-
Par chezmamielucette le 10 Mars 2013 à 00:00
Eugen(e) de Blaas, ou Eugen(e) von Blaas, ou Eugenio de Blaas (né le 24 juillet 1843 à Albano Laziale, dans la province de Rome, Latium – mort à Venise le 10 février 1931) est un peintre académique italien d'origine autrichienne, qui a été actif à la fin du XIXe et au début du XXe siècle.
Fils du peintre d'histoire autrichien Karl von Blaas, qui sera aussi son premier professeur, Eugen de Blaas apprend son art dans les académies de Venise, Vienne et Paris.
Il s'installe à Venise et peint des monuments et des paysages de la région vénitienne, mais surtout des portraits de femmes, genre dans lequel il excelle et auquel il doit sa notoriété.
Ses œuvres sont exposées dans les musées de Leicester, Melbourne, Nottingham, Sheffield, Sydney, Vienne et Trieste. Son frère Julius von Blaas est un peintre animalier réputé
5 commentaires
-
Par chezmamielucette le 3 Mars 2013 à 00:00
Peintre autrichien (Miesenbach, Basse-Autriche, 1807 – Vienne 1862).
Il travailla d'abord avec son père, Jacob, peintre de l'archiduc Jean, et poursuivit ensuite ses études à l'Académie de Vienne (1824-1827), puis continua de se former en autodidacte par des voyages dans les Alpes autrichiennes. Il s'est beaucoup inspiré, pour ses paysages et ses tableaux d'animaux, des Néerlandais
En 1836, il fut nommé membre de l'Académie. Un séjour à Munich en 1839 et 1840 le mit en contact avec les peintres paysagistes romantiques, Rottmann, Morgenstern et Bürkel, qui orientèrent sa peinture vers un style plus dramatique. À côté de ses paysages (Paysage près de Miesenbach, 1830, Vienne, Österr. Gal. ; Cour de ferme à Scheuchenstein, 1835, .), on trouve dans sa production nombre de tableaux à figures, scènes paysannes, combats d'animaux (Deux Ours attaqués par des chiens, 1835, .), scènes de chasse, qui rencontrèrent un franc succès dans toute l'Europe.
Il a également réalisé, pour saisir simplement un aspect fugitif de la nature, un grand nombre de dessins au lavis, d'aquarelles et d'esquisses à l'huile, études très vivantes, dramatisées par quelques touches de rouge ou de bleu (nombreux exemples à l'Albertina et au cabinet des Estampes de l'Académie de Vienne). Gauermann est représenté dans presque tous les grands musées, en Allemagne, en Suisse, ainsi qu'à Londres
14 commentaires
-
Par chezmamielucette le 24 Février 2013 à 00:00
PETITJEAN, Edmond Marie
né le 5 juillet 1844 à Neufchâteau, Vosges, France ; décédé en 1925
Paysagiste, il peint entre autres les ports de l'Atlantique, Bordeaux, La Rochelle, puis poursuit au Nord, Ostende, de facture post-impressionniste, à en juger par les bâtiments, datant de leur création par Leopold II. Les intérieurs des terres également, des Vosges à Auvers-sur Oise.
Peintre de paysages et de marines, il expose pour la première fois au Salon des artistes français en 1874. Il obtient une mention honorable au Salon de 1881 et devient membre sociétaire de cette institution en 1883. Médaille de 1re classe en 1884 et Médaille de 2e classe l'année suivante. Il a peint plusieurs ports de l'Atlantique et séjourne à Dordrecht vers 1886. Il participe à la décoration de pavillons pour l'Exposition universelle de Paris de 1889 et y obtient une Médaille d'argent. L'année suivante, il expose à Munich. Fait Chevalier de la Légion d'honneur en 1892.
En 1900, il reçoit en même temps que 26 autres peintres la commande d'un tableau de Stéphane Adolphe Dervillé, Président du Conseil d'administration de la Compagnie des Chemins de fer de Paris à Lyon et à la Méditerranée, pour décorer la : Salle Dorée du restaurant de la Gare de Lyon : Le Train bleu. Il y peint : Le Puy, sous l'œil vigilant de l'architecte en charge de la décoration, Marius Toudoire et obtient une Médaille d'or à l'Exposition universelle.
10 commentaires
-
Par chezmamielucette le 17 Février 2013 à 00:00
Léon Lhermitte (Mont-Saint-Père 31 juillet 1844 - Paris 28 juillet 1925) était un peintre naturaliste français.
Son père, instituteur, ayant remarqué son talent pour le dessin l’encourage dans ce domaine. Léon Lhermitte suit d'abord une formation artistique à l'École spéciale de dessin et de mathématiques, dite Petite École (actuelle École nationale supérieure des arts décoratifs) sous l'enseignement de Lecoq de Boisbaudran. Puis il entre à l'École des beaux-arts.
Il expose aux Salons où il reçoit des récompenses à plusieurs reprises. Il participera comme jury à l’Exposition universelle de Paris en 1900.
Ses œuvres témoignent de la vie sociale ouvrière et paysanne de son époque par des scènes de travaux champêtres ou urbains. Il était fort apprécié de Van Gogh et était appelé à son époque le « peintre des moissonneurs »
10 commentaires
-
Par chezmamielucette le 10 Février 2013 à 00:00
Armand Guillaumin est un peintre français, né le 16 février 1841 à Paris et mort le 26 juin 1927 au château de Grignon, à Orly.
Il fut l'un des premiers et des plus fidèles participants du groupe impressionniste. Ses paysages de la Creuse, notamment ceux des alentours de Crozant, se rangent parmi ses œuvres les plus prisées.
Originaire de Moulins, Armand Guillaumin s'installe à 16 ans à Paris. En 1860, il entre à la « Compagnie des Chemins de fer d'Orléans ». Il rencontre Paul Cézanne à l'Académie Suisse et participe au Salon des refusés de 1863.
Ensemble, ils peignent sur les bords de la Seine, vers 1873. Armand Guillaumin peint des vues des rives de la Seine et plus particulièrement des vues d'Ivry-sur-Seine, de Clamart et de Charenton, dans la banlieue sud de Paris. Ces vues témoignent de la vive préférence de l'artiste pour l'eau, motif qui allait devenir l'un de ses sujets favoris. À cette époque, Guillaumin se sert déjà d'une palette aux tons assez relevés.
En 1892 il gagne à la Loterie nationale, ce qui lui permet dès lors d'être indépendant sur le plan financier et de se concentrer sur sa peinture. À partir de 1893, il loue régulièrement une maison à Crozant où il participe à l'École de Crozant, dans les environs de Fresselines, où habite le poète Maurice Rollinat. Dessinant et peignant d'après le motif, il est toujours attiré par l'eau. Depuis les rives de la Creuse, il observe l'animation de la rivière, des ponts et des champs.
Au début du XXe siècle, Armand Guillaumin oriente son œuvre vers une facture plus serrée, une palette plus vive, presque violente, qui enthousiasme, dès 1901, le jeune Othon Friesz, qui se déclare ébloui par les pourpres, les ocres et les violets. Il se rend souvent sur la Côte d'Azur à Agay où il réalise de belles marines et des vues de montagne, du massif de l'Estérel et des Alpes enneigées. Armand Guillaumin se retirera ensuite dans la Creuse et ses dernières œuvres auront un caractère semblable qui ne permettra pas de mettre en relief ce peintre important dans l'histoire de l'art pictural. Il meurt en 1927 à Orly laissant une œuvre considérable d'où émergent les peintures de la période impressionniste puis d'inspiration fauve.
11 commentaires
-
Par chezmamielucette le 3 Février 2013 à 00:00
Jean-Paul Laurens, né à Fourquevaux (Haute-Garonne) le 28 mars 1838 et mort à Paris le 23 mars 1921, est un peintre et sculpteur français.
Élève de Léon Cogniet et d'Alexandre Bida, Jean-Paul Laurens est emblématique de l'art académique à son crépuscule. Il serait pour autant bien injuste de ne le présenter que comme un peintre d'histoire parmi d'autres : son érudition, sa rigueur, les prises de position politiques que constituent ses peintures et son talent indiscutable le font nettement sortir du lot.
De convictions républicaines et d'un anticléricalisme affiché, Laurens traite essentiellement des sujets à la fois historiques et religieux, mis en scène de manière dramatique et servis par une technique d'un grand réalisme. Il maîtrise parfaitement la représentation des espaces vides, ce qui donne à nombre de ses tableaux une forte puissance suggestive : ainsi peut-on imaginer le vide qui se fait autour de Robert le Pieux de par le premier plan créant une béance entre le spectateur et le sujet comme sur une scène de théâtre.
Ils préfigurent les péplums historiques des débuts du cinéma. Laurens est aussi l'auteur de grands chantiers de décoration : la voûte d'acier à l'Hôtel de ville de Paris, La Mort de sainte Geneviève au Panthéon de Paris, le plafond du théâtre de l'Odéon (1888), la salle des Illustres au Capitole de Toulouse, la coupole du théâtre de Castres. Dessinateur hors-pair, il illustre notamment les Récits des temps mérovingiens d'Augustin Thierry. Il est élu membre de l'Académie des beaux-arts en 1891.
Enseignant apprécié de ses élèves à l'École nationale supérieure des beaux-arts de Paris et à l'Académie Julian, il a deux fils peintres, Paul Albert Laurens (1870-1934) et Jean-Pierre Laurens (1875-1932) qui seront tous deux enseignants à l'Académie Julian.
Le collège Jean-Paul Laurens à Ayguesvives porte son nom.
9 commentaires
-
Par chezmamielucette le 27 Janvier 2013 à 00:00
Elisabeth FOURCADE née à Belfort étudie à l'académie Juilan, située alors rue de Berry à Paris.
Elle expose actuellement aux États-unis et anciennement en Région Parisienne, en Provinces et à Paris notamment au Salon des artistes français, au Salon D'automne et au Salon d'hiver.
Sa peinture est entièrement réalisée au couteau.Elisabeth FOURCADE s'attache à traduire la beauté de sites campagnard marqués par l'exubérance de la flore.
Maisons isolées au fond d'un chemin vicinal, bâtisses de pierre, fermettes bordant un ruisseau, collines avoisinantes, s'intègrent harmonieusement dans un environnement végétal omniprésent dans ses toiles : arbres d'essences variés, arbrisseaux, arbustes, massifs de fleurs et plantes.
Affectionnant les couleurs suaves, les teintes adoucies, les tons légers mais rehaussés parfois de petites touches vives ou de valeurs plus soutenues, Elisabeth fait preuve, par ses savantes harmonies et la subtilité de ses gammes, de son talent exceptionnel de coloriste.
Hymne à la vie, sa peinture chante avec tendresse des havres de quiétude où le temps semble suspendu, espace enchanteurs pour l'œil qui réchauffent le cœur et apaisent l'esprit.
Exprimant dans ses toiles, Elisabeth FOURCADE témoigne d'une sensibilité poétique marquée par le raffinement de sa palette, la fraîcheur de ses accords, ses qualités de composition et déséquilibre.
10 commentaires
-
Par chezmamielucette le 19 Janvier 2013 à 00:00
Iman Maleki naît à Téhéran en 1976 est dès l’enfance fasciné par la peinture. En 1991, à l’âge de quinze ans, il commence à prendre des cours de peinture, avec le plus célèbre peintre d’Iran, Morteza Katouzian, qui restera par la suite son unique enseignant. Parallèlement, Iman Maleki se met à peindre en tant que véritable artiste peintre
À partir de vingt-deux ans, il a commencé à bien maîtriser différents aspects techniques de la peinture, tant dans le maniement des formes que dans le traitement des sujets et l’harmonie des couleurs. À travers ses œuvres l’artiste sollicite la mémoire artistique. Nous ne connaissons les civilisations disparues qu’aux travers de leurs vestiges et de l’art dans lesquels elles ont incrusté à jamais leurs modes de vie, leurs coutumes, leurs cultures. Dans ses œuvres Iman Maleki donne l’impression qu’un tableau est un cumul de connaissances multiples : philosophiques, culturelles, artistiques, sociales et historiques. Il exprime aussi une conception de l’amour qui provient du plus profond de l’âme. Comme la poésie et la musique, il réunit les plus beaux sentiments de l’être humain et laisse parler la magie du dessin jusqu’à vie s’ensuive.
L’ensemble est passionnant et révèle en Iman Maleki une émotion esthétique née du mélange « des choses de la vie » et de la beauté spirituelle. C’est ce qui donne à son œuvre un parfum de quintessence. yperréalistes.
15 commentaires
-
Par chezmamielucette le 12 Janvier 2013 à 00:00
William Bouguereau, né le 30 novembre 1825 à La Rochelle où il est mort le 19 août 1905, est un peintre français représentatif de la peinture académique.
Son acte de naissance indique Adolphe Williams Bouguereau, mais la dénomination d'usage est celle de la signature de ses tableaux, William Bouguereau.Il est le fils d'un négociant en vins de Bordeaux et sa famille, de conviction catholique, a des origines anglaises.
Il apprend le dessin à l'école municipale de dessins et de peintures de Bordeaux. En 1846, il entre aux Beaux-arts de Paris dans l'atelier de François-Édouard Picot sur la recommandation de J. P. Allaux. Il remporte le second prix de Rome ex aequo avec Gustave Boulanger pour sa peinture Saint Pierre après sa délivrance de prison vient retrouver les fidèles chez Marie (1848).
Il remporte le Premier Prix de Rome en 1850 avec Zénobie retrouvée par les bergers sur les bords de l'Araxe.
En 1866, le marchand de tableaux Paul Durand-Ruel s'occupe de sa carrière et permet à l'artiste de vendre plusieurs toiles à des clients privés. Il a ainsi énormément de succès auprès des acheteurs américains, au point qu'en 1878 lors de la première rétrospective de sa peinture pour l'exposition internationale de Paris, l'État ne peut rassembler que douze œuvres, le reste de sa production étant localisée aux États-Unis. Il passe aussi un contrat avec la maison d'édition Goupil pour la commercialisation de reproductions en gravure de ses œuvres.
Professeur en 1888 à l'école des beaux-arts de Paris et à l’Académie Julian, ses peintures de genre, réalistes ou sur des thèmes mythologiques sont exposées annuellement au Salon de Paris pendant toute la durée de sa carrière. Il travaille aussi à de grands travaux de décoration, notamment pour l'hôtel de Jean-François Bartholoni, et fait aussi le plafond du Grand-Théâtre de Bordeaux.
En 1876, il devient membre de l'Académie des beaux-arts, mais l'année suivante est marquée par des deuils successifs, d'abord ses deux enfants et ensuite son épouse décèdent.
En 1885, il est élu président de la Fondation Taylor, fonction qu'il occupera jusqu'à la fin de sa vie. Il obtient la médaille d'honneur au Salon.
À un âge assez avancé, Bouguereau épouse, en deuxièmes noces, une de ses élèves, le peintre Elizabeth Jane Gardner. Le peintre use également de son influence pour permettre l'accès des femmes à beaucoup d'institutions artistiques en France.
Il meurt en 1905 à La Rochelle.
14 commentaires
-
Par chezmamielucette le 5 Janvier 2013 à 00:00
Joseph Mallord William Turner est un peintre, aquarelliste et graveur britannique, né le 23 avril 1775 à Londres et mort le 19 décembre 1851 (à 76 ans) à Chelsea. Initialement de la veine romantique anglaise, son œuvre est marquée par une recherche novatrice audacieuse qui fait considérer celui que l'on surnomme le « peintre de la lumière » comme un précurseur de l'impressionnisme, avec son contemporain John Constable.
Biographie
Le début
Né à Covent Garden à Londres, William Turner est le fils d'un barbier et fabricant de perruques, William Gay Turner. Sa mère, Mary Marshall, perd progressivement la raison, probablement à cause du décès de la jeune sœur de William, Mary Ann, morte en 1783 et meurt dans un asile, en 1804.
Le jeune Turner est envoyé en 1785 chez un de ses oncles maternels à Brentford, petite ville à l'ouest de Londres, sur les rives de la Tamise. C'est là que son intérêt pour la peinture s'éveille. Un an plus tard, il se rend à l'école à Margate, dans le Kent, à l'estuaire de la Tamise. À partir de cette époque, il commence à produire des dessins que son père expose à la vitrine de son commerce.
Il a seulement 14 ans lorsqu'il entre à l'école de la Royal Academy of Arts (11 décembre 1789) puis est admis à la Royal Academy elle-même un an plus tard. Turner marque un vif intérêt pour l'architecture, suivant notamment des cours de perspective et de topographie avec le dessinateur en architecture Thomas Malton, avant que l'architecte Thomas Hardwick ne lui conseille de persévérer dans la peinture. Une première aquarelle de Turner est acceptée à l'exposition d'été de la Royal Academy alors qu'il n'y est élève que depuis un an.
Il subit l'influence d'artistes tels que Guillaume Van de Velde, Aelbert Cuyp, John Robert Cozens, Wilson, Claude Gellée dit Claude le Lorrain ou encore Nicolas Poussin. Il est remarqué par un amateur d'art de l'époque qui lui permet de rencontrer divers artistes comme Thomas Girtin avec qui il se liera d'amitié. Il travaille d'abord la gravure
Sa carrière
Pêcheurs en mer, 1796, huile sur toile, 91 x 122 cm, Tate GalleryD'un style alors plutôt rigoureux, il expose sa première huile, Pêcheurs en mer, en 1796, année à partir de laquelle il exposera chaque année à la Royal Academy, jusqu'à la fin de sa vie, à de très rare exceptions près. Son caractère romantique est alors révélé par ses représentations de paysages pittoresques de la Grande-Bretagne, mettant la technique au service de sa propre esthétique ; ses paysages maritimes se prêtent aisément aux jeux de reflets de lumière qu'il affectionne.Renommé pour ses huiles, Turner est également un des plus grands maîtres anglais de paysages à l'aquarelle. Il y gagnera le surnom de « peintre de la lumière »[1]. Ses tableaux, paysages et marines d'Angleterre, lui vaudront rapidement une grande réputation si bien qu'il devient membre titulaire de la Royal Academy à l'âge de 27 ans[2]. De 1807 à 1828, il y enseigne la perspective et, en 1845, obtient un poste de professeur suppléant. Son talent lui apporte reconnaissance et confort et lui permet de posséder sa propre galerie à partir de 1804.
Turner voyagera beaucoup tout au long de sa carrière, d'abord en Angleterre et en Écosse, puis, après la paix d'Amiens en 1802, en France, en Suisse, aux Pays-Bas et en Italie, particulièrement à Venise, ville où il séjournera à trois reprises (en 1819, 1829 et 1840) qui lui sera une importante source d'inspiration. En Angleterre, Turner est souvent l'hôte de Lord Lamont à Petworth House dans le Sussex, ce qui donnera naissance à une célèbre série de peintures.
Turner devient de plus en plus excentrique et taciturne. Il a peu d'amis et de proches, à l'exception de son père qui habitera avec lui jusqu'à sa mort en 1829, travaillant pour son fils comme assistant. La mort de son père affectera beaucoup Turner qui sera dès lors sujet à des accès de dépression. Turner ne se mariera pas, mais aura deux filles avec Sarah Danby, puis aura pour compagne la veuve Sophia Caroline Booths à partir de 1833, avec laquelle il vivra comme mari et femme.
En 1846, il se retire de la vie publique, vivant sous le pseudonyme de Mr Booth. Il expose une dernière fois à la Royal Academy en 1850 et, le 19 décembre 1851, Turner meurt au domicile de sa compagne à Chelsea. À sa demande, il est enterré à la Cathédrale Saint-Paul de Londres où il repose aux côtés du peintre Joshua Reynolds. Dans son testament (rédigé en 1829) Turner lègue une grande partie de ses œuvres à la National Gallery. Aujourd'hui la majorité de ses réalisations sont conservées à la Tate Gallery de Londres.
8 commentaires
Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique