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Par chezmamielucette le 29 Janvier 2011 à 00:00
Alfredo Rodriguez: Artiste, peintre, né et élevé au Mexique, dans une famille de neuf enfants, Alfredo a reçu que peu d'instruction artistique. Néanmoins, la peinture faisait autant partie du développement du jeune enfant que d'apprendre à parler et à marcher, son talent est devenu l'outil utilisé pour aider sa famille pendant les périodes de crise.
Artiste professionnel depuis 1968. Internationalement reconnu pour ses peintures de l'Ouest américain, ses images riches et vives de la montagne sont admirés partout où ils sont exposés, mais c'est son regard sur les personnes qui donne le point central de son travail, quant il peint, il captures la dignité de l'esprit humain élevé par la beauté majestueuse de son environnement.
Il a parcouru un long chemin de ses humbles débuts à nos jours, rempli d'amour, de rire, de tragédie, et surtout d'art, son histoire raconte comment une vie guidée par des instincts, et totalement, inébranlable en la foi de Dieu peut conduire un homme à réaliser ses rêves. Les critiques estiment que le traitement magistral de l'Ouest américain est en grande partie responsable de son succès et démontre un potentiel encore plus grand pour l'avenir.Admirez les œuvres de ce maître de la couleur :Si vous voyez ces magnifiques toiles représentant des Indiens c'est grace à une amie qui m'a envoyé par mail une vidéo d'Afredo Rodriguez, j'ai trouvé ses peintures si belles que j'en ai fait un article pour que vous en profitiez tous.....
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Par chezmamielucette le 28 Janvier 2011 à 00:00
Franz Richard Unterberger (1838 - 1902) était un peintre de paysage qui était né à Innsbruck le 15 août 1838. Unterberger s'est spécialisé dans les études de Venise et ses peintures sont maintenant avide rassemblées. Unterberger s'est exercé la première fois à l'académie à Munich et plus tard il s'est déplacé à Weimar où il a étudié sous Albert Zimmermann.
Les peintures d'Unterberger sont fortement romantiques avec une délicatesse caractéristique de la coloration et de la capacité superbe de capturer le mouvement et l'atmosphère d'un endroit célèbre. Les études d'Unterberger de Venise et de la côte de Neopolitan sont maintenant considérées ses peintures plus souhaitables.
Quelques belles toiles de Venise.......
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Par chezmamielucette le 27 Janvier 2011 à 00:00
Albert Gabriel Rigolot est un artiste peintre français, né à Paris le 28 novembre 1862 et mort le 25 avril 1932, âgé de 70 ans
Il commence ses études d'Art dans une école du XVIe arrondissement de Paris et devient l'élève de Léon Germain Pelouse, (1838-1891), peintre naturaliste fondateur de l'École de Cernay et de Auguste Allongé.
il expose au Salon pour la première fois en 1886. Influencé par l'École de Barbizon, il devient un brillant orientaliste à la suite de son voyage en Algérie en 1896. Il a réalisé de nombreux paysages tant au pastel, qu'à l'huile.
En 1900, il reçoit avec 26 autres peintres, commande de Stéphane Adolphe Dervillé, Président du Conseil d'administration de la Compagnie des chemins de fer de Paris à Lyon et à la Méditerranée, d'une toile pour orner la Salle Dorée du restaurant Le Train Bleu à la Gare de Lyon de Paris, il réalise une vue de Beaulieu, sous l'œil vigilant de l'architecte en charge de la décoration : Marius Toudoire. Il participe cette même année à l'Exposition universelle de Paris où il obtient une Médaille d'Argent.
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Par chezmamielucette le 26 Janvier 2011 à 00:00
Eugène-Henri Cauchois était né le 14 février 1850 à Rouen, une ville dans la région de la Normandie de la France occidentale. En vertu d'une carrière artistique, il a commencé la première fois à étudier sous Ferdinand Duboc. Cauchois debuted au salon de 1874 avec l'ONU que Lapin (un lapin) dont près a été placé un texte par Victor Hugo qui a lu, « voient le malheureux, couché, nu, malheureux [l'animal], tout couvert de sang, plus rouge que l'érable, pendant la saison de fleur. » Son placement de cette citation à côté de son image suggère que Cauchois ait été un défenseur du mouvement de Romanticist, intéressant du fait il travaillait au cours d'une période l'où le romantisme dans la peinture avait passé et les nouveaux mouvements tels que l'impression Il a suivi son début l'année suivante avec deux autres travaux, la première dont montre encore que son inclusion assez unique d'une autre citation situait son travail à un de plus haut niveau de l'interprétation. Horloges et Pendules (grande horloge et petits horloge/pendules) ont porté une citation par Alexandre Théodore Dézamy, un auteur du 19ème siècle, qui a lu, « oh des horloges de nos grands-mères, vous à qui amour était l'horloger, oublient les heures amères, pour sonner l'heure du berger. » Son deuxièmes travail, Fleurs et fruits (les fleurs et le fruit) est toujours sa première vie exhibée de fleur, un type compositionnel pour lequel il établirait vraiment sa réputation, au moins dans des temps modernes. D'ici 1876, Cauchois avait partiellement replacé à Asnières le long du Seine, juste en dehors de de Paris. La même année il a exhibé juste un travail, l'Étalage d'Avant
Ce qui reste du travail de Cauchois actuellement, et pour ce qui il est plus rappelé, sont ses arrangements de fleur, beaucoup souvent peints dans une série de panneaux décoratifs censés pour être vu côte à côte. Peut-être Cauchois a été inspiré par les compositions et l'amour verticaux de la nature des peintures japonaises, puisque beaucoup de cette période a vu qu'une augmentation de l'appréciation dans Japonisme et beaucoup d'artistes ont commencé à expérimenter avec de nouvelles formules compositionnelles. Tandis que la majorité du travail de Cauchois qui peut maintenant être trouvée et achetée sont ses peintures florales,
Cauchois a continué à exhiber régulièrement aux salons jusqu'en 1908, où il a montré à Le Train un Passé (le train a passé près) et Mélancolie (mélancolie). Il a reçu plusieurs récompenses dans toute sa carrière comprenant : Médaille de l'honneur, 1891 ; médaille third-class, 1898 ; médaille de bronze, exposition Universelle, 1900 ; une médaille de seconde classe, 1904 et en 1906 où il a été considéré des « concours de hors, » lui accordant l'admission automatique dans le salon. Il était également devenu un membre des Artistes Français de DES de Société. Cauchois est mort le 11 octobre 1911 à Paris.
Voici quelques toiles que l'on aimerait bien avoir dans sa maison .....
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Par chezmamielucette le 24 Janvier 2011 à 00:00
Peintre français, né en 1848 à Paris, décédé en 1928.
Aquarelliste, pastelliste et peintre de paysages, de natures mortes, de fleurs.
Elève d’ Alexandre Nozal et de Léon Tanzi à l’Académie française, W. Bouguereau, Benjamin Constant et Jules Lefebvre ont été ensuite ses professeurs.
Cette influence explique le style très académique d’Henri Biva.Il expose à l’Exposition de Blanc et Noir en 1886 : "Une rue de Ville-d’Avray"," la nuit" ;" Roses de Nice" ;" giroflées" et au Salon des Artistes Français de 1900 à 1905.
Il est promu Chevalier de la Légion d’honneur en 1900.Quelques toiles de peintre.....
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Par chezmamielucette le 21 Janvier 2011 à 00:00
Tibulle-Marie Furcy de Lavault est né à Saint-Genis-de-Saintonge en 1847.
Issu d'un milieu modeste,il apprend le dessin au collège de Saintes et débute dans la peinture en bâtiment. A 17 ans, atteint de saturnisme suite à une intoxication due à l'usage du blanc de céruse, il se tourne vers la peinture de chevalet.
Il débute en qualité de portraitiste, mais, qu'il s'agisse du paysagiste ou du peintre de genre qu'il fut à l'occasion en introduisant quelques personnages dans ses compositions, il ne parvient pas dans ce domaine à se démarquer de ses contemporainsC'est dans la spécialité de peintre de fleurs qu'il peut le mieux manifester son originalité.
Autour de 1879-1880, il privilégie cette nouvelle voie et à la suite de peintres fleuristes réputés tels Henri Biva, Eugène Cauchois, Achille Cesbron, Furcy se lance dans la bataille et parvient très rapidement à s'imposer à leurs côtés.
Tous ces artistes sont en fait des virtuoses qui rivalisent "d'habileté en utilisant, comme des prestidigitateurs, brosses, chiffons, racloirs, tubes, couteaux à palette et, pourquoi pas, leurs doigts".
Furcy, durant bien des années, inonde salons et galeries de ses coins de jardin, de ses fleurs et de ses fruits. Mais outre ces compositions foisonnantes et de grand format qu'il réservait prioritairement aux Salons, il adapte ses recettes décoratives et opulentes à des toiles de taille plus modeste destinées aux particuliers.
Conservateur du musée de la Rochelle de 1882 à 1912, il décéde a Clérac (charente-maritime) en 1915.
Il faudra plus de 75 ans pour redécouvrir le charme quelque peu suranné mais délicat d'une peinture qui fut avant tout celle de son époque.
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Par chezmamielucette le 20 Janvier 2011 à 00:00
Willem Van Aelst (Utrecht (?), 1625 ou 1626 – Amsterdam, vers 1683) est un peintre de nature morte de fleurs et de chasse néerlandais (Provinces-unies) du siècle d'or. Son œuvre est remarquable par l'habileté de ses compositions – il introduisit l’asymétrie dans la nature morte – et la savante harmonie de ses coloris.
Willem Van Aelst est né d’un père notaire. Il étudie la peinture à Delft, auprès de son oncle, le peintre de nature morte Evert van Aelst. Le 9 novembre 1643, Van Aelst est admis dans la guilde de Saint-Luc.
De 1645 à 1649, il vit en France, ce qui sera important pour le développement de son art. Il entreprend ensuite un voyage en Italie, où il demeure de 1649 à 1656[1]. À Rome, Van Aelst aurait été membre des Bentvueghels, parmi lesquels il aurait reçu le surnom de « Vogelverschrikker » (« Épouvantail ») ; rien ne témoigne cependant de la présence de l'artiste dans cette ville.
À Florence, en compagnie deux autres Néerlandais, Matthias Withoos et Otto Marseus Van Schrieck, il est actif à la cour de Ferdinand II de Medicis. Le grand-duc de Toscane lui remettra une médaille d’or comme récompense de ses services. Ont été conservées de cette époque plusieurs natures mortes de fleurs et de chasse, visibles au Palazzo Pitti à Florence.
En 1656, Van Aelst rentre aux Pays-Bas en compagnie de Marseus Van Schrieck. Il vient se fixer à Amsterdam[2]. Il est l’un des premiers à se spécialiser dans la nature morte de chasse et devient l’un des peintres de natures mortes les plus importants de sa génération, ce qui lui permet de vivre sur la Prinsengracht. Il aura pour principaux suiveurs Rachel Ruysch et Jan Van Huysum. Le 15 janvier 1679, il épouse à Amsterdam Helena Nieuwenhuys, qui était âgée de 35 ans.[3] C'est en 1683 vraisemblablement, ou peu de temps après, que Van Aelst meurt ; c’est en tout cas l’année qui figure sur sa dernière œuvre datée.
Des peintures tellement bien réalises que l'on croirait voir des photographies.......
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Par chezmamielucette le 19 Janvier 2011 à 00:00
Antoine Berjon (1754-1843), originaire de Lyon et contemporain de Pierre-Joseph Redouté a été formé pour la "fabrique " lyonnaise, c'est-à-dire l'ensemble des activités du tissage, décor inclus.
Ses compositions étaient utilisées par les dessinateurs des fabriques de soieries et tissus. À Lyon, capitale du tissu façonné, il suit l'enseignement du sculpteur Michel Perrache et d'un agronome renommé, l'abbé Rozier.
La Révolution l'oblige à quitter Lyon pour Paris où il acquiert des talents de portraitiste et de miniaturiste sous l'influence du peintre Jean-Baptiste Augustin.
Vers 1810, sous l'Empire, il regagne Lyon où il devient professeur de dessin d'une classe de fleur destinée à former les dessinateurs d'une nouvelle fabrique de tissage mise au point par l'ingénieur mécanicien Jacquard (Métier Jacquard).
Outre ses activités en tant que professeur à l'École de Beaux-Arts de Lyon, il est également portraitiste de la société lyonnaise, portraits qu'il réalise à l'huile ou à la sépia. Il pratiqua aussi la miniature et la gravure.
Victime d'une cabale ultraroyaliste fomentée par son collègue, le peintre Pierre Révoil, Berjon est chassé de son poste. Il continue pendant une vingtaine d'années à dessiner et à peindre en solitaire, laissant un œuvre abondant qui rompt avec les conventions hollandisantes et se distingue par son inspiration poétique.
Ces peintures sont tellement bien réalisées que l'on croirait des photos........
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Par chezmamielucette le 18 Janvier 2011 à 00:00
Depuis 10 ans etienne daval peint des paysages de la Lorraine. Originaire des Vosges, il habite l'agglomération messine depuis 1976, ces 2 départements sont donc son domaine de prédilection, mais il va aussi promener sa boite d'aquarelle à travers le monde. Natures mortes et portraits, palette graphique, son domaine s'élargit en permanence.
Peintre lorrain, résistant à d'autres formes de peinture plus moderne, il est l'Astérix de l'aquarelle.
L'esprit romantique d'Etienne DAVAL s'exprime dans ses aquarelles, son esprit contestataire et satyrique dans ses cathédrales numérisées et ses caricatures.
La peinture pour Etienne DAVAL, c'est son fil d'Ariane. C'est elle qui le conduit. Cet informaticien-mathématicien touche à l'aquarelle pendant ses loisirs.Etienne Daval est un stakhanoviste de l’aquarelle, ses sites en contiennent des centaines. Son œuvre picturale a été classé a mi-chemin du réalisme et de l’impressionnisme, par un copain anglais Né à Remiremont, il habite la banlieur messine. Plus que des lieux, il peint des ambiances. Ses aquarelles , paysages émouvants, nous montrent une vraie sensibilité lorraine Son régionalisme ne tombe (presque) jamais dans la convention, ou la simplicité. ... Entre les rives de la Moselle et l’autoroute sous la pluie, il nous fait vivre à fond toute la force de l’atmosphère mosellane, cette ambiance qui peut-être si humide
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Par chezmamielucette le 17 Janvier 2011 à 00:00
Chagall est né le 7 juillet 1887 à Liozno dans la banlieue de Vitebsk, en Biélorussie (laquelle appartenait alors à la Russie tsariste). Aîné d'une famille de 9 enfants il commence à travailler dans des ateliers à la fin de ses études à l’école des beaux-arts de Saint-Pétersbourg. En 1910 il part étudier à Paris auprès de Léon Bakst grâce à une bourse, et expose ses travaux pour la première fois en 1914.Il y est témoin de mouvements picturaux tels que le fauvisme finissant et le cubisme naissant. Le premier lui inspire la couleur pure, gaie et claire, le second une certaine déconstruction de l’objet. Néanmoins jamais Chagall n’adhèrera pleinement à un mouvement ou à une école. Tout en adoptant Paris comme sa deuxième ville natale, il n’oublie pas ses origines russes, pour preuve même lorsqu’il peint les ponts de la Seine ou la tour Eiffel, on peut reconnaître des éléments de décor inspirés de ses souvenirs d’enfance qui ne le quitteront jamais.
En 1914 il est de retour à Vitebsk pour une courte durée pense-t-il, mais le premier conflit mondial empêche tout retour à Paris. Pendant cette période Chagall peint surtout la vie de la communauté juive Kasimir Malevitch en 1919. Il part alors pour Moscou où il fait les décors pour le Théâtre d'art juif. Il retourne en 1922 à Berlin puis à Paris. Ses œuvres sont connues aux États-Unis, où des expositions sont organisées.
En 1923, Chagall fait la connaissance de Ambroise Vollard, marchand et éditeur de livres qui lui commandera notamment trente gouaches et cent eaux-fortes illustrant les Fables de La Fontaine (1924-1925), 118 eaux-fortes pour les "Ames Mortes" de Nicolas Gogol (1925-1931) mais aussi et surtout des illustrations pour la Bible (1930). Au début des années 1930 il voyage beaucoup avec sa famille. À partir du 7 juillet 1937 il prend la nationalité française pour fuir l'antisémitisme de l'Europe centrale
Après son voyage en Israël, Chagall décrit la Bible « comme la plus grande source de poésie de tous les temps » et dès lors il dit avoir « cherché ce reflet dans la vie et dans l’art ». Commence alors pour Chagall une nouvelle ère de création artistique. Dorénavant, il consacre son travail à la thématique biblique traduisant l’Écriture Sainte d’abord en gouaches puis en gravures. Ce travail monumental est à l’origine du Message biblique qui propose un cycle décoratif relatant l’histoire biblique, terminé en 1966. Chagall en fait don à l’Etat français, qui, au grand bonheur de Chagall, l’expose au Louvre avant d’inaugurer en 1973 le Musée national du message biblique à Nice, en présence d’André Malraux.
Maeght vend ses œuvres à travers le monde entier. Ses techniques se diversifient : gravures, mosaïques, vitraux… Il continue de peindre des décors, conçoit des costumes pour l'opéra de la Flûte enchantée.
Il finit sa vie à Saint-Paul de Vence, en France, célèbre et reconnu dans le monde entier.
Un vitrail peint par CHAGALL.......
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