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Lieu d'embarquement - et de débarquement - pour l'ile d'Yeu, Port-Joinville déploie ses maisons blanches aux volets peints le long d'un quai toujours en effervescence. Pécheurs
et touristes se cotoient sous les pavillons colorés des bateaux qui flottent au vent.
Jusqu'en 1846? Port-Joinville s'appelait Port-Breton, et les bateaux accostaient encore dans la vase, car l'aménagement était pratiquement inexistant . Le prince de Joinville, fils de
Louis-Philippe et célèbre amiral, fit construire une jetée et un brise-lames pour renforcer la protection. Reconnaissants, les Islais donnèrent son nom à leur port.
UN PORT TOUJOURS ACTIF
Axé sur la ressource principale de l'ile, la peche, le port connait depuis toujours une grande vitalité. Dès la seconde moitié du XIXe siècle, il devient l'un des plus grands ports thoniers de
l'Atlantique. Cependant le 1er Janvier 2002, une directive européenne interdissant l'usage des filets maillants dérivants, utilisés en haute mer, oblige la peche hauturière au thon blanc à se
reconvertir, provoquant des remous dans l'ile. Aujourd'hui, une dizaine de bateaux pechent à la palangre (hameçon) le thon blanc, mais l'activité s'oriente désormais vers d'autres espèces "nobles"
comme la sole, le merlu ou encore la taupe, une variété de requin. L'autre activité du port est liée à l'arrivée des ferries qui libèrent sur les quais les passagers venus du continent.
Il n'est pas rare, à l'heure où les
touristes repartent, d'assister aux plongeons impressionnants des jeunes gens se jetant du haut du mole pour saluer à leur façon las allées et venues des bateaux.....
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Répondreje ne suis pas venue chez toi aujourd hui pas trop de temps ... as tu passer un bon dimanche cette apres midi on as eu droit a un rayon de soleil ..j en ai profiter pour mettre mon nez dehors sa fait du bien .....
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