• Patrimoine mondial de l'Unesco : Memphis et sa nécroplole - Egypte -

    Patrimoine mondial de l'Unesco : Memphis et sa nécroplole - Egypte -

    Menphis est l'une des plus anciennes capitales d'Egypte, appelée d'abord la "Muraille blanche", sans doute en référence à l'aspect de son palais fortifié qui n'est en réalité qu'une partie de la cité certainement située à l'emplacement de l'actuelle Abousir. A une époque, l'un de ses temples, le "château du Ka de Ptah", l'un de ses édifices religieux, lui donne son nom traduit par les Grecs en "Aegyptos" devenu Egypte.

     

    Patrimoine mondial de l'Unesco : Memphis et sa nécroplole - Egypte -

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    Patrimoine mondial de l'Unesco : Memphis et sa nécroplole - Egypte -

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    Le nom le plus adapté reste sans doute "Ankh Taoui" (le lieu qui lie les deux terres). Située sur la pointe du delta du Nil, à la confluence des routes commerciales reliant l'Orient à l'Occident, la ville nous est connue sous un nom assez singulier, Memphis, qui dérive de celui de la pyramide Pépi 1er, "Men-nefer" en passant par le copte "Memphe" et le grec "Memphis".
    Memphis, résidence royale et capitale de l'Egypte à la période protodynastique et à l'Ancien Empire (3000-2195 av.J.C.) est pendant au moins deux millénaires l'un des centres les plus peuplés et les mieux connus de la région dont la magnificence transparaît déjà dans les textes d'Hérodote, de Strabon et de Diodore de Sicile.

     

    Patrimoine mondial de l'Unesco : Memphis et sa nécroplole - Egypte -

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    De nos jours, plus que les rares vestiges mis au jour à Mit Rahina et à Saqqarah, ce sont les immenses nécropoles - qui s'étendent sur plus de 30 kilomètres du nord au sud et couvrent la lisière du désert sur la rive occidentale du Nil - et les pyramides (Hélouan, Dahchour, Saqqarah, Abousir, Zawiyet-el-Aryan, Abou Roach et, naturellement Gizeh) qui témoignent de la splendeur de la cité.

     

    Patrimoine mondial de l'Unesco : Memphis et sa nécroplole - Egypte -

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    Patrimoine mondial de l'Unesco : Memphis et sa nécroplole - Egypte -

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    Selon Flinders Petrie, archéologue britannique du XIXe siècle, Memphis devrait mesurer 12 kilomètres de long sur 6 de large et être développée autour du temple de Ptah, dans la zone moderne de Mit Rahina. Ptha devient la divinité poliade dès le début de la période dynastique, même plus tôt semble-t-il, et le premier temple érigé en son nom est peut-être dissimulé sous une butte, le Kôm el-Fakhry. Seule la partie occidentale du temple le plus récent, datant du règne de Ramsès II, a été fouillée. Elle est formée d'un pylône massif et d'une salle hypostyle.

     

    Patrimoine mondial de l'Unesco : Memphis et sa nécroplole - Egypte -

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    A proximité, des dépôts de fondation indiquent la présence d'un temple plus ancien, attribué à Thoutmosis IV (XVIIIe dynastie - 1550-1291 av.J.C.).

     

    Patrimoine mondial de l'Unesco : Memphis et sa nécroplole - Egypte -

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    La grandeur de Memphis se manifeste plus à l'ouest avec les pyramides de Dahchour, à l'extrémité sud de la nécropole dont la pyramide de Snéfrou - premier souverain de la IVe dynastie - sert de référence et marque le passage des pyramides à degrés aux pyramides lisses.

     

    Patrimoine mondial de l'Unesco : Memphis et sa nécroplole - Egypte -

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    Trois autres pyramides de Dahchour appartiennent à des pharaons de la XIIe dynastie, Amenemhat II, Amenemhat III et Sénostris III.

     

    Patrimoine mondial de l'Unesco : Memphis et sa nécroplole - Egypte -

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    A côté des tombes royales, il existe deux groupes de mastabas de notables - sépultures de plan rectangulaire formées de deux pièces, une chambre funéraire et une chapelle -, parmi lesquels ceux des princesses Iti, Khnemt, Itiwert et Sitmerhur, filles d'Amenemhat II et d'autres proches des pharaons de la XIIe dynastie.

     

    Patrimoine mondial de l'Unesco : Memphis et sa nécroplole - Egypte -

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    Patrimoine mondial de l'Unesco : Memphis et sa nécroplole - Egypte -

    Patrimoine mondial de l'Unesco : Memphis et sa nécroplole - Egypte -

    C'est cependant en se dirigeant plus au nord, vers Saqqarah, qu'il est possible d'embrasser toute l'histoire de l'Egypte ancienne, en commençant par le premier mastaba en brique crue de Ménès, l'initiateur légendaire de la 1ere dynastie, considéré comme le créateur de Memphis jusqu'à la période gréco-romaine. Le long de la lisière orientale du haut plateau se dressent les tombes des membres de la famille royale, officiers et dignitaires de la 1ere dynastie.

     

    Patrimoine mondial de l'Unesco : Memphis et sa nécroplole - Egypte - 1ere partie

    Patrimoine mondial de l'Unesco : Memphis et sa nécroplole - Egypte - 1ere partie

    Patrimoine mondial de l'Unesco : Memphis et sa nécroplole - Egypte - 1ere partie

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    Patrimoine mondial de l'Unesco : Memphis et sa nécroplole - Egypte - 1ere partie

    Patrimoine mondial de l'Unesco : Memphis et sa nécroplole - Egypte - 1ere partie

     

    Le paysage de Saqqarah est dominé par le complexe de la pyramide à degré du roi Djéser, la plus ancienne des quelques 80 pyramides égyptiennes connues. Construite au XXVIIe siècle av.J.C., la pyramide est cernée de temples et édifices destinés à la célébration des jubilés royaux. Saqqarah abrite 13 autres pyramides royales, parmi lesquelles se distinguent celles de Sekhemkhet, successeur de Djéser à la IIIe dynastie,d'Ounas et de Téti (Ve et VIe dynastie), de Pépi 1er (VIe dynastie) et de Djédéfré (IVe dynastie), occupant la partie la plus septentrionale de la nécropole.

     

    Patrimoine mondial de l'Unesco : Memphis et sa nécroplole - Egypte - 1ere partie

    Patrimoine mondial de l'Unesco : Memphis et sa nécroplole - Egypte - 1ere partie

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    Patrimoine mondial de l'Unesco : Memphis et sa nécroplole - Egypte - 1ere partie

    Patrimoine mondial de l'Unesco : Memphis et sa nécroplole - Egypte - 1ere partie

     

    Texte extrait du livre : Les plus beaux sites du patrimoine mondial de l'Unesco

     

    fin de cet article la semaine prochaine

     

    Patrimoine mondial de l'Unesco : Memphis et sa nécroplole - Egypte - 1ere partie

     

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  • Peinture de :

    Peinture de :


     Hodyukov Alexander Dmitrievich est né à Vitebsk en 1966.  il vit et travaille dans cette ville.

     

    Peinture de : alexander HODYUKOV

    Peinture de : alexander HODYUKOV

    Peinture de : alexander HODYUKOV

    Peinture de : alexander HODYUKOV

    Peinture de : alexander HODYUKOV

    Peinture de : alexander HODYUKOV

    Peinture de : alexander HODYUKOV


     Ses œuvres vont dans des directions différentes: le réalisme, l'impressionnisme, le modernisme.  Elles peuvent être des paysages, des natures mortes, des portraits et des espèces marines, ainsi que les mondes surréalistes de la fantaisie et le surréalisme, l'harmonie et la beauté dans la nudité.  Travail de la technique très large: huile, aquarelle, acrylique.

     

    Peinture de : alexander HODYUKOV

    Peinture de : alexander HODYUKOV

    Peinture de : alexander HODYUKOV

    Peinture de : alexander HODYUKOV

    Peinture de : alexander HODYUKOV

    Peinture de : alexander HODYUKOV

    Peinture de : alexander HODYUKOV

    Peinture de : alexander HODYUKOV


     Dans ses œuvres, l'artiste ne se contente pas de transmettre leur attitude face à ce qui se passe autour et essaie de garder l'identité du monde.

     

    Peinture de : alexander HODYUKOV

    Peinture de : alexander HODYUKOV

    Peinture de : alexander HODYUKOV

    Peinture de : alexander HODYUKOV

    Peinture de : alexander HODYUKOV

    Peinture de : alexander HODYUKOV

    Peinture de : alexander HODYUKOV

    Peinture de : alexander HODYUKOV


     Œuvres du peintre peuvent être vus non seulement dans des collections privées et des entreprises biélorusses et russes, mais aussi dans des collections étrangères de peintures.

     

    Peinture de : alexander HODYUKOV

    Peinture de : alexander HODYUKOV

    Peinture de : alexander HODYUKOV

    Peinture de : alexander HODYUKOV

    Peinture de : alexander HODYUKOV

    Peinture de : alexander HODYUKOV

    Peinture de : alexander HODYUKOV

     

    Texte trouvé sur le net... La traduction n'est pas excellente...

     

    Peinture de : alexander HODYUKOV

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  • La pensée du jour :

     

    Décidez de ne pas vous venger !

     

    C'est tellement humain, naturel, voire légitime dans certains cas de vouloir se venger, n'est-ce pas ? Ceux qui vous diront le contraire sont de religieux hypocrites ! Votre nature réagit face à l'injustice, la blessure, la souffrance, l'insulte, l'outrage, comme par automatisme, en envisageant immédiatement la vengeance comme moyen de faire payer à l'autre. Qui n'y a jamais pensé ? Il ne s'agit même pas d'un acte réfléchi, du moins dans un premier temps, mais juste d'un réflexe.
    Ne cherchez pas à aider Dieu dans ce domaine-là, laissez-le faire !

     

    La pensée du jour :

     

    Cette première étape franchie, deux solutions s'offrent à vous :

    Soit vous entretenez, préparez, organisez, calculez votre vengeance et devenez adepte de la fameuse formule : "La vengeance est un plat qui se mange froid !" Soit vous décidez d'abandonner immédiatement ce sentiment-là et de croire ce que Dieu disait par la bouche de Moïse. Ce qui n'empêche à la tentation d'être là : ce serait si facile de nuire à l'autre et il serait tellement simple de vous en occuper vous-même, maintenant. Afin d'éviter de commettre des erreurs que vous pourriez regretter, rappelez-vous que la colère est très mauvaise conseillère ! Il va vous falloir résister avec l'aide de votre Dieu, pour ne pas succomber et finalement laisser libre cours à vos instincts vengeurs. C'est tellement difficile à croire que là, maintenant, Dieu va s'occuper de vous venger, si vous décidez d'y renoncer. Et pourtant, les choses se déroulent toujours ainsi !

     

    La pensée du jour :

     

    La vengeance de Dieu, celle qu'il saura manifester à votre place, si vous renoncez à la vôtre et même si vous comprenez l'importance de prier pour celui ou celle qui vous a insulté, blessé, sali, déshonoré, sera de toute manière toujours meilleure que votre petite vengeance humaine, faite de haine et de colère. Dieu pèse les cœurs et il sait ce qu'il faut faire ! Sa vengeance à lui sera votre justification à vous. Ne cherchez pas à aider Dieu dans ce domaine-là, laissez-le faire !

     

    La pensée du jour :

     

     Enfin, laissez-vous dégager par l'action du Saint-Esprit dans votre vie, de ce sentiment-là ; refusez-le franchement avec autorité, vous n'en serez pas moins fort, mais tellement plus noble.

     

    La pensée du jour :

     

    Une décision pour aujourd'hui

     

     Seigneur, je décide de renoncer à ma vengeance, à mes plans, à mes calculs. Je dépose tout cela au trône de la grâce et je te demande de m'aider à dépasser la pression de mes sentiments pour te laisser agir au mieux. Je te fais confiance. Au nom de Jésus. Amen.

     

    La pensée du jour :

     

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  • Recette de cuisine : Délice aux fruits rouges

     

    Ingrédients

     

    Pour la génoise (on peut aussi en utiliser une du commerce) :
    5 oeufs
    160 g de sucre
    155 g de farine
    40 g de beurre fondu

     

    Pour la crème pâtissière :
    50 cl de lait
    1 gousse de vanille
    4 jaunes d'oeufs
    110 g de sucre en poudre
    45 g de maïzéna
    150 g de beurre

     

    Pour le sirop :
    5 cl de crème de cassis ou alcool de fruits rouges
    100 g de sucre


    Pour la garniture :
    350 g de fruits rouges frais ou surgelés
    1 paquet de biscuits roses de Reims ou des biscuits à la cuiller


    Pour le nappage au chocolat blanc :
    200 g de chocolat blanc
    100 ml de crème liquide


    Préparation

     

    Pour gagner du temps, réaliser la génoise et la crème pâtissière la veille, elles auront une meilleure tenue. Préparez la génoise : Battez au fouet électrique les oeufs et le sucre pendant 1 minute pour bien assembler les 2 ingrédients. Placez le récipient contenant le mélange oeufs/sucre au bain-marie et battez à grande vitesse pendant 5 à 10 minutes. Le mélange va blanchir, gonfler et devenir aérien. Au bout de ce temps, retirez le récipient du bain-marie sans cesser de battre et continuez à battre encore 5 à 10 minutes. Puis incorporez la farine et le beurre fondu à l'aide d'une cuillère en soulevant la masse, des bords vers le centre. Versez la pâte dans un moule à manqué beurré et fariné (diamètre 26 cm environ). Faites cuire 25 à 30 minutes à 175°C. Démoulez dès la sortie du four et laissez refroidir pendant 1 heure au moins.

     

    Recette de cuisine : Délice aux fruits rouges


    Coupez la génoise en deux. Préparez le sirop : Faites bouillir 20 cl d'eau avec le sucre pendant 1 minute, laissez refroidir puis ajoutez l'alcool.

     

    Recette de cuisine : Délice aux fruits rouges


    Posez une abaisse de génoise sur le plat de service, imbibez-la de sirop. Puis répartissez une couche de crème. Posez dessus les fruits rouges et recouvrez avec l'autre abaisse de génoise. Lissez les bords du gâteau à l'aide d'une spatule.

     

    Recette de cuisine : Délice aux fruits rouges

     

    Préparez le glaçage au chocolat blanc : Râpez le chocolat blanc, faites bouillir la crème et versez-la sur le chocolat râpé. Mélangez pour obtenir une pâte lisse. Nappez-en le gâteau.

     

    Recette de cuisine : Délice aux fruits rouges

     

    Trempez rapidement les biscuits roses de Reims dans le sirop restant, coupez-les de la hauteur du gâteau et disposez-les sur le pourtour en les faisant adhérer au nappage. Décorez le dessus du gâteau avec quelques fruits rouges et des biscuits réduits en poudre. Placez au réfrigérateur jusqu'au moment de servir.

     

    Recette de cuisine : Délice aux fruits rouges

     

    Recette de cuisine : Délice aux fruits rouges

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  • Vertus médicinales des plantes sauvages : Chèvrefeuille des bois

    Vertus médicinales des plantes sauvages : Chèvrefeuille des bois

     

    Qu'il soit aimé des chèvres ou, comme elles, doué pour l'escalade, le chèvrefeuille des bois, que Madame de Sévigné écrivait "chèvrefeuil" parce qu'elle le voyait résolument masculin, est de la même famille que le sureau soir et les viornes. C'est une plante vivace dont les rameaux volubiles s'enroulent solidement autour de leurs supports et qui peut vivre 40 ans.

     

    Vertus médicinales des plantes sauvages : Chèvrefeuille des bois

     

    Située à la lisière des bois ou dans les haies de basses montagnes, dès juin, ses fleurs embaument tout leur entourage.

     

    Vertus médicinales des plantes sauvages : Chèvrefeuille des bois

     

    Durant toute l'Antiquité égyptienne, grecque et romaine, on a employé son écorce, mais les siècles passant, le Moyen-Age n'en fit plus grand cas. De nos jours, ce sont ses feuilles et ses fleurs qui sont utilisées pour leurs vertus antiseptiques et diurétiques.

     

    Vertus médicinales des plantes sauvages : Chèvrefeuille des bois

     

    Dans tous ses usages, on peut substituer au chèvrefeuille des bois, le chèvrefeuille commun "Lonicera caprifolium" qui s'échappe souvent des jardins et que les Provençaux appellent " Pentecôte " car il fleurit plus tôt que l'espèce sauvage, embaumant l'air surtout à la tombée de la nuit.

     

    Vertus médicinales des plantes sauvages : Chèvrefeuille des bois

     

    HABITAT


    - Toute l'Europe, lisières des bois, terrains argileux, haies, jusqu'à 1 000 mètres

     

    Vertus médicinales des plantes sauvages : Chèvrefeuille des bois

    Vertus médicinales des plantes sauvages : Chèvrefeuille des bois

    Vertus médicinales des plantes sauvages : Chèvrefeuille des bois

     

    IDENTIFICATION


    - Hauteur : 1 à 5 mètres, arbrisseau

     

    Vertus médicinales des plantes sauvages : Chèvrefeuille des bois


    - Tige volubile

     

    Vertus médicinales des plantes sauvages : Chèvrefeuille des bois


    - Jeunes rameaux pubescents au sommet

     

    Vertus médicinales des plantes sauvages : Chèvrefeuille des bois


    - Feuilles opposées, courtement pétiolées, les supérieures sessiles, caduques, ovales, plus pâles   dessous

     

    Vertus médicinales des plantes sauvages : Chèvrefeuille des bois


    - Fleurs ivoire, teintées de rouge (juin-septembre) sessiles, groupées en tête terminale pédonculée,   calice court à 5 dents, corolle en tube allongé, partie supérieure élargie en 2 lèvres, la supérieure   à 4 lobes courts, l'inférieure entière à 5 étamines

     

    Vertus médicinales des plantes sauvages : Chèvrefeuille des bois

    Vertus médicinales des plantes sauvages : Chèvrefeuille des bois


    - Baie rouge, ovoïde à plusieurs graines

     

    Vertus médicinales des plantes sauvages : Chèvrefeuille des bois


    - Racine possédant des bourgeons adventifs


    - Odeur agréable

     

    PARTIES UTILISEES


    - Feuilles, fleurs (juin-juillet) séchage à l'ombre

     

    Vertus médicinales des plantes sauvages : Chèvrefeuille des bois

    Vertus médicinales des plantes sauvages : Chèvrefeuille des bois

     

    CONSTITUTANTS


    - Acide salicylique, mucilage, essence, glucoside

     

    Vertus médicinales des plantes sauvages : Chèvrefeuille des bois

     

    PROPRIETES


    - Antiseptique, astringent, détersif, diurétique, sudorifique

     

    Vertus médicinales des plantes sauvages : Chèvrefeuille des bois

     

    Vertus médicinales des plantes sauvages : Chèvrefeuille des bois

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  • Le grand Almanach de la France : Limoges autrefois

     

    Au Moyen-Age, Limoges était coupée en deux entités : le château et la cité (où se trouvait la cathédrale).

     

    Le grand Almanach de la France : Limoges autrefois

    Le grand Almanach de la France : Limoges autrefois

    Le grand Almanach de la France : Limoges autrefois

     

    Les habitants de la cité étaient dépendants du vieux pont Saint-Martial situé en aval sur la Vienne.

     

    Le grand Almanach de la France : Limoges autrefois

    Le grand Almanach de la France : Limoges autrefois

    Le grand Almanach de la France : Limoges autrefois

    Le grand Almanach de la France : Limoges autrefois

     

    Ils décidèrent donc de construire un nouveau pont, le pont Saint-Etienne (achevé en 1203), afin de ne plus être tributaires du château. Le pont, faisant partie du système défensif de la cité, était protégé à ses extrémités par deux tours munies chacune d'un pont-levis.

     

    Le grand Almanach de la France : Limoges autrefois

    Le grand Almanach de la France : Limoges autrefois

    Le grand Almanach de la France : Limoges autrefois

    Le grand Almanach de la France : Limoges autrefois

    Le grand Almanach de la France : Limoges autrefois

    Le grand Almanach de la France : Limoges autrefois

     

    La Vienne était utilisée pour le flottage des  bois d'oeuvre et de chauffage provenant de la forêt limousine.

     

    Le grand Almanach de la France : Limoges autrefois

     

    Le pont Saint-Etienne marquait la limite du flottage des bois, arrêtés en amont du pont par de solides "ramiers", constitués de pièces de charpentes, construits au XVIIIe siècle et détruits en 1897.

     

    Le grand Almanach de la France : Limoges autrefois

    Le grand Almanach de la France : Limoges autrefois

    Le grand Almanach de la France : Limoges autrefois

     

    Les bois étaient stockés sur la berge. Le flottage des bois s'intensifia au XIXe siècle, pour alimenter les nombreux fours à porcelaine de la ville.

     

    Le grand Almanach de la France : Limoges autrefois

     

    Côté rive droite, le pont était entouré par les maisons des laveuses. Ces dernières assuraient la lessive des gens du château, puis plus tard, celle des habitants de la ville.

     

    Le grand Almanach de la France : Limoges autrefois

    Le grand Almanach de la France : Limoges autrefois

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    Le grand Almanach de la France : Limoges autrefois

     

    Le grand Almanach de la France : Limoges autrefois

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  • " Il pleeure dans mon coeur " poème de Paul Verlaine

     

    Il pleure dans mon cœur

     


    Il pleure dans mon coeur
    Comme il pleut sur la ville ;
    Quelle est cette langueur
    Qui pénètre mon coeur ?

     

    Ô bruit doux de la pluie
    Par terre et sur les toits !
    Pour un coeur qui s'ennuie,
    Ô le chant de la pluie !

     

    Il pleure sans raison
    Dans ce coeur qui s'écoeure.
    Quoi ! nulle trahison ?...
    Ce deuil est sans raison.

     

    C'est bien la pire peine
    De ne savoir pourquoi
    Sans amour et sans haine
    Mon coeur a tant de peine !

     


    Paul VERLAINE  

     

    " Il pleeure dans mon coeur " poème de Paul Verlaine

    " Il pleeure dans mon coeur " poème de Paul Verlaine

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  • Le patrimoine mondial de l'Unesco : Carthage - Tunisie

    Le patrimoine mondial de l'Unesco : Carthage - Tunisie

     

    Entre 218 et 217 av.J.C., Hannibal, jeune général carthaginois, traverse les Alpes à la tête d'une armée composée de 18 000 soldats, 8 000 cavaliers et 40 éléphants. Il a l'intention de frapper l'ennemi en plein coeur afin de conquérir Rome et d'obtenir la domination de la Méditerranée. Ses victoires de la Trébie, de Trasimène et de Cannes semblent lui donner raison, mais son avancée est stoppée aux portes de Rome, dont le pouvoir réorganise rapidement une très nombreuse armée et sera finalement vainqueur en Afrique.

     

    Le patrimoine mondial de l'Unesco : Carthage - Tunisie

    Le patrimoine mondial de l'Unesco : Carthage - Tunisie

    Le patrimoine mondial de l'Unesco : Carthage - Tunisie

    Le patrimoine mondial de l'Unesco : Carthage - Tunisie

    Le patrimoine mondial de l'Unesco : Carthage - Tunisie

    Le patrimoine mondial de l'Unesco : Carthage - Tunisie


    En 202, après seize ans de guerre ininterrompue, Scipion l'Africain contraint la cité de Zama à la réddition : c'est la défaite la plus rude infligée aux Carthaginois.

     

    Le patrimoine mondial de l'Unesco : Carthage - Tunisie

    Le patrimoine mondial de l'Unesco : Carthage - Tunisie

    Bataille de Zama

    Le patrimoine mondial de l'Unesco : Carthage - Tunisie

    Chute de Carthage


    De Carthage, l'Histoire a surtout retenu les trois guerres puniques au cours desquelles la ville défie l'hégémonie romaine,

     

    Le patrimoine mondial de l'Unesco : Carthage - Tunisie

     

    mais une légende la fait naître en 814 av.J.C, date officielle de sa fondation par Didon. Celle-ci fuit Tyr après le meurtre de son mari par Pygmalion, son frère, qui convoite le trône. En réalité, des colons phéniciens de Tyr créent un nouveau comptoir sur les côtes de la Tunisie actuelle.

     

    Le patrimoine mondial de l'Unesco : Carthage - Tunisie


    De la Carthage punique, détruite d'abord par les Romains puis par les Arabes vers 700 apr.J.C., il subsiste peu de vestiges. Les plus intéressants se situent sur la colline de Byrsa où se dressait l'acropole alors cernée d'un mur d'enceinte.

     

    Le patrimoine mondial de l'Unesco : Carthage - Tunisie

    Le patrimoine mondial de l'Unesco : Carthage - Tunisie

    Le patrimoine mondial de l'Unesco : Carthage - Tunisie

    Le patrimoine mondial de l'Unesco : Carthage - Tunisie

     

    Des sépultures y ont été découvertes, mais aucun édifice public, aucun habitat n'a survécu aux conquêtes. De rares éléments ont permis d'identifier en 1921 le tophet, lieu destiné aux sacrifices à proximité duquel se dressait un temple dédié aux dieux phéniciens Tanit et Baal. Découvert en 1921, le tophet a livré des urnes, contenant des ossements calcinés d'animaux et de jeunes enfants, surmontées de stèles votives. C'est là un aspect intéressant de la civilisation carthaginoise qui suscite encore de nombreuses questions.

     

    Le patrimoine mondial de l'Unesco : Carthage - Tunisie

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    Un étang bordant la mer, voilà tout ce qui reste des deux grands ports, marchand et militaire; qui ont fait la grandeur de Carthage.

     

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    De l'époque romaine, sont conservés les vestiges du monumental édifice thermal d'Antonin, construit entre 146 et 162 apr.J.C. De nos jours, on ne peut plus en voir que le soubassement sur lequel se dressaient les pièces réservées aux employés et les fours chauffant l'eau surmonté de colonnes de 2 mètres de diamètre et de 70 tonnes environ. Récemment, une colonne a été reconstituée : elle mesure 15 mètres de haut, tandis que la voûte du "frigidarium", en cours de reconstitution devrait dépasser 20 mètres.

     

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    Non loin de là se dresse la basilique de Domus el-Karita, dont le nom est peut-être une déformation du latin "Domius Caritatis" où saint Augustin prêche entre 399 et 413.

     

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    L'amphithéâtre est un lieu où se déroule des combats de gladiateurs, entre eux ou contre des animaux sauvages, célèbres dans tout le monde romain. Celui de Carthage, l'un des plus grand de l'Empire Romain, est à peine visible de nos jours parmi les pins car la majeure partie des pierres a été emportée au fil des siècles pour être réemployée dans d'autres constructions.

     

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    Au nord-est de cet édifice, une série de grandes citernes constituent la principale réserve d'eau de la ville à l'époque romaine.

     

    Le patrimoine mondial de l'Unesco : Carthage - Tunisie

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    Il ne reste presque rien du théâtre construit sous le règne d'Hadrien, des temples et des habitations  de cette antique puissance méditerranéenne.

     

    Le patrimoine mondial de l'Unesco : Carthage - Tunisie

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    Ce sont les collections du Musée national de cette ville, situé dans les locaux du séminaire des Pères blancs à côté de la cathédrale Saint-Louis construite par les Français en 1890, qui évoquent la splendeur de Carthage.

     

    Le patrimoine mondial de l'Unesco : Carthage - Tunisie

     

    Elles sont composées de vases, de sculptures, d'inscriptions, de céramiques découvertes pendant les fouilles, témoignages de la Carthage punique, romaine et arabe, vestiges d'un empire disparu.

     

    Le patrimoine mondial de l'Unesco : Carthage - Tunisie

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    Texte extrait du livre : Les plus beaux sites du patrimoine mondial de l'Unesco

     

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  • Peinure de : Cicely Mary Barker

    Peinure de : Cicely Mary Barker

     

    Cicely Mary Barker, née le 28 juin 1895 et morte le 16 février 1973, est une illustratrice britannique connue pour ses illustrations de fées et de fleurs. Son éducation artistique commence dès l'enfance avec des cours par correspondance. Ses premières œuvres professionnelles sont des cartes de vœux et des illustrations dans des magazines pour enfants, et son premier recueil, Flower Fairies of the Spring, est publié en 1923. D'autres livres du même type sortent dans les décennies suivantes.

     

    Peinure de : Cicely Mary Barker

    Peinure de : Cicely Mary Barker

    Peinure de : Cicely Mary Barker

    Peinure de : Cicely Mary Barker

    Peinure de : Cicely Mary Barker

    Peinure de : Cicely Mary Barker

    Peinure de : Cicely Mary Barker

     

    Barker est une ardente anglicane, et donne sa collection à des œuvres de bienfaisance chrétiennes et à des missions. Elle produit quelques livres d'illustrations sur le thème du christianisme, comme The Children’s Book of Hymns, et, en collaboration avec sa sœur Dorothy, He Leadeth Me. Elle réalise un vitrail pour l'église de Saint Edmund à Pitlake, et sa peinture de l'enfant Jésus, The Darling of the World Has Come, est achetée par la reine Mary.

     

    Peinure de : Cicely Mary Barker

    Peinure de : Cicely Mary Barker

    Peinure de : Cicely Mary Barker

    Peinure de : Cicely Mary Barker

    Peinure de : Cicely Mary Barker

    Peinure de : Cicely Mary Barker

    Peinure de : Cicely Mary Barker

    Peinure de : Cicely Mary Barker

     

    Elle utilise indifféremment la peinture à l'eau et à l'huile, l'encre ou les pastels. Kate Greenaway et les préraphaélistes sont ses principales influences. Elle affirme peindre à l'instinct, et rejette la théorie de l'art. Cicely Mary Barker meurt en 1973. Malgré la publication de ses livres de Flower Fairies sur les thèmes du printemps, de l'été et de l'automne, ce n'est qu'en 1985 que ses travaux relatifs à l'hiver sont assemblés et publiés.

     

    Peinure de : Cicely Mary Barker

    Peinure de : Cicely Mary Barker

    Peinure de : Cicely Mary Barker

    Peinure de : Cicely Mary Barker

    Peinure de : Cicely Mary Barker

    Peinure de : Cicely Mary Barker

    Peinure de : Cicely Mary Barker

    Peinure de : Cicely Mary Barker

     

    Incapable de se rendre à l'école en raison de son épilepsie, Cicely Mary Barker étudia chez elle et consacrait énormément de temps à apprendre à dessiner et à peindre. Son art fut influencé par celui de Kate Greenaway mais aussi par les peintres pré-Raphaëlites. Elle fut bientôt reconnue pour son talent et rejoignit la Croydon Art Society

     

    Peinure de : Cicely Mary Barker

    Peinure de : Cicely Mary Barker

    Peinure de : Cicely Mary Barker

    Peinure de : Cicely Mary Barker

    Peinure de : Cicely Mary Barker

    Peinure de : Cicely Mary Barker

    Peinure de : Cicely Mary Barker

    Peinure de : Cicely Mary Barker

     

     Ses peintures florales furent particulièrement appréciées par la société victorienne, en raison du sujet qu'elle avait choisi : les fées et la féerie. Cicely Mary Barker publie son premier Flower Fairies book en 1923 ; elle reçoit 25£ pour Flower Fairies of the Spring, une collection de 24 peintures et illustrations. Cet ouvrage a reçu un accueil important, notamment en raison de l'intérêt de la reine Mary pour l'art féerique. Fort de cet engouement, elle publie ensuite les ouvrages Flower Fairies Friends et Secret Stories.

      

    Peinure de : Cicely Mary Barker

    Peinure de : Cicely Mary Barker

    Peinure de : Cicely Mary Barker

    Peinure de : Cicely Mary Barker

     

    Les Flower Fairies book sont cependant l'œuvre la plus connue de Mary Barker. La peinture douce et réaliste des enfants consititue la part majeure de son art. Les portraits enfantins sont notamment inspirés de sa propre sœur, Dorothy. Mary Barker a par ailleurs rencontré la botaniste Beatrix Potter, qui a su l'aider à représenter les plantes. Les illustrations et peintures de Mary barker appartiennent actuellement à Frederick Warne & Co et à la fondation Cicely Mary Barker.

     

    Peinure de : Cicely Mary Barker

    Peinure de : Cicely Mary Barker

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    Peinure de : Cicely Mary Barker

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  • La pensée du jour :

     

    Les six phases de la foi

     

    "Alors il leur toucha les yeux en disant : Qu’il vous soit fait selon votre foi." Matthieu 9.29

     

    Dieu prend notre foi et il nous bénit au travers d'elle, ce qui fait de la vie une grande aventure. Il est essentiel que nous coopérions avec lui alors qu'il construit la foi en nous. Ce sujet est tellement important que j'aimerais reprendre ici les six phases de la foi.

    Dieu est fidèle. Ce qu'il nous demande de faire, il le fera !

     

    La pensée du jour : " Les six phases de la foi "

     

     Phase 1 – Le rêve. Dieu a-t-il placé un rêve en moi ? Si ce n'est pas le cas, commencez par prier : "Seigneur, communique-moi ton rêve". Si vous ne pouvez pas noter par écrit le rêve que Dieu vous a donné, priez. Sans rêve, vous ne vivez pas, vous vous contentez d'exister. Dieu vous a placé sur cette terre pour un but précis.

     

    La pensée du jour : " Les six phases de la foi "


    Phase 2 – La décision. Ai-je besoin de prendre une décision de foi qui aidera ce rêve à devenir réalité ? Certains d'entre vous ont reçu un rêve, mais ils n'ont pas pris la décision d'y donner suite. Ils sont toujours indécis. Dieu leur dit : "Allez-y !" Pour certains, ce sera la décision de donner leur vie à Christ ; pour d'autres, celle de se joindre à une église ; pour d'autres encore, celle de s'engager dans le ministère.

     

    La pensée du jour : " Les six phases de la foi "


     
     Phase 3 – Le délai. Qu'est-ce qui a retardé la réalisation de mon rêve ? Ne vous inquiétez pas si votre prière n'a pas été exaucée. Cela signifie simplement que vous vous trouvez dans la salle d'attente de Dieu. Ce n'est pas le moment de changer de route. Quand les choses ne se passent pas selon notre calendrier, nous avons tendance à vouloir aller plus vite que Dieu et à emprunter des chemins détournés pour forcer l'événement. Vous risquez de prendre la mauvaise décision. Attendez plutôt le temps de Dieu.

     

    La pensée du jour : " Les six phases de la foi "

     

    Phase 4 – Les difficultés. À quelles difficultés ai-je été confronté en attendant que mon rêve se réalise ? Dieu vous met à l'épreuve et ce ne sera pas la dernière fois. Vous subirez d'innombrables épreuves au cours de votre vie. Dieu vous dit : "Je sais exactement ce que tu vis. Je le vois. Je veille. Ne pense pas que je t'aie oublié, car il n'en est rien."

     

    La pensée du jour : " Les six phases de la foi "

     

    Phase 5 – L'impasse. Suis-je dans une impasse ? Certains d'entre vous sont prêts à renoncer. Mais sachez que vous êtes exactement là où Dieu vous veut. Il vous prépare pour la délivrance et vous dit : "Tiens bon ! Continue à croire ! N'abandonne pas !"

     

    La pensée du jour : " Les six phases de la foi "


     
     Phase 6 – La délivrance. Est-ce que je crois vraiment que Dieu me délivrera ? "Qu'il vous soit fait selon votre foi" (Matthieu 9.29). Dieu est fidèle. Ce qu'il nous demande de faire, il le fera. Mais cela ne se produit pas du jour au lendemain. Vous devez d'abord passer par les phases du rêve, de la décision, du délai, de la difficulté et de l'impasse… après quoi vient la délivrance.

     

    La pensée du jour : " Les six phases de la foi "

     

    Une question pour aujourd'hui


      Dans quelle phase vous situez-vous actuellement ? Croyez que Dieu sait exactement où vous en êtes et faites-lui confiance.

     

    Rick Warren

     

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