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    Qui est Dieu pour vous ?

     

    "L'Éternel est ma lumière et mon salut : de qui aurais-je crainte ? L'Éternel est le soutien de ma vie : de qui aurais-je peur ?" Psaumes 27.1

     

    Qui était Dieu pour David ? Considérez ce qu'il a écrit dans ce psaume. Premièrement, le Seigneur était sa lumière. Il avait compris que Dieu le guidait et le dirigeait dans chaque situation, qu'il lui donnait de la sagesse et du discernement, qu'il le remplissait d'espoir et d'encouragement, qu'il le renouvelait et lui procurait la joie et la paix.

    David savait que Dieu peut faire la même chose pour tous ceux qui croient en lui.
    David avait également compris que le Seigneur était son salut, en toutes circonstances ! Dieu l'avait sauvé du danger et de la crainte, de la tourmente et de l'incertitude, de l'inquiétude et des attaques de l'ennemi, des tentations et des pièges.
     
    David avait de même réalisé que Dieu étant sa lumière et son salut, il n'avait aucune raison d'avoir peur ! Aucune raison ! Lorsqu'il rencontrait des problèmes, des difficultés et des défis, il pouvait être libéré de la peur en se tournant vers le Seigneur et en se reposant sur lui. Il ne devait craindre ni la guerre, ni ses ennemis, ni les méchants, ou tout ce que ces personnes faisaient. Il ne devait même pas avoir peur de ses propres erreurs, faiblesses ou doutes.
     
    David savait que Dieu peut faire la même chose pour tous ceux qui croient en lui. Il peut illuminer notre sentier, nous accorder le salut face à toute situation et toute personne. Lorsque nous plaçons notre confiance en lui, nous n'avons aucune raison d'avoir peur de qui que ce soit, d'aucune maladie, d'aucune situation .ou d'aucun problème. Dieu nous montrera la manière d'agir et nous donnera la puissance et la capacité de le faire. Et il nous sauvera !
     
    Aujourd'hui, qui est Dieu pour vous ? Regardez à lui et laissez-le être votre lumière. Permettez-lui de dissiper vos craintes, de vous guider et de vous protéger. Réfugiez-vous en lui, quels que soient les problèmes que vous rencontrez. Ayez confiance en lui et réalisez qu'en toute situation, il est votre salut !
     
    Une prière pour aujourd'hui
     Père, je dépends de toi pour toute chose dans ma vie, pour ma protection tout comme pour ma direction... Je n'ai aucune raison d'avoir peur, parce que je peux te faire confiance. Merci. Au nom de Jésus. Amen.
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    La rébellion complique la vie

     

    "Nous étions tous errants comme des brebis, chacun suivait sa propre voie "....

     

    La rébellion. Quand les gens demandent pourquoi la vie est si difficile, la réponse peut se résumer en ce seul mot. La rébellion d'Adam et Ève contre Dieu dans le jardin d'Éden a tout gâché.

    Comme David, nous avons enfreint les lois de Dieu de ces trois manières, et c'est ce qui rend la vie si difficile.
    Pourquoi se sont-ils rebellés ? Dieu les avait placés dans un paradis qui leur offrait tout ce dont ils avaient besoin. Mais Adam et Ève se croyaient plus intelligents que Dieu et décidèrent de faire leurs propres choix. C'est ainsi qu'ils firent la seule chose que Dieu leur avait interdite.

    L'Épître aux Romains montre le résultat de cet acte unique de rébellion : "Le péché est entré dans le monde à cause d'un seul homme, Adam, et le péché a amené la mort "
     
    Nous ne sommes en rien différents d'Adam et Ève. Nous nous rebellons tous contre Dieu et choisissons d'agir à notre guise. "Quelqu'un peut-il dire : ‘J'ai la conscience tranquille, je suis pur de tout péché' ?"
     
    Notre rébellion contre Dieu peut être de trois sortes.
     
    Le péché. Le mot péché est emprunté au domaine du tir à l'arc et désigne le fait de manquer la cible, de ne pas atteindre le but. "Car tous ont péché et n'atteignent pas à la gloire de Dieu" . Nous péchons quand nous manquons le but et ne sommes pas à la hauteur des exigences divines. Le péché est la rébellion involontaire.
     
    La transgression. La transgression est l'erreur inverse. Transgresser, c'est aller au-delà de la marque ou de la limite, ou désobéir délibérément. Nous sommes coupables de transgression quand nous choisissons d'enfreindre la loi de Dieu. La transgression est la rébellion volontaire.
     
    L'iniquité. L'iniquité est la désobéissance volontaire dans le but de nuire. Elle est la conséquence de la colère, du ressentiment, de l'envie, de la haine, de l'orgueil ou de l'amertume. Ces sentiments créent un besoin de se venger ou de faire délibérément du tort à quelqu'un. L'iniquité est la rébellion malveillante.
     
    David a employé ces trois termes dans sa confession à Dieu : "Je t'ai fait connaître mon péché, et je n'ai pas couvert mon iniquité ; j'ai dit : Je confesserai mes transgressions à l'Éternel ; et toi, tu as pardonné l'iniquité de mon péché" .
     
    Un encouragement pour aujourd'hui
     Comme David, nous avons enfreint les lois de Dieu de ces trois manières, et c'est ce qui rend la vie si difficile. Mais ne perdez pas espoir : de quelque nature que soit votre faute, que vous ne soyez pas à la hauteur, que vous transgressiez volontairement la loi ou que vous cherchiez délibérément à faire du mal à quelqu'un, Dieu vous pardonnera si vous la lui confessez. Et ça, c'est une bonne nouvelle !

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  • agonie3

     

    « Jésus alla dans un endroit désert, et là il priait »

          Quand le Fils de Dieu « leva les yeux au ciel et dit : ' Père, glorifie ton Fils ' » , il nous a appris par cette action que nous devons élever bien haut tous nos sens, nos mains, nos facultés, notre âme, et prier en lui, avec lui et par lui. Voilà l'oeuvre la plus aimable et la plus sainte que le Fils de Dieu ait faite ici-bas : adorer son Père bien-aimé. Mais ceci dépasse de beaucoup tout raisonnement, et nous ne pouvons en aucune façon y atteindre et le comprendre, si ce n'est dans le Saint Esprit. Saint Augustin et saint Anselme nous disent de la prière qu'elle est « une élévation de l'âme vers Dieu »...

          Moi je ne te dis que ceci : dégage-toi, en vérité, de toi-même et de toutes choses créées, et élève pleinement ton âme à Dieu au-dessus de toutes les créatures, dans l'abîme profond. Là, plonge ton esprit dans l'esprit de Dieu, dans un véritable abandon..., dans une véritable union avec Dieu... Là, demande à Dieu tout ce qu'il veut qu'on lui demande, ce que tu désires et ce que les hommes désirent de toi. Et tiens ceci pour certain : ce qu'une pauvre petite pièce de monnaie est vis-à-vis de cent mille pièces d'or, voilà ce qu'est toute prière extérieure vis-à-vis de cette prière qui est véritable union avec Dieu, cet écoulement et cette fusion de l'esprit créé dans l'esprit incréé de Dieu...

          Si l'on t'a demandé une prière, il est bon que tu la fasses de façon extérieure comme tu en as été prié et comme tu l'as promis. Mais, ce faisant, entraîne ton âme vers les hauteurs et dans le désert intérieur, pousse là tout ton troupeau comme Moïse ... « Les vrais adorateurs adoreront le Père en esprit et en vérité » . En cette prière intérieure s'achèvent toutes les pratiques, toutes les formules et toutes les sortes de prière qui depuis Adam jusqu'ici ont été offertes et qui seront encore offertes jusqu'au dernier jour. On mène tout cela à sa perfection en un instant, dans ce recueillement véritable et essentiel.

    Jean Tauler (1300-1361) dominicain à Strasbourg

    ange073

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  • I-Grande-864-sainte-therese-de-lisieux-un-si-grand-amour-po

    Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus (1873-1897), carmélite

     

    « Jésus dormait sur le coussin à l'arrière »

          J'aurais dû, ma Mère chérie, vous parler de la retraite qui précéda ma profession. Elle fut loin de m'apporter des consolations ; l'aridité la plus absolue et presque l'abandon furent mon partage. Jésus dormait comme toujours dans ma petite nacelle ; ah, je vois bien que rarement les âmes le laissent dormir tranquillement en elles. Jésus est si fatigué de toujours faire des frais et des avances qu'il s'empresse de profiter du repos que je lui offre. Il ne se réveillera pas sans doute avant ma grande retraite de l'éternité, mais au lieu de me faire de la peine cela me fait un extrême plaisir.

          Vraiment je suis loin d'être une sainte, rien que cela en est une preuve. Je devrais, au lieu de me réjouir de ma sécheresse, l'attribuer à mon peu de ferveur et de fidélité, je devrais me désoler de dormir (depuis sept ans) pendant mes oraisons et mes actions de grâces. Eh bien, je ne me désole pas : je pense que les petits enfants plaisent autant à leurs parents lorsqu'ils dorment que lorsqu'ils sont éveillés ; je pense que pour faire des opérations, les médecins endorment leurs malades. Enfin je pense que « Le Seigneur voit notre fragilité, qu'il se souvient que nous ne sommes que poussière » (Ps 102,14).

         Ma retraite de profession fut donc, comme toutes celles qui la suivirent, une retraite de grande aridité. Cependant, le Bon Dieu me montrait clairement, sans que je m'en aperçoive, le moyen de lui plaire et de pratiquer les plus sublimes vertus. J'ai remarqué bien des fois que Jésus ne veut pas me donner de provisions : il me nourrit à chaque instant d'une nourriture toute nouvelle ; je la trouve en moi sans savoir comment elle y est. Je crois tout simplement que c'est Jésus lui-même caché au fond de mon pauvre petit c?ur qui me fait la grâce d'agir en moi et me fait penser tout ce qu'il veut que je fasse au moment présent.

    frise feuillage fleuri

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  • Bapteme du Christ

    Pape Benoît XVI
    Homélie du 10/01/2010


    « C'est toi mon Fils bien-aimé ; en toi j'ai mis tout mon amour »

         Sur les rives du Jourdain, Jésus se présente avec une humilité extraordinaire, qui rappelle la pauvreté et la simplicité de l'Enfant déposé dans la crèche, et anticipe les sentiments avec lesquels, au terme de ses jours terrestres, il arrivera à laver les pieds des disciples et subira l'humiliation terrible de la croix. Le Fils de Dieu, lui qui est sans péché, se place parmi les pécheurs, montre la proximité de Dieu sur le chemin de conversion de l'homme. Jésus assume sur ses épaules le poids de la faute de l'humanité tout entière et commence sa mission en se mettant à notre place, à la place des pécheurs, dans la perspective de la croix.

           Tandis que, recueilli en prière après le baptême, il sort de l'eau, les cieux s'ouvrent. C'est le moment attendu par la foule des prophètes. « Ah, si tu déchirais les cieux et descendais », avait invoqué Isaïe . A ce moment..., cette prière est exaucée. En effet, « le ciel s'ouvrit et l'Esprit Saint descendit sur lui » ; on entendit des paroles jamais entendues auparavant : « Tu es mon Fils bien-aimé, tu as toute ma faveur »... Le Père, le Fils et le Saint Esprit descendent parmi les hommes et nous révèlent leur amour qui sauve. Si ce sont les anges qui apportent aux bergers l'annonce de la naissance du Sauveur et l'étoile aux mages venus d'Orient, à présent c'est la voix du Père qui indique aux hommes la présence dans le monde de son Fils et qui invite à se tourner vers la résurrection, vers la victoire du Christ sur le péché et sur la mort.

    ange073

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  • dadf48c9

    Noël est une fête chrétienne célébrant chaque année la naissance de Jésus de Nazareth, appelée Nativité. À l'origine, cette fête était païenne et existait sous des formes différentes pour marquer le solstice d'hiver.
     
    Au XXIe siècle, Noël revêt un aspect largement profane. Elle est devenue une fête commerciale et un moment de l'année célébré, y compris par des non-croyants. Cette fête est caractérisée par un regroupement des cellules familiales autour d'un repas et d'un échange de cadeaux, particulièrement (mais pas seulement) à destination des enfants, qui dans plusieurs pays occidentaux associent ces cadeaux au personnage du Père Noël.
     
    Noël est actuellement fixé au 25 décembre dans les calendriers grégorien et julien par la plupart des Églises.

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    Traditionnellement, la fête de Noël est la solennité de la nativité de Jésus-Christ, la fête commémorative chrétienne de la naissance de Jésus de Nazareth qui, d'après les Évangiles selon Lucet selon Matthieu serait né à Bethléem. Les historiens hésitent pour leur part entre Bethléem et Nazareth sans qu'une des hypothèse parvienne à s'imposer.
     
    Seul l'Évangile selon Luc raconte cette naissance. L'Évangile selon Matthieu ne fait que l'évoquer mais trace une généalogie à Jésus, tandis que les Évangiles selon Marc et selon Jean débutent le récit de sa vie par sa rencontre avec Jean le Baptiste.

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    Selon Luc
     
    L'Évangile selon Luc présente la naissance de Jean le Baptiste et de Jésus de Nazareth dans une mise en parallèle. Le récit de la naissance de Jésus au chapitre II raconte :

     

    « En ce temps-là parut un édit de César Auguste, ordonnant un recensement de toute la terre.Ce premier recensement eut lieu pendant que Quirinius était gouverneur de Syrie.Tous allaient se faire inscrire, chacun dans sa ville.Joseph aussi monta de la Galilée, de la ville de Nazareth, pour se rendre en Judée, dans la ville de David, appelée Bethléhem, parce qu'il était de la maison et de la famille de David,afin de se faire inscrire avec Marie, sa fiancée, qui était enceinte.Pendant qu'ils étaient là, le temps où Marie devait accoucher arriva,et elle enfanta son fils premier-né. Elle l'emmaillota, et le coucha dans une crèche, parce qu'il n'y avait pas de place pour eux dans l'hôtellerie.Il y avait, dans cette même contrée, des bergers qui passaient dans les champs les veilles de la nuit pour garder leurs troupeaux.Et voici, un ange du Seigneur leur apparut, et la gloire du Seigneur resplendit autour d'eux. Ils furent saisis d'une grande frayeur.Mais l'ange leur dit: Ne craignez point; car je vous annonce une bonne nouvelle, qui sera pour tout le peuple le sujet d'une grande joie:c'est qu'aujourd'hui, dans la ville de David, il vous est né un Sauveur, qui est le Christ, le Seigneur.Et voici à quel signe vous le reconnaîtrez: vous trouverez un enfant emmailloté et couché dans une crèche.Et soudain il se joignit à l'ange une multitude de l'armée céleste, louant Dieu et disant:Gloire à Dieu dans les lieux très hauts, Et paix sur la terre parmi les hommes qu'il agrée!Lorsque les anges les eurent quittés pour retourner au ciel, les bergers se dirent les uns aux autres: Allons jusqu'à Bethléhem, et voyons ce qui est arrivé, ce que le Seigneur nous a fait connaître.Ils y allèrent en hâte, et ils trouvèrent Marie et Joseph, et le petit enfant couché dans la crèche.Après l'avoir vu, ils racontèrent ce qui leur avait été dit au sujet de ce petit enfant.Tous ceux qui les entendirent furent dans l'étonnement de ce que leur disaient les bergers. »

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    Selon Matthieu


    « Voici de quelle manière arriva la naissance de Jésus Christ. Marie, sa mère, ayant été fiancée à Joseph, se trouva enceinte, par la vertu du Saint Esprit, avant qu'ils eussent habité ensemble.Joseph, son époux, qui était un homme de bien et qui ne voulait pas la diffamer, se proposa de rompre secrètement avec elle.Comme il y pensait, voici, un ange du Seigneur lui apparut en songe, et dit: Joseph, fils de David, ne crains pas de prendre avec toi Marie, ta femme, car l'enfant qu'elle a conçu vient du Saint Esprit;elle enfantera un fils, et tu lui donneras le nom de Jésus; c'est lui qui sauvera son peuple de ses péchés.Tout cela arriva afin que s'accomplît ce que le Seigneur avait annoncé par le prophète:Voici, la vierge sera enceinte, elle enfantera un fils, et on lui donnera le nom d'Emmanuel, ce qui signifie Dieu avec nous.Joseph s'étant réveillé fit ce que l'ange du Seigneur lui avait ordonné, et il prit sa femme avec lui.Mais il ne la connut point jusqu'à ce qu'elle eût enfanté un fils, auquel il donna le nom de Jésus.
     Jésus étant né à Bethléhem en Judée, au temps du roi Hérode, voici des mages d'Orient arrivèrent à Jérusalem,et dirent: Où est le roi des Juifs qui vient de naître? car nous avons vu son étoile en Orient, et nous sommes venus pour l'adorer. »

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     A la suite de cet article, un autre sur le Noël des enfants en Europe !....

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    Basile de Séleucie  évêque
    Homélie 26, sur le Bon Pasteur

    « Il se réjouit pour elle plus que pour les quatre-vingt-dix-neuf autres qui ne se sont pas égarées »

          Regardons notre berger, le Christ ; voyons son amour pour les hommes et sa douceur pour les conduire au pâturage. Il se réjouit des brebis qui l'entourent comme il cherche celles qui s'égarent. Monts et forêts ne lui font pas d'obstacle ; il court dans la vallée de l'ombre pour parvenir jusqu'à l'endroit où se trouve la brebis perdue. L'ayant trouvée malade, il ne la méprise pas, mais la soigne ; la prenant sur ses épaules, il guérit par sa propre fatigue la brebis fatiguée. Sa fatigue le remplit de joie, car il a retrouvé la brebis perdue, et cela le guérit de sa peine : « Lequel d'entre vous, dit-il, s'il a cent brebis et vient à en perdre une, n'abandonne pas les quatre-vingt-dix-neuf autres dans le désert pour s'en aller auprès de celle qui est perdue, jusqu'à ce qu'il l'ait retrouvée ? »

          La perte d'une seule brebis trouble la joie du troupeau rassemblé, mais la joie des retrouvailles chasse cette tristesse : « Quand il l'a retrouvée, il assemble amis et voisins et il leur dit : Réjouissez-vous avec moi, car j'ai retrouvé ma brebis qui était perdue ». C'est pourquoi le Christ, qui est ce berger, disait : « Je suis le bon pasteur ». « Je cherche la brebis perdue, je ramène celle qui est égarée, je panse celle qui est blessée, je guéris celle qui est malade »

    frise feuillage fleuri

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    « Voyant les foules, il eut pitié d'elles, parce qu'elles étaient fatiguées et abattues »

          Dès aujourd'hui nous célébrons de tout coeur l'avènement du Seigneur Jésus Christ, et nous ne faisons que notre devoir, car il est venu, non seulement à nous, mais pour nous. Lui, le Seigneur, n'a aucun besoin de nos biens ; la grandeur de la grâce qu'il nous a faite montre bien quelle était notre indigence. On juge la gravité d'une maladie par ce qu'il en coûte pour la guérir...

           La venue d'un Sauveur nous était donc nécessaire ; l'état où se trouvaient les hommes rendait sa présence indispensable. Que le Sauveur vienne donc vite ! Qu'il vienne habiter au milieu de nous par la foi, dans toute la richesse de sa grâce. Qu'il vienne nous arracher à notre aveuglement, qu'il nous libère de nos infirmités, qu'il prenne en charge notre faiblesse ! S'il est en nous, qui pourra nous égarer ? S'il est avec nous, que ne pouvons-nous pas faire en celui qui est notre force ?  « S'il est pour nous, qui donc sera contre nous ? »  Jésus Christ est un conseiller absolument sûr, qui ne peut ni se tromper ni nous tromper ; il est une aide puissante dont la force ne peut jamais s'épuiser... Il est la sagesse même de Dieu, la force même de Dieu ... Recourons donc tous à un tel Maître : dans toutes nos entreprises, invoquons cette aide ; au coeur de nos combats, confions-nous à un défenseur si assuré. S'il est déjà venu dans le monde, c'est pour habiter au milieu de nous, avec nous et pour nous.

    Saint Bernard (1091-1153), moine cistercien et docteur de l'Église
    7ème Sermon pour l'Avent

    ange073

    Après cet article vous pouvez en regarder un autre sur les plantes d'intérieur

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    Votre travail est-il vraiment fait pour vous ?

     

    "Seulement, que chacun marche selon la part que le Seigneur lui a faite, selon l’appel qu’il a reçu de Dieu. C’est ainsi que je l’ordonne dans toutes les Églises."

     

    Nous adorons Dieu en lui remettant notre vie à chaque fois que nous prions. Lorsque nous prions, nous dit Jésus, nous devons nous soumettre à la volonté de Dieu. Après lui avoir donné mon amour, je lui donne ma vie.

    La véritable réussite dans la vie consiste à connaître la volonté de Dieu et à y adhérer totalement.
    Remarquez qu'il est dit : "Que ton règne vienne ; que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel" (Matthieu 6.10). Savez-vous que Dieu a une volonté spécifique pour vous ? La Bible affirme dans Romains 12 qu'elle est bonne et parfaite et qu'elle est adaptée à votre personnalité. S'approcher de Dieu, c'est aussi lui dire : "Seigneur, quelle est ta volonté pour moi aujourd'hui ? Je veux faire ta volonté."
     
    Au ciel, la volonté de Dieu est pleinement accomplie. Le problème, c'est que ce n'est pas toujours le cas sur la terre. C'est pourquoi nous devons prier : "Que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel." Nous disons en réalité : "Seigneur, je veux me soumettre à toi. Je veux faire ce que tu me demandes." La véritable réussite dans la vie consiste à connaître la volonté de Dieu et à y adhérer totalement.
     
    Il est possible de prier "Que ta volonté soit faite" de trois manières différentes. Vous pouvez le dire à contrecœur : "Que ta volonté soit faite, mais je ne l'aime pas." Vous pouvez le dire avec résignation : "Que ta volonté soit faite, parce qu'elle s'accomplira de toute façon." Et vous pouvez le dire avec anticipation : "Que ta volonté soit faite, parce que je sais qu'elle est la meilleure et c'est ce que je veux pour ma vie aujourd'hui."
     
    Quand j'étais enfant, nous regardions une émission à la télévision qui s'appelait : "Papa a toujours raison." Votre père terrestre ne sait peut-être pas toujours ce qui est le meilleur, mais votre Père céleste, si. C'est ce que signifie prier en disant : "Que ta volonté soit faite."
     
    Une prière pour aujourd'hui
     Adressez cette prière à Dieu : "Seigneur, je sais que ta volonté pour ma vie est meilleure que tout ce que je peux concevoir par moi-même. Je veux te donner ma vie. Je veux que ta volonté soit faite dans ma vie."

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  • Isaac le Syrien (7ème siècle), moine près de Mossoul, saint des Églises orthodoxes28 jan isaac the syrian

    « Toujours prier sans se décourager »

    Bienheureux l'homme qui connaît sa propre faiblesse. Car cette connaissance est en lui le fondement, la racine, le principe de toute bonté... Quand un homme sait qu'il est dénué de secours divin, il prie d'abondance. Et plus il prie, plus son cœur se fait humble... Quand il a compris tout cela, il possède la prière dans son âme comme un trésor. Et tant sa joie est grande, il fait de sa prière une action de grâce... Porté ainsi par cette connaissance et admirant la grâce de Dieu, il élève la voix, il loue et glorifie Dieu, il lui dit sa gratitude et parle au comble de l'émerveillement.

    Celui qui est parvenu en vérité, et non en imagination, à porter de tels signes et à connaître une telle expérience, celui-là sait ce que je dis, et que rien ne peut aller contre. Mais qu'il cesse désormais de désirer les choses vaines. Qu'il persévère en Dieu par la prière continuelle, dans la crainte d'être privé de l'abondance du secours divin.

    Tous ces biens sont donnés à l'homme dès lors qu'il connaît sa faiblesse. Par son grand désir du secours de Dieu, il approche Dieu en demeurant dans la prière. Et autant il approche Dieu par sa résolution, autant Dieu l'approche de ses dons, et il ne lui enlève pas sa grâce, à cause de sa grande humilité. Car un tel homme est comme la veuve qui ne cesse d'en appeler au juge pour qu'il lui rende justice contre son adversaire. Dans sa compassion Dieu retarde ses grâces pour que cette réserve incite l'homme à l'approcher et à demeurer auprès de celui d'où coule son bien, tant il a besoin de lui.

    Saint Isaac the Syrian 953

    ange073

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