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Par chezmamielucette le 13 Février 2011 à 00:00
Ilana Richardson était né en Israël. Elle a étudié l'art à l'académie de Betzalel des arts à Jérusalem et a suivi ceci avec des cours universitaires supérieurs à Londres. Elle est revenue à l'Israël pendant un moment au travail en tant qu'un concepteur et illustratrice.
Cependant elle est revenue à Londres en 1974 et a été basée ici depuis. Pour trouver l'inspiration fraîche pour ses voyages d'Ilana de travail intensivement autour du monde de Singapour au Mexique et naturellement le méditerranéen. Elle fait des croquis et prend des photographies afin de capturer le brillant de couleur et le contraste de la lumière et de l'ombre.
Ilana est à son meilleur dépeignant l'effet de couleur légère d'annonce, favorisant des pays où la lumière forte lui permet de contraster la végétation abondante avec les murs blancs de l'architecture méditerranéenne ou tropicale. Elle permet rarement à une présence humaine de s'imposer et on a le sentiment qui comme un critique a écrit « vous pourrait presque imaginer que vous voyez un paradis abandonné où personne ne vit qui attend quelque part vous pour trébucher à travers et habiter ».
. Le watercolour de trouvailles d'Ilana lui donne le bon genre de subtilement pour ses images et cela qu'elle peut travailler avec le processus de silkscreen employant de la même manière les encres transparentes pour donner un type lavage de watercolour sur le papier. Elle avait fait des copies pendant plus de vingt années.
J'ai chez moi trois copies de ses toiles, elles sont très jolies.............
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Par chezmamielucette le 12 Février 2011 à 00:00
Voici plus de 30 ans, c'est ici, dans cette vallée de Seine que j'ai ressenti ce besoin de peindre.
Paysagiste avant tout, la Seine, ses méandres et ses falaises mais aussi ses rivières, tous ces villages sont pour moi le prétexte à nombre de mes toiles.
Cette région m'inspire, j'aime en traduire la quiétude, attentif à cette lumière si particulière, capricieuse, aux effets parfois même inattendus.
Voilà sans doute, pourquoi, malgré les courants, les modes, ma peinture est ce qu'elle est:
le reflet de quelqu'un qui espère qu'à notre époque, la poésie, le romantisme puissent encore être notre quotidien au travers de cette nature qui passionne.
Texte de Michel LEBRETON.....
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Par chezmamielucette le 11 Février 2011 à 00:00
Séverine Dalla est née en 1972 à Valenciennes, et elle a fait toutes ses études dans le Nord, jusqu'au diplôme d'ingénieur chimiste. Fin 1996, Severine est arrivée au Havre pour son premier poste. Après presque 10 ans dans l'industrie - qui lui ont beaucoup appris puisque Séverine a encadré une petite équipe, géré des contrats, traité avec fournisseurs et clients, fait passer des certifications qualité, trituré des couleurs et des peintures de plein de sortes différentes...
Séverine Dalla a pris un virage professionnel plutôt serré et improbable, suivi une formation par correspondance sur l'Illustration de livres pour enfants (pendant 8 mois), et, après pas mal de recherches et de travail personnel, elle s'est lancée soutenue dans son projet par ses proches.
. Séverine est autodidacte (la formation citée plus haut mise à part), et travaille suivant 2 axes assez différents, mais qui finalement se nourrissent assez souvent l'un de l'autre : - techniques traditionnelles : aquarelles, acryliques, huiles (mais beaucoup moins que les peintures à l'eau), et toutes sortes de crayons, pastels, fusains - infographie,
"peinture numérique" : elle crayonne, scanne et retraite ses propres dessins à la tablette graphique, quand elle ne fais pas tout directement sur ordinateur (attention, ce ne sont pas des photos retouchées mais bien des tableaux faits de sa main !), si Séverine juge le résultat irréprochable ,elle transfère tout chez un imprimeur, aussi photographe de métier, qui lui fait des tirages aux encres pigmentées (durables, donc) sur de vrais papiers d'art (300-310 g/m) Les deux sont pratiquées indifféremment pour la peinture et l'illustration.
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Par chezmamielucette le 9 Février 2011 à 00:00
Jacques Ruiz est né en juillet 1951, à Blida, Algérie. Il passe son enfance dans ce merveilleux pays où le soleil et les contrastes des couleurs resteront toujours gravés dans sa mémoire.
Suite aux événements, il quitte l'Afrique du Nord pour regagner la France, durant sa scolarité ses professeurs décèlent un don et un goût prononcé pour le dessin, ils conseillent ses parents de l'inscrire à l'école des Beaux Arts, mais c'est en autodidacte qu'il commence de peindre ses premières gouaches.
Dans les années 70-80, il commence à peindre à l'huile sur toile et participe à de nombreux salons. Il rencontre des peintres régionaux reconnus qui le guident dans des techniques lui permettant de mieux capter la lumière, comprendre les couleurs et traiter les volumes.
Très influencé par les grands maîtres impressionnistes comme Monet, Pissaro,Van Gogh, sa peinture est d'instinct figuratif. Son amour des paysages, de la lumière et des couleurs font que la plus grande partie de son oeuvre est figurative, avec une touche et une facture plus ou moins forte suivant le modèle et avec sa vision très personnelle.
Il peint des paysages de Collioure, Nice, Arcachon, Honfleur, Paris, la provence, des fleuves, des rivières, etc.....Mais c'est surtout Bordeaux source d'inspiration qui retient son attention.
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Par chezmamielucette le 7 Février 2011 à 00:00
Albert Marquet (ou Pierre-Albert Marquet) est un peintre français né à Bordeaux le 27 mars 1875, décédé à Paris le 14 juin 1947 et inhumé à La Frette-sur-Seine.
Albert Marquet ne s'est jamais laissé enfermer dans aucun mouvement.
Il fut un maître du paysage au regard sensible. Ami de Matisse et de Derain, il a conservé, de sa période fauve, le sens de la couleur et de la lumière. Il a peint Paris et ses environs, les ponts de la Seine, les rues illuminées la nuit, Paris sous la neige ou sous un soleil de plomb. Il fait partie de la génération du post-impressionnisme. C'est ainsi qu'il participe en 1905 à l'exposition des "Fauves" qui fait scandale par une vision brutale des formes et des couleurs. Il abandonne plus tard cette manière pour la recherche d'une harmonie tonale. Un de ses sujets favoris est la représentation de la Seine et des quais
Il est surtout célèbre comme paysagiste, et à partir de 1919 il voyage beaucoup, notamment en Tunisie et Algérie, en compagnie de Jean Launois et Etienne Bouchaud. Dans les intervalles de ses voyages, il fréquente les berges de la Seine pour lesquelles il conçoit une sorte de prédilection. De 1919 à 1939 il séjournera, entre autres, à Poissy, Triel et Méricourt et y peindra des paysages de la Seine.
Au début de 1939 il s'établit à La Frette-sur-Seine. C'est là qu'il peindra sa femme en train de coudre (Intérieur à la Frette) et son ami Desnoyer en train de peindre (l'Atelier de la Frette).
Un extrait des souvenirs de son épouse Marcelle Marquet qui évoque les moments de bonheur paisible passés par le peintre dans leur maison de La Frette : C'est peut être dans cette modeste maison de la Frette qu'Albert se sentait le plus chez lui. Son atelier bien isolé dans le grenier dominait une boucle de la Seine, son fleuve. (...) Albert s'y sentait à l'aise et comme à l'abri. Desnoyer travaillait dans son coin d'atelier, il ne se gênaient ni l'un ni l'autre.).
Désireux de fuir l'invasion allemande, il se réfugie en Algérie, où il va vivre jusqu'à la fin de la guerre. En 1945, il regagne Paris, et La Frette-sur-Seine, où son corps repose, dans le cimetière communal.
Les deux dernières toiles représentent l'Algérie.
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Par chezmamielucette le 6 Février 2011 à 00:00
Très jeune Charles Camoin perd son père et c'est donc sa mère qui l'inscrit à l'Ecole des Beaux-Arts de Paris où il se lie d'une indéfectible amitié avec Henri Matisse et Albert Marquet.
Son enfance et son adolescence Charles Camoin les passe entre Paris, Nice, Cannes et Marseille, villes du sud qui exercent sur lui une irresistible attirance. Pendant son service militaire muté à Aix-en-Provence, le jeune homme provoque une rencontre avec Cezanne avec lequel il échangera une correspondance jusqu'à sa mort.
Depuis 1903 Charles Camoin expose aux Indépendants, puis au salon d'Automne, notamment celui de 1905 où éclate le "fauvisme". Tôt connu Charles Camoin abandonne le fauvisme pour une peinture plus douce et se tient à l'écart des grands mouvements intellectuels et artistiques de son époque, dadaïsme, cubisme.
Après la coupure due à la Première Guerre Mondiale et après son mariage en 1920, Charles Camoin partage sa vie entre Paris et Saint-Tropez, dont il aime peindre le port simplifiant les contours et jouant avec la lumière.
Charles Camoin meurt à Paris à l'age de 86 ans mais il est inhumé sous les cieux de sa ville natale , Marseille........
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Par chezmamielucette le 5 Février 2011 à 00:00
André Renoux est né en 1939, à Oran. D’un naturel réservé, la peinture lui permet d’exprimer sa sensibilité. André Renoux est un fin observateur des moindres détails, qu’il restitue dans sa peinture avec minutie.
Son sujet de prédilection est les rues de Paris et leurs façades : magasins, cafés, grands immeubles haussmanniens... Il représente principalement un Paris désert ou au petit matin, peuplé de quelques serveurs en terrasse, de concierges balayant leur cour
Le thème de ses toiles n’est jamais l’animation des passants mais les façades et les devantures elles-mêmes. Ce sont elles qui racontent Paris. Sa prouesse est de parvenir à mettre dans chacune de ses toiles un parfum d’intemporalité, d’idéal, de rêve
Lorsqu’André Renoux pose ses sujets sur la toile, il les sublime et leur donne une âme. Il se dégage de sa peinture une émotion à la fois de charme et de nostalgie. On sent
la douceur et la bienveillance de son regard dans chacune de ses toiles. Dès 1961, il ne cesse de présenter ses toiles chaque année, en France et à travers le monde, jusqu’à sa mort prématurée en 2002
Si ces peintures vous ont plu, voici l'adresse de la Galerie qui expose les toiles de ce peintre
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Par chezmamielucette le 4 Février 2011 à 00:00
Fille naturelle d’une blanchisseuse, Suzanne Valadon devint acrobate de cirque à quinze ans (1880), jusqu’à ce qu’une chute mette fin prématurément à cette activité. Dans le quartier de Montmartre où elle était établie avec sa mère, puis son fils naturel, le futur peintre Maurice Utrillo qu'elle eut à l'âge de 18 ans, elle eut la possibilité de s’initier à l’art.
Son genre de beauté attira le regard des artistes et elle devint leur modèle, les observant en posant et apprenant ainsi leurs techniques. Elle fut le modèle de Henri de Toulouse-Lautrec, Edgar Degas, Pierre-Auguste Renoir et Pierre Puvis de Chavannes, nouant des relations avec certains. Habituée des bars « mal famés » de Montmartre où la bourgeoisie parisienne venait « s’encanailler », Toulouse-Lautrec durant cette période fit d’elle un portrait célèbre,
Degas remarqua les lignes vives de ses dessins et peintures et encouragea ses efforts. Elle connut de son vivant le succès et réussit à se mettre à l’abri des difficultés financières de sa jeunesse, pourvoyant aux besoins de son fils, appelé à sa naissance Maurice Valadon, et qui ne prit que plus tard le nom de famille de son père présumé : Utrillo. (D'aucuns prétendent que le père biologique de Maurice Utrillo est Toulouse-Lautrec.)
Suzanne Valadon peignit des natures mortes, des bouquets et des paysages remarquables par la force de leur composition et leurs couleurs vibrantes. Elle est aussi connue pour ses nus. Ses premières expositions au début des années 1890 comportaient principalement des portraits, parmi lesquels un d’Erik Satie avec qui elle eut une relation en 1893. Il lui proposa le mariage au matin de leur première nuit. Elle fut la seule relation intime de celui-ci, le laissant, comme il dira, avec « rien, à part une froide solitude qui remplit la tête avec du vide et le cœur avec de la peine ». En 1894, Suzanne Valadon fut la première femme admise à la Société nationale des beaux-arts. Perfectionniste, elle pouvait travailler plusieurs années ses tableaux avant de les exposer
À la fin de sa vie, Suzanne Valadon se lia d'amitié avec le peintre Gazi le Tatar.
Suzanne Valadon mourut le 7 avril 1938, entourée de ses amis peintres André Derain, Pablo Picasso et Georges Braque, et fut enterrée au cimetière parisien de Saint-Ouen.
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Par chezmamielucette le 2 Février 2011 à 00:00
Maurice Utrillo, né Maurice Valadon le 26 décembre 1883 à Paris XVIIIe et mort le 5 novembre 1955 à Dax, est un peintre français de paysages animés, paysages urbains, peintre à la gouache, aquarelliste, illustrateur, peintre de décors de théâtre.
L'enfance de Maurice se déroule auprès de sa grand-mère, à qui sa mère l'a confié, Villa Auchat à Pierrefitte-sur-Seine[2] (actuelle Seine-Saint-Denis). À partir de l'âge de 18 ans, il fait plusieurs séjours à l'asile. Il sombre progressivement dans l'alcool, qui provoque chez lui de nombreux troubles (violence, démence). Ses études en sont affectées. Cependant, ses occupations thérapeutiques contribuent peut-être à révéler son génie. En tout cas, il reçoit les encouragements de sa mère lorsqu'elle pense découvrir en lui du talent.
Maurice Utrillo rencontre le peintre Alphonse Quizet et commence à peindre régulièrement à partir de 1910 année où il commence à vivre de sa peinture. Il produit des centaines de toiles en plusieurs décennies et il est beaucoup plagié (il existe une multitude de faux et d'œuvres douteuses).
Dès les années 1920, il devient un peintre célèbre et le gouvernement français le décore de la croix de la Légion d'honneur en 1929.
Sans doute poussé par sa mère, il épouse en 1935, à l'âge de 51 ans, Lucie Valore avec laquelle il s'installe au Vésinet[3]. Celle-ci joue un rôle dans la gestion des finances du couple et surveille Maurice afin d'éviter sa rechute dans l'alcoolisme et le faire travailler. Sa mère meurt 3 ans plus tard.
Il meurt âgé de 71 ans, le 5 novembre 1955 à l'hôtel Splendid de Dax où il est en cure avec sa femme. Il est enterré au cimetière Saint-Vincent à Montmartre, Paris, face au Lapin Agile.
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Par chezmamielucette le 31 Janvier 2011 à 00:00
Né le 31 juillet 1941 à Paris,
Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris, 1958-59 Section Architecture, 1960-61 Section Peinture.
Après avoir fait plusieurs ateliers, quitte les Beaux-Arts en 1962.
Marié, il partage son travail entre ses nombreux voyages d'études et sa maison en Sologne.Principaux Thèmes
Venise , Bruges, Paris, La Corse, La Sologne, Amsterdam, La Bretagne, Villages de Provence, Paysages, Le Japon,
La Route Jacques-Coeur, Fleurs et Jardins, Les Rues de Paris à l'époque de Victor-Hugo, Rome et paysages d'Italie, Delft.
"Ce qui surprend lorsqu'on découvre les oeuvres de Chapaud, C'est à la fois leur puissance, leur sensibilité et leur perfection technique.Marc Chapaud est devenu l'un des chefs de file de la nouvelle école figurative française.
Du moins est-il considéré comme tel, grâce en partie à sa technique picturale exceptionnelle. Mais ce n'est pas tout !
Même s'il s'attache à nous rendre une certaine réalité des choses, il sait la dépasser avec une émotion profonde et immanente.
Ses couleurs si subtiles, innondées de lumière argentée ou de teintes rares comme son bleu translucide nous forcent l'admiration.
Il transpose dans ses paysages une calme puissance et la sensibilité d'une poésie romantique.
Chapaud nous captive parce que son art nous fait entrevoir un univers pourtant habituel mais jamais révélé à notre regard.."J'espère que les peintures de ce peintre vous ont plu.
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