• la parole du jour

    pr--cieuxsangDieu délivre l’affligé par son affliction même, et c’est par la souffrance qu’il le dispose à l’écouter". Job 36.15

    Encore aujourd’hui, beaucoup croient à tort que la souffrance est un baromètre qui permet de mesurer l’amour de Dieu envers eux. En d’autres termes, nous sommes nombreux à penser ceci : "je saurais que Dieu m’aime si les épreuves que je traverse ne sont pas trop nombreuses". Rien n’est plus loin de la vérité.

    Aucune souffrance n’est vaine.
    En réalité, la souffrance n’est pas un but mais un processus utile et nécessaire, par lequel Dieu prend le temps de nous rapprocher de lui, de nous transformer et de nous délivrer de cette folie qui est attachée au cœur de l’enfant (Proverbe 22.15).

    Dans notre nature charnelle et corrompue héritée d’Adam, quelque chose a tout simplement tendance à se rebeller contre Dieu et sa Parole. Seule la fournaise ardente peut ôter de telles impuretés. Avez-vous plus de valeur que l’or ? Bien sûr que oui ! Réalisez-vous qu’une simple éponge ne peut suffire à ôter les impuretés et à faire briller ce précieux minerai ? Pour le raffiner et faire ressortir tout son éclat, le feu est indispensable. Le feu ne détruit jamais l’or mais consume toutes les souillures qui s’y attachent. De même, le feu de l’épreuve n’est pas fait pour vous tuer, mais uniquement pour consumer ce qui n’appartient pas à la nature de Christ en vous.

    L’arrogance, par exemple, se trouve dans la nature corrompue de tous les hommes, et ce, indépendamment de leur position sociale. Avez-vous remarqué que l’orgueil n’attend pas que vous soyez parvenu au sommet pour vous tenter ? Avez-vous également constaté que vous avez plus appris à développer l’humilité, non à travers les conseils des sages, mais plutôt à travers la fournaise de la souffrance ? Assurément, il y a des vertus que seul le feu peut produire. Le psalmiste a dit : "Avant d’avoir été humilié, je m’égarais ; Maintenant j’observe ta parole". (Psaume 119.67)

    Notre nature charnelle héritée d’Adam n’aime tout simplement pas se soumettre à Dieu. La Bible dit encore : "Dieu délivre l’affligé par son affliction même, et c’est par la souffrance qu’il le dispose à l’écouter" (Job 36.15).

    Si Jésus a appris l’obéissance par les choses qu’Il a souffertes (Hébreux 5.8), qui sommes-nous pour vouloir être épargnés ?

    En regardant en arrière de manière sincère, je suis convaincu que parmi les souffrances que vous avez endurées, il y en a certainement au moins une, en particulier, pour laquelle vous pouvez dire "Merci Seigneur. Ce fut douloureux mais nécessaire". David l’a exprimé de la manière suivante : "Pour moi, la souffrance a été une bonne chose, elle m’a appris ce que tu voulais" (Psaume 119.71).

    Aucune souffrance n’est vaine. Plus vite vous apprendrez à obéir à la sagesse divine, et plus vite, Dieu ouvrira le chapitre suivant de votre destinée. Non, les ténèbres ne règneront pas toujours sur la terre 
    « Le chateau de BIRON (Dordogne)PHOLIOTA MUTABILIS Champignon comestible »
    Yahoo!

  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :