• Annecy (Haute-Savoie)

     

    Annecy est une commune et une ville française, chef-lieu et préfecture du département de la Haute-Savoie en région Auvergne-Rhône-Alpes. Au nord des Alpes françaises, après Genève à 40 km au nord, Annecy fait partie de l'axe des agglomérations du sillon alpin en alignement avec Chambéry puis Grenoble et Valence.

     

    Annecy (Haute-Savoie)

     

    La vieille ville, traversée par 3 canaux, concentre une part importante des monuments de la ville. Ses rues piétonnes à arcades dont la rue Sainte-Claire, l'une des plus belles avec ses arches romantiques des XVIIe et XVIIIe siècles, est parsemée de fontaines.

     

    Annecy (Haute-Savoie)

    Annecy (Haute-Savoie)

    Annecy (Haute-Savoie)

    Annecy (Haute-Savoie)

    Annecy (Haute-Savoie)

    Annecy (Haute-Savoie)

    Annecy (Haute-Savoie)

    Annecy (Haute-Savoie)

    Annecy (Haute-Savoie)

     

     

    Le château d'Annecy
    Surplombant la ville, le château construit du xiie au xvie siècle181,pour les comtes de Genève, puis servi aux ducs de Genevois-Nemours, branche cadette de la Maison de Savoie
    Plusieurs fois victime d'incendies, il a été laissé à l'abandon au xviie siècle, converti en caserne militaire jusqu'en 1947, pour être finalement racheté par la ville d'Annecy qui le restaure en 1953 avec l'aide des Monuments historiques afin d'en faire le Musée d'art contemporain et d'art régional d'Annecy et, depuis 1993, l'Observatoire régional des lacs alpins dans la Tour et le Logis Perrière.

     

    Annecy (Haute-Savoie)

    Annecy (Haute-Savoie)

    Annecy (Haute-Savoie)

    Annecy (Haute-Savoie)

    Annecy (Haute-Savoie)

     

    Annecy (Haute-Savoie)

    Annecy (Haute-Savoie)

    Annecy (Haute-Savoie)

    Annecy (Haute-Savoie)

    Annecy (Haute-Savoie)

    Annecy (Haute-Savoie)

    Annecy (Haute-Savoie)

    Annecy (Haute-Savoie)

     

    Le palais de l'Isle
    Construit au XIIe siècle au milieu du canal du Thiou, le Centre d'Interprétation de l'Architecture et du Patrimoine de l'agglomération d'Annecy a eu par le passé des fonctions très diverses : palais du châtelain d'Annecy au XIIe siècle, hôtel administratif pour le comte de Genève, siège de la judicature, hôtel des Monnaies, depuis le règne d'Amédée III de Genève vers 1356, et prison avant d'être classé monument historique.

     

    Annecy (Haute-Savoie)

    Annecy (Haute-Savoie)

    Annecy (Haute-Savoie)

    Annecy (Haute-Savoie)

    Annecy (Haute-Savoie)

    Annecy (Haute-Savoie)

    Annecy (Haute-Savoie)

    Annecy (Haute-Savoie)

    Annecy (Haute-Savoie)

    Annecy (Haute-Savoie)

    Annecy (Haute-Savoie)

     

    Le manoir de Novel
    Le manoir est construit dans le quartier nouveau de Novel, au pied de la colline d'Annecy-le-Vieux sur un plan quadrangulaire, avec une tour ronde dans son angle sud-ouest. Il était entouré d'un mur d'enceinte avec fossé, que l'on franchissait par un pont-levis. Au XIIe siècle, il appartient aux comtes de Genève jusqu'en 1219, date à laquelle, ils s'installent au château d'Annecy. Au XIVe siècle, la famille qui en a l'inféodation, prend le nom de celui-ci. Au XVe siècle, il est entre les mains de la famille de Renguins, puis passe à celle de Chenex. Par mariage, il passe en 1512, à la famille de Sales. En 1556, « Novel » est la propriété d'Amédée Viollon. Cette famille l'apporte en dot, au début du XVIIe siècle, aux visitandines, qui le gardent jusqu'à la Révolution française et en font le cœur d'une exploitation agricole. Confisqué et vendu, il gardera cette dernière fonction jusque dans les années 1960. En 1972, il est racheté à la famille Gay par la commune d'Annecy, qui le restaure. En 2008 le jardin du manoir est inscrit en tant que Refuge de la Ligue de protection des oiseaux.

     

    Annecy (Haute-Savoie)

    Annecy (Haute-Savoie)

    Annecy (Haute-Savoie)

    Annecy (Haute-Savoie)

    Annecy (Haute-Savoie)

    Annecy (Haute-Savoie)

    Annecy (Haute-Savoie)

    Annecy (Haute-Savoie)

    Annecy (Haute-Savoie)

     

    Annecy (Haute-Savoie)

     

     

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  •  

    Peinture de : Evelyne Deuil

    Peinture de : Evelyne Deuil

     

    Née à Rabat et ayant grandie à Annecy, j'ai été bercée par les couleurs chaudes du Maroc et celles plus froides des Alpes, ce qui m'a très tôt permis de développer ma sensibilité aux belles choses.

     

    Peinture de : Evelyne Deuil

    Peinture de : Evelyne Deuil

    Peinture de : Evelyne Deuil

    Peinture de : Evelyne Deuil

    Peinture de : Evelyne Deuil

    Peinture de : Evelyne Deuil

    Peinture de : Evelyne Deuil

    Peinture de : Evelyne Deuil

    Peinture de : Evelyne Deuil

    Peinture de : Evelyne Deuil

    Peinture de : Evelyne Deuil

    Peinture de : Evelyne Deuil

    Peinture de : Evelyne Deuil

     

    Par la suite, devenue chef d'entreprise d'une société d'Aménagement d'intérieurs, j'ai toujours cherché à harmoniser les formes et les couleurs, dans le but de créer des univers propices au bien-être et à la créativité.

     

    Peinture de : Evelyne Deuil

    Peinture de : Evelyne Deuil

    Peinture de : Evelyne Deuil

    Peinture de : Evelyne Deuil

    Peinture de : Evelyne Deuil

    Peinture de : Evelyne Deuil

    Peinture de : Evelyne Deuil

    Peinture de : Evelyne Deuil

    Peinture de : Evelyne Deuil

    Peinture de : Evelyne Deuil

    Peinture de : Evelyne Deuil

    Peinture de : Evelyne Deuil

     

    Aujourd'hui, je souhaite poursuivre cet objectif grâce à mes peintures dans lesquels j'intègre mes couleurs et mes émotions.

     

    Peinture de : Evelyne Deuil

    Peinture de : Evelyne Deuil

    Peinture de : Evelyne Deuil

    Peinture de : Evelyne Deuil

    Peinture de : Evelyne Deuil

    Peinture de : Evelyne Deuil

    Peinture de : Evelyne Deuil 

    Peinture de : Evelyne Deuil

    Peinture de : Evelyne Deuil

    Peinture de : Evelyne Deuil

    Peinture de : Evelyne Deuil

    Peinture de : Evelyne Deuil

    Peinture de : Evelyne Deuil

    Peinture de : Evelyne Deuil

     

    Peinture de : Evelyne Deuil

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  • "Tournesol" poème de Michèle Corti

    "Tournesol" poème de Michèle Corti

    "Tournesol" poème de Michèle Corti

    "Tournesol" poème de Michèle Corti

    "Tournesol" poème de Michèle Corti

    "Tournesol" poème de Michèle Corti

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  • Verrine aux fruits rouges

     

    Ingrédients

    Recette pour 4 personnes

    200 g de fraises
    200 g de myrtilles
    200 g de mascarpone
    100 g de flocons d'avoines
    2 Oeufs
    4 cuillères à soupe de sucre
    4 feuilles de menthe

     

    Verrine aux fruits rouges

     

    Préparation

     

    Mixer les myrtilles avec une cuillère à soupe de sucre et déposer le mélange au fond de la verrine. Réserver au frais.
    Séparer les blancs des jaunes. Battre les jaunes avec 2 cuillères à soupe de sucre et ajouter le mascarpone lorsque la préparation devient blanche
    Battre les blancs en neige et incorporer délicatement au mascarpone. Déposer le mélange sur la mousse de myrtille.
    Laver et équeuter les fraises et les mixer avec 1 cuillère à soupe de sucre.
    Déposer une couche de flocons d'avoine sur le mascarpone et ajouter le coulis de fraises sur le dessus.
    Décorer les verrines avec une feuille de menthe.

     

    Verrine aux fruits rouges

     

    Verrine aux fruits rouges

     

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  • Fleurs cultivées : Tournesol

    Fleurs cultivées : Tournesol

     

    Outre le célèbre tournesol, le genre Helianthus comprend 70 à 80 espèces, annuelles ou vivaces, toutes originaires d'Amérique du Nord, jusqu'au Canada, d'Amérique centrale et de l'ouest de l'Amérique du Sud.

     

    Fleurs cultivées : Tournesol

    Fleurs cultivées : Tournesol

    Fleurs cultivées : Tournesol

     

    C'est généralement une grande plante robuste, à racines rampantes ou tubéreuses. Les feuilles simples, le plus souvent ovales, alternes ou opposées, sont rugueuses au toucher. La tige s'élève de 40 cm jusqu'à 4 m pour certaines variétés.

     

    Fleurs cultivées : Tournesol

    Fleurs cultivées : Tournesol

    Fleurs cultivées : Tournesol

     

    Peu ou pas ramifiée, elle porte un ou des capitules (inflorescences composées de petites fleurs tubulaires au centre – ou fleurons de disque –, entourées d'une ou plusieurs rangées de ligules – ou fleurons rayonnants), généralement jaune d'or à cœur jaune ou brun, mais qui peuvent être plus ou moins colorés de rouge, de brique ou de brun. D'un diamètre de 5 à 10 cm chez les espèces vivaces, ils peuvent atteindre 30 cm chez les variétés annuelles géantes.

     

    Fleurs cultivées : Tournesol

    Fleurs cultivées : Tournesol

    Fleurs cultivées : Tournesol

    Fleurs cultivées : Tournesol

    Fleurs cultivées : Tournesol

    Fleurs cultivées : Tournesol

    Fleurs cultivées : Tournesol

    Fleurs cultivées : Tournesol

    Fleurs cultivées : Tournesol

    Fleurs cultivées : Tournesol

     

    Les espèces vivaces sont rustiques jusqu'à au moins -15 °C. Caduques, elles disparaissent en hiver (si on a coupé les hautes tiges), mais repoussent au printemps. Elles ont la réputation tenace d'être envahissantes, mais ce n'est plus le cas des variétés modernes, sur lesquelles on a cherché à éliminer ce caractère.

     

    Fleurs cultivées : Tournesol

    Fleurs cultivées : Tournesol

    Fleurs cultivées : Tournesol


    On parle souvent de l'héliotropisme des fleurs de tournesol, ce qui leur aurait valu leur nom français, qui voudrait que la fleur suive la course du soleil. En réalité, la fleur s'oriente vers le soleil levant, donc à l'est, sud-est et y reste bien calée. Mais l'accumulation d'auxine, une hormone végétale responsable de l'élongation cellulaire chez le végétal, en haut de la tige, juste sous la fleur, fait que le côté non exposé au soleil grandit plus vite que le côté exposé. Il en résulte que la tige va donc se courber vers le soleil, donnant l'impression que la plante tourne.

     

    Fleurs cultivées : Tournesol

    Fleurs cultivées : Tournesol

    Fleurs cultivées : Tournesol

     

    On plante les soleils au jardin en massif, plate-bande, en pot pour les variétés naines, mais aussi en haies temporaires. Ils font de magnifiques bouquets champêtres en automne. Mais on peut aussi récolter les graines, sur certaines variétés, et tenter d'en extraire de l'huile ou bien les garder pour les oiseaux en hiver.
    Mais le soleil est aussi parfois une plante comestible. C'est le cas du topinambour (Helianthus tuberosus) dont on mange les tubercules en hiver.

     

    Fleurs cultivées : Tournesol

     

    Enfin, les cultures industrielles de tournesol servent à produire de l'huile, mais la plante a aussi la réputation de nettoyer les sols contaminés par la radioactivité. Une opération est d'ailleurs en cours à Fukushima pour planter massivement des tournesols dans les zones contaminées, une production qui serait ensuite transformée en carburant. Des plantations similaires avaient eu lieu à Tchernobyl après la catastrophe et on devrait bientôt pouvoir en mesurer les résultats (après 30 ans).

     

    Fleurs cultivées : Tournesol

    Fleurs cultivées : Tournesol

     

    Fleurs cultivées : Tournesol

     

    Attention : le contact avec le feuillage pubescent (garni de poils) peut causer des allergies cutanées.

     

    Fleurs cultivées : Tournesol

    Fleurs cultivées : Tournesol

    Fleurs cultivées : Tournesol

    Fleurs cultivées : Tournesol

    Fleurs cultivées : Tournesol

    Fleurs cultivées : Tournesol

     

    Fleurs cultivées : Tournesol

     

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  • 14 juillet 1789 : prise de la Bastille

      

    14 Juillet,

     

    Le rouge des gros vins bleus,
    la blancheur de mon âme,
    Je chante les moissons de la République
    sur la tête des enfants sages
    le soir du quatorze juillet.

    14 juillet 1789 : prise de la Bastille

    Et l'ivresse de fraternité des hommes dans les rues,
    aux carrefours des rêves de la jeunesse
    et des soupirs de l'âge,
    au rendez-vous de la mémoire et des promesses,
    dans le reverdissement de l'espoir par la danse.

    14 juillet 1789 : prise de la Bastille

    C'est le triomphe de la tendresse,
    l'artifice qui va ranimer,
    devant, derrière, les journées grises.
    Viens, toi que j'aurai tant aimée,
    plus tard. . . quand je t'aurai ourdie
    de tant de moires et de rages,
    tant qu'enfin je t'ai rendue telle :
    en pouvoir de rompre mon coeur. . .
    O mon silence armé d'orage,
    aujourd'hui tu es cri gentil
    de rencontre avec l'aventure !

    14 juillet 1789 : prise de la Bastille

    C'est le jour de fête de la Liberté.
    Nous avions oublié la vieille mère
    dont les anciens ont planté les arbres.
    Il est des morts vaincus qu'il faut précipiter
    encore un coup du haut des tours en pierre.
    Il est des assauts qu'il faut toujours reprendre.
    Il est des chants qu'il faut chanter en choeur,
    des feuillages à brandir et des drapeaux
    pour ne pas perdre le droit des arbres
    de frémir au vent.

    14 juillet 1789 : prise de la Bastille

    Nous allons en cortège comme une noce solennelle.
    Nous portons le feu débonnaire des lampions.
    Soumis à notre humble honneur, le geste gauche.
    Les bals entrent dans la troupe et les accordéons.

    14 juillet 1789 : prise de la Bastille

    Le génie de la Bastille a sauté parmi nous.
    Il chante dans la foule, sa voix mâle nous emplit.
    Au Faubourg s'est gonflé le levain de Paris.
    Dans la pâte, nous trouverons des guirlandes de verdure,
    quand nous défournerons le pain de la justice. . .
    C'est aujourd'hui ! Nous le partagerons en un banquet,
    sur de hautes tables avec des litres.
    Le monde est en liesse, buvons et croyons !

    14 juillet 1789 : prise de la Bastille

    Je bois à la joie du peuple, au droit de l'homme
    de croire à la joie au moins une fois l'an.
    À l'iris tricolore de l'oeil apparaissant
    entre les grandes paupières de l'angoisse.
    À la douceur précaire, à l'illusion de l'amour.

    André Frénaud  

    14 juillet 1789 : prise de la Bastille

     

    14 juillet 1789 : prise de la Bastille

    14 juillet 1789 : prise de la Bastille

    14 juillet 1789 : prise de la Bastille

    14 juillet 1789 : prise de la Bastille

    14 juillet 1789 : prise de la Bastille

     

    14 juillet 1789 : prise de la Bastille

    14 juillet 1789 : prise de la Bastille

    14 juillet 1789 : prise de la Bastille

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  • Giverny (Eure) 2ème partie

    Giverny (Eure) 2ème partie

     

    Giverny est une commune française située dans le département de l'Eure en région Normandie. Elle est surtout connue pour la maison et les jardins du peintre impressionniste Claude Monet (1840-1926

     

    Giverny (Eure) 2ème partie

    Giverny (Eure) 2ème partie

    Giverny (Eure) 2ème partie

    Giverny (Eure) 2ème partie

    Giverny (Eure) 2ème partie

    Giverny (Eure) 2ème partie

    Giverny (Eure) 2ème partie


    Le musée des impressionnismes Giverny expose les œuvres originales des plus grands noms du courant impressionniste, notamment la colonie de peintres de Giverny et de la vallée de la Seine.

     

    Giverny (Eure) 2ème partie

    Giverny (Eure) 2ème partie

    Giverny (Eure) 2ème partie

    Giverny (Eure) 2ème partie

    Giverny (Eure) 2ème partie

    Giverny (Eure) 2ème partie

    Giverny (Eure) 2ème partie

    Giverny (Eure) 2ème partie

    Giverny (Eure) 2ème partie

    Giverny (Eure) 2ème partie

     

    L'ancien hôtel Baudy et sa roseraie, où se réunissaient les peintres Voyage dans le temps dans un restaurant à l'atmosphère très impressionniste ! A Giverny en Normandie, vous tomberez sous le charme de l'ancien hôtel Baudy !

     

     

    Giverny (Eure) 2ème partie

    Giverny (Eure) 2ème partie

    Giverny (Eure) 2ème partie

    Giverny (Eure) 2ème partie

    Giverny (Eure) 2ème partie

     

    Giverny (Eure) 2ème partie

    Giverny (Eure) 2ème partie

     

    Un lieu historique fréquenté par Claude Monet et de nombreux artistes comme Cézanne, Renoir, Sisley, Rodin… Un de ces endroits qui a une âme et vous replonge dans l'atmosphère impressionniste de l'époque : décor 1900, mobilier bistrot et nappes à carreaux rouge et blanc. Au menu, des plats simples, des assiettes copieuses, et la fameuse omelette de Madame Baudy qui est restée à la carte !

     

    Giverny (Eure) 2ème partie

    Giverny (Eure) 2ème partie

    Giverny (Eure) 2ème partie

    Giverny (Eure) 2ème partie

    Giverny (Eure) 2ème partie

    Giverny (Eure) 2ème partie

    Giverny (Eure) 2ème partie

     

    Ne manquez pas de découvrir dans le jardin, l’atelier d'artistes laissé dans son jus et la roseraie aux parfums enivrants qui serpente à flanc de colline... Monet lui-même venait y converser avec son ami Clémenceau.

     

    Giverny (Eure) 2ème partie

    Giverny (Eure) 2ème partie

    Giverny (Eure) 2ème partie

    Giverny (Eure) 2ème partie

    Giverny (Eure) 2ème partie

    Giverny (Eure) 2ème partie

     

    L'église Sainte-Radegonde fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le 16 avril 2009. Auparavant, l'abside et le pignon sud étaient inscrits partiellement en date 26 décembre 1927. Nef en maçonnerie de silex et calcaire, avec parties en opus spicatum des 11e et 12e siècles et pignon ouest en pierre de taille remontant au 15e siècle. Long transept à haut pignon au sud et moins saillant au nord. La partie ouest est occupée par la tourelle d'escalier du clocher polygonal établi à la croisée du transept. Choeur hémi-cylindrique. La croisée de plan carré supporte le clocher par quatre piliers sur lesquels retombent des croisées d'ogive. Le choeur se termine par une abside en cul de four datant du 11e ou 12e siècle

     

    Giverny (Eure) 2ème partie

    Giverny (Eure) 2ème partie

    Giverny (Eure) 2ème partie

    Giverny (Eure) 2ème partie

    Giverny (Eure) 2ème partie

    Giverny (Eure) 2ème partie

    Giverny (Eure) 2ème partie

    Giverny (Eure) 2ème partie

    Giverny (Eure) 2ème partie

    Giverny (Eure) 2ème partie

    Giverny (Eure) 2ème partie

     

    Giverny (Eure) 2ème partie

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  • Giverny (Eure)

     

    Giverny est une commune française située dans le département de l'Eure en région Normandie. Elle est surtout connue pour la maison et les jardins du peintre impressionniste Claude Monet (1840-1926)

     

    Giverny (Eure)

     

    Giverny est une commune de l'extrême est du département de l'Eure, limitrophe de celui des Yvelines et proche de celui du Val-d'Oise. Elle appartient à la région naturelle du Vexin bossu qui se caractérise par les multiples sillons qui ont creusé le plateau et offre un paysage très ondulé entre les vallons secs affluents de l’Epte1. À vol d'oiseau, la commune est à 3,5 km à l'est de Vernon, à 16,5 km au nord-ouest de Mantes-la-Jolie, à 28 km à l'est d'Évreux et à 51 km au sud-est de Rouen.

     

    Giverny (Eure)

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    Giverny (Eure)

    Giverny (Eure)

     

    Claude Monet a vécu dans sa demeure de Giverny pendant quarante-trois ans, de 1883 à 1926. Cette période de temps très longue lui a permis d'agencer la maison à son goût, tout en l'adaptant aux besoins de sa vie familiale et professionnelle.
    Au départ, la demeure appelée maison du Pressoir (un pressoir à pommes situé sur la placette voisine a donné son nom au quartier) est de dimensions plus réduites. Monet va l'agrandir de chaque côté, pour en faire une longère de 40 mètres de long sur seulement 5 mètres de large.

     

    Giverny (Eure)

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    Giverny (Eure)

    Giverny (Eure)

    Giverny (Eure)

    Giverny (Eure)

    Giverny (Eure)

    Giverny (Eure)

    Giverny (Eure)

    Giverny (Eure)

    Giverny (Eure)

    Giverny (Eure)

    Giverny (Eure)

    Giverny (Eure)


    La grange adossée à la maison devient son premier atelier, grâce à la pose d'un plancher et à l'installation d'un escalier vers la maison principale. Monet, qui peint surtout en plein air, a besoin d'un endroit pour entreposer ses toiles et pour effectuer les retouches.
    Au-dessus de son atelier, Monet ajoute un étage et s'aménage une grande chambre à coucher et un cabinet de toilette. Tout le côté gauche de la maison est donc réservé à Monet, qui y possède son espace de travail et de repos.

     

    Giverny (Eure)

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    Giverny (Eure)

    Giverny (Eure)

    Giverny (Eure)

    Giverny (Eure)

    Giverny (Eure)

     

    Devant la maison, les jardins reconstitués à l’identique se composent du Clos Normand et du Jardin d'eau.

    • Le Clos-Normand a été façonné à partir des connaissances picturales de Monet. Quand Monet s’installe à Giverny, il est conquis par le jardin d’un hectare constitué d’une pommeraie et d’un potager qui longe la maison. Une grande allée bordée de cyprès et d’épicéas mène du portail à la porte d’entrée, et les massifs sont bordés de buis taillés. Il consacrera des années à faire du Clos Normand un « tableau exécuté à même la nature ». Il fait supprimer les buis et les épicéas et les remplace par des arceaux métalliques. Il plante le jardin de milliers de fleurs selon un plan rectiligne, parmi lesquelles des capucinesrosesjonquillestulipesnarcissesirispavots d'orient et pivoines.

     

    Giverny (Eure)

    Giverny (Eure)

    Giverny (Eure)

     

     

    • L'œuvre de Monet témoigne d'une passion pour les jeux de lumière et les reflets des nuages sur l’eau. En 1893, il fait l’acquisition d’un terrain situé au fond du Clos Normand qui deviendra le « Jardin d’eau » passé à la postérité, notamment avec Les Nymphéas, ensemble de toiles monumentales débutées en 1897. Le Jardin d'eau témoigne de la fascination de Monet pour le Japon. Il y fait construire un pont japonais peint en vert et y adjoint des végétaux orientaux tels que :

    Enfin, Monet plante des nymphéas au fond du bassin. Le Jardin d'eau fut dès le début l'objet de soins minutieux et constants, occupant un jardinier à temps plein.

     

    Giverny (Eure)

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    Giverny (Eure)

     

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  • Peinture de : Théodore Robinson

    Peinture de : Théodore Robinson

     

    Theodore Robinson (3 juillet 1852 - 2 avril 1896) était un peintre américain célèbre pour ses paysages impressionnistes. Il fut l'un des premiers artistes américains à adopter l'impressionnisme à la fin des années 1880. Il fréquenta Claude Monet à Giverny. Plusieurs de ses toiles sont considérées comme des chefs d'œuvre de l'impressionnisme américain.

     

    Peinture de : Théodore Robinson

    Peinture de : Théodore Robinson

    Peinture de : Théodore Robinson

    Peinture de : Théodore Robinson

    Peinture de : Théodore Robinson

    Peinture de : Théodore Robinson

    Peinture de : Théodore Robinson

    Peinture de : Théodore Robinson

    Peinture de : Théodore Robinson


    Theodore Robinson est né à Irasburg dans le Vermont, au Nord-Est des États-Unis. Sa famille s'installa dans le Wisconsin et Robinson commença des études d'art à l'Institut d'art de Chicago en 1869. L'année suivante, il s'installa à Denver, près des montagnes Rocheuses, pour soulager ses crises d'asthme. En 1874, il intégra l'Académie américaine de design et l'Art Students League à New York. En 1876, il partit pour Paris, où il fut l'élève de Carolus-Duran puis de Jean-Léon Gérôme à l'École des beaux-arts. Il peignit ses premières toiles à Paris en 1877, et passa l'été à Grez-sur-Loing. Après plusieurs voyages à Venise et Bologne, il retourna aux États-Unis en 1879, où il resta plusieurs années. Pendant cette période, il adopta le style réaliste et représenta des personnes exécutant des tâches agricoles ou domestiques.

     

    Peinture de : Théodore Robinson

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    Peinture de : Théodore Robinson

    Peinture de : Théodore Robinson

    Peinture de : Théodore Robinson

    Peinture de : Théodore Robinson

    Peinture de : Théodore Robinson

    Peinture de : Théodore Robinson


    En 1884, Theodore Robinson retourna en France, où il vécut huit années, tout en faisant des séjours en Amérique.
    Il fréquenta Giverny en Normandie, le centre de l'impressionnisme, autour de la figure de Claude Monet. De tous les artistes américains, il fut le plus proche du maître français, qui lui donnait des conseils.

     

    Peinture de : Théodore Robinson

    Peinture de : Théodore Robinson

    Peinture de : Théodore Robinson

    Peinture de : Théodore Robinson

    Peinture de : Théodore Robinson

    Peinture de : Théodore Robinson

    Peinture de : Théodore Robinson

    Peinture de : Théodore Robinson

    Peinture de : Théodore Robinson

     

    Robinson peignit plusieurs toiles dans un style impressionniste traditionnel, influencé par Claude Monet. Ainsi, Capri, peint en 1890, s'inspire probablement des Falaises à Varengeville, Pourville, et Etretat.

     

    Peinture de : Théodore Robinson

     

    À Giverny, Robinson réalisa quelques-unes de ses meilleures toiles : des paysages ruraux, des femmes. La Débâcle (1892) est considérée comme une œuvre de maturité.

     

    Peinture de : Théodore Robinson


    Il quitta la France en 1892 et obtint une place d'enseignant à la Brooklyn Art School. Il fut en relation avec d'autres peintres impressionnistes américains comme John Henry Twachtman et Julian Alden Weir, et séjourna à la Cos Cob Art Colony dans le Connecticut. C'est là qu'il peignit une série de marines au Riverside Yacht Club. Il passa les classes d'été à Napanoch, près des montagnes Catskill, où il peignit quelques paysages. Il enseigna également à l'Evelyn College de Princeton, puis à la Pennsylvania Academy of the Fine Arts de Philadelphie.

     

    Peinture de : Théodore Robinson

    Peinture de : Théodore Robinson

    Peinture de : Théodore Robinson

    Peinture de : Théodore Robinson

    Peinture de : Théodore Robinson

    Peinture de : Théodore Robinson

    Peinture de : Théodore Robinson

    Peinture de : Théodore Robinson


    En 1895, il réalisa plusieurs toiles dans le Vermont et écrivit une lettre à Claude Monet en février 1896, annonçant son retour à Giverny. Mais il mourut en avril à New York à l'âge de 43 ans, d'une crise d'asthme aiguë. Aujourd'hui, les toiles de Theodore Robinson sont conservées au Metropolitan Museum of Art de New York, à la Corcoran Gallery of Art de Washington et à l'Institut d'art de Chicago.

     

    Peinture de : Théodore Robinson

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  • "Le figuier"  poème de Vette de Fonclare

     

    Le figuier 


    C’est un très vieux figuier au fond de la garrigue,
    Tordu comme un sarment, torturé par le temps.
    Il a piètre figure, mais il y a ses figues :
    Piriformes et bleues, si tendres sous la dent,

    Des délices sucrées et molles croustillant
    De leurs petits pépins craquillant de soleil !
    De gros fruits délicieux que l’arbre agonisant
    Rend toujours plus exquis ; dont nul ne s’émerveille !

    Il sait qu’il va mourir ! Il est tellement vieux !
    Il naquit sur la lande il y a très longtemps,
    Quand les hommes croyaient en de multiples dieux
    Et que ce coin perdu était encor un champ.

    Ces fruits sont ses derniers ; bientôt ses grosses feuilles
    Vont tomber sur le sol une dernière fois.
    Son tronc tout biscornu et que septembre effeuille
    Ne sera bientôt plus qu’une sculpture en bois


    Vette de Fonclare

     

    "Le figuier"  poème de Vette de Fonclare

     

    "Le figuier"  poème de Vette de Fonclare

    "Le figuier"  poème de Vette de Fonclare

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