Seine (actuelle Seine-Saint-Denis). À partir de l'âge de 18 ans, il fait plusieurs séjours à l'asile. Il sombre progressivement dans l'alcool, qui provoque chez lui de nombreux troubles (violence, démence).
Ses études en sont affectées. Cependant, ses occupations thérapeutiques contribuent peut-être à révéler son génie. En tout cas, il reçoit les encouragements de sa mère lorsqu'elle pense découvrir en lui du talent.
Maurice Utrillo rencontre le peintre Alphonse Quizet et commence à peindre régulièrement à partir de 1910 année où il commence à vivre de sa peinture. Il produit des centaines de toiles en plusieurs décennies et il est beaucoup plagié (il existe une multitude de faux et d'œuvres douteuses).
Dès les années 1920, il devient un peintre célèbre et le gouvernement français le décore de la croix de la Légion d'honneur en 1929.
Sans doute poussé par sa mère, il épouse en 1935, à l'âge de 51 ans, Lucie Valore avec laquelle il s'installe au Vésinet. Celle-ci joue un rôle dans la gestion des finances du couple et surveille Maurice afin d'éviter sa rechute dans l'alcoolisme et le faire travailler. Sa mère meurt 3 ans plus tard.
Il meurt âgé de 71 ans, le 5 novembre 1955 à l'hôtel Splendid de Dax où il est en cure avec sa femme. Il est enterré au cimetière Saint-Vincent à Montmartre, Paris, face au Lapin Agile.
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Par chezmamielucette le 14 Août 2016 à 00:00
Continuez d'avancer !
“Quand je marche dans la vallée de l’ombre de la mort..." Psaumes 23.4
Un jour, alors que je me trouvais en Israël, un bédouin m'a montré une vallée si étroite que le soleil ne s'y lève pas de la journée. Le bédouin m'a dit : "Cette vallée reste dans l'ombre, même en plein jour. C'est vraiment la vallée de l'ombre de la mort. Si vous avez un accident dans cette vallée, personne ne vous retrouvera." Et pour que je comprenne bien, il ajouta : “Même le réseau téléphonique ne passe pas dans cette vallée !”
Parfois, nous devons traverser ce genre de vallée. Il y fait sombre. On ne sait pas comment s'en sortir. La crainte nous envahit... Et même la connexion avec Dieu semble perdue.
C'est au travers de ce verset que Dieu a parlé un jour à mon ami Stéphan. On venait de lui diagnostiquer un cancer à un rein, et une métastase au cerveau. Le diagnostic des médecins était très pessimiste. Alors que Stéphan devait subir une double opération chirurgicale, Dieu lui a parlé par ce verset. Stéphan s'est dit: "Je suis dans la vallée de l'ombre de la mort. Dieu ne me demande pas de rester assis, mais bien de marcher ! Alors, quelles que soient les nouvelles et les circonstances, je vais faire confiance à Dieu et continuer d'avancer !"
Nous avons prié et Dieu a fait un miracle dans la vie de Stéphan. Le chirurgien qui avait opéré son cerveau s'est exclamé : "Je n'ai jamais vu cela, une métastase d'un cancer qui n'est pas cancéreuse !" Stéphan a bien fait de continuer à marcher. Il va très bien aujourd'hui et voici ce qu'il m'a confié : “Dans les difficultés de la vie, ma question n'est plus “Pourquoi, Dieu ?” mais plutôt “Dieu, comment traverser cette vallée avec toi ?”
Traversez-vous en ce moment une vallée sombre ? Continuez de marcher !
Une action pour aujourd'hui
N'arrêtez pas de faire confiance à Dieu. Continuez d'avancer. Je crois qu'alors que vous marchez, vous sortirez bientôt de cette vallée.
Eric Célérier
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Par chezmamielucette le 13 Août 2016 à 00:00
Ingrédients
4 oeufs
800 g de tomates
2 oignons
2 poivrons verts
4 piments rouges doux
1 pincée de sel
1 pincée de poivre
1 cuillère à soupe rase de sucre en poudre
3 cuillères à soupe d’huile d’olive
Préparation
Pelez les oignons et coupez-les en dés.
A l’aide d’un économe, enlevez la peau des poivrons, des piments et des tomates. Coupez les oignons en dés, les poivrons en lanières et les tomates en quarts.
Versez l’huile d’olive dans une sauteuses. Faites la chauffer et ajoutez les dés d’oignons. Faites-les cuire 5 minutes à feu doux. Ajoutez ensuite les lanières de poivrons. Laissez mijoter à nouveau 7 à 8 minutes en mélangeant régulièrement.
Ajoutez enfin les morceaux de tomates, le sel, le sucre et le poivre.
Faites cuire à feu vif 10 minutes puis 20 à 30 minutes à feu moyen (tout dépend de la taille de vos légumes, plus ou moins larges).
Cassez ensuite 4 oeufs dans la cocotte, couvrez et laissez cuire
environ 7 à 8 minutes, le temps que le blanc d’oeuf coagule.
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Par chezmamielucette le 12 Août 2016 à 00:00
Longtemps appelé eyre, yere, heire, edre, iedre, hierre, jusqu'à ce que l'article vienne se fondre avec le nom, le lierre est au féminin dans toutes les langues romanes, conformément au latin, curieusement, en français, il est au masculin.
Certains l'apprécient et le laissent tapisser leurs tonnelles, leurs grilles ou les façades de leur maisons qu'il pare d'un manteau frémissant, d'autres, tel Montaigne, le considère comme un corrupteur et le détruisent. Il est vrai qu'il détériore les murs et que, là où il envahit le sol, aucune végétation ne peut trouver son chemin vers la lumière.
Mais ce n'est pas un parasite : il s'accroche aux arbres, il ne se nourrit pas de leur substance. Le lierre peut vivre très longtemps : on en connaît de 400 ans d'âge, alors parfois sa tige devient aussi épaisse que le tronc d'un arbre.
Au printemps, les fruits mûrissent, il convient d'être prudent, car ils sont toxiques et ne doivent pas être mangé.
Dans l'antiquité, le lierre était connu pour troubler les esprits. C'était l'emblème de l'ivresse et, avec la vigne, il était un des attributs de Bacchus.
HABITAT
- Europe, jusqu'à 1 000 mètres
IDENTIFICATION
- Hauteur : 3 à 50 mètres, liane
- Tige ligneuse, vigoureuse, grimpant aux murs et aux arbres au moyen de racines-crampons
- Feuilles vert foncé, luisantes, coriaces, alternes, pétiolées, persistant environ 3 ans, de triangulaires à palmatilobées, ovales sur les sommités florilèges
- Fleurs jaune-vert (septembre-octobre) en petites ombelles sphériques à nombreux rayons, calice à 5 dents courtes soudé à l'ovaire, 5 pétales lancéolés, réfléchis
- Fruit globuleux noir, 4 à 5 graines roses
- Odeur aromatique
- Saveur amère
PARTIES UTILISEES
- Jeunes feuilles fraîches (août-septembre)
CONSITUANTS
- Oestrogènes, hédérine
- PROPRIETES
- Analgésique, antispasmodique, emménagogue
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Par chezmamielucette le 11 Août 2016 à 00:00
Le principe de fonctionnement des marais salants (ou salines) est très simple. Ils sont constitués d'un enchevêtrement de bassins de faible profondeur (les carreaux) destinés à recueillir et à capturer l'eau de mer lors des marées moyenne et forte intensité. Celle-ci est acheminée d'un carreau à l'autre par des étiers, un système de carreaux entremêlés.
Les différents carreaux (vasières, cobiers, fares et adernes) ont chacun un rôle spécifique dans l'acheminement du sel.
Finalement, l'eau qui arrive dans les derniers bassins, appelés cristallisoirs ou oeillets, est déjà très riche en sel. Les oeillets n'accueillent qu'une très fine couche d'eau (un demi-centimètre), idéale pour l'évaporation en plein soleil, avant la récolte par le paludier. Hormis un fort ensoleillement, les conditions optimales d'évaporation réunissent le vent, une épaisseur d'eau aussi faible que possible et la mise en mouvement de l'eau.
Les marais salants français sont situés en Bretagne et dans le Sud-Ouest. Si le sel de Bretagne est gris et humide,
la sécheresse de l'été méditerranéen produit un sel blanc et sec..
Texte extrait du livre : Le grand Almanach de la France
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Par chezmamielucette le 10 Août 2016 à 00:00
Les mois d'août
Par les branches désordonnées
Le coin d’étang est abrité,
Et là poussent en liberté
Campanules et graminées.
Caché par le tronc d’un sapin,
J’y vais voir, quand midi flamboie,
Les petits oiseaux, pleins de joie,
Se livrer au plaisir du bain.
Aussi vifs que des étincelles,
Ils sautillent de l’onde au sol,
Et l’eau, quand ils prennent leur vol,
Tombe en diamants de leurs ailes.
Mais mon cœur, lassé de souffrir,
En les admirant les envie,
Eux qui ne savent de la vie
Que chanter, aimer et mourir !
François Coppée
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Par chezmamielucette le 9 Août 2016 à 00:00
Le premier document mentionné d'Aldabra - le plus grand atoll du monde, situé au sud de Mahé, la principale île des Seychelles, dans l'océan Indien - est une carte portugaise datant de 1511 sur laquelle figure l'Iha Dara, ou Aldabra, un nom qui révèle une origine arabe : "al-Khadra" signifiant "la verte".
Il semble en effet que les navigateurs se soient orientés en observant le reflet émeraude des eaux de la lagune, à l'intérieur de l'atoll.
Les français furent les premiers à prendre possession de l'une des îles des Seychelles quand l'expédition de Lazare Picault et Jean Grossin découvrit l'archipel en 1742. Puis au début du XIXe siècle, les îles furent conquises par la marine britannique, et, par la suite, éveillèrent l'intérêt de naturalistes anglais, à commencer par Charles Darwin.
Le premier homme à étudier en détail l'écosystème d'Aldabra fut Jacques-Yves Cousteau qui s'y rendit en 1954 à bord de la Calypso.
L'éloignement par rapport aux autres îles de l'archipel et l'absence d'eau douce interdisent toute implantation permanente sur l'atoll, ce qui n'a pas empêché l'Amirauté britannique d'envisager d'y aménager une base navale à la fin des années 1970. Par chance, l'intervention de la Royal Society et de la Smithsonian Institution fit échouer ce projet, de sorte qu'Aldabra est resté l'un des milieux les plus isolés et les plus inaltérés de la planète.
Comme toutes les formations de ce type, Aldabra a une origine volcanique. Les îles qui constituent l'atoll, apparues il y a 125 000 ans, prennent appui sur deux terrasses distinctes situées à 4 à 8 mètres en dessous du niveau de la mer. La lagune a un diamètre de 35 kilomètres et couvre une superficie de 100 km carrés, elle communique avec l'océan par quatre chenaux principaux. A l'intérieur de la lagune, il n'y pas plus de 3 mètres d'eau à marée haute, et à marée basse le reflux découvre 80% du fond marin.
La flore comprend 198 espèces végétales, dont 19 endémiques, mais c'est la faune qui constitue l'extraordinaire richesse d'Aldabra. Dans ce domaine, on distingue la tortue géante des Seychelles, l'une des premières espèces protégée au monde grâce à l'intervention de Charles Darwin qui, à la fin du XIXe siècle, demanda au gouverneur de Maurice de lui confier la tutelle.
Autrefois répandue dans tout l'océan Indien, cet animal n'existe plus aujourd'hui qu'à Aldabra, où l'on compte environ 150 000 spécimens, soit trois fois plus que les célèbres tortues des Galapagos. Etant donné qu'un mâle peut atteindre 120 centimètres de long et peser 250 kilos, et qu'il peut vivre 100 ans, l'impact de cet espèce sur le fragile environnement de l'atoll est comparable à celui qu'exercent les éléphants sur la savane africaine. Aldabra est par ailleurs une aire de nidification de la tortue marine.
L'île abrite également de nombreuses espèces d'oiseaux, dont certaines très rares, comme le râle de Cuvier d'Aldabra, le dernier oiseau inapte au vol de l'océan,une espèce d'aigrette, et l'ibis sacré d'Aldabra.
La faune marine qui habite la barrière corallienne mérite une mention toute particulière. La présence de nombreuses variétés de coraux et d'éponges favorise la prolifération de microorganismes qui nourrissent près de 200 espèces de poissons tropicaux très colorés.
Parmi ces derniers se distinguent les poissons-papillons, les poissons-anges, les rascasses, les aiguilles de mer et les poissons porcs-épics, ainsi que de nombreuses espèces de crabes, de grands bivalves, des anémones de mer et des mollusques,
qui font d'Aldabra un paradis pour quelques rares passionnés de plongée sous-marine fortunés.
Texte extrait du livre : Les plus beaux sites du patrimoine mondial de l'Unesco
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Par chezmamielucette le 8 Août 2016 à 00:00
Né à Québec en 1964, Denis Nolet amorça des études spécialisées en expression picturale dès l'âge de neuf ans avec l'enthousiasme d'un passionné.
Ces études l'amènent à expérimenter plusieurs styles d'expressions, pour ensuite se diriger vers la représentation minutieuse des scènes urbaines.
Il obtient un vif succès par la vente de ses tableaux dans la Vieille Capitale, ce qui lui permet de pouvoir vivre uniquement de son art dès l'âge de vingt ans. Tout en produisant à un rythme régulier, il poursuivit des études en art visuel à l'Université Laval.
Denis Nolet préfère le mystère de la nuit aux rayons de soleil, ce qui explique sa préférence pour les couleurs qu'il utilise. Noctambule lui-même, c'est pendant que les gens dorment que l'artiste œuvre.
Entre lui et le monde du sommeil se crée une complicité dont il sait tirer parti, exploitant ce moment où le rythme de la vie se ralentit dans la nature. Il peint un monde poétique dans lequel l'harmonie des formes baigne dans le repos et la sérénité.
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Par chezmamielucette le 7 Août 2016 à 00:00
Voir plus loin
"Le soir étant venu, les disciples s'approchèrent de lui, et dirent : Ce lieu est désert, et l'heure est déjà avancée ; renvoie la foule, afin qu'elle aille dans les villages, pour s'acheter des vivres. Jésus leur répondit : Ils n'ont pas besoin de s'en aller ; donnez-leur vous-mêmes à manger. Mais ils lui dirent : Nous n'avons ici que cinq pains et deux poissons..." Matthieu 14.14-17
J'aime cette phrase percutante de Myles Munroe : "Le pire ennemi de la vision c'est la vue". Combien de fois cessons-nous de croire aux promesses que Dieu a en réserve pour nous à cause de ce que nos yeux voient dans le moment présent ? Que peut-on faire de significatif avec cinq pains et deux poissons lorsque l'on a reçu le mandat de nourrir une multitude ? Voilà la question que devaient se poser inexorablement les disciples confus.
Peut-être qu'en ce moment même, vous partagez l'émotion des disciples ? Vous souhaiteriez ardemment un diplôme universitaire, mais la réalité actuelle est toute autre et vous avez des difficultés à subvenir à vos besoins financiers.. Vous avez reçu la promesse d'un ministère, d'une entreprise florissante ou d'une grande carrière, mais vous êtes prisonnier d'un emploi qui ne semble vous mener nulle part. Vous rêvez de fonder un foyer, mais vous êtes célibataire et au chômage. Le scénario actuel de votre vie vous donne des indications qui sont en contradiction avec votre vision. Bienvenue dans l'aventure de la foi !
Sachez que Dieu fonctionne toujours de cette façon pour briser la logique humaine et manifester sa gloire souveraine. Il nous demandera toujours de réaliser "quelque chose d'inaccessible". Seulement, pour le réaliser, il nous demandera de le faire à partir de "quelque chose d'accessible" ! Il n'a pas demandé aux disciples de pourvoir aux besoins de la foule en recherchant des cargaisons de nourriture. Il leur a tout simplement demandé de nourrir la foule avec ce qu'ils avaient en main, en l'occurence : cinq pains et deux poissons. C'est lui qui par la suite s'est occupé de la multiplication.
Là où il y a une vision, il y a une provision. Ne servez pas Dieu en fonction de vos ressources, mais en fonction de votre source. Ne bâtissez pas en fonction de ce que vous connaissez, mais en fonction de sa révélation. Avec cinq pains et deux poissons, vous pouvez nourrir la multitude. Avec quelques pierres et une simple fronde, vous pouvez térasser un géant. Avec une trompette et une marche de quelques kilomètres, vous pouvez abattre une forteresse. Tout ce qu'il vous faut pour réussir, c'est voir plus loin...
Une action pour aujourd'hui
Vivez cette journée différemment. Voyez plus loin, faites votre part avec vos cinq pains et vos deux poissons et attendez-vous à l'impossible. Laissez Dieu vous surprendre !
Luc Dumont
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