• RIQUEWIHR 2eme partie

     UNE RICHESSE LIEE AU VIGNOBLE

    Le long de la rue du Général-de-Gaule et dans les ruelles, toutes piétonnes, les maisons présentent des colombages colorés où s'accrochent des enseignes métalliques richement ouvragées. Comme les potaux sculptés qui s'élèvent au coin des façades, elles représentent les métiers des artisans qui tenaient ici leur échoppe. A coté des forgerons et du Mannecken-Piss local, les métiers du vin y tiennent une bonne place : l'oppulence du bourg doit beaucoup à ses vignobles. Edifié en 1921, le Dolder, une tour-beffroy qui se dresse près de la porte supérieure, abrite l'ancienne cloche des chargeurs de vin et un musée retraçant l'histoire viticole du village.
    LA VIE DU VILLAGE
    Les quatre saisons de Riquewihr.
    Tous les soirs, en juillet et en Aout, des lumières mettent en valeur le village qui attire en été 20000 visiteurs par jour. Un succès à peine moindre au printemps, lorsque verdissent les vignes des coteaux de Sporen et de Schoenenburg. A l'automne, alors que l'agitation des vendangeurs gagne les caves et les cours, les dégustations de vins séduisent une foule que l'on retrouve en hiver pour les festivités de Noel et de Saint-Nicolas.

    A LA DECOUVERTE DE RIQUEWIHR
    Par la porte Supérieure (admirez le beffroi), vous accédez à la rue du Général-de-Gaule qui traverse le village. A gauche, la rue des Juifs se termine en cul de sac. Vers la droite, les rues du Cerf et Saint-Nicolas, moins fréquentées et bordées de belles maisons, mènent à la rue des Remparts. Après y avoir flané, revenez à la rue du Général-de-Gaule par la rue latérale où se trouve l'office de tourisme.  
     
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  • Commentaires

    1
    Samedi 11 Juillet 2009 à 13:55
    joreg
    Bonjour ma chère amie. Merci d'être passée de si bonne heure en mon modeste blog. C'est toujours un immense plaisir de vous accueillir même si les liaisons ne sont pas aussi fidèles que nous le souhaiterions. Mais les technologies ont leurs secrets qu'il nous est difficile de pénétrer. Comment allez vous ma chère Lucette ? Quel est le temps en ce moment dans cette France si lointaine de nous ? Quand nous sommes arrivés en Guyane, il y a déjà bien longtemps, il est vrai qu'il nous a semblé que nous avions fait un bond d'un siècle dans le passé. Les routes étaient peu nombreuses, une seule nationale pour parcourir une partie de la côte, avec, pour enjamber les fleuves et rivières des bacs aux horaires capricieux. Pour aller d'un point à un autre il y avait aussi les pirogues, ces belles routières du fleuve et pour nous rendre dans les communes de l'intérieur, un petit avion. Mais cela ma chère amie était la vie comme nous l'aimions, avec un zeste d'aventure, ressemblent à celle des anciens, remplie d'incertutudes. Chaque jour il fallait lutter pour survivre et se faire sa place au soleil. C'était cela notre vie, loin du système qui écrase les gens en leur volant leur pensées et leurs rêves. Ce ne fut pas rose tous les jours, mais à aucun moment il nous est venu l'idée d'abandonner, car nous avions le prilvilège de vivre dans le rêve de tellement de gens. On dit que le bonheur sourit aux audacieux, mais depuis longtemps nous avons compris que surtout il se mérite. Allez ma chère Lucette, je ne vais pas vous embêter avec mes histoires et je vais vous laisser à votre journée. Bien des choses à Sylvie et de gros bisous pour vous.
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