• "Mon Père" poème de François Coppée pour la fête des Pères

     

    Mon Père

     

    Tenez, lecteur ! – souvent, tout seul, je me promène
    Au lieu qui fut jadis la barrière du Maine.
    C’est laid, surtout depuis le siège de Paris.
    On a planté d’affreux arbustes rabougris
    Sur ces longs boulevards où naguère des ormes
    De deux cents ans croisaient leurs ramures énormes.
    Le mur d’octroi n’est plus ; le quartier se bâtit.
    Mais c’est là que jadis, quand j’étais tout petit,
    Mon père me menait, enfant faible et malade,
    Par les couchants d’été faire une promenade.
    C’est sur ces boulevards déserts, c’est dans ce lieu
    Que cet homme de bien, pur, simple et craignant Dieu,
    Qui fut bon comme un saint, naïf comme un poète,
    Et qui, bien que très pauvre, eut toujours l’âme en fête,
    Au fond d’un bureau sombre après avoir passé
    Tout le jour, se croyant assez récompensé
    Par la douce chaleur qu’au coeur nous communique
    La main d’un dernier-né, la main d’un fils unique,
    C’est là qu’il me menait. Tous deux nous allions voir
    Les longs troupeaux de boeufs marchant vers l’abattoir,
    Et quand mes petits pieds étaient assez solides,
    Nous poussions quelquefois jusques aux Invalides,
    Où, mêlés aux badauds descendus des faubourgs,
    Nous suivions la retraite et les petits tambours.
    Et puis enfin, à l’heure où la lune se lève,
    Nous prenions pour rentrer la route la plus brève ;
    On montait au cinquième étage, lentement ;
    Et j’embrassais alors mes trois soeurs et maman,
    Assises et cousant auprès d’une bougie.
    – Eh bien, quand m’abandonne un instant l’énergie,
    Quand m’accable par trop le spleen décourageant,
    Je retourne, tout seul, à l’heure du couchant,
    Dans ce quartier paisible où me menait mon père ;
    Et du cher souvenir toujours le charme opère.
    Je songe à ce qu’il fit, cet homme de devoir,
    Ce pauvre fier et pur, à ce qu’il dut avoir
    De résignation patiente et chrétienne
    Pour gagner notre pain, tâche quotidienne,
    Et se priver de tout, sans se plaindre jamais.
    – Au chagrin qui me frappe alors je me soumets,
    Et je sens remonter à mes lèvres surprises
    Les prières qu’il m’a dans mon enfance apprises.

    François Coppée, Promenades et Intérieurs

     

    "Mon Père" poème de François Coppée pour la fête des Pères

    "Mon Père" poème de François Coppée pour la fête des Pères

     

    "Mon Père" poème de François Coppée pour la fête des Pères

    "Mon Père" poème de François Coppée pour la fête des Pères

    "Mon Père" poème de François Coppée pour la fête des Pères

     

    "Mon Père" poème de François Coppée pour la fête des Pères

     

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  • Terrines aux pommes

     

    Ingrédients :

    4Pommes
    40cl Lait entier
    5Oeufs
    125g Sucre
    100g Pour le caramel
    1cuil. à soupe bombée Maïzena
    30g Beurre demi-sel
    2cuil. à soupe Calvados


    Étapes de la préparation

     

    1) Pelez les pommes et coupez-les en gros cubes. Dans une poêle faites fondre le beurre et faites-les dorer 10 min. Versez le calvados dessus et flambez.

    2) Chauffez les 100 g de sucre dans une petite casserole avec 1 cuil. à soupe d'eau pour obtenir un caramel ambré. Versez dans un moule à cake et inclinez-le pour bien napper le fond.

    Terrines aux pommes

    3) Mélangez les œufs, 125 g de sucre et la Maïzena délayée dans 2 cuil. à soupe de lait. Portez le reste de lait à ébullition et versez sur les œufs en mélangeant.

    4) Versez la crème aux œufs dans le moule, ajoutez les pommes et placez-le dans un bain-marie rempli d'eau chaude

    Terrines aux pommes

    Enfournez à 180 °C (th. 6) pour 45 min.

    Placez au réfrigérateur pour 3 h.

    Terrines aux pommes

    Écrit par
    Orane Schersch

     

    Terrines aux pommes

     

    Terrines aux pommes

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  • Fleurs cultivées : Suzanne aux yeux noirs

    Fleurs cultivées : Suzanne aux yeux noirs

     

    Le genre Thunbergia (famille des Acanthacées) comprend environ 100 espèces annuelles ou vivaces à feuillage persistant, grimpantes ou arbustives, originaires d'Afrique tropicale et du Sud, de Madagascar et d'Asie tropicale. On les rencontre dans les forêts, au milieu des rochers, accrochées aux arbres ou aux arbustes.

     

    Fleurs cultivées : Suzanne aux yeux noirs

    Fleurs cultivées : Suzanne aux yeux noirs

    Fleurs cultivées : Suzanne aux yeux noirs

    Fleurs cultivées : Suzanne aux yeux noirs

    Fleurs cultivées : Suzanne aux yeux noirs

     

    Thunbergia alata, la suzanne-aux-yeux-noirs, est une plante vivace grimpante originaire d'Afrique de l'Est, qui s'est naturalisée dans de nombreux pays (Brésil, Hawaï, Australie, sud des États-Unis) où elle prend parfois un caractère invasif. Sous nos climats, elle est généralement cultivée en annuelle.

     

    Fleurs cultivées : Suzanne aux yeux noirs

    Fleurs cultivées : Suzanne aux yeux noirs

    Fleurs cultivées : Suzanne aux yeux noirs

    Fleurs cultivées : Suzanne aux yeux noirs

    Fleurs cultivées : Suzanne aux yeux noirs

     

    Le thunbergia est une plante vigoureuse à croissance rapide, qui s'enroule autour de tout support disponible grâce à ses nombreuses tiges volubiles, grêles et quadrangulaires, ligneuses à la base, qui s'enchevêtrent et forment une masse assez indistincte. Elle peut atteindre 3 à 4 mètresde haut dans les zones tropicales, mais beaucoup moins quand elle est cultivée comme plante annuelle.

     

    Fleurs cultivées : Suzanne aux yeux noirs

    Fleurs cultivées : Suzanne aux yeux noirs

    Fleurs cultivées : Suzanne aux yeux noirs

    Fleurs cultivées : Suzanne aux yeux noirs

    Fleurs cultivées : Suzanne aux yeux noirs

     

    Les feuilles persistantes, velues, dentées, en forme de pointe de flèche, de couleur vert moyen à vert foncé, sont portées par un fin pétiole ailé qui a donné son nom à l'espèce (alata).

     

    Fleurs cultivées : Suzanne aux yeux noirs

    Fleurs cultivées : Suzanne aux yeux noirs

    Fleurs cultivées : Suzanne aux yeux noirs

    Fleurs cultivées : Suzanne aux yeux noirs

    Fleurs cultivées : Suzanne aux yeux noirs

    Fleurs cultivées : Suzanne aux yeux noirs 

    Fleurs cultivées : Suzanne aux yeux noirs

    Fleurs cultivées : Suzanne aux yeux noirs

     

    Mais c'est pour sa généreuse floraison que la suzanne-aux-yeux-noirs est cultivée. Les nombreuses fleurs en forme d'entonnoir jaune d'or, orange, jaune crème ou blanches, avec un œil brun foncé au centre qui attire les insectes pollinisateurs, sont portées par un court pédicelle à l'aisselle des feuilles. Elles s'épanouissent en solitaire de la fin du printemps aux premières gelées.

     

    Fleurs cultivées : Suzanne aux yeux noirs

    Fleurs cultivées : Suzanne aux yeux noirs

    Fleurs cultivées : Suzanne aux yeux noirs

    Fleurs cultivées : Suzanne aux yeux noirs

    Fleurs cultivées : Suzanne aux yeux noirs

    Fleurs cultivées : Suzanne aux yeux noirs

    Fleurs cultivées : Suzanne aux yeux noirs

    Fleurs cultivées : Suzanne aux yeux noirs

    Fleurs cultivées : Suzanne aux yeux noirs

    Fleurs cultivées : Suzanne aux yeux noirs

     

    Cette plante peut vivre de nombreuses années, mais elle est souvent traitée en annuelle car elle n'est pas rustique et en outre, sa première floraison est en général beaucoup plus abondante que les suivantes. Cependant, si elle est hivernée hors gel, elle pourra refleurir l'année suivante. Elle pourra même fleurir tout l'hiver si le local est assez lumineux (véranda ou serre chaudes).

     

    Fleurs cultivées : Suzanne aux yeux noirs

    Fleurs cultivées : Suzanne aux yeux noirs

    Fleurs cultivées : Suzanne aux yeux noirs

    Fleurs cultivées : Suzanne aux yeux noirs

    Fleurs cultivées : Suzanne aux yeux noirs

    Fleurs cultivées : Suzanne aux yeux noirs

     

    Au jardin, plantée en pot ou en pleine terre, elle a sa place sur une rambarde, une clôture, une treille, une tonnelle ou simplement en couvre-sol, au pied d'arbustes.

     

    Fleurs cultivées : Suzanne aux yeux noirs

    Fleurs cultivées : Suzanne aux yeux noirs

    Fleurs cultivées : Suzanne aux yeux noirs

    Fleurs cultivées : Suzanne aux yeux noirs

    Fleurs cultivées : Suzanne aux yeux noirs

     

    Fleurs cultivées : Suzanne aux yeux noirs

     

    Fleurs cultivées : Suzanne aux yeux noirs

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  • Joigny  'Yonne) 

    Joigny est une commune française située dans le département de l'Yonne en région Bourgogne-Franche-Comté.

     

    Joigny  'Yonne)

     

    La ville de Joigny est située au centre du département de l'Yonne sur les bords de l'Yonne (rivière) en Bourgogne-Franche-Comté.

    La ville primitive fut construite sur un promontoire de la côte du plateau d’Othe, dominant la large rivière, qui servait à la fois de protection et de voie de communication. Son pont, sa riche vallée propice aux pâturages et à la culture tant vivrière que céréalière, et sa situation stratégique furent à l'origine de sa richesse, notamment grâce à la culture de la vigne sur les coteaux calcaires (au moins jusqu’à l’apparition du phylloxera).
    Sur le plateau, la vaste forêt d'Othe, qui occupe les deux-tiers de la surface de la commune, permit la construction des maisons à pans de bois dont la ville s’enorgueillit encore ; l’écorce des chênes fournit le tan nécessaire aux nombreuses tanneries — elles comptèrent jusqu’à 140 fosses — situées sur la rive gauche d’un bras du Tholon, le ru des tanneries.

     

    Joigny  'Yonne)

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    Joigny est labellisée ville d'art et d'histoire.

    Un château Renaissance, « le château des Gondi », surplombe la ville, bâti entre 1569 et 1613, a succédé à plusieurs châteaux. construits sur le même emplacement. Jean Chéreau, architecte jovinien, fut un des maîtres d’œuvre, réalisant un bel édifice Renaissance.
    Le corps de logis et le pavillon d'angle offrent un décor riche, suivant l'évolution de l'architecture entre le XVIe et XVIIe siècle

     

    Joigny  'Yonne)

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    La porte Saint-Jean : cette porte qui servait d'entrée au premier château édifié à Joigny par Rainard le Vieux (comte de Sens mort en 996), est le plus ancien édifice féodal de Joigny (fin Xe siècle).

     

    Joigny  'Yonne)

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    Joigny  'Yonne)

     

    La chapelle sépulcrale des Ferrand (palais de justice) : construite à la fois en pleine époque Renaissance sous le règne de François Ier et après l'incendie de Joigny. Elle était au centre de l'ancien cimetière de Saint-André et depuis 1850 englobée dans le palais de justice. C'est Jean Ferrand archidiacre de Sens, né à Joigny, qui mourut en 1559, grand amateur des beaux arts qui la fit construire ainsi que l'ancien hôpital Saint-Antoine. Consacrée à la Vierge, elle ne fut pas tout de suite appelée du nom de son fondateur. Elle est de forme octogonale et de style Renaissance, la frise extérieure représente cinq bas reliefs relatifs à la résurrection des morts.

     

    Joigny  'Yonne)

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    Joigny  'Yonne)


    Au XIXe siècle, à l'époque de son intégration au palais de justice, le dôme d'origine a été remplacé par la toiture actuelle plus disgracieuse, les fenêtres ont été agrandies et une cheminée a défiguré le bâtiment.
    La fresque intérieure de 1630, redécouverte sous l'enduit en 1934, représente l'adoration des mages. C'est une copie d'un tableau de Jean Boucher, peintre de Bourges, célèbre sous le règne de Louis XIII.
    Dévastée pendant la Révolution, elle a été longtemps abandonnée et la chapelle qui est devenue la salle du tribunal n'a jamais été consacrée.

     

    Joigny  'Yonne)


    À la suite de la réforme de la carte judiciaire, le tribunal d'instance ferme le 31 décembre 2009 et le Conseil Général propriétaire de l'édifice n'a pas souhaité le conserver. L'ensemble (tribunal et chapelle) de 750 mètres carrés a été vendu en juillet 2012 pour la somme de 200 000 euros. Les nouveaux propriétaires ayant le projet de le louer à des particuliers pour des fêtes, des soirées et réceptions ou à des associations qui voudraient organiser des animations

     

    Joigny  'Yonne)

    Joigny  'Yonne)

    Joigny  'Yonne)

    Joigny  'Yonne)

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  • "Le vieux moulin" poème de Rivière

     

    Le vieux moulin

     

    Je suis un vieux moulin
    Qui broyait le bon grain
    j'en faisais de la farine
    Bien belle, bien fine

    "Le vieux moulin" poème de Rivière

    Ma grande roue tournait
    Le cours d'eau chantait
    Le vent était mon ami
    Le brave meunier aussi

    "Le vieux moulin" poème de Rivière

    Où donc est la rivière?
    Qui jouait avec les pierres
    Ma grande roue s'est tue.
    Elle aussi ne chante plus !

    "Le vieux moulin" poème de Rivière

    Tout aurait donc une fin ?
    Le meunier et son moulin !
    La belle farine, le bon grain !
    Qu'est devenu le bon pain ?

    Rivière

     

    "Le vieux moulin" poème de Rivière

    "Le vieux moulin" poème de Rivière

    "Le vieux moulin" poème de Rivière

    "Le vieux moulin" poème de Rivière

     

    "Le vieux moulin" poème de Rivière

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  • Saint-Privé ( Yonne)

      

    Saint-Privé est une commune française située dans le département de l'Yonne en région Bourgogne-Franche-Comté.

     

    Saint-Privé ( Yonne)

     

    A la limite du Loiret, à mi chemin de Gien et d’Auxerre, au nord de Saint-Fargeau, Saint-Privé s’étend sur un vaste territoire de bocage de 4000ha. C’est un village rural au milieu de nombreux hameaux agricoles.

     

    Saint-Privé ( Yonne)

    Saint-Privé ( Yonne)

    Saint-Privé ( Yonne)

    Saint-Privé ( Yonne)

    Saint-Privé ( Yonne)

    Saint-Privé ( Yonne)

    Saint-Privé ( Yonne)

      

    La première église, détruite pendant la guerre de Cent Ans est reconstruite au XVIe dans un style gothique flamboyant avec des dimensions remarquables par rapport à la population. Classée Monument Historique en 1907, elle a survécu par miracle à l’effondrement d’un pilier de son clocher en 1957.

     

    Saint-Privé ( Yonne)

    Saint-Privé ( Yonne)

    Saint-Privé ( Yonne)

    Saint-Privé ( Yonne)

    Saint-Privé ( Yonne)

    Saint-Privé ( Yonne) 

    Saint-Privé ( Yonne)

    Saint-Privé ( Yonne)

    Saint-Privé ( Yonne)

    Saint-Privé ( Yonne)


    Un beau lavoir a été couvert sous le Second Empire.

     

    Saint-Privé ( Yonne)

    Saint-Privé ( Yonne)

    Saint-Privé ( Yonne)

    Saint-Privé ( Yonne)

    Saint-Privé ( Yonne)

    Saint-Privé ( Yonne)

    Saint-Privé ( Yonne)

    Saint-Privé ( Yonne)

    Saint-Privé ( Yonne)

     

    La mairie-école de la IIIe République et l’ancienne gare complètent le patrimoine bâti.

     

    Saint-Privé ( Yonne)

    Saint-Privé ( Yonne)

    Saint-Privé ( Yonne)

    Saint-Privé ( Yonne)

     

    Le peintre paysagiste Henri Harpignies, qui a vécu à Saint-Privé, est valorisé par un circuit de découverte formé de stations où une œuvre du peintre est présentée dans son contexte, et un chevalet permet au visiteur de s’essayer à l’Art.

     

    Saint-Privé ( Yonne)

    Saint-Privé ( Yonne)

    Saint-Privé ( Yonne)

    ses peintures

    Saint-Privé ( Yonne)

    Saint-Privé ( Yonne)

    Saint-Privé ( Yonne)

     

    Saint-Privé est le lieu de départ de la « rigole », un petit canal qui permet l’adduction d’eau au canal de Briare, depuis le Loing.

     

    Saint-Privé ( Yonne)

    Saint-Privé ( Yonne)

    Saint-Privé ( Yonne)

    Saint-Privé ( Yonne)

    Saint-Privé ( Yonne)

     

    Saint-Privé ( Yonne)

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  • Peinture de :

     

    Henri Joseph Harpignies est un peintre français de paysages et un membre de l’École de Barbizon.

     

    Peinture de : Henri Joseph Harpignies

    Peinture de : Henri Joseph Harpignies

    Peinture de : Henri Joseph Harpignies

    Peinture de : Henri Joseph Harpignies

    Peinture de : Henri Joseph Harpignies

    Peinture de : Henri Joseph Harpignies

    Peinture de : Henri Joseph Harpignies

     

    Le travail de Harpignies est profondément influencé par les peintures d’un autre membre de l’École, Camille Corot, dont il s’inspire.

     

    Peinture de : Henri Joseph Harpignies

    Peinture de : Henri Joseph Harpignies

    Peinture de : Henri Joseph Harpignies

    Peinture de : Henri Joseph Harpignies

    Peinture de : Henri Joseph Harpignies

    Peinture de : Henri Joseph Harpignies

    Peinture de : Henri Joseph Harpignies

     

    Ses paysages ont un fort pouvoir descriptif et décrivent des rangées d’arbres et de routes de campagnes.

     

    Peinture de : Henri Joseph Harpignies

    Peinture de : Henri Joseph Harpignies

    Peinture de : Henri Joseph Harpignies

    Peinture de : Henri Joseph Harpignies

    Peinture de : Henri Joseph Harpignies

    Peinture de : Henri Joseph Harpignies

    Peinture de : Henri Joseph Harpignies

     

    Né le 28 juin 1819 à Valenciennes, il va à l’encontre de la volonté de ses parents qui souhaitent le voir poursuivre une carrière dans les affaires et commence à étudier la peinture à l’âge de 27 ans.

     

    Peinture de : Henri Joseph Harpignies

    Peinture de : Henri Joseph Harpignies

    Peinture de : Henri Joseph Harpignies

    Peinture de : Henri Joseph Harpignies

    Peinture de : Henri Joseph Harpignies

    Peinture de : Henri Joseph Harpignies

     

    Ses plus grands succès ont lieu lors d’expositions aux salons de Paris à partir de 1861 et ses œuvres apparaissent, entre autres, dans les collections du Musée d’Orsay, de la National Gallery de Londres et de l’Institut d’art de Chicago. Harpignies meurt le 26 août 1916 à Saint-Privé en France.

     

    Peinture de : Henri Joseph Harpignies

    Peinture de : Henri Joseph Harpignies

    Peinture de : Henri Joseph Harpignies

    Peinture de : Henri Joseph Harpignies

    Peinture de : Henri Joseph Harpignies

    Peinture de : Henri Joseph Harpignies

     

    Peinture de : Henri Joseph Harpignies

     

    Peinture de : Henri Joseph Harpignies

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  • "Juin" poème de Rober Casanova

    Juin

    J'aime bien le mois de Juin
    C'est celui des cerises
    Des longues journées sans fin
    Aux douces soirées exquises !

    "Juin" poème de Rober Casanova 

    Très tôt, dès le matin
    Tous les oiseaux devisent
    Et tard quand la nuit vient
    Certains encore s'avisent.

    "Juin" poème de Rober Casanova 

    C'est le temps des examens
    Où les sérieux révisent
    Et leurs moments malsains
    Des attentes indécises.

    "Juin" poème de Rober Casanova 

    Ces tendres gazons coussins
    Où la roése irrise
    Les beaux serments divins
    Des amants qui se bisent.

    "Juin" poème de Rober Casanova

    Et puis au mois de Juin
    On pense à ses valises
    Car très bientôt revient
    L'heure des vacances promises.

     

    Robert CASANOVA

     

    "Juin" poème de Rober Casanova

     

     

    "Juin" poème de Rober Casanova

     

     

    "Juin" poème de Rober Casanova

    "Juin" poème de Rober Casanova

     

    "Juin" poème de Rober Casanova

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  • Gâteau aux abricots et amandes

     

    ingrédients

     

    - 1 yaourt (le pot va servir de mesure),
    - 2 pots de farine,
    - 2 cuillères à café de levure,
    - 2 œufs,
    - 2 pots de sucre,
    - 7,5 grammes de sucre vanillé,
    - 1 demi-pot d'huile végétale,
    - 6 abricots,
    - 125 grammes d'amandes effilées.

     

    Gâteau aux abricots et amandes

     

    Préparation

     

    Faites préchauffer votre four à 200°C, thermostat 7.
    Commencez par mélanger 2 pots de farine, 7,5 grammes de sucre vanillé, 125 grammes d'amandes effilées, les 2 oeufs et l'huile végétale dans un saladier. Remuez énergiquement pour obtenir un mélange homogène, mais évitez de le faire trop longuement. Cela peut créer des tunnels dans le gâteau.
    Beurrez un moule allant au four. Coupez vos abricots en deux ou en quatre selon vos préférences. Déposez-les ensuite sur le moule et versez la pâte par-dessus. Mettez votre préparation au four et laissez cuire durant 30 minutes, pour qu'elle soit bien dorée.
    À la sortie du four, ajoutez une cuillère de miel sur le dessus.

     

    Gâteau aux abricots et amandes

     

    Gâteau aux abricots et amandes

     

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  • Fleurs cultivées : Souci

    Fleurs cultivées : Souci

      

    Le souci est facile à cultiver et s'adapte à tous les sols. En massif, en bordure ou encore en rocaille, cette plante annuelle donne de l'éclat au jardin grâce à sa floraison abondante et prolongée de couleur jaune ou orangée.

     

    Fleurs cultivées : Souci

    Fleurs cultivées : Souci

    Fleurs cultivées : Souci

    Fleurs cultivées : Souci

     

    Le souci, originaire d'Europe méridionale, fait partie de la famille des Astéracées. Au Moyen-âge, on trouvait généralement cette fleur dans les jardins des curés.

     

    Fleurs cultivées : Souci

    Fleurs cultivées : Souci

    Fleurs cultivées : Souci

    Fleurs cultivées : Souci

     

    Ses feuilles sont alternées et satinées de 10 à 15 cm de long. Ses grosses fleurs en capitules de 8 à 10 cm de diamètre surgissent en mars et restent en place jusqu'à l'automne.

     

    Fleurs cultivées : Souci

    Fleurs cultivées : Souci

    Fleurs cultivées : Souci

    Fleurs cultivées : Souci

     

    Les fleurs de couleur jaune ou orange de forme simple ou double se ferment le soir.

     

    Fleurs cultivées : Souci

    Fleurs cultivées : Souci

    Fleurs cultivées : Souci

    Fleurs cultivées : Souci

    Fleurs cultivées : Souci

    Fleurs cultivées : Souci

    Fleurs cultivées : Souci

    Fleurs cultivées : Souci

    Fleurs cultivées : Souci

     

    Le souci forme une touffe buissonnante, peu dressée et étalée, idéal en bordures, massifs ou rocaille ou potée.

     

    Fleurs cultivées : Souci

    Fleurs cultivées : Souci

    Fleurs cultivées : Souci

    Fleurs cultivées : Souci

     

    Le souci a de nombreuses qualités :

    Ses feuilles et ses fleurs sont comestibles. Elles peuvent agrémenter des salades ou des décorations de sorbet.

     

    Fleurs cultivées : Souci

    Fleurs cultivées : Souci

    Fleurs cultivées : Souci


    En médecine, le souci possède des propriétés : antivirales, antitumorales, anti-inflammatoire, antioxydantes.

     

    Fleurs cultivées : Souci

    Fleurs cultivées : Souci

    Fleurs cultivées : Souci


    Note : des colorants alimentaires sont fabriqués avec ses fleurs car c'est une plante tinctoriale.

     

    Fleurs cultivées : Souci

    Fleurs cultivées : Souci

     

    Fleurs cultivées : Souci

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